Épisode 5 – Endure and Survive – 18/20
C’est le grand écart qualitatif, même si je ne me l’explique pas : cet épisode était bien plus dans l’action. Il aurait tout de même pu être raccourci en le dépossédant de toute une intrigue secondaire sur un personnage dont on a voulu nous expliquer en long, en large et en travers les motifs alors que ceux-ci n’étaient pas forcément nécessaires. De toute manière, je vois que la série veut juste qu’on s’attache à tous les personnages. Peut-on être assez bête pour se laisser piéger à chaque épisode ? Humph, je vous laisse lire la critique pour le savoir.
Spoilers
Henry et Sam aident Joel et Ellie à sortir de Kansas City. À moins que ce ne soit l’inverse.
We don’t want to hurt you, we want to help you.
Et voilà, la série refait dans l’excès. C’était très bien de proposer un épisode de 45 minutes. Pourquoi cette envie de repartir avec du 1h d’un coup, là. C’est trop, et on le sait, surtout que la série a tout de même tendance à avoir un rythme quelque peu lent avant d’accélérer d’un coup.
Bon, bien sûr, j’écris ça, mais la première scène de cet épisode est déjà dans l’abus sur l’accélération du rythme : on y suit une fête populaire qui a lieu post-épidémie. Le thème de la fête ? Les survivants sont heureux de se débarrasser de FEDRA. Kansas City, la ville où Joel et Ellie ont fait escale dans l’épisode précédent, s’est donc débarrassée de FEDRA avec quelques émeutes et un mouvement populaire renversant les militaires.
Dans vos gueules, hein. Le problème, c’est que comme pour tous les mouvements populaires, ça passe par quelques meurtres de soldats et des otages. Kathleen, à la tête du mouvement populaire, prend un malin plaisir à parler à ses otages : les soldats sont tous exécutés, bien sûr, mais les otages sont de simples citoyens qui informaient FEDRA en échange de médicaments, d’alcool ou de pommes.
Des collabos, quoi, mais des collabos face à une armée qui les réduit à une vie misérable. Kathleen n’admire pas ce qu’elle considère être une faiblesse et leur ment pour obtenir ce qu’elle veut : elle assure qu’elle ne les tuera pas s’ils parlent et lui donnent les informations qu’elle cherche sur Henry et Sam. Il y en a forcément un pour parler et confirmer qu’Henry est toujours en ville, grâce à l’aide d’un autre collaborateur.
Il aurait mieux de se taire, parce que Kathleen le tue quand même – enfin, elle le fait tuer, c’est pire. Elle part aussitôt à la recherche d’Henry ensuite, mais on sait qu’elle ne le retrouvera pas tout de suite. En effet, le cliffhanger de l’épisode précédent nous a dit tout ce qu’on avait à savoir sur le personnage. Par conséquent, je trouve le montage de la série en général, ou plutôt l’écriture de son intrigue, assez peu efficace : les perpétuels retours en arrière ne sont pas des plus efficaces quand on sait déjà vers quoi on se dirige à chaque fois.
Pour cet épisode, c’est encore pire que pour Frank et Bill, en plus, car on a juste envie d’avoir la suite de l’histoire, pas un tel retour en arrière. Le flashback permet toutefois d’apprendre à les connaître un peu : Sam est apparemment muet – Henry et lui communiquent donc en langue des signes. Pourquoi pas, mais ça a tendance à créer une ambiance plus lourde que nécessaire.
Ils parviennent à échapper à Kathleen et ses hommes tout de même, grâce à l’aide de l’autre collaborateur, le docteur. Là aussi, on sait déjà où ça va : on a vu Kathleen décider de le tuer dans l’épisode précédent, justement parce qu’il les avait aidés. C’est donc chouette de voir ce vieux monsieur leur donner une planque – celle que Kathleen trouvera aussi, on l’a déjà vu – qu’il a trouvée grâce à un soldat de FEDRA qui était un ancien patient.
Henry et Sam ont donc une dizaine de jours pépère dans la planque, mais la bouffe finit par manquer. C’est problématique, d’autant plus que le médecin était supposé en chercher pour eux… mais il n’est plus là. Pour s’occuper pendant dix jours, Sam a beaucoup dessiné, toujours le même super-héros.
Au moment de lui annoncer le décès probable du docteur, Henry est donc content de pouvoir peindre le visage de son fils pour en faire un super-héros. Sam va bien avoir de courage, en plus : son père a pour plan de quitter leur planque, car il ne s’y sent plus en sécurité. Il fait bien ! Ils ne sont plus en sécurité, c’est vrai, et la preuve est aussi qu’au moment de partir, ils entendent l’accident de voiture et la fusillade impliquant Joel, Ellie et les membres de la résistance.
Le nouveau plan d’Henry est alors de suivre nos héros pour les surprendre pendant la nuit. Ils comptent en fait sur eux pour les aider, j’imagine. En tout cas, on apprend quand il les réveille que Sam est son frère, pas son fils. C’est en tout cas ce qu’il raconte, peut-être pour gagner leur confiance. Une fois que c’est fait, les quatre personnages mangent un peu ensemble. Ce n’est que le lendemain matin qu’on apprend ce qu’il en est : Henry souhaite bien l’aide de Joel pour pouvoir quitter la ville.
C’est bien simple : il sait comment faire, géographiquement parlant, mais il ne peut pas le faire tout seul, car il n’est pas aussi badass que Joel. Ah bordel, les jeux vidéos : il faut toujours que le héros soit un bon samaritain qui se fait exploiter par tout le monde finalement. Cependant, je suis content que l’épisode ne traine pas trop sur son flashback. On arrive assez vite à la mise en place d’un plan pour quitter Kansas City.
Henry a tout prévu : il veut passer par des tunnels reliant plusieurs bâtiments entre eux et où ils sont sûrs de ne croiser personne pour deux raisons. La première raison, c’est que peu de gens connaissent l’existence des tunnels. La deuxième, c’est que FEDRA a entassé tous les infectés dans les sous-sols de la ville. Seulement voilà : Henry est un collaborateur et il sait très bien que depuis deux ou trois ans, FEDRA a vidé tous les souterrains des infectés.
Seulement voilà, ça, c’est la théorie. En pratique, être accompagné d’un badass comme Joel, c’est tout de même bien pratique pour être sûr de s’en sortir en vie. On comprend assez vite que nos héros ne seront pas tout à fait en sécurité une fois dans les tunnels, donc. L’avantage, c’est qu’ils y vont très vite et que l’épisode traîne beaucoup moins en longueur que ce que j’imaginais.
Une fois dans les souterrains, ils découvrent qu’il n’y a plus de zombies, effectivement, mais qu’il y a à la place… des dessins d’enfants. Que ce soit dit ici, j’ai beaucoup aimé le personnage et la répartie d’Henry pendant tout ce début d’épisode. La relation entre Sam et Ellie est sympathique également, mais ça me donne l’impression que toutes les bonnes idées de la série viennent du jeu, pas des scénaristes. Non parce que bon, soyons honnêtes, l’intrigue avec Kathleen et tout le flashback de dix jours là, ce n’était pas dingue. Pire que ça même, j’ai trouvé que c’était dommage : insister sur le fait que la ville a sombré dix jours plus tôt, ça fait un timing peu crédible et trop fortuit, tout de même.
Bref, reprenons la critique de ce qu’il se passe pendant l’épisode : les dessins d’enfants dans les tunnels mènent nos héros à une sorte d’école souterraine. Joel l’identifie comme un bunker mis en place au début de l’épidémie : ce type de bunker est une légende urbaine de la pandémie. Des gens sont partis en souterrain pour survivre comme ils pouvaient.
Malheureusement, ce n’est pas ce qu’il s’est passé : ils sont clairement morts car les lieux sont déserts. S’il n’y a personne, il reste tout de même pas mal de jeux et comics, ce qui plaît beaucoup à Ellie et Sam. Ils insistent pour pouvoir passer un peu de temps dans ce bunker, et c’est une bonne idée d’après Henry. Après tout, ils n’ont pas envie de sortir de jour à la surface, alors autant rester en souterrain.
Pendant qu’Ellie et Sam s’amusent, Henry a le temps de raconter toute son histoire à Joel. Cela ne fait que me confirmer que j’aime le personnage. Il a certes fait les mauvais choix dans sa vie, mais son dilemme est terrible : il a été obligé, pour obtenir des médicaments pour Sam, leucémique, de collaborer avec FEDRA. Je me plantais totalement sur les raisons pour lesquelles Kathleen voulait les retrouver finalement.
En fait, Henry a vendu à FEDRA le frère de Kathleen, leader de la résistance, en échange des médicaments. Bon, donc, voilà donc la raison pour laquelle Kathleen est prête à tout pour les retrouver : elle veut se venger de la mort de son frère. C’est un peu schématique et enfantin dans un monde post-apocalyptique, mais en même temps, c’est un monde dans lequel il n’existe plus aucune règle, alors je la comprends un peu. Juste un peu, oui, pas plus que ça, n’abusons pas.
L’actrice joue bien, hein, mais ses scènes n’ont pas réussi un seul instant à m’accrocher car le personnage est insupportable. Elle l’était avant même que les scénaristes nous fassent passer plus de temps avec elle. Quand on passe enfin du temps avec elle, c’est pour apprendre que son frère, Michael, lui avait en plus demandé de pardonner à Henry. Bon, après, les résistants semblent préférer Kathleen à son frère car c’est elle qui a réussi à les débarrasser de FEDRA, mais vraiment, elle est détestable comme personnage. C’est facile pour moi d’écrire ça : je n’ai pas été dans sa situation. Peut-être que j’aurais envie de me venger aussi à sa place. Par contre, je sais que la vengeance mène rarement à une position enviable, hein.
Pendant qu’on passe du temps avec Kathleen, Joel, Henry, Ellie et Sam quittent les tunnels et se retrouvent à proximité de la sortie de la ville. Tout semble aller pour le mieux, mais bien sûr, Henry jinxe toute la situation en assurant que son plan a fonctionné et que tout va bien. Nos héros se font donc à peu près aussitôt tirer dessus, et ça mène à une scène d’action un peu plus intéressante.
C’est toujours digne d’un jeu vidéo, en revanche, parce que le tireur semble avoir un nombre de balles infini et une capacité à viser bien mauvaise. J’aime que Joel le souligne en indiquant à Ellie, mais aussi à Henry et Sam, d’attendre qu’il aille s’en occuper en passant par l’arrière de la maison. Il ne met pas longtemps à venir à bout de cet Anthony, un vieil homme qui paraissait simplement protéger sa maison. Joel le supplie de ne pas le forcer à le tuer, mais c’est en vain.
Une fois Anthony mort, on se rend toutefois compte qu’il travaillait en fait pour Kathleen. C’est bien dommage. J’ai beaucoup aimé la scène qui suit, avec Kathleen qui arrive en voiture, certes, mais bien entourée. En fait, elle embarque toute la résistance avec elle, je crois, et il y a même un bulldozer pour dégager toutes les voitures une à une.
Joel a beau affirmer qu’Anthony était un piètre sniper, il ne fait que nous montrer que ce n’était finalement pas si simple de tirer depuis la fenêtre : il met un temps fou à venir à bout du conducteur de ce bulldozer qui réussit bien à dégager toutes les voitures. Pire encore, Ellie, Henry et Sam manquent de peu de se faire écraser par celui-ci et dans sa fuite pour lui échapper, Ellie vide tout le chargeur de son flingue aussi. En vain.
Cela mène donc à une situation tendue où Ellie survit de très peu à l’explosion du bulldozer prenant feu. Elle finit à terre alors que Kathleen et tous les résistants les ont rattrapés. Oui, oui, après autant d’action, Kathleen continue d’être insupportable et présente pour empêcher nos héros de tourner en rond. Certes, Henry, Sam et Joel ont eu le temps de se planquer, mais ce n’est que pour une courte durée. Joel ? Sa position est plus que grillée.
En fait, tout semble perdu. Henry se sacrifie donc en se livrant à Kathleen, espérant bien qu’Ellie parviendra à s’enfuir avec Sam, même si Kathleen compte tout faire pour l’en empêcher. Par chance, au moment où la résistante s’apprête à tuer le collaborateur, le bulldozer s’enfonce mystérieusement dans le sol sous la maison dans laquelle il s’est encastré.
On comprend bien vite où la série veut en venir, et tout le monde semble le savoir. Pourtant, tout le monde regarde le véhicule s’enfoncer de manière bien paisible. Sans surprise, ça se termine mal : une horde de zombies sort d’un coup des entrailles de la terre. AH. Finalement, FEDRA ne s’est donc pas débarrassé de tout le monde.
De sa fenêtre, Joel prend la décision de protéger Ellie du mieux qu’il peut. Il s’avère d’un coup bien meilleur sniper que plus tôt. Il permet à Ellie de se débrouiller pour entrer dans une voiture et se mettre à l’abri, tandis que la situation est sacrément chaotique. Bon, ça, c’est la théorie, à nouveau. En pratique, une zombie aveugle parvient à se faufiler dans la voiture.
Ah, mais bordel, les zombies de The Last of us sont aussi contorsionnistes désormais ? C’est trop pour moi, je ne peux pas supporter ça, désolé, je déteste les contorsionnistes. Bon, cet épisode est bien meilleur que les précédents, en tout cas. Cela fait plaisir de voir que notre attente est récompensée par une scène d’action impressionnante. Il y a des figurants partout, des résistants qui se font bouffer de tous les côtés et cherchent à tuer les infectés plutôt que de s’enfuir.
On se retrouve alors, un peu contre toute attente, avec un super zombie, bien plus inquiétant que tous les autres : une sorte de super monstre qui n’est pas appétissant du tout et s’en prend aussitôt qu’il sort du souterrain à Kathleen et son garde du corps. Bon, ben voilà qui apprendra à Kathleen le prix de la vengeance, j’imagine. Son garde préféré meurt décapité par ce monstre, et je me demande quand même ce qui explique une telle mutation.
Ellie parvient évidemment à sortir de la voiture avant d’être bouffée à son tour, mais cela la laisse une fois de plus au milieu du chaos ; protégée par un Joel qui fait ce qu’il peut pour dégager les infectés s’en prenant à elle. De son côté, elle repère assez vite Sam et Henry, coincés sous une voiture. J’ai vu assez de séries zombies pour mal sentir la situation : il y en aura forcément un des deux pour se faire mordre à la jambe, non ?
Ellie se défonce pour les sauver et on espère vraiment qu’ils ne sont pas mordus… Mais bon, j’ai bien compris que l’espoir dans cette série, il ne servait qu’à Ellie et Joel. Après tout ça, ils parviennent contre toute attente à s’en tirer… mais Kathleen est encore là pour tenter de les arrêter. Elle a eu la pire des idées du monde à faire ça cependant : elle tourne le dos à l’ensemble des zombies. C’est donc sans surprise qu’elle se fait finalement tuer par une zombie qui lui saute dessus. Non, vraiment, ces infectés ont tendance à être un brin flippant.
Et après autant d’action, l’épisode prend le temps d’un retour au calme auquel je ne m’attendais pas du tout. Je pensais sincèrement que l’épisode allait se terminer sur un cliffhanger dramatique avec tous les zombies, mais finalement, on a vraiment passé beaucoup de temps avec Kathleen juste pour qu’elle soit retirée bien vite de l’équation.
C’est frustrant et répétitif comme manière de présenter les choses, ce qui signifie aussi que c’est prévisible. Et ça me soule un peu, surtout pour des personnages comme Henry et Sam, auxquels je m’attache trop rapidement alors que j’imagine bien que la fin sera plus ou moins rapide. Bon, ça, c’est aussi mon problème, je sais que ça ne peut que mal tourner pour eux sur du moyen terme. Ou du court terme. Le long terme n’existe pas dans une série de zombie, et particulièrement dans celle-ci.
Pourtant, les scénaristes veulent qu’on s’attache à eux : on a ainsi toute une scène dans un motel où nos héros se réfugient et où Ellie et Sam communiquent avec une ardoise, histoire d’évoquer les plus grandes peurs qu’ils ont. Celle de Sam : il a un monstre à l’intérieur de lui, parce qu’il s’est fait mordre par un infecté plus tôt. Il a la bonne idée de s’en confier à Ellie, qui a ainsi l’occasion de tester si son sang peut vraiment servir de vaccin.
Bon, ça me paraît trop simple. Elle rassure Sam et lui met son sang sur la jambe comme s’il s’agissait d’une pommade, mais bon… Je ne le sens pas. Vraiment, on sent bien que cette série est fait pour déprimer.
Pour ne rien arranger, Ellie promet de rester réveillée auprès de Sam, mais elle s’endort, bien sûr. Au petit matin, c’est déjà trop tard pour Sam, bien sûr bis. Ellie se fait donc attaquer par le petit zombie, ce qui réveille aussitôt Joel et Henry. Ce dernier, qui sort son flingue plus rapidement, finit par comprendre qu’il n’a pas d’autres choix que de tuer Sam pour protéger Ellie – et pour se protéger lui-même par extension.
Allez comprendre pourquoi, Henry pointe alors son flingue sur Joel. Quelques secondes plus tôt, ça se comprenait, pour l’empêcher de faire du mal à Sam, même si c’était trop tard… mais là… Non. Je n’ai pas trop suivi Henry sur ses derniers instants, en vrai. Il ne peut que prendre trop mal le meurtre de son petit frère qu’il a lui-même commis – alors que bon, il était déjà mort de toute manière. Face à cette situation horrible, il décide donc de se suicider. Je l’ai vu venir, mais ça n’empêche pas tout ça d’être bien dramatique et triste.
Bon. Ce n’est pas surprenant, après. Ils ont fait un épisode et demi, et puis s’en va. C’est le sort de tous les personnages secondaires de la série apparemment. Il faut s’y faire ; et Ellie comme Joel s’y font, apparemment.
Ils reprennent leur chemin, après avoir enterré Henry et Sam – Ellie prenant le temps d’écrire qu’elle est désolée (de s’être endormie) sur l’ardoise de Sam. Bon, ben, pas de cliffhanger alors. Quant au moment émotions… J’aimais bien les personnages d’Henry et Sam, mais on n’a pas assez de temps pour vraiment s’attacher à eux, malgré les flashbacks interminables. Ils auraient au moins pu les tuer dans l’épisode suivant, de la même manière, pour que ça laisse le temps de se faire à leur présence. Là, je suis triste, évidemment, mais pas en larmes non plus. C’est pourtant ce qu’ils visent, mais après Frank, Bill et Tess, ben, on a compris ce qui allait arriver et j’attends plus le moment où les personnages vont mourir que le moment où ils vont s’en sortir, quoi.
Bref, l’effet inverse de ce qui est recherché.
Je ne m’attendais pas à ce dénouement d’épisode, j’aimais bien ces deux personnages. Comme tu dis les personnages secondaires ne durent pas longtemps dans cette série x)
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Ca va vite être lassant si tous les secondaires ont la même durée de vie… et franchement, je le vois comme ça, vu ce que je sais du jeu. Non ?
Pour la fin, je m’en suis douté quand on les a vus sous la voiture… J’attendais aussi le moment où ils allaient mourir depuis le début, ça doit aider ! Après, j’étais attaché à eux, mais quand j’ai senti qu’ils allaient mourir, j’étais plus blasé qu’autre chose et ça n’a pas eu l’impact émotionnel que ça aurait dû avoir :’)
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J’ai beau avoir fait le jeu, je n’arrive pas a tout me souvenir🙈 tant mieux peut-être comme ça je savoure plus la série. Après la solitude est monnaie courante c’est vrai.
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Ah je ne me souvenais pas que tu avais joué à celui-là en plus ! :’)
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