NCIS – S20E22 – Black Sky – 16/20

C’est assurément un bon épisode de NCIS, mais ça s’arrête là : je m’attendais à beaucoup mieux pour une fin de saison qui semblait avoir de quoi faire pour être au moins un peu surprenante. À la place, nous nous retrouvons avec un épisode tout ce qu’il y a plus classique pour la série et qui manquait un peu de surprise. Et non, intégrer une nouvelle intrigue à la dernière minute dans les deux derniers épisodes de la saison, je n’appelle pas ça faire une surprise ; c’est plutôt malhabile.

Spoilers

Nick est envoyé sous couverture dans la cellule en face de celle de Yuri, avec espoir de démanteler la prochaine attaque terroriste.

La prison

Je crois qu’ils ont vraiment voulu essayer de créer la surprise avec la révélation de l’arrivée de Nick en prison, mais ça a été un échec remarquable car ça se devine bien vite : entre le cliffhanger de l’épisode précédent et la reprise de celui-ci dans la cellule de Yuri, il ne fallait pas être un génie pour s’y attendre. Dans l’ensemble, et comme chaque fois qu’il est sous couverture, cela permet au personnage de Nick d’être absolument génial. Au passage, l’acteur démontre également son talent. Tout va bien, donc.

L’intrigue au sein même de la prison n’est pas spécialement marquante. On y voit Nick protéger sa couverture comme il peut, ce qui n’est pas évident quand à l’extérieur, l’information circule déjà qu’il y a un rat dans la prison – ce que le NCIS apprend via Evelyn, qui gagne ainsi son statut de protection des civils.

Dans l’ensemble, il y a des passages sympathiques tout de même, notamment quand Nick improvise l’existence d’une deuxième école à Miami pour parfaire sa couverture, forçant Jimmy et Kasie à créer un site internet au plus vite. Les gags autour de ça sont plutôt bons, même si ça n’a rien de crédible de nous faire croire qu’ils fabriquent un site en quelques heures ; qu’il est mis en ligne et directement correctement référencé ou que Yuri se laisse avoir par un trompe-l’œil si grossier. Genre, le type arrive à se faire livrer une tablette en prison, mais il n’a personne qui bosse à l’extérieur de la prison pour checker les infos ?

Allez, ce n’est pas grave, on passe un bon moment malgré tout dans cette prison… Jusqu’à ce que Yuri se fasse tuer et que Nick soit exfiltré dans la confusion qui suit. Pourquoi Yuri se fait-il tuer ? Eh bien, on découvre en fin d’épisode que c’est parce que son père n’a plus besoin de lui, tout simplement. Ouep, le père de Yuri tirait pas mal de ficelles, même si nous n’avons pas encore eu l’occasion de le voir vraiment.

Black Sky

Si je dis qu’on n’a pas encore eu l’occasion de le voir, c’est parce que quelque chose me dit qu’il pourrait occuper une partie de la saison 21. En effet, en enquêtant sur l’attentat à venir, le NCIS comprend – toujours à l’aide de Ducky qui fait donc sa dernière apparition dans la série dans cet épisode, bordel, quel acteur, quelle carrière, jusqu’au bout sur les écrans, c’est beau – qu’ils ont affaire à ce que la sécurité intérieure appelle une attaque « Black Sky ». Grosso modo : le père de Yuri veut provoquer une panne électrique généralisée.

C’est donc dans le chaos que le russe veut voir la ville être plongée. Malheureusement pour notre équipe, il y parvient en cours de route, avec tout Washington qui perd son pouvoir. C’est pour moi là que la série passe totalement à côté du potentiel de l’épisode. Il aurait mieux valu proposer une intrigue qui se concentre sur les conséquences d’une telle panne généralisée et de la panique que ça cause plutôt que de voir les agents se débrouiller pour tourner en voiture sur des routes désertes…

Franchement, je ne sais pas, mais ça m’a paru manquer de crédibilité. Rien que pour quitter le bâtiment du NCIS en plein centre-ville, je me demande bien comment ils ont fait. C’est vite n’importe quoi en cas de panne de courant sur les feux de signalisation, non ?

On ne nous en parle pas un instant. Au lieu de se concentrer sur les conséquences de l’attaque, l’épisode se concentre uniquement sur les causes. Celles-ci sont plutôt bien trouvées : c’est de nouveau à cause d’Evelyn que tout se produit. Il est révélé qu’elle a le même père que Yuri et que c’est elle qui a manigancé depuis sa maison de protection des témoins pour griller tout le circuit électrique.

La confrontation finale est rapide : elle n’a même pas le temps de parler à McGee, par exemple, alors que ça aurait pu être sympa. Finalement, son homme de main se fait tuer rapidement (faut dire qu’il paraît plutôt idiot à ne pas se mettre à couvert – ça semble bien plus réaliste comme fusillade) et Evelyn est arrêtée. Elle pose son arme avant de demander qu’on lui tire dessus… Pas si maligne !

Pas un happy end

Tout paraît bien qui finit bien… Mais là encore, c’est un peu bâclé : dans le fond, Evelyn est en prison et trouvera bien un moyen d’en sortir après avoir manipulé tout le monde pendant si longtemps ; son père est encore en vie et trouvera bien un moyen pour poser problème au NCIS. En attendant que ça arrive, la série part dans une nouvelle direction avec un cliffhanger qui nous révèle que le passé de Nick est trouble.

Cela fait quelques épisodes qu’on nous parle d’une tension dans son passé ; qu’on le voit touché par les sacrifices de l’immigration et qu’il passe tout son temps au téléphone avec sa famille. Dans cet épisode, nous voyons qu’en prison, Nick croise un visage qu’il n’aime pas. En fin d’épisode, il s’introduit dans la maison d’un homme qui le reconnaît.

Avant ça, Nick passe un coup de fil à sa sœur et lui dit que l’homme continue de faire ce qu’il a toujours fait – ça sent des violences quand Nick était enfant, et pourquoi pas des violences sexuelles sur sa sœur. Il faudra attendre la reprise de la série dans un bon mois pour en savoir plus (je vois cet épisode seulement le 4 janvier, oui, j’ai pris tout mon temps par rapport à sa diffusion en mai). En attendant, le cliffhanger nous apprend que Nick lui rend visite pour obtenir ce qu’il a toujours voulu : voir l’homme être tué.

En bref

Pour moi, cette saison 20 prouve que NCIS reste un divertissement agréable et fiable, même si je ne m’attends pas toujours à être profondément impressionné par chaque épisode. Le mot qui revient le plus de critique en critique est, après tout, « prévisible ». Oui, la série est prévisible, mais dans le fond, on sait pourquoi on vient et on a ce que l’on veut. Si elle a su se renouveler au départ de Gibbs, son ADN reste le même.

C’est plutôt bien et ça explique sa longévité, mais en revanche, j’aimerais parfois des évolutions plus franches pour les personnages ou, au moins, quelques surprises dans les formules utilisées concernant les enquêtes. Je trouve que cette saison a peiné à proposer des intrigues marquantes. Je l’ai visionnée sur près d’un an et demi, de septembre à janvier, et on ne peut pas dire qu’elle m’a manqué plus que ça quand je passais un mois ou deux sans voir d’épisode.

Je suis content de l’avoir terminé et je regarderai probablement la saison prochaine, ne serait-ce que pour son épisode 2 qui rendra hommage à l’acteur interprétant Ducky, mais… ouais, elle manque à nouveau de quelque chose, d’un peu de piment et de saveur.

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NCIS – S20E21 – Kompromat – 14/20

Cet épisode prépare le terrain pour la fin de saison, et je pense qu’on peut même dire que c’était un double épisode de fin. C’est vraiment sympathique de voir les agents enquêter sur une intrigue un peu moins prévisible que d’habitude et de voir que les scénaristes ont voulu relier plusieurs épisodes dans une même histoire. Cela fonctionnait plutôt bien, malgré un cliffhanger peu exceptionnel.

Spoilers

Un corps ensanglanté est retrouvé dans les archives de la Navy.

Parker

Si l’enquête est un peu moins prévisible que d’habitude, il n’en reste pas moins que la formule de la série est largement connue après vingt saisons. Ainsi, quand on nous dit que Parker préfère une soirée à bien manger plutôt que de rester travailler, on sait déjà qu’il sera lié à l’enquête en cours. Quand le NCIS se retrouve à devoir retrouver la sénatrice qui avait fait du rentre-dedans à Parker quelques épisodes plus tôt, c’est donc sans surprise qu’on apprend que les deux sont en couples depuis un moment.

Cela permet à Constance, c’est le nom de la sénatrice, d’avoir un rôle-clé tout au long de l’enquête de l’épisode. Elle est celle qui se fait voler son identité pour permettre à un certain Yuri d’accéder aux archives top secrètes. Yuri est vite retrouvé par le NCIS alors qu’il sort de la douche après avoir tué sa cible (la scène était marrante en vrai). On sent qu’il n’en a rien à foutre d’être arrêté.

Ce n’est pas le cas de Constance qui n’apprécie que moyennement d’être interrogée une première fois par l’équipe de Parker, puis qui se retrouve à devoir être interrogée par Parker lui-même quand de nouveaux soupçons planent sur elle. Constance vient en aide à l’équipe jusqu’au bout de l’épisode tout de même, les aidant aussi à arrêter un membre du gouvernement un peu convaincu – ou très con à vouloir échanger des prisonniers russes en vie avec des prisonniers américains morts.

Malgré tout, elle prend la décision de rompre avec Parker, lui expliquant au passage qu’il est encore amoureux de son ex. Allons bon. On ne peut qu’être d’accord, mais comment l’a-t-elle su ? On ne saura pas, car toute leur relation est restée secrète.

Jess et Jimmy

À l’inverse, la relation entre Jimmy et Jess n’a plus rien d’un secret pour personne. Il n’empêche que quand, en début d’épisode, il lui balance qu’il l’aime devant tous les collègues alors que ce n’était pas prévu, ça jette un certain froid – et pas mal d’humour. Bien sûr, toute l’équipe en fait alors des caisses pour connaître les vrais sentiments de Jess et sa réponse à cette déclaration inattendue.

Cela permet à l’équipe de reprendre ses habitudes du côté du harcèlement, tout en nous montrant à quel point, en 20 ans, la série a fait du progrès sur la question. Finalement, Jess décide d’annoncer face à tous ses collègues qu’elle est amoureuse de Jimmy aussi, après une journée loin de lui dans un hélicoptère. Et ils ont beau tous trouvé ça mignon, moi, ça me terrifie toujours la pression qu’ils doivent se mettre au passage avec tous les collègues qui s’impliquent autant dans la relation. Mais bon.

Tout est lié ?

Une bonne surprise de cette enquête est qu’elle permet aussi de relier plusieurs épisodes entre eux. Ainsi, le NCIS fait de nouveau face à Evelyn, l’espionne russe qui bossait avec Delilah. J’ai beaucoup aimé ce que ça apportait à l’épisode, surtout que je l’aime bien et que ça permettait à McGee d’avoir quelque chose à apporter à l’épisode. De manière globale, tous les personnages étaient mis en avant durant l’épisode. Ce n’est pas toujours le cas et je trouve ça bien que ça le soit parfois. Ainsi, on a Torres qui réconforte Jimmy, et ça permet aussi de développer un peu la psychologie de Torres. On découvre donc qu’il parle plus qu’avant à sa mère, parce qu’ils ont eu pas mal d’enquête sur l’immigration cette année… et que ça lui a rappelé les sacrifices de sa mère. Sympa.

Eh, l’épisode prend même la peine de nous faire intervenir Ducky et ses innombrables contacts russes. C’est toujours un plaisir de voir le personnage débarquer, et ça l’est encore plus car l’acteur est mort il y a quelques mois. Il faut bien reconnaître qu’on le voit plus faible que d’habitude dans cet épisode.

Après, c’est aussi parce qu’il est là pour annoncer qu’on est face à une nouvelle menace terroriste avec une arme qui pourrait détruire le pays là… Un cliffhanger habituel, quoi.

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NCIS Hawai’i – S02E20 – Nightwatch Two – 16/20

Cet épisode m’a agréablement surpris. Malgré une structure narrative que je n’apprécie généralement pas (et que je critique à chaque fois avant de me rendre compte que si, elle fonctionne), l’épisode a su maintenir une tension constante et offrir un déroulé fluide. Cependant, certains éléments étaient un peu trop prévisibles… Comme toujours dans les séries policières, quoi.

Spoilers

Lucy reçoit un appel au NCIS d’un homme qui assure avoir commis un meurtre.

Kate/Lucy

Vraiment, la prémisse de l’épisode est amusante, avec cette intention évidente de copier ce que fait 9-1-1 lorsque Lucy reçoit le coup de fil de Joe, un homme qui lui dit avoir tué quelqu’un. Cette introduction énigmatique pose immédiatement le ton de l’épisode, amenant Lucy à se questionner sur la crédibilité et la santé mentale de l’appelant. Bien sûr, Kate est aussi avec elle, comme toujours : elle rendait visite à Lucy pendant qu’elle travaillait de nuit à monter la garde.

J’aime bien ce concept où les agents montent la garde, je trouve que ça fonctionne plutôt pas mal. Le développement du couple Kate/Lucy était en revanche moins fou, avec cette intention de Lucy de fêter leur anniversaire sur la mauvaise date. Si au moins elle avait pu offrir un vrai cadeau à Kate, ça m’aurait fait un point de Bingo, mais un cupcake dans le frigo ? Humph.

Ceci étant dit, toute leur dynamique dans l’épisode était vraiment sympathique. On les voyait s’inquiéter l’une pour l’autre et j’ai adoré voir Kate s’énerver pour la protéger. Je trouve que c’est un couple vraiment bien écrit. L’intervention de Kate en fin d’épisode pour sauver Lucy au dernier moment ? Eh, c’est un peu gros, mais ce n’est pas grave.

En plus, avant d’en arriver là, l’épisode met bien en avant le personnage de Lucy, et ça c’est toujours un plus. Lucy se retrouve donc à devoir gérer Joe pendant tout l’épisode, alors que Joe souffre de lésions cérébrales et n’arrive pas à aligner ses idées. Le plus surprenant dans cette intrigue sur Lucy n’est certainement pas sa compassion pour lui, mais clairement son temps de réaction en fin d’épisode sur le bateau. C’était étrange : elle est bien meilleure que ça en combat d’habitude.

Kai

J’ai beaucoup moins aimé le développement de Kai durant l’épisode pour le coup. On nous rappelle de nulle part qu’il est un ancien soldat, et ça pourquoi pas… Mais son statut de vétéran est utilisé dans tout l’épisode pour nous dire qu’il est tout seul – et déprimé de rater sa soirée off avec Jesse, plus occupé par son fils qu’autre chose – et qu’il a besoin de parler.

Cela sortait vraiment de nulle part et se faisait sans subtilité – que ce soit avec Jesse, avec Lucy au téléphone ou même avec tout le reste de l’équipe, en fait. Bien sûr, en fin d’épisode, Kai peut aller voir un groupe de paroles et se soigner, donc en plus, je ne suis même pas certain que ça servira à autre chose dans les épisodes suivants. Bref, c’est typique de la franchise, on nous pond des trucs pour un épisode et puis s’en va. Et vivement que ça s’en aille.

Dans le même genre, j’ai préféré le développement d’Ernie par exemple : au moins c’était raccord avec le personnage de le voir angoissé d’être seul en fin d’épisode. C’était même bien amené.

Jane

Une dernière sous-intrigue voit aussi Jane se rendre à un rencard à l’aveugle. Cela sortait de nulle part aussi. Pourquoi s’imposerait-elle ça dans une vie si chargée et alors qu’elle a plus ou moins Joe ? C’était étrange de la voir avec un dentiste qui l’ennuie. Au départ, je me disais que le but était juste de fournir une occupation pour elle pendant la soirée off… mais finalement, non, puisque le dentiste revient en fin d’épisode.

Il aura au moins permis une bonne blague sur les plaques, là. C’est déjà ça.

NCIS – S20E20 – Second Opinion – 12/20

Si j’étais content de retrouver les personnages après une longue pause, il faut tout de même que je souligne à quel point l’épisode était prévisible et peu original dans sa construction. Cela n’empêche pas de l’apprécier pour ce qu’il est, mais c’est un peu embêtant : ça m’inquiète sur mon envie de continuer à regarder la série pour la saison 21. Je vais déjà terminer celle-ci pour me faire une idée, cela dit.

Spoilers

L’équipe enquête sur le meurtre de la fille d’une sénatrice.

L’avantage de la série, c’est que même si ça fait plusieurs mois que j’ai arrêté de regarder, je ne suis absolument pas perdu au moment de reprendre. Il y a peu de choses à retenir dans les dynamiques de toute manière ; et encore, ils en ont ajouté un peu avec Jimmy et Jess.

L’enquête

Le NCIS se retrouve à devoir enquêter sur le corps d’une inconnue qu’ils identifient rapidement comme la fille d’une sénatrice. Au moment où ils annoncent son décès, on voit tout de suite qui est le coupable, parce qu’il est dans la pièce, en étant juste assez discret pour qu’on le repère et qu’on sache immédiatement qu’il est le coupable. Evidemment, l’épisode garde le suspense un peu plus longtemps que ça et nous propose toute une intrigue basique.

On accuse un type qui est fan de ses vidéos sur CurioCam, le OnlyFan fictif de la série sur lequel elle vend du ASMR, on nous monte le truc en épingle pendant un moment et finalement le coupable est un collègue de sa mère qui ne voulait pas griller sa carrière politique. Absolument aucune surprise de ce côté.

Jimmy

L’intérêt de l’épisode révèle alors dans la présence de Miles Bauer, un médecin légiste envoyé par la sénatrice pour surveiller ce que fait Jimmy parce qu’elle veut le meilleur pour la résolution du meurtre de sa fille. Grosso modo, on nous propose donc un aperçu du passé de Jimmy. C’est toujours particulier quand la série fait ça, mais elle le fait de plus en plus souvent : elle prend un élément du passé d’un personnage dont on n’a jamais entendu parler mais qui change toute la perspective que l’on peut avoir sur lui.

Miles est donc l’ancien coloc d’université de Jimmy qui lui a volé un job en ne prévenant pas que son entretien était décalé. Depuis, il est devenu un célèbre médecin à succès avec émission de télévision et catchphrase. Cela frustre encore Jimmy aujourd’hui, au point qu’il en parle à Kasie d’abord, puis Jess ensuite quand celle-ci s’inquiète pour lui.

Il faut dire qu’il y a de quoi : Jimmy émet une opinion différente de Miles sur l’heure du crime, qui permet à un suspect d’être relâché juste avant un deuxième meurtre. Jimmy est donc accusé de négligence quand, finalement, il a tout à fait raison. Par contre, c’était prévisible dès le départ. Je trouve ça un peu dingue aussi qu’on nous propose une scène où Kasie fait tomber son portable dans un cadavre sans que personne n’y trouve rien à redire ensuite. Je vois bien que c’était censé apporter de l’humour, mais bon, c’était plutôt lourd, je trouve.

Allez, on va terminer sur une note positive tout de même : Jess s’est retrouvée dans une scène de cœur-à-cœur dans l’ascenseur ! Elle a bloqué l’ascenseur elle-même ! Tout finit par arriver.

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