Salut les sériephiles,

Je sais que j’accumule de plus en plus de retard dans mes critiques d’épisodes, mais j’essaye de garder la tête hors de l’eau au moins pour les 500 mots… au point de prendre de l’avance dans cet article, oui, oui. À l’origine, je m’étais dit qu’il était logique de parler de Stranger Things demain, mais finalement, je vous proposerais plutôt mon planning du Comic Con.
Par conséquent, c’est dès aujourd’hui que l’on va parler de la saison 2 qui arrive… ou plutôt de la saison 1 dont on a oublié beaucoup trop de choses !

Il faut dire que la diffusion Netflix de la saison 1 date, même si je ne l’ai personnellement vu qu’avec beaucoup de retard. Souvenez-vous, ce n’est que fin décembre dernier que je me suis lancé dans la série, et il faut croire que j’étais bien inspiré avec les guirlandes de Noël. Promis, je vais essayer de sortir les critiques de cette saison plus rapidement et de tout regarder pour Halloween… mais soyons honnêtes, j’ai déjà une vingtaine d’épisodes de retard dans mes épisodes de la semaine et ce n’est pas mon week-end complet dans les allées du Comic Con qui va m’aider.

Qu’à cela ne tienne, souvenons-nous au moins de la première saison, attention aux spoilers pour ceux qui ne l’ont pas vue : elle se déroulait dans la petite ville fictive d’Hawkins, dans l’Indiana et dans les années 80 et suivait les aventures de quatre enfants : Mike Wheeler, Dustin Henderson, Lucas Sinclair et Will Byers. Bon, le dernier est rapidement porté disparu et on retient plutôt Eleven, une jeune enfant s’échappant d’un laboratoire avec des pouvoirs.

Comme c’est encore trop simple, Mike a aussi une grande sœur, Nancy (dont je suis évidemment amoureux, oui). Elle-même a un petit ami, Steve Harrington, et est le sommet d’un inévitable triangle amoureux avec Jonathan Byers (le grand-frère de Will, donc).

C’est encore trop simple ? OK, ajoutons au casting l’excellente Winona Ryder interprétant Joyce Byers, la mère de Will et Jonathan, ainsi que Jim Hopper, le shérif dont la fille est morte.

Voilà, on a fait le tour des persos. L’intrigue de la saison 1 tournait autour de Will : la police étant incompétente pour le retrouver, ce sont ses amis (les enfants, donc) qui s’en sont chargés, quitte à passer dans une dimension parallèle, l’Upside Down, habitée par le Demogorgon, un monstre pas très malin incapable de retrouver Will qui lui a échappé et communique avec sa mère grâce aux guirlandes de Noël.

Rien que ça. Tout le monde n’est pas aussi malin que Will et Barb, la meilleure amie de Nancy, s’est faite tuer par le Demogorgon, elle. Oups. Pour se débarrasser du monstre, les scénaristes ont utilisé le personnage d’Eleven et ses pouvoirs : élevée dans un laboratoire comme sujet test d’un projet américain, elle a développé des pouvoirs télékinésiques impressionnants. C’est grâce à ça qu’elle a permis de découvrir l’Upside Down alors qu’elle devait juste espionner les Russes, mais elle n’a pas trop aimé sa vie de laboratoire.

Elle s’est échappée et s’est fait poursuivre par son « père » d’adoption, le docteur Brenner, qui voulait la récupérer pour exploiter l’Upside Down. Du coup, il y avait deux intrigues en parallèles qui se sont terminées par la mort du Demogorgon, la disparition d’Eleven laissée pour morte et le retour de Will. Et puisqu’il fallait bien des cliffhangers, le shérif est vu laisser des boîtes de nourriture en lisière de la forêt alors que Will crache une limace, comme Ron oui, et est traumatisé par l’Upside Down.

La suite demain, et j’ai hâte, même si je ne sais pas si je commencerai demain ! Allez, et pour le fun :


C’est marrant parce que ton article présente Stranger Things un peu comme une série de série B, qui fait rire car kitsh… alors que jusqu’ici je voulais pas trop la regarder parce que je craignais qu’elle fasse peur (ce qui m’a été confirmé par ailleurs) !
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Je trouve qu’elle maîtrise parfaitement son ton justement, entre kitsch et peur. Pour moi, son succès vient du fait que malgré son côté kitsch elle réussit à instaurer du drame et de la peur. Je ne la vois tout de même pas comme une série d’horreur, mais elle a son ambiance, assurément ! Mon conseil serait de la tester pour voir ce qu’il en est, je ne suis pas un grand froussard et je désarme souvent la peur par le rire, alors… 🙂
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Je me suis carrément rematée la saison 1 cet été quand j’avais un creux dans le planning, juste pour le plaisir! 🙂
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Elle était vraiment chouette et j’ai eu envie de me la relancer en écrivant cet article, j’avoue 😂
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