The Halcyon (2017) (S01)

Spoilers 1×02

02.pngÉpisode 2 – 13/20
It’s time to make some changements

L’introduction de cet épisode ne ménage pas le suspense bien longtemps : la guerre est là et Lady Hamilton veut révolutionner l’hôtel. Sans surprise. J’ai finalement peu de choses à dire de cet épisode qui se déroule de manière assez prévisible. Mister Gordon se fait virer par Lady Hamilton, mais puisque c’est une femme, elle doit passer par son fils pour se faire. Celui-ci commence par obéir aveuglément à sa mère, avant de prendre peu à peu du poil de la bête, comme on dit, et de prendre sa propre décision de garder son gouvernant. Entre temps, bien sûr, il y a eu quelques péripéties, comme son plus jeune frère qui ne supporte pas sa nouvelle position ou sa future copine (maybe) qui lui en veut d’avoir virer son père. Toute l’intrigue n’a donc rien de surprenant de ce côté-ci, et c’est un peu la même chose avec la maîtresse du premier Lord Hamilton. L’épisode se termine sur le départ en guerre de l’aîné des fils, responsable de l’hôtel, après avoir trahi sa mère donc. Impeccablement joué et avec une ambiance ’40s parfaitement retranscrite, cet épisode ne surprend malheureusement. C’est de l’historique prévisible et ça commence déjà à me lasser, mais au moins, j’ai pu travailler devant. Oups. Définitivement, ça plaira aux amateurs du genre, mais ça n’arrivera pas à être révolutionnaire pour qui que ce soit, à moins de n’avoir jamais suivi la moindre saga familiale, auquel cas, c’est probablement très savoureux.

Ci-dessous, mon avis à chaud sur les autres épisodes de cette saison.

Avis : Je n’aime pas les séries historiques. Combien de fois l’ai-je écrit ici ? Beaucoup trop sûrement, mais pas assez encore pour m’abstenir d’en découvrir certaines. C’est le cas avec The Halcyon, mais il y a un contexte : j’étais en vacances, déjà, chez une amie qui adore les séries historiques. Beaucoup de critiques présentent déjà ce nouveau drama britannique comme le nouveau Downtown Abbey, mais puisque je n’ai jamais vraiment regardé cette série, c’est avec un oeil novice que je me plonge dans cette première saison. Bon, OK, je reconnais, je suis là uniquement parce qu’Olivia Williams est au casting, mais cette actrice est juste fabuleuse.

The Halcyon suit donc la vie au sein d’un grand hôtel cinq étoiles de Londres, au beau milieu de la seconde guerre mondiale, puisque la série débute en 1940. Inévitablement, les histoires de famille, les dramas et les intrigues habituelles à ce genre de série vont vite venir perturber le casting et les jeux de domination en place entre les personnages. Pas de grandes nouveautés, mais un divertissement qui semble valoir le détour grâce à son casting très au point.

Capture d'écran 2017-01-06 12.58.20.pngÉpisode 1 – 15/20
The Halcyon Hotel!  The stories these walls could tell. So raise your glasses and give a cheer to 50 golden years!

Pour son premier épisode, la série ne fait pas dans l’originalité, comme je le suggérais en intro : cette première heure situe les personnages que nous allons suivre et leurs problèmes, avec des dynamiques assez classiques : la servante amoureuse au coeur d’un triangle, le patron adultère, la femme de pouvoir cocue, les jeunes fils, le serviteur dévoué à son maître, l’espion, la prostituée… Autant de personnages très convenus que l’on retrouve mais qui sont heureusement impeccablement interprétés pour nous sauver de situations déjà vues et revues. La fin de l’épisode voit la mort du grand patron de l’hôtel, là encore un poncif de ce genre de drama. Les grandes sagas familiales commencent bien souvent par la mort du patriarche en fin de premier épisode et nombreux sont les exemples de séries qui en font leur base (je ne vais pas citer pour ne pas spoiler les pilotes de ces séries, mais bon). Pour autant, la prévisibilité générale ne dessert pas trop le contenu de ce premier épisode au générique sublime. Si je ne suis pas fan non plus de la structure qui commence par nous montrer ce qui sera la fin de saison 1, force est de constater que cela fonctionne plutôt pas mal et que l’ambiance années 40 est pour l’instant agréable. Il faudra voir l’évolution à présent, j’essaye d’être confiant et de me dire qu’ils réussiront, si ce n’est à être imprévisibles, au moins à fournir quelques scènes brillantes, à l’image de la dernière scène entre la maîtresse des lieux et le chien. C’est ce qui a sauvé ce premier volet, alors je suis bien forcé de continuer à y croire !

02.pngÉpisode 2 – 13/20
It’s time to make some changements

L’introduction de cet épisode ne ménage pas le suspense bien longtemps : la guerre est là et Lady Hamilton veut révolutionner l’hôtel. Sans surprise. J’ai finalement peu de choses à dire de cet épisode qui se déroule de manière assez prévisible. Mister Gordon se fait virer par Lady Hamilton, mais puisque c’est une femme, elle doit passer par son fils pour se faire. Celui-ci commence par obéir aveuglément à sa mère, avant de prendre peu à peu du poil de la bête, comme on dit, et de prendre sa propre décision de garder son gouvernant. Entre temps, bien sûr, il y a eu quelques péripéties, comme son plus jeune frère qui ne supporte pas sa nouvelle position ou sa future copine (maybe) qui lui en veut d’avoir virer son père. Toute l’intrigue n’a donc rien de surprenant de ce côté-ci, et c’est un peu la même chose avec la maîtresse du premier Lord Hamilton. L’épisode se termine sur le départ en guerre de l’aîné des fils, responsable de l’hôtel, après avoir trahi sa mère donc. Impeccablement joué et avec une ambiance ’40s parfaitement retranscrite, cet épisode ne surprend malheureusement. C’est de l’historique prévisible et ça commence déjà à me lasser, mais au moins, j’ai pu travailler devant. Oups. Définitivement, ça plaira aux amateurs du genre, mais ça n’arrivera pas à être révolutionnaire pour qui que ce soit, à moins de n’avoir jamais suivi la moindre saga familiale, auquel cas, c’est probablement très savoureux.

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