Salut les cinéphiles,
Salut les cinéphiles,
Pensez-vous que j’arriverai un jour à poster mes articles à heure raisonnable sur l’ensemble d’une semaine ? Vraiment, ça n’en prend pas le chemin. Ce n’est pas de ma faute, un orage m’a empêché de rentrer tôt chez moi. Bon, le problème est peut-être plus complexe que ça, mais qu’importe, on est là pour parler cinéma, avec un concept un tantinet différent : parler de films actuellement au cinéma !
Supernova
Le film sort aujourd’hui en salle et il vaut le détour en salle pour sa photographie sublime. L’histoire : un homme a une maladie qui lui fait oublier peu à peu qui il est. Il part en vacances avec son mari.
Le synopsis en dit presque trop, la bande-annonce, c’est encore pire. Ce n’est pas un film d’action, c’est très contemplatif de cette belle relation amoureuse entre les deux hommes. Le film ne révolutionne rien dans son histoire, probablement déjà vu avec un couple hétéro… mais c’est rafraîchissant de voir deux hommes dans ces rôles.
Les deux acteurs sont géniaux et le film est vraiment beau, à la fois visuellement et dans son message. Je ne suis pas bien fan des choix de certains personnages, mais on peut les entendre. Tout ça n’est qu’une histoire d’acceptation d’une nouvelle difficile, et ça marche, grâce à la force de l’amour présenté, celui d’un vieux couple largement accepté de tous.
Une histoire qui est là pour faire pleurer, donc, alors que j’ai un cœur de pierre.
Voir aussi : Ma critique de Shang-Chi
American Nightmare 5/The Forever Purge
Les critiques n’ont pas été tendres avec ce qui était vendu comme le dernier film de la saga (mais peut-être pas finalement d’après le réalisateur) alors je l’ai boudé en salle… et je le regrette ! Le concept de base reste le même : nous sommes aux États-Unis et il y a une nuit de purge annuelle où tous les crimes (ou presque) sont permis. Y compris le meurtre.
Si le film reste assez convenu et un tantinet longuet à mettre en place ses personnages, j’ai aimé le développement proposé pour le concept. Je n’en étais pas au courant comme je ne regarde pas les trailers (ni les affiches apparemment – et tant mieux, le côté western, bof) et ça marche parfaitement avec le reste de la saga, ainsi qu’avec la série.
En fait, le message politique est ici très clair et poussé à son extrême. Peut-être que c’est cette extrémité qui ne plaît pas, mais c’était tellement raccord avec le reste que ça marchait.
On est toutefois loin du premier dans les ébauches de réflexion proposée et les quelques jumpscares sont efficaces sans être révolutionnaires. Bref, un bon film qui devrait plaire aux amateurs de la saga, sans plus. Je n’avais pas besoin de plus, ça tombe bien.
Don’t breathe 2
Le film se centre à nouveau sur le personnage de l’aveugle ex-combattant de l’armée, qui agit toujours comme un surhomme – mais n’entend plus aussi bien qu’avant apparemment ?
Y avait-il vraiment besoin d’un deuxième volet ? Certainement pas ! C’est là aussi assez long à mettre en place, totalement poussif dans les révélations du scénario et j’espère vraiment échapper à un 3 avec cette fin… mais je n’en suis même pas sûr avec cette scène mi-générique.
Et pourtant, les scènes d’action fonctionnent. Le concept est toujours super et les scénaristes en profitent bien pour quelques scènes marquantes (la glue principalement). Les acteurs s’en tirent plutôt très bien aussi pour ce genre de films avec un scénario si peu crédible et si léger.
Pas nécessaire de le voir, donc, mais pas entièrement désagréable. Ça se regarde, parfaitement indépendamment du premier. Je l’avais pas mal oublié d’ailleurs, et ça m’a fait me poser énormément de questions au début du film… Mais c’était volontaire de la part des scénaristes et m’en souvenir n’aurait rien changé.
Free Guy
Je suis partagé : j’ai passé un excellent moment devant et j’ai beaucoup ri car j’adhère à l’humour du film. En revanche, le fond est problématique car j’ai l’impression que les personnages sortent des années 90 malgré les sujets très 2021 friendly. Et non, je ne parle pas que du look…
C’est un bon film se centrant sur un figurant de jeu vidéo qui tombe amoureux d’une joueuse à cause d’un algorithme donnant vie aux intelligences artificielles. Le film est très sympa, avec des effets spéciaux réussis et un humour bien dosé, mais les personnages pfiou, c’était compliqué. Et le scénario ne casse pas trois pattes à un canard non plus.
Le gros plus ? La musique et les références, ça faisait penser par moments à Ready Player One. En positif. Genre, c’était un mix de ça, de Truman Show et de Boss Level, dont j’ai oublié de parler sur le blog pour l’instant (mais ça viendra !).
Et bien sûr que je suis fanatique au point d’avoir eu des frissons en entendant trois notes de musique inattendues et un caméo dont je ne savais rien. De bons moments, de bons acteurs, mais un scénario qui mérite plus de développements, surtout en 2021 car bonjour la lourdeur !!
Voilà, c’est tout pour moi aujourd’hui, bonne nuit !
Je ne sais jamais si je suis moins exigeant que toi ou plus con, parce que j’ai pas ressenti de lourdeur dans free guy moi…
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Les deux probablement :’)
Il faudrait qu’on en reparle au téléphone ou plus précisément – ou que je le regarde à nouveau ou même que je relise mon article ahah
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Houlaaaaaa, d’ici là j’aurais oublié et faudra que je le revois aussi ^^
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Tu m’étonnes, déjà là, j’avais oublié de quoi on parlait !
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Mdrrrr ça me ressemble tellement ^^
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Et oui…
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