Salut les sériephiles,
Aujourd’hui, je vais vous parler de mon rewatch de la saison 1 de Desperate Housewives. Oui, oui, ça fait des années que l’envie me taraudait et j’ai fini par craquer, enfin, et retourner à Wisteria Lane. C’était il y a une vingtaine de jours, et depuis, j’ai revu toute la saison 1. Oups ! Je ne ferai peut-être pas un article aussi long pour chaque saison, mais j’ai plein, plein de choses à dire de cette saison et nous sommes un dimanche. J’ai le temps d’écrire, vous aurez peut-être le temps de tout lire…
Pourquoi ai-je décidé de replonger dans cette série culte, me demanderez-vous ?
Eh bien, d’abord, il y a la nostalgie. J’ai ressenti un énorme manque de cet humour subtil et de ces actrices talentueuses qui ont su nous faire rire aux éclats ces derniers temps. En cette année 2023, où de nombreuses séries peinent à nous surprendre et où les gifs de la série d’ABC continuent de pulluler sur Twitter, j’avais besoin d’un bon fou rire et Desperate Housewives semblait être le remède parfait. De plus, je voulais voir si la série conservait sa fraîcheur et son charme si particuliers.
C’est quoi ? | Est-ce toujours top ? | Une série de son temps ? | En bref

Desperate Housewives, c’est quoi ?
Pour les plus jeunes d’entre vous – et encore, même vous, je suis sûr que vous en avez déjà entendu parler !, revenons un peu sur cette série, avec sa présentation de base. Créée par Marc Cherry, Desperate Housewives (Femmes au foyer désespérées, donc) a fait son entrée fracassante – vraiment fracassante – sur nos écrans en 2004 et a rapidement conquis le cœur des téléspectateurs du monde entier. De mon côté, je l’ai découverte sur M6, qui matraquait à juste titre de publicités présentant chacune de ces femmes au foyer. Susan qui finit nue dans son jardin ou la cultissime réplique « Rex pleure après l’éjaculation » faisaient littéralement partie de mon quotidien : on revoyait la scène deux ou trois fois par jour pour peu qu’on regardait un peu la chaîne française. Et à l’époque, je regardais vraiment beaucoup la télé !
Située dans une banlieue chic de la ville de Fairview, Desperate Housewives met en scène un groupe de femmes au foyer en apparence parfaites, mais dont les vies cachent de sombres secrets. La série mélange habilement drame, comédie et mystère, offrant une vision étonnamment captivante de la vie en banlieue. D’un côté, on en découvre plus sur la vie secrète des mères au foyer une fois les enfants à l’école, de l’autre, les répliques cinglantes fusent et les portraits très caricaturaux dressés dans le premier épisode se développent pour donner vie à des personnages haut en couleur – et clairement inoubliables, si ce n’est indémodable, même près de vingt ans après.
La saison 1 nous a introduits dans l’univers en apparence idyllique de Wisteria Lane. C’est robotique de la présenter encore après tant d’années, j’ai l’impression qu’on connaît tous par cœur le synopsis !
Derrière les belles maisons et les sourires charmeurs, se cachent des drames familiaux, des intrigues amoureuses et des scandales impensables. Les personnages principaux – principales devrais-je dire – que sont Susan, Bree, Lynette et Gabrielle apportent chacune leur propre dynamique, leur touche d’humour (parfois – souvent ? – malgré elles) et leur lot de secrets. Le plus gros secret de tous est toutefois celui de Mary-Alice, dont le suicide ouvre le premier épisode de la série. C’est alors Mary-Alice qui se charge de la narration des épisodes tout au long de cette saison, puis de la série, apportant une ironie certaine à ce que nous voyons et un ton incisif qui participe grandement au succès de la série. Mary-Alice aime ses voisines, mais elle n’oublie jamais d’être cassante et brutalement sincère quand elle en parle.
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Alors, est-ce que la saison 1 est toujours au top ?
C’était ma grande question avant de me lancer dans le revisionnage ; et à vrai dire, ma grande peur aussi. Le succès de la série, on le doit aussi à la fraîcheur qu’elle proposait dans un ensemble de séries assez fades et répétitives. Finalement, la série a débarqué dans une période où il n’y avait plus tellement de séries se démarquant sur les networks. Comme aujourd’hui ? Probablement. La rentrée cette année-là avait été exceptionnelle ; espérons qu’on sorte bientôt des reboots et revivals bientôt pour avoir de nouveaux des originalités comme ça prochainement !
En attendant, j’oublie de répondre à ma question : alors, la saison 1 apporte-t-elle de la fraicheur ? Eh bien, la réponse est un grand oui ! Le générique en lui-même est déjà une bouffée d’air frais qui nous replonge avec nostalgie dans leur univers.
Les quatre femmes au foyer sont toujours aussi attachantes et font toujours autant rire vingt ans plus tard.
Vraiment, c’est un fou rire quasiment à chaque épisode, et jamais pour la même raison. Parfois, je me souviens de ce qui arrive, parfois pas du tout, mais dans tous les cas, ça me fait rire. Bon, d’accord, c’est souvent Susan et Bree qui me font le plus hurler de rire, mais elles ont toutes la capacité de me faire rire…
Les personnages secondaires ne sont pas en reste et parviennent même à voler la vedette à nos quatre héroïnes principales. Il y a bien sûr les maris de chacune d’elles (enfin, pas Susan, pas immédiatement, même si Karl est un excellent personnage), puisque les relations conjugales sont immanquablement source de nombreux rebondissements et nous réservent quelques surprises… Mais il y en a d’autres !
Comment ne pas mentionner Edie Britt ? Son attitude provocatrice et son franc-parler la rendent inoubliable, mais je la redécouvre encore avec ce revisionnage. Elle apporte une dose de piquant à l’intrigue et a souvent les meilleures répliques. Elle permet aussi de relativiser mon amour de Susan, parce que je ne me rendais pas compte à quel point Susan la malmenait souvent.
On pense souvent à Edie comme une garce avec ses voisines, mais franchement, Susan lui reproche plein de choses qu’elle n’hésite pas à faire elle-même. Il y a eu des épisodes où je me suis surpris à détester certains traits de Susan, et je ne me souviens pas l’avoir pensé il y a vingt ans. À l’inverse, Edie est un personnage qui a toujours les meilleures répliques et qui s’avère vite attachant. Les scénaristes ne la développent pas autant que d’autres et un épisode la laisse même complètement sans conclusion alors que Paul souhaite coucher avec elle. On ne saura jamais comment ça s’est terminé, on voulait nous faire rire avec ça, mais… Purée, j’adore Edie et ce n’est pas dingue de la laisser de côté comme ça. Je sais pourtant que ce sera toujours le cas par la suite. Je profite de chacune de ses scènes en attendant !
Un autre personnage clé de la saison 1 est évidemment Mike Delfino, présenté dès le départ comme l’énigmatique plombier avec un secret à percer, lui aussi. Son charme mystérieux et son passé trouble suscitent l’intérêt, son arrivée dans le quartier apporte une touche de romance et de suspense, et son histoire avec Susan devient un élément central de la saison – puis de la série. Le couple est en permanence à souffler le chaud et le froid.
Si ces deux premiers personnages sont finalement appelés à rester pour plusieurs saisons, d’autres figures restent inoubliables malgré un bref passage dans la saison. Comment parler de la saison 1 sans mentionner Marta Huber, la voisine qui fourre son nez partout et au karma bien mérité, ou Mama Solis, sur qui le sort s’acharne un peu trop, la pauvre.
Ces personnages secondaires, et j’en oublie (la mère de Susan – Sophie – ou Felicia par exemple), contribuent à la richesse de l’univers de Desperate Housewives en apportant des dynamiques uniques et des rebondissements inattendus, au sein de courts arcs narratifs. Leurs interactions avec les personnages principaux et leurs propres histoires personnelles ajoutent des couches supplémentaires à l’intrigue, contribuant ainsi à maintenir notre intérêt tout au long de la saison. Leurs interactions avec nos héroïnes principales offrent des moments drôles, émouvants et parfois même surprenants. Parfois, c’est même les trois à la fois, comme lorsque Marta trouve le corps de Mary-Alice, par exemple.
Oui, vraiment, on ne s’ennuie jamais à Wisteria Lane, grâce à la construction de la saison en petits arcs pour chaque personnage, avec des mystères qui reviennent régulièrement.
Et puis, côté fraîcheur, difficile de ne pas évoquer aussi le casting ! Je ne me souvenais pas du tout qu’ils passaient autant de temps dénudés, tous, les uns après les autres – et certains plus que d’autres, c’est clair. La nudité est un truc qui m’a beaucoup surpris en début de saison : les séries d’ABC sont devenues vachement plus prudes avec le temps, et encore plus depuis le Covid je crois. Pourtant, je continue de penser que ça fait l’amour tout le temps dans Station 19, mais vraiment, en comparaison de Fairview, Seattle est super prude !
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Une série de son temps ?
Foutez-moi Carlos en taule !
Cependant, en replongeant dans cette série, j’ai réalisé que Desperate Housewives reflète la société américaine du début des années 2000. Et l’air de rien, en vingt ans, il s’est passé beaucoup de choses dans notre société – et puis, j’ai aussi un regard plus adulte désormais, j’imagine que ça joue. Après un début (plusieurs épisodes tout de même) qui paraît hyper moderne, des thématiques surgissent et bon, la série serait considérée comme problématique à bien des égards si elle avait été diffusée pour la première fois aujourd’hui : l’égalité homme-femme, la violence conjugale, la charge mentale…
Des thématiques dont on entend beaucoup parler aujourd’hui, mais qui étaient inexistantes à l’époque. Aujourd’hui, Carlos apparaît non pas détestable comme je le pensais à l’époque, mais tout simplement comme un violeur quand il trafique les pilules de Gabrielle. La série semble souvent mettre ça sur le même plan que les tromperies de Gaby, alors que c’est abject. Et ça passait en 2004… aujourd’hui, ce ne serait pas tolérable sur une grande chaîne, pas sans bien des précautions et sans en faire le grand méchant de la saison. Bien sûr, il l’est à certains égards, mais trop souvent la série nous fait sympathiser avec lui alors qu’il n’y a rien de sympathique.
Même si Gabrielle explique en fin de saison que leur couple fonctionne car ils sont tous les deux hyper égocentriques, les mettre sur le même plan comme ça, ça ne passe plus du tout aujourd’hui.
L’enfer est pavé de bonnes intentions
Je pense aussi à Tom, évidemment. C’est la bonne pâte qui me semblait toujours être le moins pire car à l’écoute de Lynette… Il faut que je revois mon brouillon. Je m’en doutais car je l’ai souvent lu sur Twitter, mais pfiou !
Effectivement, il est bien plus odieux que dans mon souvenir : il reproche à Lynette de ne pas prendre soin d’elle, il se met toujours lui en avant et reproche tout et n’importe quoi à sa femme qui, pourtant, fait beaucoup pour lui et se plie en quatre. J’avais totalement oublié l’intrigue des pilules pour l’hyperactivité par exemple… En fait, Lynette était le personnage que j’aimais le moins à l’époque, car je n’étais qu’un adolescent pas bien intéressé par sa vie qui correspond finalement le plus à ce qu’on a en tête quand on nous parle de mère au foyer. Elle est débordée par ses quatre gamins et son mari qui travaille en la négligeant…
En regardant la saison avec un regard d’adulte, j’ai réalisé que mon opinion sur certains personnages avait changé. Lynette est incroyable, tout simplement, et sa vision du couple, de la charge mentale, de ses relations avec ses voisins (et la déjà incroyable McCluskey) ou même du désir (la nourrice !) sont bien plus bouleversantes.
Mais ça, je suis sûr qu’elle l’était déjà à l’époque, c’est juste moi qui passait à côté.
Une bonne image de l’homosexualité ?
À l’inverse, le traitement de l’homosexualité dans la saison 1 de Desperate Housewives est intéressant à aborder et pas que de mon point de vue. À l’époque, la série était applaudie pour sa volonté de représenter ouvertement des personnages gays, ce qui était encore rare à la télévision. Cependant, en regardant la saison avec un regard contemporain… c’est fou de se dire qu’on a pu applaudir ça ! Ce qui pouvait sembler progressiste est remis en question aujourd’hui.
En fait, l’homosexualité est toujours vu par le prisme de l’humour dans la série. Le pire doit être le personnage de Carlos, encore une fois. Ce « primate », « macho » et « violent » d’après sa femme se retrouve par deux reprises à taper des hommes gays, par accident : il est sûr qu’il s’agit de l’amant de sa femme. Dans les deux cas, on fait du coming out un moment comique au détriment du personnage.
Il en est même pour la découverte de l’homosexualité de Justin – même si c’est à mon sens le plus réussi car il montre le questionnement de l’adolescent – puis d’Andrew, surpris dans la piscine par Susan. C’est toujours drôle à voir, mais ça fait mal de se dire que c’était ça l’image du coming out à l’époque. Et puis, la réplique de Bree quand elle le découvre – « je t’aimerais même si tu étais un assassin ». C’est extrêmement violent ; plus encore que ça ne l’était à l’époque. Le pire, c’est que ça fait encore rire et qu’on voit bien que c’était une manière décomplexée d’en parler pour l’époque, donc une manière positive d’aborder enfin ce sujet… Aujourd’hui, ce serait juste de très mauvais goût.
Ah, les Etats-Unis et les armes à feu…
Dans le même genre, mais en presque plus problématique d’ailleurs, la saison 1 de Desperate Housewives nous montre également certaines scènes qui soulèvent des questions sur les perceptions et les attitudes américaines envers les armes à feu et la peine de mort. Le personnage de Bree Van de Kamp, interprété brillamment par Marcia Cross, est connu pour son amour des armes à feu et son obsession pour le contrôle. Bree est présentée comme une femme perfectionniste et obsédée par l’idée de sécurité. Son attrait pour les armes à feu est utilisé pour illustrer cette obsession et le besoin de contrôler son environnement.
Cependant, cela soulève des interrogations sur la fascination américaine pour les armes à feu et la place qu’elles occupent dans la société : on a toute une scène où elle apprend à Georges comment tirer, après avoir reçu avec joie un flingue en cadeau. Certes, les scénaristes nuancent aussitôt avec un accident et l’aversion plus tardive de Susan pour les flingues (lorsque Mike emménage enfin chez elle en fin de saison), mais ces scènes semblent sorties d’un autre monde, vraiment.
En fin de saison, Felicia Tilman, la sœur de Marta Huber bien étrange elle aussi, exprime également ouvertement son soutien à la peine de mort et regrette que cette option ne soit pas disponible à Fairview comme elle l’est dans l’Utah. Cette scène met en lumière la diversité des opinions sur la peine de mort aux États-Unis et la manière dont elle est perçue dans différentes régions du pays… mais continue de paraître hallucinante en 2023. Je me souviens que je détestais Felicia à l’époque, et je pense vraiment que ce genre de position explique pourquoi.
Cependant, ces scènes invitaient à réfléchir aux débats qui existaient déjà aux États-Unis, et qui continuent d’exister aujourd’hui. Elles soulignent également la volonté de la série de capturer et de refléter certaines réalités sociales et culturelles de l’époque. Il est important de noter que Desperate Housewives utilise souvent ces thèmes de manière exagérée et satirique pour l’effet comique et dramatique. Ces scènes fournissent une critique sociale légèrement caricaturale, mais elles suscitent néanmoins des réflexions sur les attitudes et les perceptions autour de ces questions de société aux États-Unis.
Définitivement de son temps… mais aussi de son pays conservateur !
Et puis, ces intrigues ont le mérite d’exister contrairement à l’intrigue de la grossesse de Gabrielle qui fait l’impasse complète sur la possibilité de l’avortement.
C’était dérangeant à l’époque, je me souviens que ça me posait problème, ça l’est encore plus en 2023 : Gabrielle, concrètement violée par Carlos qui trafique sa pilule, ne veut absolument pas d’un enfant, ne sait pas qui est le père et… ne considère jamais l’avortement. Le mot n’est même pas prononcé (il le sera brièvement en saison 2, mais pas concernant Gaby) et, pire que tout, Susan nuance le désespoir de Gaby apprenant sa grossesse en lui expliquant à quel point c’est merveilleux d’être parent. Franchement, ça fait grincer des dents.
Malgré ces aspects qui peuvent sembler dépassés et ces derniers paragraphes qui feraient presque penser le contraire, la saison 1 de Desperate Housewives reste un vrai plaisir à regarder. La distance est nécessaire dans le revisionnage, on sent bien que la série commence à vieillir, mais je suis persuadé que déjà à l’époque, certaines choses étaient dérangeantes. Il ne faut pas oublier non plus que ça a vocation à être dérangeant pour faire bouger les mentalités – surtout concernant Andrew.
Autrement dit, c’est une série de son temps, mais ce n’est pas pour autant qu’elle a fait son temps !
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En conclusion
J’ai l’impression que je pourrais continuer pendant encore des heures et des heures à en parler… C’est impossible de faire le tour de vingt-trois épisodes en un seul article. Il faut toutefois passer à être chose, hein, et je ne me voyais pas me lancer non plus dans mes critiques habituelles parce que eh, le but, c’était de regarder sans écrire d’articles justement ! Ceci étant dit, passons à la saison 2, histoire qu’Edie puisse ravoir une maison (mais où vit-elle pendant la deuxième moitié de la saison ?) et Susan une cuisine (vraiment, ces histoires d’incendie, c’est trop vite oublié) !
La fin de la saison 1 est particulièrement efficace, avec des moments forts, notamment la performance brillante de Marcia Cross lors de la mort de Rex (ce « I understand and I forgive you » est encore plus inoubliable que la lettre adressée à Mary-Alice en début de saison) et le personnage toujours aussi glaçant de Zach (oh, quand il s’énerve contre Susan dans le dernier épisode ! Je me souviens que j’avais vraiment eu peur pour elle lors de mon premier visionnage). Je le détestais à l’époque, je détestais Paul aussi… Et aujourd’hui, je suis un peu plus nuancé : ce sont d’excellents acteurs, aux personnages plein de nuances. Paul est surtout victime de Mary-Alice et de ses choix durant toute sa vie tout de même… mais il reste un personnage trop sombre et menaçant pour que je l’aime tout à fait.
Maintenant que j’ai terminé la saison 1, j’ai hâte de me plonger dans la suite de la série et de redécouvrir les mystères qui entourent les Applewhite. Je m’en souviens beaucoup plus que ce délire autour de Deirdre et Dana (bordel, ce n’est toujours pas un prénom masculin dans ma tête !). En fait, j’ai déjà commencé la saison 2 tout à l’heure.
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Bref, si vous cherchez une série divertissante, drôle et remplie de mystère, ne cherchez plus, Desperate Housewives est toujours là pour vous !
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C’est fou le nombre de fois que j’ai j’ai les deux premières saisons sans avoir vu la fin de la série. Un rewatch de Desperate Housewives est très tentant !
C’est vrai qu’on ne peut qu’à oir un regard différent de la série en la regardant aujourd’hui. Le traitement de certains sujets parait aujourd’hui délicat mais ils avaient le mérite d’exister.
C’est fou aussi comment on peut changer d’avis sur certains personnages (Édith, Tom, Carlos,…).
Tu me donnes vraiment envie de m’y remettre !
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Oh, j’avais adoré la fin, je me demande si elle conserve la même fraicheur… mais chaque chose en son temps, nous sommes mi-saison 2 ici ehe !
Oui, le changement d’avis sur les persos, c’est presque terrifiant. Genre, vraiment, je me dis qu’il faudra que j’enchaîne avec un rewatch de LOST, mais j’ai peur de vraiment détester des persos que j’adorais et inversement !
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Ton article m’a décidé à faire un rewatch moi aussi, j’ai presque fini la saison 1 😄
Je suis contente de re-découvrir Eddie, je suis même triste qu’elle ne soit pas plus mise en avant.
J’avais essayé de revoir Lost mais je m’étais arrêtée en plein milieu de la saison 1 sans savoir pourquoi. Mais j’avais le même ressenti que la première fois avec les personnages.
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Oh c’est chouette de lire ce commentaire ! Je pense faire bientôt un article sur la saison 2, il nous reste trois ou quatre épisodes, je commence à y songer sérieusement pour le week-end prochain ehe 🙂 Edie est géniale et bien trop sous-exploitée, c’est trop dommage.
LOST est moins marrante à bingewatcher, ça demande plus d’investissement aussi…
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