Evil – S03E06

Épisode 6 – The Demon of Algorithms – 17/20
C’est de manière très insidieuse que cet épisode est extrêmement efficace : l’angoisse qu’il provoque n’est pas tellement celle d’une peur sur le moment, mais plutôt ce genre de peur qui revient hanter les pensées ensuite. Il y parvient en mettant en scène des situations assez quotidiennes l’air de rien et une intrigue bien moins fantastique que ce que la série fait parfois. Cette fois, c’est bien réel, et les surprises le sont tout autant.

Spoilers

Le trio enquête sur une adolescente possédée… qui filme tout pour les réseaux sociaux.

We’re not the problem. Your subject is.

Oula, l’épisode commence par nous mettre immédiatement de bonne humeur et dans l’ambiance avec Candice, une jeune fille possédée qui aurait bien besoin d’un exorcisme. Avant ça, toutefois, il faut encore que Kristen l’évalue psychologiquement. C’est l’occasion pour que Ben remarque que sa possession est filmée par Candice elle-même.

C’est étonnant, parce que les films sont calibrés pour correspondre parfaitement à l’application VidTap, le remplaçant de TikTok d’après Ben. On s’amuse bien, quoi, parce que la gamine en est à manger du verre sur les réseaux sociaux. C’est l’occasion pour Kristen de découvrir toute une trend avec le hashtag #possessed. On s’amuse bien sur les réseaux sociaux. Cela me donne presque envie de faire pareil que Kristen, puis que David et Ben qui cherchent à voir ça eux aussi. Eux, c’est pour le boulot. Après, vu mon boulot, se tenir au courant des dérives des réseaux sociaux, c’est aussi mon taf.

Bon, eux, ça l’est davantage : la recherche leur permet de se rendre compte que Candice a en fait utilisé un son tout fait par un autre pour sa « possession ». J’ai de la peine pour Candice, et Ben aussi. Il n’a aucun mal à lui prouver que la première personne à avoir utilisé ce son est en fait… un magicien. Il utilise ses trucs et astuces pour qu’on le croit possédé, et ça marche, au point où les ados le copient.

Cela force Ben à envisager de faire sa propre vidéo de mise en garde. Il tombe ainsi dans l’addiction à VidTap parce que, bien sûr, sa vidéo pour dénoncer le magicien fait un carton. Le carton n’est pas porteur de bonnes nouvelles : il se fait aussitôt insulter par tout un tas d’influenceurs. Par contre, au milieu des insultes, il reçoit une vidéo qui le touche davantage : celle d’une maman paniquée pour ses enfants, parce que leur chambre est possédée, avec lits qui bougent et draps qui sont retirés brutalement.

C’est intrigant et son utilisation des réseaux sociaux est plus intéressante que celle de Kristen ou David. Eux aussi deviennent accros à VidTap, la première pour voir les conseils de mamans faisant des Margarita, le second pour écouter des prêtres qui doutent de leur vocation et de la difficulté de leur métier. Pas exactement lié au travail donc.

Ben les remet sur le bon chemin en leur présentant la mère de la vidéo pour au moins mener l’enquête comme il se doit. Et c’est plutôt terrifiant, parce qu’on en arrive à voir un gamin mettre son frère dans le sèche-linge, pour le principe – ou selon lui pour le cacher de la chose qui vient les voir la nuit. La mère est sûre que le démon est en ses gamins, le trio interroge les enfants et le petit frère en est à se pisser dessus tellement il est terrifié par la maison.

Ce n’est pas rien tout de même, et ça inquiète Kristen. En plus, Ben commence à mener son enquête et ne comprend vraiment pas comment le lit peut bouger alors que le sol est incliné dans l’autre sens. Gênant pour la rationalité tout ça, effectivement. Et ça empire quand ils passent la nuit en planque à surveiller ce qu’il se passe chez cette mère : alors qu’ils sont devant la maison, ils reçoivent une vidéo VidTap lancée en direct par la mère de famille.

Ils y voient les deux enfants être griffés par une créature invisible… avant qu’il n’arrive exactement la même chose à Mary, la mère, devant eux. Les traces de sang apparaissent sous les yeux de Kristen, et Mary accuse VidTap d’être maléfique. Cela force le trio à se rendre dans les locaux de la boîte et, ça tombe bien, Ben y a justement ses accès. Il connaît l’une des personnes qui bosse pour VidTap et qui nous explique calmement comment fonctionne l’algorithme.

Elle affirme qu’il est impossible que l’application lance un live sans que l’utilisateur ne le demande, et elle finit par donner, à Ben uniquement, des vidéos non éditées du compte de Mary. On comprend alors que c’est elle qui est complètement folle et s’arrange pour truquer la chambre de ses gamins ou pour les blesser à coup de fourche pendant la nuit. WTF ?

Mary est en fait complètement cinglée, et quand elle est confrontée par le trio, elle n’hésite pas non plus à les attaquer à coup de ciseaux. C’est une conclusion charmante… J’en retiens que Ben a une touche avec une scientifique de VidTap, je ne serais pas surpris de la revoir plus tard.

Tout au long de l’épisode, les scénaristes n’oublient pas de nous montrer à quel point l’algorithme de VidTap est terrifiant, à cibler très exactement les intérêts du trio. C’en est terrifiant : Kristen s’arme d’une Margarita pour mieux découvrir que ses filles ont écrit de nouvelles règles au dos des siennes – parce que c’est arrivé à une autre maman.

Ben, lui, est pris dans une spirale infernale pour toujours démontrer les trucs et astuces derrière les vidéos des influenceurs. Cela pourrait être cool comme passe-temps pour lui, mais on voit bien que ça l’énerve.

David ? Il écoute des prêtres se confier sur leurs envies de s’inscrire à Tinder ou de mater du porno, et ça finit par le confronter une nouvelle fois au démon qui lui rend souvent visite : celui qui a l’apparence de Kristen. Ce n’est pas vraiment surprenant que la tentation pour David prenne la forme de Kristen, mais il est plutôt intéressant de constater qu’il fait le choix de discuter avec elle pour la dégager finalement.

Cependant, ce n’est pas lui qui y parvient le mieux. Il dialogue avec le démon, et ce n’est pas une bonne chose : Andrea entend un bruit sourd venant de la chambre de David. Elle entre et le voit être possédé par un démon. Si elle est capable de dégager le démon à coup de Bible, David se réveille et n’apprécie pas de la voir trainer comme ça dans sa chambre, sans son accord.

Bien sûr, le trio prend le temps d’en parler entre eux, surpris par la précision de l’algorithme qui est capable de deviner l’existence des filles de Kristen ou des pensées de David. Ben rappelle à ses collègues que de toute manière, l’algorithme est conçu pour leur faire passer un maximum de temps sur l’application, parce que c’est comme ça que cela leur rapporte de l’argent. En fin d’épisode, Ben et Kristen tournent donc le dos à l’application…

En parallèle de tout ça, il est de nouveau question du harcèlement de Leland envers les filles de Kristen. L’archidiocèse mène une enquête l’innocent totalement de ses visites à Lexis. D’après l’école, il a vu plusieurs enfants et s’est toujours comporté de manière professionnelle… Lexis dit le contraire, mais personne ne l’écoute, évidemment.

Par conséquent, Kristen prend le peu d’action qu’elle peut encore : elle décide de mettre des safe cards dans les sacs de ses filles, en les prévenant de ce qu’il se passe. Les filles réagissent aussi comme elles le peuvent : elles savent très bien que Leland est encore sur le jeu en ligne, et elles en profitent pour aller le ridiculiser. C’est absolument génial : elles foutent le feu à sa maison en ligne, puis révèlent qu’il est un pédophile de soixante ans. On se marre bien… jusqu’à ce qu’elle balance son nom en ligne. Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne méthode, même si c’est bien mérité pour Leland.

Ca l’est d’autant plus qu’on découvre dans cet épisode que Leland et Sheryl ont… Kidnappé Andy ? Je ne vais pas mentir, je commençais à me dire qu’Andy était peut-être en loop quand Kristen allait faire des facetimes avec lui. Par contre, j’étais loin d’imaginer une telle intrigue où Ben essaie encore de manipuler Kristen avec Andy enfermé chez lui. Pas de bol pour lui, Kristen improvise parfois de vraies conversations, parlant ainsi d’un anniversaire que Leland ne connaît pas encore.

Je crois que c’est ça qui l’énerve encore plus que les petites qui grillent sa couverture sur le jeu en ligne. C’est peut-être ça quand même : l’Eglise finit par voir la vidéo où le jeu accuse Leland d’être un pédophile, et c’est suffisant pour eux pour le virer. Cette fois, il n’a pas besoin d’une enquête le père supérieur pour décider de virer Leland. Ce dernier en est donc à encaisser une rage envers Kristen qui est de plus en plus forte, au point d’envisager de la tuer et de rendre ses filles orphelines.

C’est bien parti pour : Sheryl coupe les ongles d’Andy, et pendant qu’elle lui fait cette petite manucure, elle lui explique que tout est pris en charge. Il sera bientôt considéré comme mort dans un accident pendant une avalanche, l’argent de l’assurance servira à l’éducation de ses filles et tout le monde pensera qu’il est mort en étant un homme bon. Terrifiant. Le pauvre est paralysé par des médicaments, obligé de voir chaque jour la même affiche lui expliquant que c’est le premier jour du reste de sa vie ?

Quelle vie ? Putain, j’ai trop de peine pour Andy, c’est un sort vraiment angoissant que les scénaristes lui réservent là. Le pauvre.

 

Walker – S02E15 (express)

Épisode 15 – Bygones – 14/20
Ah, c’est à croire qu’ils ont lu ma critique précédente ! On en revient enfin, avec cet épisode, à une intrigue qui se concentre davantage sur une enquête que sur les bons sentiments des personnages, et ça fonctionne bien parce que l’intrigue ramène un visage connu et appréciable pour la série. Bon, par contre, les intrigues secondaires étaient pénibles et longues. On ne peut pas tout avoir j’imagine.

Spoilers

Cordell se retrouve forcé de retourner sous couverture, avec Twyla comme partenaire.

L’épisode recommence dès la première scène en plein milieu d’une enquête de Cassie et Cordell. Oh, cela dit, même dans ce cadre-là, les deux regardent une série télé que Cassie adore (bordel, il était là mon point pour le Bingo Séries précédent !) et parlent de tout ce qu’il s’est passé dans leur vie lors des deux dernières semaines. C’est l’occasion d’évacuer Geraldine pour l’épisode : elle est partie en girls trip avec les Davidson. Allez comprendre.

Les scénaristes avaient besoin de se débarrasser de Geraldine de toute manière, parce qu’ils souhaitaient ramener Twyla dans l’épisode. J’avais un peu tout oublié de la planque de Duke et de sa promesse d’aller voir Twyla en prison, mais c’est vite revenu au cours de l’épisode quand il a été révélé qu’elle avait un lien lointain avec l’affaire en cours – du vol de cryptomonnaie.

Twyla est donc sortie de prison sans que Cordell n’aille la voir et elle est rapidement à l’origine de l’idée la plus foireuse du monde, que l’on retrouve dans toutes les séries policières : monter une opération sous couverture pour arrêter le criminel du jour. L’avantage, c’est que ça donne de bonnes scènes à la fois au duo Cassie/Cordell, parce que Cordell doit apprendre à faire confiance à sa nouvelle partenaire, tout en privilégiant le retour d’un flirt permanent entre Cordell et Twyla.

Cette dernière met du temps à gagner la confiance de notre ranger et semble passer sa vie à faire en sorte d’être mise en doute par celui-ci, mais le but est de créer de faux retournements de situation tout au long de l’épisode pour maintenir notre intérêt. Cela fonctionne plus ou moins, mais j’ai toujours eu confiance en elle, me doutant bien qu’elle ne revenait pas juste pour le plaisir de la refoutre en prison en fin d’épisode.

Au passage, elle apprend aussi à connaître Cassie et ça la met dans une position où nous ne la connaissions pas non plus. Le duo fonctionne très bien aussi, elles m’ont fait rire par moments, même quand le scénario était ridicule. Et en fin d’épisode, Twyla se retrouve un peu plus libre qu’avant grâce à Cassie et grâce au travail qu’elle a fait pour faire arrêter le criminel, yay !

Bref, s’il n’y avait que cette intrigue, j’aurais probablement mis une très bonne note à l’épisode. Malheureusement, il fallait s’occuper des autres personnages de la série également, et c’est là que ça a commencé à être n’importe quoi : la série ne sait tellement plus quoi faire de Tray qu’il se retrouvera déjà coach émotionnel pour rangers ? Comment en arrive-t-on là ? Eh bien, il aide James à exprimer ses sentiments pour qu’il parvienne à séduire à nouveau sa femme.

Si cette phrase n’est pas déjà assez ridicule pour vous, j’ajoute qu’il le fait en présence d’August, un adolescent qui ne se remet toujours pas de sa rupture avec une copine qui n’avait rien à foutre de lui depuis le départ. Et qu’ils font tout ça dans une break room en criant qu’ils ont mangé du yaourt ce matin. Vraiment, c’était long et pénible comme sous-intrigue tellement ça n’a aucun sens. Après, faut bien justifier le salaire de l’acteur et plus personne ne va au lycée pendant les épisodes, donc il n’allait pas être indéfiniment coach de lycée.

D’ailleurs, plus personne ne va au lycée, mais Stella est quand même acceptée dans la fac de ses rêves. C’est si simple la vie à la télé américaine. Toutefois, ce n’est pas si simple que ça en a l’air : elle n’ose pas l’avouer à sa famille car elle sait que l’école qu’elle vise coûte trop cher. Elle ment donc à sa famille et à son copain pour plutôt aller demander l’avis et l’aide… du fils Davidson.

Ben voyons. Tout cela mène à une intrigue au ranch Walker devenu ranch Davidson où Stella se rend compte que les chevaux risquent de s’empoisonner à cause de plantes qui poussent dans un champ qui n’est plus clôturé alors qu’il l’était avant. Elle appelle à la rescousse son grand-père parce qu’elle ne savait pas qui d’autre appeler (au hasard : August, Tray, Liam…) pour lui venir en aide.

Mieux encore, elle le fait avant de parler du problème au père Davidson, ce qui fait qu’il s’énerve de voir Bonham débarquer pour tout gérer. Par contre, une fois qu’ils ont coupé toutes les mauvaises plantes, il n’hésite pas à demander à Bonham de l’aide pour gérer le ranch car il ne sait pas faire.

Le monde à l’envers, franchement. Le pire est encore que Bonham est prêt à accepter pour honorer ses ancêtres… et peut-être pour surveiller son idiote de petite-fille qui veut flirter à nouveau avec le fils Davidson. Vraiment pas passionnant comme intrigues, je vous l’avais dit !


Walker – S02E14 (express)

Épisode 14 –  No Such Thing As Fair Play – 14/20
Un épisode qui est loin d’être un épisode d’action, à nouveau. Au moins, on prend le temps de traiter à peu près correctement les conséquences des révélations de l’épisode précédent, mais ça n’empêche que c’est toujours étonnant de voir à quoi sont réduites les enquêtes sur cette saison 2. Le pire ? Je crois que je préfère cette deuxième saison qui se fait sans temps à jouer les ranger…

Spoilers

La foire annuelle des rangers permet de relancer l’enquête sur l’ancien partenaire de Cassie.

Pfiou par où commencer encore avec cet épisode ? Peut-être par le cœur même de l’intrigue qui laisse totalement de côté l’idée que nous sommes face à une série policière pour plutôt se concentrer sur tout le reste, à savoir principalement les relations entre les différents personnages lors… d’une fête foraine des rangers. Annuelle. Organisée par les rangers. Et où tout est gratuit apparemment ?

Ecoutez, je ne sais pas, c’est cette série. Elle est étrange, les personnages semblent se remettre super vite de la perte de la demeure familiale et sont tous prêts à aller faire la fête, laissons les faire. Cela n’empêche en rien Stella d’être toujours insupportable avec ses histoires de cœur et ses peines. Cette fois, donc, elle recommence à se rapprocher du fils Davidson, quand bien même celui-ci lui a probablement volé sa chambre.

Il n’est pas si méchant de toute manière, il est désolé pour elle… et après une conversation avec Geri, il comprend qu’il doit s’excuser auprès de Stella, puis lui offrir le collier de sa mère qu’elle avait oublié sur place. Ouais, OK, mais bon, ta tante sort avec le père de cette ado imblairable mon coco, il va peut-être falloir revoir ton plan de drague.

Ah ben oui, parce que Geri est une Davidson maintenant. Elle aussi semble s’en remettre assez vite, mais en fait, elle ne fait que retarder l’inévitable : il faudra bien faire face à la vérité et à ce que ça change pour elle de savoir qu’elle est une Davidson. Si le début de l’épisode nous montre donc une Geri plutôt heureuse de vivre et charmante, avec un couple solide quand il s’agit de Cordell, la suite nous détrompe totalement.

Au contraire, une fois face à Abby et forcée de parler avec elle, Geri change de discours et prend instinctivement la défense de sa mère adoptive. Elle sent aussi de la haine en elle quand il faut être confrontée aux mauvaises excuses d’Abby. Cette dernière a au moins la classe d’être sincère, c’est déjà positif. Malheureusement, ça mène tout de même Geri à prendre la décision de rompre une fois de plus avec Cordell, parce qu’elle estime que c’est ce qu’il faut faire pour prendre du recul sur la situation – et avoir le temps de découvrir qui elle est à la lumière de ces nouvelles informations. Pourquoi pas ?  

Sinon, la foire toute pourrie est l’excuse que trouvent les scénaristes pour nous ramener Tray dans la série. Il était temps de le revoir, même s’ils n’ont toujours rien à lui faire faire et que rien ne justifie sa présence à une foire de rangers maintenant qu’il n’est plus avec Micki. Il a toutefois l’occasion de rencontrer Cassie, ce qui est sympathique.

Bien sûr, les scénaristes ne sont pas des plus subtils et forcent totalement la relation entre Cassie et Tray. Je ne sais pas trop comment prendre autrement leur temps dans la tente de la diseuse de bonne aventure. Il était sympa de les voir sympathiser, mais ça tournait trop vite au flirt, et c’était bizarre.

Il y a tout de même une pseudo enquête autour de l’épisode, parce qu’il faut bien que Cordell fasse semblant de travailler de temps en temps. Il est ainsi embauché par sa nouvelle partenaire, Cassie, pour mener l’enquête sur son ancien partenaire à elle. La foire annuelle est tellement un événement qu’elle attire les rangers des villes voisines, figurez-vous. Parmi eux, il y a l’ancien capitaine de Cassie, qui n’est pas ravie de le revoir – et inversement.

Il faut dire que l’ancien capitaine de Cassie sort désormais avec la femme de son ex-partenaire, alors ça fait beaucoup pour Cassie. Persuadée qu’elle tient là une nouvelle piste, elle envoie Cordell mener l’enquête discrètement. Discrètement, c’est la consigne ; pas l’exécution : il est un gros boulet quand il interroge l’ancien capitaine et c’est vite grillé.

Ce n’est pas grave : l’ex compagne souhaite vraiment que Cassie soit tenue au courant de la vérité. Dès lors, l’ancien capitaine raconte à Cassie que s’il a signé les papiers sur la mort de son ex partenaire, c’est parce que de nouvelles preuves existent et que l’ancienne femme avait besoin de l’argent. Les nouvelles preuves ? Oh, ça sentait le gros bullshit avec une arme à feu sortie de nulle part et du sang…

Et ça se confirme en fin d’épisode que c’est n’importe quoi, parce que l’ancien capitaine se rend dans une caravane où, vous l’aurez deviné, se trouve un homme qui ne peut qu’être l’ancien partenaire de Cassie. On verra plus tard ce qu’il en est, j’imagine. Espérons juste que Cordell sache encore faire une enquête pour démêler le vrai du faux dans tout ça !