She-Hulk: Attorney at Law – S01E08

Épisode 8 – Ribbit and Rip it – 18/20
L’épisode de cette semaine prouve tout ce que la série avait dans le ventre depuis le début, mais c’est presque frustrant que ce ne soit qu’à l’avant-dernier épisode que tout parvienne si bien à se mettre en place. Le rythme est excellent, les clins d’œil fonctionnent, on s’amuse énormément tout en ayant de l’action et on nous prépare le terrain de l’épisode final avec succès. J’espère vraiment qu’on aura une saison 2, car il y a moyen de faire tellement d’autres histoires !

Spoilers

Jen est embauchée par un client qui la force à se confronter à son styliste… et à son avocat.

I do not make suits that malfunction.

Le résumé d’épisode est génial ? Le tout début avec la partie sur Jen qui refuse d’être une super-héroïne, ça m’a fait mourir de rire. L’épisode reprend ensuite sur un cambriolage de nuit interrompu par un justicier grenouille. Malheureusement pour lui, tout ça se passe mal pour lui : il ne fait pas le poids face aux deux cambrioleurs alors il décide de prendre la fuite, après une cascade plutôt marrante.

Il s’enfuit grâce à son costume qui n’est pas censé pouvoir s’enflammer, mais qui le fait quand même. Forcément, c’est là que le lien avec la série est fait : il entend bien recevoir l’aide juridique appropriée de la part du cabinet de Jen pour obtenir réparation du préjudice subi par ce problème de costume.

Jennifer n’est pas trop impressionnée par la situation du type et accepte de l’aider, un brin trop vite, surtout qu’on voit bien vers quoi ça se dirige ce problème de costume. En effet, le problème est que Jacobson est le styliste de cette grenouille ridicule, mais aussi celui de Jen. Elle est loin d’être ravie de devoir s’attaquer à son styliste, mais on ne lui en laisse absolument pas le choix. Son patron insiste pour dire que le père de cette grenouille est un client important, Patilio. Par conséquent, la grenouille est un client important.

Jennifer est ainsi forcée de se rendre auprès de Jacobson pour l’informer de la situation, et celui-ci ayant le caractère qu’on lui connaît déjà, il le prend super mal. Il vire donc Jen de ses clientes, et tant pis pour le gala très important auquel elle devait assister avec une robe de Jacobson.

Très rapidement, les voilà qui se retrouvent donc au tribunal. Tout aussi rapidement, j’ai compris où la série voulait en venir : Jacobson a un avocat, un de ses clients que l’on connaît déjà… C’est Daredevil qui débarque pour prendre sa défense. Enfin, c’est Matthew Murdock, parce que son identité est secrète. C’est amusant de le voir s’excuser pour son retard, parce que ça fait un peu sept épisodes qu’il est attendu suite à la promo de la série.

Bien sûr, il est un excellent avocat et ça tourne vite au débat juridique avec Jen qui voulait faire révéler toute la liste des clients de Jacobson. En cours de route, il est question des accords de Sokovie, histoire de nous rappeler que nous sommes dans le MCU. C’est chaque fois un peu plus officiel : Daredevil en fait bien partie. Grâce à son odorat très développé, Matthew Murdock anéantit rapidement le client de Jen, parce qu’il a utilisé du kérosène pour prendre la fuite alors que c’était spécifiquement contre les recommandations de Jacobson.

L’affaire est réglée comme ça, laissant Jennifer dépitée par la stupidité de son client. Au passage, Jennifer essaie aussitôt de récupérer Jacobson comme styliste, mais ce n’est pas exactement comme ça que ça se passe les relations humaines. La pauvre.

Le soir, au bar, Jennifer se fait alors draguer par Daredevil. Cela fait plaisir de retrouver cet acteur, mais c’est tout étonnant de le voir dans une comédie après sa série – je n’ai toujours pas regardé la saison 3 d’ailleurs. Le voir draguer Jennifer en lui demandant s’il a bien mis un pantalon ?

C’était marrant, je ne dis pas, mais c’est étonnant. En tout cas, la scène fonctionne bien et la dynamique entre eux est top. Malheureusement, il faut bien que l’épisode avance, alors nous n’en restons pas là. Todd envoie alors un SMS à Jennifer car il a besoin d’elle, et ça la dérange bien car ça met fin à son non-rencard avec Matt. Celui-ci a du boulot aussi d’ailleurs, et on se doute bien que ça risque d’être lié avec ce qu’il se passe du côté de Jen.

Ce n’est pourtant pas le cas : Todd le fétichiste veut voir Jen juste pour tenter à nouveau de coucher avec elle. Jennifer n’a pas vraiment le choix de le voir parce qu’il lui fait du chantage vis-à-vis de son travail, mais en fait, il a simplement trouvé un prétexte avec une lance wakandaise qu’il a acheté alors qu’elle avait été volée par des colons. Oui, la série en profite apparemment pour faire un peu de pub pour le prochain film du MCU. Todd essaie vraiment de draguer Jen avec insistance, elle est donc obligée de le repousser, et c’était hilarant à voir. Bon, ça ne l’est sûrement pas pour Jen après. Elle rentre chez elle, dépitée… et reçoit un autre coup de fil, cette fois-ci de Leapfrog, son client débile. Pour l’occasion, Jen décide d’utiliser le costume que Jacobson lui avait fait et part aussitôt à son secours.

En effet, Leapfrog a besoin d’elle car il est en pleine course-poursuite, avec quelqu’un essayant de l’arrêter. Il fait appel à She-Hulk plus qu’à son avocate, et elle accourt, enfin avec son costume de super-héroïne. Il rend plutôt bien d’ailleurs.

On se retrouve là avec une scène un peu promise auparavant : Daredevil contre She-Hulk. Je ne m’attendais pas forcément à ce qu’ils battent comme ça, mais voilà donc Matt Murdock qui s’en prend à Leapfrog. Le nouveau costume de Daredevil est plutôt classe, la scène de combat entre eux aussi, avec plein de catchphrases et de moments qui paraissaient très comics dans l’âme.

She-Hulk utilise finalement son pouvoir contre Daredevil, et ça fonctionne : elle bat des poings comme Hulk lui avait pris, mettant à terre Matt juste assez longtemps pour le démasquer. Les masques tombent pour de vrai entre eux, Jen comprend mieux les phrases profondes de Matt sur la possibilité d’aider le peuple plutôt que les riches et cherche surtout à savoir pourquoi ils se battent.

Il lui est alors révélé que Leapfrog n’est pas un gentil : il a pris en otage Jacobson. Le point le plus intéressant pour Jen ? Le costume ketchup-moutarde audacieux de Matt, fait par Jacobson. La pointe d’humour fonctionnait bien. Le parking où ils se battaient est quand même détruit pour rien. L’enlèvement de Jacobson ? Ce n’est pas un mensonge de Matt, c’est la vérité, évidemment. Luke a enlevé Jacobson pour avoir un nouveau costume. Quel succès, ce styliste !

Les pouvoirs de Daredevil sont quand même super géniaux : She-Hulk et lui se retrouvent sur le toit du bâtiment où est retenu en otage Jacobson, et il est capable de déterminer très exactement combien d’hommes se dressent entre eux et Jacobson, parce que oui, Leapfrog a des hommes de main. Ou des sbires. Il y a débat.

Matt drague clairement Jen, une fois de plus, et ça marche à peu près autant que quand il draguait Elektra, ma foi ? Matt pointe évidemment que Jen n’est jamais entrée par effraction dans un hangar ennemi, alors que lui a l’habitude de le faire et qu’ils feraient mieux de suivre sa méthode plutôt que celle qu’elle propose et qui est de foncer dans le tas, tout simplement. La dispute entre les deux est plutôt marrante à suivre, mais ça me faisait de la peine d’être du côté de Daredevil plutôt que du côté de Jen.

On enchaîne sur la traditionnelle scène de couloir où Daredevil débarque pour mettre KO tous les sbires de Leapfrog. Malheureusement, il y avait moins de plans séquences que sur Netflix, mais ça marchait quand même. Après, il est logique, dans une série She-Hulk, que celle-ci court-circuite complètement le combat en tombant du plafond et en mettant KO plein de types d’un seul coup. C’était marrant. La scène de combat qui suit est efficace, avec Jen tentant de donner des conseils juridiques sur place à son client, sans que ce ne soit une grande réussite.

Le type-grenouille saute par la fenêtre pour s’enfuir tellement il a peur de Matt et Jen, quand même. Par contre, il a oublié de remettre son costume enfin, donc ça met fin à sa fuite tout aussi vite. La fin d’épisode peut alors voir Jen se réconcilier avec Jacobson. On accorde ensuite un peu de temps pour que Jen et Matt puissent causer un peu. C’est intéressant parce qu’il est question de l’identité secrète de Matt et parce que la relation entre eux fonctionnent vraiment bien. Ils sont mignons comme tout. Jen s’inquiète même de savoir quand il repartira à New-York… Avant de l’inviter chez lui.

C’est fluide, c’est naturel, mais c’est bien plus rapide que ce qu’on avait vu avec Josh. Je veux dire, l’épisode se termine en fait sur Matt et Jen qui se roulent des pelles énormes en tentant de se déshabiller avant de coucher ensemble ? Matt Murdock, je suis jaloux de toi : Elektra puis She-Hulk. C’est tranquille.

Le lendemain, parce que non l’épisode n’est pas terminé, Jen est surprise de voir que nous sommes encore là à la regarder tandis que Matt fait son walk of shame en costume. Nikki débarque chez Jen, et on comprend donc qu’il s’agit de la journée du gala. Ainsi, il est évident que non, l’épisode n’est pas terminé. Nikki est géniale à se la jouer Wolverine avec son maquillage quand il est question d’une menace qui plane sur She-Hulk, et on s’amuse bien avec cette scène clairement bonus fun qui est proposée.

Très vite, c’est l’heure du gala en tout cas, et la série s’est vraiment trouvée à 100% avec cet épisode : on a les dynamiques efficaces entre Jen et tous les personnages, des clins d’œil Marvel, une vraie intrigue, du fun… Et j’adore Ginger Gonzaga quand elle fait de l’humour, que ce soit dit une fois de plus !

Au gala, Jen retrouve ses parents et a aussi droit de voir Todd. C’est anecdotique pour l’instant, mais je ne serais pas surpris qu’il fasse partie de la menace Inteligentsia. En attendant, le gala est en fait l’occasion de célébrer l’avocate de l’année, ou plutôt les avocates. Mallory fait aussi partie des gagnantes, et elle fait passer un message féministe au passage. Jennifer en profite elle pour remercier sa famille et ses amis, mais son discours est interrompu par les incels d’Inteligentsia.

Un peu à la Anonymous, ils décident d’exposer toute la vie privée de Jen pour révéler qui elle est vraiment. Elle qui pensait que donner son identité à tous suffirait à la protéger se trompait donc lourdement. La vidéo avec toutes ses infos privées se terminent en plus par une sextape tournée contre son gré, où Jen couche avec Josh. Je ne m’attendais pas à cette partie-là ; la photo prise aurait déjà été assez violente comme ça.

Inévitablement, Jen décide de détruire tous les écrans et fait aussitôt flipper toute la scène et tout le public du gala. Elle n’a pourtant rien fait de bien mal à détruire des écrans et je trouve les réactions des gens autour d’elle disproportionnées. Même Mallory qui lui dit de ne pas détruire les écrans, là ? C’est en fait le truc à faire quand t’as une sextape en train d’être diffusée non ?

Elle a de bonnes raisons d’être furax, mais c’est elle qui est prise pour cible par les autorités quand elle essaie d’arrêter un type cagoulé – bon, certes, après avoir détruit un mur. Nikki parvient à empêcher qu’elle ne s’énerve trop contre le type, mais l’épisode se termine sur Jen cernée par des hommes armés la braquant… Alors que vraiment, non, elle n’a rien fait de si catastrophique. C’est énervant. Bon, ben… La suite au dernier épisode, donc. Le « gang » de l’épisode précédent a intérêt à débarquer pour l’aider (même si elle est capable de s’en sortir seule, je sais) !

She-Hulk: Attorney at Law – S01E07

Épisode 7 – Retreat – 15/20
C’est ironique : ça aurait dû être un épisode parfait à voir un dimanche, parce qu’il se concentre beaucoup sur un programme de dimanche inattendu, l’air de rien. Pourtant, c’est le premier épisode depuis un moment que je ne vois pas un dimanche. Cela n’empêche pas de l’apprécier et d’aimer la manière dont l’intrigue fil rouge se met en place sans jamais oublier de développer le personnage principal de la série. Jennifer Walters est juste beaucoup trop attachante, la série réussit à me faire rire, j’aime beaucoup.

Spoilers

Jen passe de bons moments avec Josh. Jusqu’à ce que…

You’re thirsty and a cliché.

Et si je me dépêchais un peu ? La fin de saison approche et moi, je prends du retard dans le visionnage ? C’est un peu inadmissible, mais bon, je n’ai rien vu pendant deux semaines de toute manière. Cette série est suffisamment géniale, par contre, pour avoir envie de la regarder ce matin que j’ai un peu plus de temps. Vive le week-end, vive le générique Marvel Studios !

Cet épisode recommence avec Jennifer chez elle, mais un peu plus heureuse qu’avant : sa rencontre avec Josh s’est suffisamment bien passée pour qu’il souhaite la revoir. C’est plutôt une bonne chose et ça fait qu’elle commence sa journée de très bonne humeur – avec un shot quand même ? Elle est devenue complètement alcoolique ?

Josh vient la chercher chez elle, ils passent un très bon rencard en foodtruck ; ne savent pas trop comment se dire au revoir, mais savent déjà qu’ils se reverront. Tout ce début d’épisode nous montre une Jennifer qui s’attache à Josh et passe de bons moments avec lui, même quand il n’est pas là ; envoyant des SMS depuis son boulot.

Le soir, elle rentre toutefois sans penser à l’embrasser et elle le regrette aussitôt. Par chance, Josh ne se décourage pas et lui propose un autre rencard, au cinéma en plein air cette fois. C’est une belle première scène tout ça, et le montage musical les mènent finalement dans le même lit. Le jeudi soir, ils couchent donc ensemble et Jennifer est complètement sous le charme.

Au matin du vendredi, cependant, il n’est plus dans le lit. Le charme est rompu quand le matin elle passe d’un état euphorique à la sérieuse inquiétude qu’il se soit foutu d’elle. En fait, elle est plus inquiète de ça que de ses haters en ligne qui souhaitent pourtant la tuer. Après, on peut la comprendre : 24h de silence après une semaine de rencards parfaits, il y a de quoi péter un câble.

De là à faire du sport devant son portable et passer un samedi soir de déprime devant la télévision, c’est triste. Il y a plus triste dans sa vie : le dimanche matin, elle reçoit un appel d’un flic qui doit vérifier si Blonsky s’est transformé en abomination ou non. Son bracelet électronique s’est en effet déréglé et son contrôleur judiciaire a peur de confronter seul Blonsky.

Jennifer accepte donc de l’accompagner, mais sans oublier une seule seconde de checker son portable. Même au portable. Bon, après, à la place de Jen, je me serais mis moi aussi à écouter M’bop, c’est vrai, mais j’aurais aussi eu le cran d’appeler Josh ? Je veux dire à un moment se faire ghoster comme ça, ça va deux secondes.

Finalement, Blonsky est toujours sous sa forme humaine et tout va bien, ce n’est jamais qu’une petite défaillance électronique. Du moins, officiellement. Officieusement, je continue d’avoir des doutes surtout quand on découvre que Blonsky entraîne deux autres hommes avec pouvoirs à gérer leurs émotions. Au passage, les deux hommes détruisent la Prius Prime de Jennifer, et ça me paraît important de préciser la marque de la voiture car les scénaristes ont dû galérer à gérer ce placement produit de manière si fluide.

Toujours est-il que sa voiture est déglinguée par les deux hommes -El Aguipa et Man-Bull – et que Jennifer finit par être complètement déprimée de son dimanche. Je peux la comprendre : elle est coincée chez son client qui a certes une magnifique propriété, mais qui n’a aussi pas une once de réseau ou de wifi. On a connu de meilleurs dimanches. Jennifer est attachante à être accro à son portable, d’un coup ; et j’ai beaucoup apprécié le jeu de Tatiana Maslany, une fois de plus. La meilleure scène de l’épisode, pour l’instant, est clairement celle où elle redevient humaine en étant toujours en colère.

Bref, la suite de l’épisode voit Jennifer chercher du réseau partout et n’en trouver que dans la cabane où Blonsky réunit ses disciples pour une séance de soutien et de calme. C’est amusant à voir sans être exceptionnel, avec les deux hommes précédents, mais aussi un porc-épic et un faux vampire.

Tout pourrait aller bien, surtout que l’humour se met en place avec les deux premiers en relation de co-dépendance, mais finalement, on se retrouve face à un problème quand Jen voit débarquer un autre homme à la réunion : celui qui leadait ses agresseurs il y a quelques épisodes. C’est l’occasion d’un bon retour en arrière avec humour, mais aussi l’occasion pour que Jen s’énerve à nouveau. Elle se retransforme en Hulk, peut-être avec un petit décalage entre les effets spéciaux et le moment où elle envoie valser l’homme.

L’homme est évidemment un des disciples de Blonsky, alors ça permet finalement d’établir un dialogue et la communication entre eux. La scène vire en soutien de groupe qui n’est pas loin d’une secte, les cinq autres hommes parlant finalement avec Jen pour mieux la comprendre. Elle finit par s’ouvrir à eux sur sa relation avec Josh. Assez vite, on apprend que Jennifer a donc renvoyé un autre SMS pour dire qu’elle s’inquiétait pour Josh et… Sérieusement, appelle-le en vrai ?

Et pourtant non, elle se laisse convaincre qu’elle doit laisser tomber son bouclier et peut-être même supprimer le numéro de Josh. Je trouve ça abusé, même s’ils ont raison quand ils soulignent qu’elle ferait mieux de passer plus de temps à se concentrer sur Jen, et moins de temps à se concentrer sur Josh si lui n’a pas le temps pour elle. C’est une intrigue toute mimi, mais je ne peux m’empêcher de m’inquiéter pour Josh – je n’ai pas envie qu’il soit méchant, alors j’opte pour le choix où il est gentil et kidnappé.

En attendant, Jen décide de tester la yourte pour passer de bons moments relaxants en ce dimanche. Après cette super journée, la dépanneuse pour la voiture de Jen débarque et elle peut donc rentrer chez elle, avec une carte d’au revoir de tout le groupe. Blonsky s’inquiète encore pour elle et fait ce qu’il peut pour s’assurer qu’elle ne recontactera pas Josh et ne sera pas trop amnésique du temps passé avec eux.

L’épisode pourrait donc s’arrêter là, mais la vérité est ailleurs concernant Josh : trois jours plus tôt, on retrouve donc Josh après sa nuit d’amour avec Jen. J’espérais que ce ne soit pas un méchant, mais une victime… et ce n’est finalement pas le cas. Il a juste copié le téléphone de Jen avant de la prendre en photo nue dans son lit. Elle a clairement fait confiance à la mauvaise personne.

She-Hulk: Attorney at Law – S01E06

Épisode 6 – Just Jen – 16/20
Ouf, l’humour est de retour avec cet épisode et prend de nouveau sur moi. Pourtant, je suis aussi fatigué que la semaine dernière ! Côté intrigue, on sent bien que ça avance, même si certaines choses sont mises de côté pour l’instant. J’ai l’impression qu’on va passer la saison à sentir la menace planer sans jamais la voir vraiment, mais en même temps, la série n’en a pas besoin pour me donner envie de la regarder. Tant que je m’amuse bien et que j’ai trois actrices que j’adore au casting, je ne peux que continuer de regarder.

Spoilers

Jen est invitée à un mariage.

Everybody has an ass.

Le dimanche semble être devenu la bonne soirée pour regarder cette série, alors c’est parti pour un nouvel épisode que j’espère un peu plus engageant que le précédent. Le retour du générique de Marvel Studios suffit de toute manière à me motiver, c’est déjà ça de pris. Après, la première scène est surprenante, avec Jen qui se retrouve à devenir demoiselle d’honneur malgré elle.

C’est une excellente idée, parce qu’un épisode mariage est toujours le bienvenu dans une saison, contrairement à ce que Jen nous indique en off. Elle n’a pas forcément envie d’y aller, mais elle n’a pas le choix, parce qu’on ne refuse pas une invitation à un mariage, même quand la mariée s’appelle Lulu. Au moins, elle y voit un intérêt : elle pourra se la crâner en She-Hulk, surtout que Luke lui a préparé une robe pour le mariage.

La robe est magnifique, She-Hulk aussi… et ça pose immédiatement problème à la mariée qui demande à She-Hulk de redevenir Jen. La robe est tout de suite un peu moins adaptée à la taille de Jen, mais ça lui va quand même, alors ça va. Le mariage ? Lulu est complètement dingue, elle créé des binômes pour le mariage – Jen se retrouvant avec un certain Jonathan – et elle est loin d’être sympathique. Jonathan est en fait un chien, alors que Jen aurait préféré passer du temps avec Josh, je pense. Josh, c’est un beau gosse qu’elle croise un peu par hasard, qui est là du côté du marié et qui est cool avec elle. Il a tout pour lui – et tout pour elle. Puis, d’ailleurs, la mariée veut que Jen se case en théorie.

Disons en tout cas que c’est tout ce qui l’intéresse quand elle demande des nouvelles de sa pote de lycée. Sincèrement ? Qui fait ça ? Elle est odieuse à s’en foutre de son boulot. En plus, pour ne rien arranger à la journée de Jen, être demoiselle d’honneur, c’est en fait se retrouver esclave de Lulu. Elle traite mal le personnel qui quitte son mariage, donc c’est Jen qui devient son esclave officielle.

Elle est chargée de débarrasser les tables ou de faire du repassage… C’est terrible quand même ? Il y a d’autres activités normalement. En plus, les robes des demoiselles d’honneur ne sont vraiment pas merveilleuses, je trouve. Enfin, Lulu fait carrément payer les cocktails à son mariage. Non, vraiment, Jen ferait mieux de changer d’amie, parce qu’à ce stade-là, il n’y a plus rien qui aille.

Histoire de parfaire encore le tableau, Jen découvre assez vite qu’il y a au mariage une autre invitée avec des super-pouvoirs : Titania. Celle-ci n’est là que pour se venger de Jen et de la défaite subie au tribunal, mais personne ne semble s’en soucier. Jen passe pour une hystérique quand elle le dit, puisque Titania est aussi en couple avec un pote du marié. Comme ça tombe bien et comme ça a dû être compliqué d’infiltrer le mariage…

Jen finit par laisser tomber et s’éloigne d’elle, préférant danser comme elle peut en se bourrant la gueule à coup de cocktails certes peu chers, mais toujours trop chers puisqu’il faut les payer. Elle s’emmerde tellement au mariage qu’elle tente de prendre des nouvelles de Hulk, c’est dire. Bon, c’est son cousin, et son autre cousin, Ched, est horrible comme DJ, alors c’est normal de se rabattre sur l’Avenger parti dans l’espace. Jen est complètement bourrée, et elle doit regretter She-Hulk.

Après, même dans cet état, elle se fait draguer par Josh, mais ça se termine mal pour elle quand elle a plutôt envie de vomir que de l’embrasser. C’est triste pour elle, surtout que la scène se termine vraiment par du vomi. La seule personne qui l’aide à s’en remettre est évidemment Titania. Celle-ci en profite pour tenter de dégommer notre super-héroïne.

Heureusement qu’elle était là pour le mariage, hein. Ce n’est pas ce qu’il se passe et elle provoque Jen à plusieurs reprises, espérant la voir se transformer. Jen n’y arrive pas, cependant, et elle met un certain temps à reprendre ses esprits de tout l’alcool bu. Pourtant, elle se transforme finalement, sans déchirer la robe comme je m’attendais à ce qu’elle le fasse pour que ce mariage tourne au cauchemar – ben oui, Lulu lui a demandé de ne pas se transformer pour ne pas détourner l’attention.

 

Malgré tout, Jen se transforme et c’est alors parti pour une baston, comme le dit Chet au micro. Dès lors, on s’amuse bien avec une petite baston plus marrante qu’autre chose. Je trouve que cet épisode utilise enfin comme il faut les talents humoristiques des deux actrices. Titania souhaite évidemment se venger de Jen, mais elle attire l’attention de tout le monde un peu pour rien. Elle comprend trop tard qu’elle ne fait toujours pas le poids face à She-Hulk, malgré l’alcool bu par Jen.

She-Hulk a un bon métabolisme pour évacuer l’alcool et Titania aurait dû choisir des chaussures plus adaptées à ce qu’elle voulait faire, parce qu’elle se tape la gamelle de sa vie en essayant de s’attaquer à l’héroïne. Elle est filmée, puisque ça se passe devant tout le monde, et elle l’est aussi quand elle se relève, avec les dents complètement explosées.

La pauvre Titania n’a plus d’autres choix que de se barrer et Jen se retrouve confrontée à Lulu, qui ne voulait pas qu’on lui vole la vedette. Par chance, la mariée est complètement bourrée. Pas besoin de vraiment s’excuser finalement, la mariée est juste contente de voir She-Hulk à son mariage… Et la comédie prenait bien, ça m’a fait rire. Il en faut peu, je sais.

En parallèle, la vie continue pour Nikki au cabinet d’avocats. Elle bosse désormais pour l’avocate de Jen, par intérim pendant l’absence de sa pote, parce que c’est Mallory qui reprend les affaires de Jen. L’affaire de la semaine ? Un divorce d’un type avec des pouvoirs qui le rendent immortel. Il en profite pour fuir tous les conflits en mourant, et ça pose problème pour son divorce. Plutôt que de divorcer, il est mort… ça aide, non ?

Probablement. Nikki et Mallory ne voient pas les choses tout à fait comme lui, et elles lui font savoir. Sa réaction ? Il se suicide. Il peut le faire avec ses avocates sans les arnaquer, mais ce n’est pas trop le cas pour ses ex-femmes. Elles lui font donc un procès, surtout que le type a été assez malin pour se marier huit fois sous de fausses identités. Elles ont retrouvé sa trace grâce à un site nommé Intelligencia.

Les désaccords sont nombreux, forcément, et les femmes refusent de toute obtenir le même remboursement sachant que l’Immortel s’est marié à plusieurs reprises pour des durées différentes, parfois avec des enfants à la clé. Nikki est chargée de trouver un terrain d’entente, et elle y parvient en devenant pote avec chacune des victimes. Nikki m’a bien fait rire, une fois de plus. J’adore Ginger Gonzaga, c’est plus fort que moi.

Une fois cette affaire réglée, elle se réfugie dans son bureau avec Mallory. On découvre comme cela que Mallory est mariée depuis onze ans et qu’elle a un fils au moment même où j’allais écrire ici que ces deux-là, Nikki et Mallory, allaient finir ensemble. Sincèrement, c’est du flirt ce qu’on voit dans cet épisode, non ? On sait que Nikki n’est pas tout à fait hétéro puisqu’elle regrettait la simplicité de la vie hétéro dans un épisode précédent.

Bon, ce n’est pas le sujet de toute manière. Les deux femmes découvrent alors sur le site internet qui a fait tomber leur client une page inquiétante, avec des memes se foutant de la gueule de Jen et surtout des menaces de mort.

Mallory explique à Nikki qu’il ne s’agit que de trolls qu’il vaut mieux ignorer, car ça leur donnerait de l’importance. Nikki accepte… et appelle Jen à la première occasion. Elle lui laisse un super message vocal. Jen est en effet occupée à manger des frites avec Josh et elle ne se doute pas qu’ils sont filmés en même temps par quelqu’un qui cherche clairement à la tuer. Bon, la menace est bien là, mais il faut encore attendre avant d’en savoir plus.

C’est en effet le cliffhanger de cet épisode, et le générique de fin est toujours aussi sympathique, même sans scène post-générique. On s’amuse bien avec les dessins des scènes non vues dans l’épisode, mais évoquées, comme les 20 secondes de pardon de l’Immortel, yeux dans les yeux avec sa femme, ou Titania chez le dentiste.

She-Hulk: Attorney at Law – S01E05

Épisode 5 – Mean, Green, and Straight Poured into These Jeans – 13/20
Je suis hyper déçu par cet épisode ? D’accord l’humour est toujours présent et quelques scènes étaient sympathiques, d’accord on a ENFIN le développement de personnages secondaires avec un peu plus de temps d’écran, mais j’ai eu l’impression d’attendre que l’épisode commence pendant tout l’épisode… au point que j’ai eu du mal à croire qu’il soit déjà terminé tellement je n’avais pas eu l’impression qu’il s’était passé quoique ce soit encore par rapport au précédent.

Spoilers

Titania a déposé le nom She-Hulk avant Jennifer.

I am so happy we’re friends now!

Qu’est-ce que c’est que ça pour un titre d’épisode, franchement ? Allez, qu’importe, c’est She-Hulk et il est plus que temps pour moi de regarder cet épisode ! Je n’ai pas eu le temps avant, mais c’est le problème de se coordonner pour regarder les épisodes.

La première scène nous montre pourquoi Titania a déposé le nom « She-Hulk » : elle a décidé d’en faire une ligne de cosmétique, et ça ne plaît pas du tout à Jenifer. Forcément. Tatiana Maslany m’a fait mourir de rire, la pub pour les produits de Titania était sympathique. Au début, en tout cas. Pour Jennifer, c’est loin de l’être : c’est juste énervant d’avoir son nom exposé un peu partout et associé à des produits de beauté. Même quand elle rentre chez elle, c’est pour mieux avoir son cousin Ched qui débarque et souhaite l’utiliser pour signer des produits de Titania.

Il lui reproche de ne pas avoir eu l’idée de déposer le nom avant, par elle-même. Cela m’a bien fait rire également. Cela veut dire deux choses : je suis bon public, c’est sûr, et le ton pour l’épisode est lancé. M’enfin, ça manquait un peu d’enjeu : tout ce que Jennifer cherche à faire durant cette demi-heure, c’est récupérer son nom. On se doute bien qu’elle y arrivera.

Elle commence par une approche douce : elle se rend à un show de Titania qui vend tout plein de produits. On apprend au passage que Nikki a la meilleure façon de rentrer dans les clubs privés : il suffit d’entrer avec confiance. Si ça pouvait être si simple à tous les coups. Se transformer en She-Hulk devrait suffire, honnêtement.

M’enfin, justement : dedans, ce n’est pas She-Hulk qui fait des dédicaces, c’est Titania. Et elle n’en a rien à faire de Jennifer Walters. Titania me fait mourir de rire, mais la scène ne mène à rien finalement, si ce n’est à énerver encore plus notre héroïne qui se fait dégager par Titania – mais pas avant d’avoir pris une photo pour une de ses fans. Le comble, quoi. Le lendemain, Jen continue ainsi de se plaindre, énervée, auprès de Nikki. Si elle déteste le nom « She-Hulk », ça ne l’empêche pas d’être embêtée par le comportement de Titania, au point d’en éclater son agrafeuse, parce que c’est devenu une part de son identité.

Nikki fait ce qu’elle peut pour lui venir en aide, avant de sortir de son bureau. Je sais bien qu’elle bosse pour son amie qui a la peau verte, mais je trouve que Nikki a un drôle de maquillage, tout de même. La mode américaine est bizarre parfois, et ce n’est pas Pug, son collègue, qui me fera changer d’avis. En effet, Pug lui demande de faire la queue pour acheter des baskets avec lui et là, je dois dire que sérieusement, on s’éloignait trop de toute intrigue intéressante pour que ça me plaise toujours autant. Je trouve ça un peu abusé, mais bon, ça permet à Nikki d’avoir une intrigue et plus de temps d’écran, et c’est exactement ce que je voulais.

Elle me fait rire à négocier avec Pug pour faire un deal de drogue digne des plus grands mafieux quand tout ce qu’elle veut en échange de son temps pour lui acheter une paire d’Iron Man 3, c’est trouver de nouveaux vêtements qui iront à Jennifer. C’est clair que son tailleur commence vraiment à nous sortir tous par les yeux ; il est laid comme tout… mais c’est bien naturel de ne pas savoir comment s’habiller quand on devient oversize du jour au lendemain, j’imagine.

Par chance pour lui, Pug connaît quelqu’un qui connaît quelqu’un capable de faire de bons costumes pour super-héros. Bon, il faut avant tout passer par un magasin de Bubble tea où Nikki utilise le chinois pour convaincre qu’ils ne sont pas flics, et c’est apparemment une bonne idée de le préciser. En effet, le vendeur les accueille dans une arrière-boutique où il leur vend des produits dérivés.

Nikki et Pug se retrouvent alors affublés de fringues Avengers – enfin pardon, Avongers – et c’est aussi ridicule que fun. Après un peu de négociations, ils arrivent toutefois auprès d’un tailleur de super-héros. Nikki dit venir de la part de Titania, mais comme elle rigole, ça ne marche pas… et elle est forcée de prétendre que Jennifer est une Avenger pour avoir un entretien avec le tailleur et un rendez-vous pour ramener Jennifer afin de la relooker.

En parallèle de tout ça, Jennifer est toujours au travail, où son patron n’apprécie pas du tout de voir la marque She-Hulk : les produits cosmétiques de Titania ne sont pas géniaux pour l’image de la boîte. Il lui impose donc de régler l’affaire au plus vite, mais il ne lui fait pas pour autant confiance, craignant qu’elle n’y arrive pas par elle-même. Jennifer est obligée de contacter une avocate – et celle-ci s’amuse bien de voir She-Hulk être ridiculisée par Titania de manière si grotesque. En plus, le problème des fringues revient sur le devant de la scène, alors Jennifer vit assez mal la situation.

On arrive assez vite au tribunal où la confrontation Titania/Jennifer va pouvoir avoir lieu de nouveau, mais cette fois-ci, avec des arguments légaux. L’avocate de Jennifer avance de bons arguments, mais Titania prend la parole aussi vite que possible, avant même son avocat, parce qu’on a traité ses produits de camelote. C’était plutôt marrant parce que l’actrice s’éclate dans ce rôle, mais je trouve que ça manque là aussi de quelque chose. Peut-être que c’est moi qui suis fatigué ?

Concrètement, le débat a lieu malgré tout sur l’utilisation du nom She-Hulk, parce qu’il existe une vidéo de She-Hulk détestant le nom ; et une où elle se dit She-Hulk parce que le surnom est resté. Il faut encore prouver que ce n’est pas arrivé qu’une fois au journal télévisé, et il y aura donc une autre audience prévue.

Après tout ça, Jennifer est emmenée par Nikki auprès de son tailleur pour super-héros. C’est plutôt amusant à voir et ça fait une bonne intrigue finalement, mais ça le ferait surtout s’il y avait 22 épisodes prévus. Le tailleur est amusant comme tout, il n’a clairement pas de temps à consacrer à She-Hulk, mais le défi finit par lui plaire quand il aperçoit le changement de taille de Jennifer.

Au retour de ce rendez-vous où elle a obtenu la certitude qu’elle pourrait bientôt s’habiller différemment, Jennifer recroise un des types avec qui elle a eu un rencard, et c’est vraiment pas une bonne idée puisqu’il s’agit du fétichiste. Pourtant, c’est une excellente nouvelle pour Jennifer : elle se rend compte qu’elle a bel et bien utilisé le nom She-Hulk avant l’arrivée de Titania sur le marché. C’est facile : elle l’a utilisé pour rencontrer des hommes et avoir des rencards.

Oui, pour gagner son affaire, elle décide de refaire appel à eux. Tous les rencards de She-Hulk se pointent vraiment au tribunal pour souligner qu’elle a utilisé son surnom comme une part flagrante de son identité, bien avant les produits cosmétiques de Titania. Jennifer a clairement honte de ces rencards – et même le chirurgien qui était magnifique finit par avouer qu’il l’aime en She-Hulk, mais qu’il ne serait pas sorti avec elle si elle s’était présentée en tant que Jennifer. C’est le témoignage qui fait pencher en sa faveur la balance – alors que moi je trouve ça juste terriblement triste pour le personnage (et puis… qui ne voudrait pas de Tatiana Maslany ??).

Bref, She-Hulk remporte son affaire, Titania promet de ne pas en rester là et… c’est tout. Bon, d’accord, Jennifer propose encore à son avocate de lui offrir un verre pour la remercier. L’ambiance entre elles est détendue et relax, mais Jennifer ferait mieux de rester She-Hulk, parce que l’alcool ne lui réussit pas vraiment. Elle déclare ainsi qu’elle est amie avec son avocate avant même que celle-ci ne soit vraiment son amie, ce qui provoque une scène gênante entre elles où l’avocate critique sa tenue.

L’épisode se termine ainsi sur un double cliffhanger : Jennifer retourne chez le tailleur, Luke, pour avoir enfin un costume qu’elle adore – mais qu’on ne verra pas dans cet épisode – et Luke planque avant qu’elle ne voie un autre costume dans une boîte. On aperçoit ainsi le costume de Daredevil, et c’est censé je pense être un grand moment de la série… sauf que ça fait des semaines et des semaines qu’ils ont annoncé qu’il serait dans la série, donc ben… pas de révélation, pas de suspense, le cliffhanger tombe à l’eau en ce qui me concerne. Un peu comme le reste de l’épisode, en fait.

Le générique de fin est presque plus intéressant que l’épisode en lui-même, avec un bon jeu de mots dans le choix de la chanson (« Say my name ») et avec des dessins qui nous révèlent tout ce que l’épisode n’a pas su nous montrer avant… ben rien, parce qu’il n’y a pas de scènes post-générique. J’imagine qu’il ne fallait pas les prendre pour acquises ?