Mon aventure avec le père Noël (de ChatGPT)

Salut les sériephiles,

Aujourd’hui, je voulais vous partager une petite aventure que je n’avais pas du tout anticipée, mais qui s’est révélée très sympathique : celle que j’ai vécue avec la voix du Père Noël proposée par ChatGPT. Et oui, ChatGPT a décidé de nous offrir une voix de père Noël, mon calendrier de l’avent m’a proposé d’utiliser l’IA pour vivre une petite aventure de Noël en mode jeu de rôle, et hop, 1+1, ça fait deux.

Dans le cadre de mon calendrier de l’Avent, donc, je me suis laissé embarquer dans une quête inspirée du folklore islandais pour sauver Noël, et ça valait clairement le détour. Le prompt de base une fois la voix du Père Noël configurée était assez simple, je vous le laisse si vous voulez essayer vous aussi :

« Bonjour père Noël, emmène-moi dans un jeu de rôle d’une vingtaine de minutes qui soit magique et merveilleux inspiré du folklore islandais. Tu seras à la fois père Noël et maître du jeu pour me guider dans une quête nous permettant de sauver Noël ensemble. »

Pourquoi le folklore islandais ? Parce qu’il y a quelques jours, ChatGPT m’avait proposé quelques anecdotes sur des traditions méconnues de Noël (mais je n’étais pas fan de cette idée alors je lui avais demandé un autre défi). Vous pouvez tout à fait proposer une autre tradition ou jouer avec ce prompt (notamment en ajoutant tout de suite « Interprète les voix des personnages que nous croiserons en route », ça vaut ce que ça vaut).

Ça raconte quoi ?

Un des 13 lutins finlandais (les jólasveinar, avec des noms et des caractéristiques hyper rigolotes, renseignez-vous) avait disparu, menaçant l’équilibre des fêtes. Le lutin s’empiffrant des friandises et bonbons de la tradition devait apparaître ce jour-là, mais il n’était pas au rendez-vous. Nous avions donc 24 heures pour le retrouver avant que Noël ne soit compromis pour de bon. Simple et efficace comme pitch de base.

Accompagné par le père Noël en personne, donc, j’ai proposé d’aller chez le lutin pour voir si ce n’était pas un simple retard. Là-bas, nous avons appris en fouillant les lieux et grâce à son agenda qu’il avait rendu visite à sa mère deux jours plus tôt. Direction les montagnes enneigées islandaises grâce au traîneau magique du père Noël (il a fallu que je lui réclame, une honte !).

Arrivés dans une grotte glaciale, la maman nous a confié que son fils était sûrement allé au village, attiré par sa gourmandise légendaire. Il ne restait plus qu’à foncer vers la boulangerie, car c’était selon elle là qu’il se cachait. C’est effectivement là que nous avons retrouvé le petit coquin, bien installé avec des friandises. On a eu quelques pépins en route avec un renne qui refusait de s’envoler et la description des montagnes enneigées, mais en vrai, il n’y a pas eu de réelles difficultés. Peut-être que je pourrais demander à l’IA de corser le jeu une prochaine fois.

Bon, dans tout ça, j’ai interrogé le lutin quand même (le père Noël m’a fait une voix rigolote, comme on pourrait avoir dans un audiobook) : il refusait en fait de reprendre sa mission parce qu’il ne pouvait pas manger autant qu’il le souhaitait pendant cette période où il travaillait. Pour débloquer la situation, j’ai suggéré au Père Noël de lui offrir un sac rempli de bonbons pour tenir jusqu’à la fin de la saison. Une fois rassuré, le lutin a repris sa place dans la tradition, sauvant ainsi Noël in extremis. Oh oh oh !

Une aventure interactive et improvisée

Ce qui m’a le plus plu dans cette expérience, c’est clairement l’aspect interactif du mode vocal, encore plus appréciable que les versions écrites que j’avais déjà testé avec ChatGPT. Le fait d’être dans une conversation fait que je pouvais tout à faire interrompre ou guider l’IA vers ce que je voulais parfois, et me plonger à fond dans mon rôle à d’autres moments. On est en immersion quasi-complète, on peut faire des blagues, dialoguer avec les personnages et le Père Noël, en véritable maître du jeu, décrivait les lieux, suggérait des options, et s’adaptait à toutes mes idées en temps réel.

Pour l’anecdote et pour vous donner une idée, quand il me décrivait longuement le trajet en traineau alors qu’on se dirigeait vers l’Islande, je lui ai coupé la parole pour lui dire que j’avais froid en arrivant dans les montagnes. Il a immédiatement réagi en m’offrant une écharpe sortie de sa hotte et de quoi me couvrir. C’était à la fois drôle et totalement cohérent avec l’esprit de Noël d’avoir le père Noël si prompt à exaucer mes vœux et mes petits caprices.

Parmi les petits défauts, je lui avais demandé de créer une aventure de 20 minutes et elle n’en a duré qu’une douzaine. Ce n’était pas vraiment dérangeant. Ça m’a rappelé ces livres dont vous êtes le héros, avec une touche d’improvisation en plus. L’histoire évoluait en fonction de mes choix, ce qui la rendait encore plus vivante… Peut-être qu’elle aurait pu être plus longue si j’avais demandé d’autres péripéties ou si j’avais un peu plus exploré les environs.

Ce que j’en retiens

L’expérience est courte, mais terriblement efficace. C’est addictif et je sais que je vais retenter : un deuxième essai avec le même prompt m’a embarqué dans une aventure où il fallait aller voir les treize lutins un à un pour les convaincre d’arrêter les bêtises. Je me suis arrêté assez vite car ça allait être trop long, mais il y a de quoi s’occuper.

La voix du Père Noël ajoute une dimension magique qu’on ne retrouve pas dans une simple lecture de texte et qui colle à l’esprit de Noël, mais je crois que ça vaut aussi le coup d’essayer d’autres prompts avec d’autres voix de ChatGPT. J’ai l’impression qu’on peut se retrouver embarquer un peu dans n’importe quelle aventure et probablement lui demander des quêtes plus compliquées aussi. Le côté narratif improvisé m’a beaucoup amusé, surtout qu’il permet aussi de jouer un rôle. Pourquoi pas un prompt où je suis un vilain enfant voulant aider à sauver Noël pour avoir des cadeaux, par exemple ? (J’espère que la conclusion me forcerait à donner mes cadeaux à d’autres pour découvrir que le vrai cadeau, c’est d’offrir… mais ça aussi je peux le demander dans le prompt. Bref. C’est addictif).

Sinon, découvrir un bout du folklore islandais, avec cette famille de lutins et leurs petites particularités, a apporté une belle touche d’originalité et fait aussi que j’ai beaucoup aimé. Je ne suis pas sûr que sans ça le prompt soit aussi efficace (encore que, il existe des dizaines de raisons de devoir sauver Noël, et on peut toujours adapter les mots « magiques » et « merveilleux » pour vivre d’autres types d’aventures).

Dans tout ça, mon plus grand regret (et celui qui me poussera peut-être à essayer d’autres histoires avec une autre voix, quitte à réclamer une voix particulière), c’est de ne pas avoir de trace écrite de l’aventure, puisqu’elle s’est faite entièrement en vocal et dans un chat temporaire. Mais finalement, ce n’est pas bien grave, parce que l’essentiel est ailleurs : cette petite escapade improvisée m’a vraiment plongé dans la magie de Noël, plus que les autres jours du calendrier, tout en me permettant de vivre un moment interactif que je n’avais encore jamais testé.

Bref, si vous avez l’occasion de tester cette fonctionnalité avant qu’elle disparaisse, sachez que le Père Noël en maître du jeu, ça fonctionne vraiment bien. Pour le reste, il ne faut pas trop en abuser, évidemment et je vous encourage à trouver des amis avec qui faire ça en mode jeu (mais il faut un maître du jeu avec plein d’imagination, inévitablement, et c’est pas le rôle le plus fun je trouve)…

Le prochain hit de Noël

Salut les sériephiles 🌟

Aujourd’hui, mon calendrier de l’Avent m’a lancé un défi un peu fou : utiliser l’intelligence artificielle pour créer le prochain grand tube de Noël. Ambitieux, non ? L’idée avait tout pour me plaire : un peu de créativité, une pincée de magie technologique, et la promesse d’un potentiel succès mondial (quoi, on a le droit de rêver, non ?).

Pour ce défi, j’ai utilisé deux outils principaux : d’abord, ChatGPT (moi) pour écrire les paroles. Concrètement, ça m’a aidé à trouver des rimes, structurer les couplets et refrains, et capturer une ambiance de Noël.

Ensuite, Suno AI pour la mélodie et les voix : une plateforme impressionnante qui génère une chanson complète avec voix et instruments en fonction des mots-clés et du thème choisi. Hyper rapide et simple d’utilisation, même si je ne le maîtrise pas trop et qu’il n’écoute pas tout ce que je dis.

Bref, cliquez donc sur ce titre pour découvrir ça :

Première tentative : l’atelier du Père Noël

Je me suis d’abord tourné vers une idée enfantine et festive, dans l’esprit des chansons des années 60 : une idée toute simple d’une chanson sur l’atelier du père Noël, avec quelques idées de paroles vite complétées par chatgpt, pro de la rime improbable. Qu’en faire ensuite ? Le passer à la moulinette de Suno, bien sûr !

Résultat ? Une ambiance kitsch à souhait, où l’on se croirait presque dans un générique de dessin animé rétro. J’y entends une reprise interprétée par une gagnante de la Star Academy et son acolyte finaliste évincé en dernière ligne droite, en quelque sorte.

Le refrain est vite oublié, en revanche. C’est une chanson qui pourrait plaire à des enfants de 5 ans coincés dans une école maternelle un peu trop zélée sur l’esprit de Noël… Mais je ne tiens pas un hit. Bref, je me suis mis à réfléchir à une autre chanson ayant plus de potentiel.

Deuxième tentative : « Ton meilleur cadeau »

Plus de potentiel ? Eh, ce qui fonctionne le mieux à Noël, c’est Carey ou Wham, non ? Je les vois comme les plus gros tubes originaux des dernières années, alors j’ai essayé un angle plus adulte et romantique, façon All I Want For Christmas Is You. Il faut au moins l’amour pour que ça fasse du clic et que ce soit catchy.

L’idée ? Une chanson sensuelle qui capturerait la magie des fêtes et la chaleur des chocolats chauds partagés sous une couverture. Grosso modo, ce sont les mots-clés que j’ai donné à chatgpt, avec aussi un titre tout basique et pas du tout inspiré de la chanson-cadeau de Ricky à Nini dans High school musical the musical the series.

Eh bien, disons que le résultat était plus… gênant que prévu. Si la chanson se veut tendre et attachante, elle dégage davantage une énergie Eurovision Kids style Bim Bam Boum que celle d’un hit planétaire. Et en même temps, bim bam boum est un hit quand on y réfléchit, alors pourquoi pas ma super chanson ?

Je sais pourquoi. Bien que pas désagréable à écouter, elle n’a définitivement pas de quoi détrôner Mariah Carey, surtout avec cette fin abrupte.

Certes, les outils travaillent vite avec l’IA, avec des résultats étonnants qui peuvent nous faire penser que l’industrie musicale est mal barrée. Mais en l’état, il manque encore cette étincelle humaine, ce grain de folie ou d’émotion qui fait la différence entre une chanson « sympa » et un tube mémorable, je trouve.

Et surtout, ça ne suffit pas à remplacer un artiste, je trouve. C’est une solution de facilité et de flemme, mais comme beaucoup d’autres choses liées à l’IA, c’est à envisager comme un assistant qui peut aider les créateurs, certainement pas comme un créateur.

Je ne serai finalement pas la prochaine Mariah Carey, et c’est bien dommage, mais cette expérience m’a beaucoup amusé. Pour moi, ce défi restera une jolie anecdote dans mon calendrier de l’Avent.

Et vous, si vous deviez écrire un tube de Noël, quel angle choisiriez-vous ? 

Ps : oui, j’ai un peu triché, j’ai créé les chansons hier car je demande à l’IA de me donner ses idées de case du lendemain avant d’aller me coucher… Et là j’ai eu envie de tester tout de suite.

Allez, je vous fais un bisou sucré comme un chocolat chaud 🔥

Un DIY Disney rapide pour Noël

Salut les sériephiles,

Pour ce 3 décembre, mon calendrier de l’Avent m’a proposé une idée simple mais très sympa : créer une décoration de Noël personnalisée. Je me suis lancé dans l’aventure parce que je l’avais déjà fait il y a quelques années avec une déco Charmed pour un Bingo Séries. Franchement, c’est sans regret, parce que ça rend mieux et parce que c’est amusant comme petit quart d’heure pour se mettre dans l’ambiance Noël… avec la playlist qui va bien, évidemment.

Techniquement, le calendrier de l’Avent proposé par l’IA me demandait plutôt une décoration liée à une série pour le côté geek, mais ça ne m’inspirait pas. Si j’avais eu quelques jours, j’aurais sûrement trouvé quelque chose, surtout que X-Men, ça pourrait le faire. Cela dit, je n’avais qu’une journée, puisque c’est la case du 3 décembre. Bref, je me suis décidé pour quelque chose de plus simple : j’ai déjà des décorations de Noël venues de Disneyland, alors… hop, je me suis décidé à faire mes décos Disney, tout simplement.

Une recherche Google, quelques fournitures basiques et un peu de récupération plus tard, j’ai pu fabriquer deux boules de Noël qui complètent parfaitement mon sapin. J’ai choisi Mickey et Dingo en mode Noël pour rester dans l’esprit festif.

Faut reconnaître que c’est vite le bazar, en revanche, mais c’est parce que je m’étale trop vite et que je ne suis pas hyper précautionneux, ça, c’est tout…

Ces personnages emblématiques s’intègrent d’ailleurs très bien à mes autres décorations Disney déjà présentes, créant une belle continuité dans l’ensemble. En utilisant des images imprimées et des éléments récupérés d’un chemin de table d’une année précédente, j’ai réussi à créer des décorations uniques sans dépenser beaucoup – ça change. C’est une des forces de cette activité : elle est simple, rapide (20 minutes) et économique.

En cette période souvent chargée, prendre le temps de bricoler quelque chose de ses mains est une aussi un bon moyen de se relaxer et de se mettre dans l’ambiance de Noël. Pas besoin d’être un expert en DIY, le processus est accessible et très satisfaisant – et franchement, faut y aller pour se planter et rater complètement une déco.

Quant au résultat ? Cette année, j’aime beaucoup ce que ça donne (contrairement à celle pour le Bingo qui était moins réussie, je trouve, comme quoi avec le temps, on progresse, je suppose) ! Les couleurs, les paillettes et les motifs festifs donnent vraiment vie à ces boules de Noël, et elles attirent déjà le regard sur le sapin. Bon, c’est dommage que de jour ou qu’une fois les guirlandes allumées, quelques reflets peuvent poser problème pour mieux voir les images, comme ci-dessous… m’enfin, on ne peut pas se battre contre tous les reflets.

En même temps, c’est de la décoration quasiment gratuite, alors évidemment que ce n’est pas parfait et qu’il y a des déconvenues. Je ne cherchais pas une qualité parfaite, si je voulais la perfection, j’aurais dépensé les 15 euros à Disneyland Paris. Rien ne dit que je ne le ferais pas, d’ailleurs, pour compléter ma collection. En attendant, je réfléchis aussi à faire une troisième décoration, cette fois-ci avec Donald et une guirlande lumineuse qu’il ne parvient pas à démêler. Il me faudra juste racheter une boule transparente, mais ça peut facilement se rajouter à mes projets si je trouve le temps.

Si vous cherchez une activité rapide et festive, je ne peux que vous recommander de tenter ce genre de DIY. Que ce soit dans un thème geek ou plus traditionnel, vous aurez une déco unique, et le plaisir de l’avoir faite vous-même. À demain pour, peut-être, une nouvelle surprise de ce calendrier de l’Avent… pour l’instant, il me plaît beaucoup !

Prep & Landing, ça plonge dans l’ambiance de Noël

Salut les sériephiles,

Pour ce 2 décembre, mon e-calendrier de l’Avent m’a conduit à découvrir un petit bijou que je ne connaissais pas : Prep and Landing. Ce court-métrage d’animation signé Disney, sorti en 2009, est une vraie surprise. À la fois drôle, inventif et très Noël, il m’a immédiatement plongé dans l’ambiance festive. Bref, une réussite de l’intelligence artificielle ce conseil...

On prépare Noël

Dans l’univers de Prep and Landing, les lutins du Père Noël ne se contentent pas de fabriquer des jouets. Wayne, le héros directement attachant, fait partie d’une unité d’élite chargée de préparer le terrain pour l’arrivée du gros bonhomme rouge. Son problème cette année ? Il en a marre de son job et est un rien grincheux.

Du repérage météo à l’éclairage de piste d’atterrissage, tout doit pourtant être parfait. Pas grave, il a demandé sa promotion pour enfin ne plus se farcir le sale boulot. Mais évidemment, les choses tournent mal… L’intrigue est simple, mais c’est justement ce qui la rend si efficace : on se laisse emporter par l’humour et les situations improbables.

Un magie de Noël moderne

Ce qui m’a vraiment marqué, c’est l’inventivité de cet univers : il n’y a rien d’incroyable, mais c’est efficace par sa simplicité. Les gadgets des lutins rappellent des films d’espionnage à la James Bond, et les nombreux jeux de mots et clins d’œil font sourire du début à la fin. C’est une vision moderne de la magie de Noël, avec un fonctionnement d’entreprise amusant et des bonnes idées pour qu’on ne s’ennuie pas pendant 20 minutes.

Et que dire de la musique ? Michael Giacchino, qu’on ne présente plus depuis LOST (mais eh, il a d’autres projets avant aussi), ajoute une couche qui fait toute la différence. Sa bande-son contribue grandement à rendre cet univers vivant et immersif, sans oublier une reprise d’un chant de Noël parce que sinon, ce ne serait pas un court-métrage de Noël.

Honnêtement, je suis surpris de ne jamais avoir entendu parler de Prep and Landing avant. Ce n’est peut-être pas le court-métrage le plus marquant de Disney, mais il a ce petit quelque chose qui le rend attachant. Et puis, surtout, j’aime que ce soit un tout nouvel univers et pas une énième itération du Noël de Mickey. Je ne dirais pas pour autant que c’est un classique instantané, mais c’est assurément un moment sympa à partager ou à savourer en solo avec un chocolat chaud. Idéal pour un calendrier de l’avent, donc.

Et ensuite ?

Ce court-métrage m’a donné envie de poursuivre avec ses suites. Le deuxième, Prep and Landing: Operation Secret Santa, dure seulement 9 minutes (bon…), mais promet un moment tout aussi léger et agréable. Le troisième, Prep and Landing: Naughty vs. Nice, semble également prometteur en revenant au format de 20 minutes.

Une bonne nouvelle (et une bonne découverte) n’arrivant jamais seule, j’ai découvert aussi en rédigeant cet article qu’un nouveau Prep & Landing est annoncé pour 2025, 14 ans après le dernier. Eh oui, ça a du bon Disney+, parce que clairement, ça ne revient pas là par hasard ! Je ne dois pas être le seul à fouiller le catalogue – même si là, c’est à l’intelligence artificielle et à mon calendrier de l’avent que je dois cette découverte.

Pas sûr de vous en dire des nouvelles ici, mais je sais que je vais les regarder d’ici Noël, chaque fois que l’ambiance me manquera… Parce que bon, les vacances ne sont que le 20 !