Salut les sériephiles,
Tout d’abord, laissez-moi vous dire que j’ai la chance inouïe de faire le métier dont j’ai longtemps rêvé : je suis professeur. Ouais, je sais, y a un milliard de critiques à faire suite à cette phrase, mais faut bien avouer que dès tout petit, genre quand j’étais encore en CE1 hein, l’idée avait déjà germé. J’adore apprendre, j’adore transmettre, c’était un peu inévitable que l’enseignement ferait partie de ma vie un jour ou l’autre.
Bien sûr, à l’origine, je ne m’imaginais pas enseignant en collège hein, et j’ai longtemps repoussé l’idée autant que possible parce que « au secours, prof ?! », mais au fil du temps, j’ai trouvé ma place. Et même si j’adorais l’idée d’être au lycée, j’ai fini par trouver mes aises au collège ; j’aime de plus en plus, même si, bien sûr, le job est sans cesse un peu plus piétiné dans les médias et par les politiques successives. Eh, ça n’empêche pas que je suis chanceux.
Bref, pas évident d’écrire l’article du jour. Cela dit, il y a bien quelques métiers qui ont toujours titillé mon imagination. L’un d’entre eux serait celui de journaliste, de préférence dans le domaine des médias, et pourquoi pas critique de séries. Imaginez pouvoir interviewer des acteurs et plonger profondément dans l’univers des séries pour en décrypter chaque détail, hein… Cela ressemble à un rêve pour tout sériephile, n’est-ce pas ? Dingue, c’est juste devenu mon hobby avec ce blog et le podcast, finalement !
Un autre métier dont j’aurais pu rêver est celui de raconter des histoires. Rien ne m’empêche de le faire en réalité, si ce n’est que je suis un peu trop formaté à raconter des histoires au format séries – c’est donc interminable et impossible à publier, même si parfois j’y pense encore. Qui sait, dans le futur peut-être, quand j’aurai de nouveau ma passion des séries !
En fin de compte, le métier de professeur est une véritable vocation pour moi (je DÉTESTE ce mot, mais bon, c’est vrai qu’il faut une vocation pour être dans ce métier… ce qui ne devrait pas justifier de nous traiter n’importe comment pour autant), mais il est toujours amusant. Et qui sait (bis), peut-être que je trouverai un jour le moyen de combiner toutes ces passions dans une carrière encore plus épanouissante ?
Je ne vois pas comment (sinon, j’aurais déjà changé de métier, mais c’est tout mon problème, je suis coincé !).
