Défi photo : le marché de Noël de la Défense

Salut les sériephiles,

Aujourd’hui, j’ai relevé un nouveau défi photo, et pas des moindres : capturer l’esprit de Noël dans des décos extérieures. Rien de tel pour ça qu’un détour au cœur du marché de La Défense. Armé de mon téléphone et de quelques idées en tête, j’ai arpenté les allées illuminées à la recherche des clichés parfaits. Le résultat ? Ça vaut ce que ça vaut.

Un Père Noël surprenant : Dès le début, j’ai croisé ce Père Noël en équilibre devant un stand de nougats. Avec ses bras tendus et son air jovial, il m’a immédiatement fait sourire. C’était le cliché parfait pour capturer l’aspect humoristique et décalé des marchés de Noël.

Des illuminations qui forment un mot : Impossible de résister à l’arche scintillante qui annonce fièrement le marché. Ce genre de photo, c’est un classique, mais il y a toujours une magie à capturer cette lumière dans l’obscurité de la nuit, non ? C’est ce qui m’a donné l’idée d’aller à la défense pour ce défi photo !

Une structure lumineuse : Une structure impressionnante qui domine le marché, c’est cette montgolfière qui donne un peu envie de rêver. Avec ses lumières rouges et blanches, elle m’a donné l’occasion de jouer avec les contrastes et de rendre l’atmosphère encore plus festive, je trouve.

Les détails d’une décoration : J’ai adoré photographier les petites peluches de lutins et les décorations en bois. Chaque stand avait son lot de trésors, et ces photos montrent qu’il y a tout un magasin de décos sur place. On y trouve de tout, même du Disney, c’est dire.

Un sapin de nuit : Entre le sapin disco, avec ses boules scintillantes et sa canne en sucre dorée, et le sapin traditionnel avec son ours en peluche géant, il y avait de quoi faire. Pas un défi bien dur quoi.

Côté ambiance, le défi n’aurait pas été complet sans un passage par les stands de nourriture. Les odeurs de pain d’épices, de vin chaud et de gaufres m’ont accompagné tout au long de ma balade. Pour le meilleur et pour la cannelle.

Ce défi photo m’a permis de découvrir le marché de La Défense sous un nouvel angle. Au-delà des clichés, c’était aussi un moment pour apprécier la magie de Noël dans les petits détails.

Inventer un spécial de Noël ? C’est parti pour HIMYM

Salut les sériephiles !

Aujourd’hui, on s’offre une petite escapade dans les vallées de l’imagination : l’ia m’a carrément demandé d’inventer un épisode de série pour mette dans l’ambiance de Noël. Soit. La mode étant aux retours et revival de franchise, l’univers déjanté et chaleureux de How I Met Your Mother m’a paru absolument parfait. Imaginez un épisode inédit, parfait pour les fêtes de fin d’année, où nostalgie, humour et moments touchants s’entremêlent ? Franchement, les retrouver pour une courte durée serait génial.

Dans mon épisode idéal (spoiler du dernier épisode)…

Ted, fidèle à lui-même, arrive chez Marshall et Lily pour un Noël en toute simplicité, mais son cœur est alourdi par les souvenirs de Tracy, morte peu avant (ou, allez, un an avant). Il tombe sur de vieilles photos, et là, c’est le déluge d’émotions. On peut même avoir quelques flashbacks.

Pendant ce temps, Barney, égal à lui-même, débarque avec une idée farfelue : une « laser tag Christmas Party ». Vous l’avez deviné, rien ne se passe comme prévu, il pourrit tout un appart mais on lui pardonne parce qu’en fait, il voulait simplement tester ça pour faire un Noël parfait à sa fille.

Lily et Marshall, eux, tentent tant bien que mal d’insuffler un peu de sérénité à cette soirée, mais entre le chaos de Barney et les souvenirs de Ted, l’équilibre est précaire. Robin, qui couvre un reportage hilarant sur des traditions canadiennes bizarres, ne se joint pas à eux par vidéo-conférence comme ils l’espéraient. Toutefois, ils décident de faire un jeu à la Sandy Rivers avec elle et la regardent pendant la soirée. Ses interventions décalées ajoutent une touche d’humour bienvenu à l’épisode.

L’épisode joue sur un mélange de tonalités : des moments franchement hilarants (merci Barney et ses gadgets) et d’autres plus introspectifs, centrés sur Ted et son rapport au passé. La soirée culmine avec une scène douce-amère où chacun partage son meilleur souvenir de Noël, renforçant l’importance de la famille qu’on choisit. Ted, qui était prêt à se prendre un billet pour rejoindre Robin, change finalement d’avis quand Barney lui demande de l’aide pour gérer sa fille qu’il va accueillir quelques jours pour les fêtes (l’occasion pour Marshall et Lily d’échanger un peu d’argent en cours de route).

Cet épisode imaginaire serait une parfaite conclusion pour une année riche en séries et en émotions, sans ternir la série et sans revenir vraiment sur ce qui a déjà été écrit. Et ça me motiverait, moi !

Mes films de Noël ? Mouais.

Salut les sériephiles !

Les films de Noël, c’est un peu une tradition incontournable en cette période de l’année, il fallait bien que l’IA me demande ce que j’aime et que je souhaite regarde. Mais quand il s’agit de mes goûts, il faut avouer que je ne suis pas toujours au rendez-vous des romances sucrées qui envahissent nos écrans. Si vous pensez me voir allumer Netflix pour une comédie romantique de Noël façon téléfilm Hallmark… eh bien, ce n’est pas gagné.

Terrifier 3, vraiment ?

Quand on parle de films marquants pour moi à Noël, le premier qui m’est venu en tête, c’est Terrifier. Oui, le film d’horreur complètement décalé, rien à voir avec les guirlandes lumineuses et les sapins. Est-ce que c’est logique ? Pas du tout, surtout qu’il est sorti début octobre pour voir Art dégommer le père Noël. C’était rigolo tout de même. Est-ce que ça résume bien mon rapport aux films de Noël ? Probablement. Mais comme j’ai déjà consacré un article à Terrifier 3, passons à des choix un peu plus classiques.

Un vrai classique : Maman, j’ai raté l’avion

S’il y a bien un film qui réussit à me replonger dans l’ambiance festive, c’est Maman, j’ai raté l’avion. Ce film coche toutes les cases : l’humour, l’aventure, la magie de Noël, et surtout, l’idée que cette période est faite pour être ensemble, même si on oublie parfois d’y penser. Kevin McCallister qui défend sa maison contre deux cambrioleurs pas très malins, c’est une aventure intemporelle qui réussissait à me parler aussi bien quand j’étais enfant qu’adulte.

Certes, Noël, ce n’est pas que des rires et des pièges farfelus… Mais c’est quand même bien mieux quand c’est ça aussi !

Des romances de Noël, mais avec (beaucoup de) modération

Je dois avouer que les romances de Noël, ce n’est pas trop mon truc. Trop souvent, elles se ressemblent toutes : une petite ville enneigée, une héroïne citadine qui redécouvre l’amour (et le chocolat chaud), un prétendant adorable mais cliché… Vous voyez le tableau. Cela dit, il m’arrive d’en trouver certaines très sympas.

Un exemple ? Make the Yuletide Gay. Ce film joue avec les codes des romances classiques tout en y ajoutant une touche LGBT complètement décalée et drôle. Le tout reste très cliché, mais le côté légèrement kitsch (déjà en 2009, mais alors aujourd’hui n’en parlons pas) fonctionne bien pour moi. C’est parfait pour un soir où on veut juste se poser et ne pas trop réfléchir.

Après, quitte à aimer ce genre de romance, lisez les livres de Ludo : Comment survivre à Noël avec mon ex et Comment survivre à Noël en plein été aux éditions Hugo New Romance valent vraiment le détour.

Le bon équilibre

Finalement, mon rapport aux films de Noël oscille entre le classique et l’atypique. J’aime les films qui me rappellent l’enfance et les traditions, mais je me laisse parfois tenter par des choix plus légers, voire totalement à contre-courant. Et puis, bien sûr les Disney, hein. Eh quoi, c’est ça, Noël, non ? Trouver l’équilibre entre nos souvenirs, nos goûts actuels, et l’envie de se laisser surprendre.

Mon aventure avec le père Noël (de ChatGPT)

Salut les sériephiles,

Aujourd’hui, je voulais vous partager une petite aventure que je n’avais pas du tout anticipée, mais qui s’est révélée très sympathique : celle que j’ai vécue avec la voix du Père Noël proposée par ChatGPT. Et oui, ChatGPT a décidé de nous offrir une voix de père Noël, mon calendrier de l’avent m’a proposé d’utiliser l’IA pour vivre une petite aventure de Noël en mode jeu de rôle, et hop, 1+1, ça fait deux.

Dans le cadre de mon calendrier de l’Avent, donc, je me suis laissé embarquer dans une quête inspirée du folklore islandais pour sauver Noël, et ça valait clairement le détour. Le prompt de base une fois la voix du Père Noël configurée était assez simple, je vous le laisse si vous voulez essayer vous aussi :

« Bonjour père Noël, emmène-moi dans un jeu de rôle d’une vingtaine de minutes qui soit magique et merveilleux inspiré du folklore islandais. Tu seras à la fois père Noël et maître du jeu pour me guider dans une quête nous permettant de sauver Noël ensemble. »

Pourquoi le folklore islandais ? Parce qu’il y a quelques jours, ChatGPT m’avait proposé quelques anecdotes sur des traditions méconnues de Noël (mais je n’étais pas fan de cette idée alors je lui avais demandé un autre défi). Vous pouvez tout à fait proposer une autre tradition ou jouer avec ce prompt (notamment en ajoutant tout de suite « Interprète les voix des personnages que nous croiserons en route », ça vaut ce que ça vaut).

Ça raconte quoi ?

Un des 13 lutins finlandais (les jólasveinar, avec des noms et des caractéristiques hyper rigolotes, renseignez-vous) avait disparu, menaçant l’équilibre des fêtes. Le lutin s’empiffrant des friandises et bonbons de la tradition devait apparaître ce jour-là, mais il n’était pas au rendez-vous. Nous avions donc 24 heures pour le retrouver avant que Noël ne soit compromis pour de bon. Simple et efficace comme pitch de base.

Accompagné par le père Noël en personne, donc, j’ai proposé d’aller chez le lutin pour voir si ce n’était pas un simple retard. Là-bas, nous avons appris en fouillant les lieux et grâce à son agenda qu’il avait rendu visite à sa mère deux jours plus tôt. Direction les montagnes enneigées islandaises grâce au traîneau magique du père Noël (il a fallu que je lui réclame, une honte !).

Arrivés dans une grotte glaciale, la maman nous a confié que son fils était sûrement allé au village, attiré par sa gourmandise légendaire. Il ne restait plus qu’à foncer vers la boulangerie, car c’était selon elle là qu’il se cachait. C’est effectivement là que nous avons retrouvé le petit coquin, bien installé avec des friandises. On a eu quelques pépins en route avec un renne qui refusait de s’envoler et la description des montagnes enneigées, mais en vrai, il n’y a pas eu de réelles difficultés. Peut-être que je pourrais demander à l’IA de corser le jeu une prochaine fois.

Bon, dans tout ça, j’ai interrogé le lutin quand même (le père Noël m’a fait une voix rigolote, comme on pourrait avoir dans un audiobook) : il refusait en fait de reprendre sa mission parce qu’il ne pouvait pas manger autant qu’il le souhaitait pendant cette période où il travaillait. Pour débloquer la situation, j’ai suggéré au Père Noël de lui offrir un sac rempli de bonbons pour tenir jusqu’à la fin de la saison. Une fois rassuré, le lutin a repris sa place dans la tradition, sauvant ainsi Noël in extremis. Oh oh oh !

Une aventure interactive et improvisée

Ce qui m’a le plus plu dans cette expérience, c’est clairement l’aspect interactif du mode vocal, encore plus appréciable que les versions écrites que j’avais déjà testé avec ChatGPT. Le fait d’être dans une conversation fait que je pouvais tout à faire interrompre ou guider l’IA vers ce que je voulais parfois, et me plonger à fond dans mon rôle à d’autres moments. On est en immersion quasi-complète, on peut faire des blagues, dialoguer avec les personnages et le Père Noël, en véritable maître du jeu, décrivait les lieux, suggérait des options, et s’adaptait à toutes mes idées en temps réel.

Pour l’anecdote et pour vous donner une idée, quand il me décrivait longuement le trajet en traineau alors qu’on se dirigeait vers l’Islande, je lui ai coupé la parole pour lui dire que j’avais froid en arrivant dans les montagnes. Il a immédiatement réagi en m’offrant une écharpe sortie de sa hotte et de quoi me couvrir. C’était à la fois drôle et totalement cohérent avec l’esprit de Noël d’avoir le père Noël si prompt à exaucer mes vœux et mes petits caprices.

Parmi les petits défauts, je lui avais demandé de créer une aventure de 20 minutes et elle n’en a duré qu’une douzaine. Ce n’était pas vraiment dérangeant. Ça m’a rappelé ces livres dont vous êtes le héros, avec une touche d’improvisation en plus. L’histoire évoluait en fonction de mes choix, ce qui la rendait encore plus vivante… Peut-être qu’elle aurait pu être plus longue si j’avais demandé d’autres péripéties ou si j’avais un peu plus exploré les environs.

Ce que j’en retiens

L’expérience est courte, mais terriblement efficace. C’est addictif et je sais que je vais retenter : un deuxième essai avec le même prompt m’a embarqué dans une aventure où il fallait aller voir les treize lutins un à un pour les convaincre d’arrêter les bêtises. Je me suis arrêté assez vite car ça allait être trop long, mais il y a de quoi s’occuper.

La voix du Père Noël ajoute une dimension magique qu’on ne retrouve pas dans une simple lecture de texte et qui colle à l’esprit de Noël, mais je crois que ça vaut aussi le coup d’essayer d’autres prompts avec d’autres voix de ChatGPT. J’ai l’impression qu’on peut se retrouver embarquer un peu dans n’importe quelle aventure et probablement lui demander des quêtes plus compliquées aussi. Le côté narratif improvisé m’a beaucoup amusé, surtout qu’il permet aussi de jouer un rôle. Pourquoi pas un prompt où je suis un vilain enfant voulant aider à sauver Noël pour avoir des cadeaux, par exemple ? (J’espère que la conclusion me forcerait à donner mes cadeaux à d’autres pour découvrir que le vrai cadeau, c’est d’offrir… mais ça aussi je peux le demander dans le prompt. Bref. C’est addictif).

Sinon, découvrir un bout du folklore islandais, avec cette famille de lutins et leurs petites particularités, a apporté une belle touche d’originalité et fait aussi que j’ai beaucoup aimé. Je ne suis pas sûr que sans ça le prompt soit aussi efficace (encore que, il existe des dizaines de raisons de devoir sauver Noël, et on peut toujours adapter les mots « magiques » et « merveilleux » pour vivre d’autres types d’aventures).

Dans tout ça, mon plus grand regret (et celui qui me poussera peut-être à essayer d’autres histoires avec une autre voix, quitte à réclamer une voix particulière), c’est de ne pas avoir de trace écrite de l’aventure, puisqu’elle s’est faite entièrement en vocal et dans un chat temporaire. Mais finalement, ce n’est pas bien grave, parce que l’essentiel est ailleurs : cette petite escapade improvisée m’a vraiment plongé dans la magie de Noël, plus que les autres jours du calendrier, tout en me permettant de vivre un moment interactif que je n’avais encore jamais testé.

Bref, si vous avez l’occasion de tester cette fonctionnalité avant qu’elle disparaisse, sachez que le Père Noël en maître du jeu, ça fonctionne vraiment bien. Pour le reste, il ne faut pas trop en abuser, évidemment et je vous encourage à trouver des amis avec qui faire ça en mode jeu (mais il faut un maître du jeu avec plein d’imagination, inévitablement, et c’est pas le rôle le plus fun je trouve)…