Heated Rivalry – S01E01 – Rookies – 12/20

C’est très beau, très esthétique à la réalisation et au casting, mais ce n’est pas une romance. Du tout. Twitter m’a menti, une fois de plus. C’est l’histoire d’un plan cul à la chronologie totalement éclatée et bien plus frustrante que la soif sexuelle entre les deux protagonistes, dont je me demande bien ce qui les attire l’un l’autre au-delà de l’aspect charnel de se croiser une fois tous les 36 du 13e mois de l’année. Plus ou moins. Bref, je ne suis pas convaincu, parce que même la rivalité sportive entre eux n’est pas tellement exploitée. Par contre, quand il s’agit de les déshabiller, ils savent les exploiter sous (presque) tous les angles…

Spoilers

Les deux nouvelles stars montantes du hockey ne sont pas dans la même équipe. Des rivaux prêts à tomber amoureux, quoi.


It’s everything you dreamed of ?

L’épisode commence comme la bande-annonce : Ilya Rozanov est en train de fumer quand Shane Hollander vient se présenter à lui. OK. Ce sont deux jeunes adultes, je crois, j’espère, qui se rencontrent pour la première fois ; et Ilya n’est pas censé fumer, mais il s’en fout. Je le déteste déjà, c’est super. Ils sont rivaux, alors Ilya n’est pas très sympa avec Shane, sachant très bien qu’ils sont voués à se détester. Nous apprenons alors que nous sommes en 2008 et une voix off nous présente les deux stars pour nous expliquer dans quoi on met les pieds. Deux joueurs de hockey rivaux, finalement, y a-t-il besoin de plus d’introduction que ça ?

Bien sûr que oui. Après tout, le créateur, Jacob Tierney, est un mordu de hockey et c’est clairement ce qui l’intéresse dans cette histoire à la base s’il bossait sur Shoresy à la base. C’est ce qu’il met en avant dans ce début d’épisode où le temps passe vite et nous montre que les deux héros sont les étoiles montantes de leur sport au Canada. C’est un peu étrange car quand on les retrouve, ils sont déjà sur des échanges de regard plein de haine et une compétition ridicule – ennemies to lovers on vous a dit.

La compétition ? Après une petite scène où on a vu Shane en caleçon mettre une paire de chaussettes (on sait ce que vous faites pour les audiences !), on le voit s’entraîner sur un vélo d’appartement – dans une salle de sport. Ilya débaque, se met sur le vélo d’à côté et les voilà qui entrent en compétition de qui ira le plus vite et en fera le plus.

Complètement claqués, ils s’assoient ensuite au sol et on voit que le regard de Shane se concentre beaucoup sur le corps d’Ilya, son entrejambe et la gourde qui y est judicieusement placé. Shane est tellement excité que ça en est dérangeant : la caméra se focalise bien sur son regard qui suit les gouttes de sueur le long du cou d’Ilya et sur les mains qui se caressent au moment d’échanger la gourde. J’ai tant de blagues à faire, je vous jure !

Six mois plus tard, encore, les deux se retrouvent sur une nouvelle compétition. On est déjà en 2009, finalement, et c’est même le nouvel an. Ilya passe le réveillon tout seul après une défaite au hockey et il se prend toute la pression de son père qui veut le voir gagner. Ben tiens. On peut difficilement faire plus cliché que ça et, en même temps, faut bien reconnaître que ça fonctionne.

Si le père d’Ilya est énervé et ne veut pas que son fils perde face à Shane, Ilya a d’autres idées en tête apparemment. Ainsi, il signe pour une campagne publicitaire qui se fait avec Shane (je crois qu’on ne sait même pas vraiment le produit, et le tournage a l’air plus fun qu’autre chose) : c’est son idée et il s’en vante auprès de Shane sans le moindre complexe.

Oui, vraiment, sans le moindre complexe : il le rejoint ensuite sous la douche et se déshabille sans le prévenir qu’il arrive. Bon, il paraît que ça se fait comme ça dans les douches des grands athlètes, mais moi je trouve ça étonnant, un peu, que ce soit si libre d’accès pour de grandes stars internationales comme ils semblent l’être dans le domaine du hockey. Je ne sais pas, n’importe qui peut entrer dans le vestiaire et se foutre à poil alors ?

Puis… C’est bizarre qu’ils ne soient que tous les deux du coup ; bizarre aussi que Shane décide de prendre une douche alors que ce n’était pas un match. Mieux vaut ne pas être pudique, en tout cas ; mieux vaut aussi, peut-être, ne pas être gay quand il se retrouve seul à seul avec Ilya. La série nous vend un début de porno à ce stade, avec deux jolies paires de fesses sous la douche : Shane mate Ilya (pas si) discrètement, Ilya le lui rend bien moins discrètement, s’amusant même de voir son érection – ce petit haussement de sourcil était aussi hilarant qu’un peu hot, en vrai. Shane, lui, a un peu honte (deux lettres qui changent tout le sens de la phrase, n’est-ce pas ?), mais il se rend compte bien vite qu’il n’est pas le seul à être excité.

Oui, parce que voilà, Ilya se met alors à se masturber devant lui. Et c’est pas juste une érection réflexe devant lui qu’il dissimulerait avec de la gêne : non, Ilya le regarde et le mate complètement, sans la moindre once de honte. Shane est tout perturbé, Ilya lui fait signe de se masturber lui aussi et bizarrement, ça semble déranger Shane qui est celui dont le regard a tout initié. Shane lui demande carrément de ne pas faire ça ici. Le « ici » est lourd de sens.

Au point où ils en sont, je ne vois pas trop pourquoi, parce que de toute manière, ils sont les deux seuls athlètes sur place, pour la pub. A priori, ils sont assez confiance pour se balader à poil donc… ils ont une relative tranquilité. OK, ils ne peuvent pas être bruyants, mais au pire, au stade où ils sont. Dans les vestiaires, Shane propose ensuite à Ilya de faire comme si rien ne s’était passé, assurant que c’est ce qu’il souhaite. Il ment mal.

Ilya lui propose donc de passer le soir même à 21h dans sa chambre d’hôtel, mais il se contente d’un « je frapperais peut-être à la porte ». Mort de rire. Il va tellement se faire désirer. C’est si évident qu’il ne se pointera pas, mais Shane se fait tout un film, se prépare et passe la soirée à l’attendre. La musique est sympa, mais ça va vite en besogne, car ils ne se connaissent pas. C’est juste purement de l’attirance sexuelle sur fond de « je déteste qu’il soit aussi bon que moi en sport ». Su-per.

En chemin pour la chambre d’hôtel de Shane, Ilya tombe sur la mère de Shane. C’est presque hilarant, mais ça casse mon plan : je pensais qu’il ne se pointerait pas. S’il est clairement là pour baiser, Shane essaie de lui dire qu’ils feraient mieux de se parler. Lol. La tension sexuelle entre eux est très bien jouée, mais la série va si vite : on n’a pas eu le temps de sentir toute la frustration et tout le jeu qu’il y aurait pu avoir dans ces ellipses de plusieurs mois d’un coup. Soit. Cela semble pourtant être une composante essentielle de ce « couple ».

Sans parler plus que ça, les voilà donc qui se déshabillent rapidement. On me vendait une romance, mais ça, c’est juste du cul finalement. Oh, c’est esthétique on va dire, ils sont très beaux ces deux acteurs. La série nous montre des fesses, mais censure tout le reste, comme il se doit. Les scènes d’intimité sont réussies pour montrer autant que possible le corps des acteurs, sans que ça devienne un porno. Par contre, niveau écriture… Eh, c’est finalement au milieu d’une pipe interrompue par Ilya qui trouve que c’est trop bon que les deux se mettent à se parler vraiment. Il y a peut-être une certaine réalité envisageable avec cette scène, mais ça ne paraît pas très sain. Je sais, enemies to lovers, qui a dit que ce serait sain ?

On apprend ainsi qu’Illya n’en est pas à son premier mec, parce qu’il a couché avec le fils de son coach en Russie (ben super), mais que Shane, lui, n’a jamais rien fait avec un autre mec. Il est drôlement entreprenant sur la fellation à Shane pour quelqu’un qui n’a rien fait avant. La série ne montre certes pas de sexe, mais elle est loin d’être pudique quand il s’agit de montrer la relation sexuelle entre les deux hommes, en tout cas. Ilya aussi ne l’est pas, comme on l’a déjà établi avant : il souhaite absolument voir Shane se déshabiller devant lui.

Une fois que c’est, ça va extrêmement vite entre eux. Illya jouit très vite et semble prêt à partir, mais il ne fait que jouer avec Shane – qu’il appelle par son nom de famille. Il est satisfait de la première fois de Shane, mais il lui démontre que c’est possible d’aller encore plus vite en lui retournant sa faveur. Je suis un peu dérangé par la gêne qu’époruve Shane au moment de jouir, parce qu’Ilya veut avaler mais ils n’en ont pas parlé avant. Et moi, les actes sexuels dans lequels un des deux partenaires dit « stop », ça me tend un peu, voyez-vous. Et pourtant, le sdeux sont très satisfaits de ce qui se passe entre eux finalement.

Comme le reste de la relation, c’est express, en revanche. On a cinq minutes de cul entre eux, Shane se rhabille et bonne nuit, à demain. Pardon, mais… Même pas de petite douche. Vous me direz, ils l’ont prise avant déjà. Et Shane s’inquiète quand même de savoir si Ilya racontera à quelqu’un ce qu’il s’est passé – mais non. Quelle belle relation gay dis donc.

Trois mois plus tard. Trois mois plus tard ? La série veut me tuer. On découvre que Shane est toujours à fond dans son admiration d’Ilya, à regarder des vidéos Youtube et à arriver en retard au repas avec ses parents à cause de ça. Et autant je pensais au départ que le hockey allait avoir un rôle essentiel dans l’histoire, autant je découvre que je me suis mis le doigt dans l’œil.

On voit ainsi le début d’un match où ils sont l’un contre l’autre… pour mieux passer tout de suite à Ilya en train de regarder une interview de Shane, en français. Ah ! Un canadien qui parle français, c’est top.

Les mois passent à nouveau et on se fout vraiment de moi à ce stade. Je n’accroche pas du tout à la chronologie qui ne met pas en avant le sport et les compétitions, mais simplement les rencontres entre les deux. Et encore, même ça c’est… particulièrement bref ? On les retrouve en conférence de presse à se faire du pied (à distance, quand même, nul en vrai ?) et à répondre aux journalistes sur des questions de sport auxquelles je dois bien avouer que je ne comprends rien. Bon. Le problème vient de moi aussi, je ne connais rien au hockey. Je m’attendais tout de même à quelques explications, à un duel plus visible entre les deux rivaux, mais non, on a juste des scènes balancées comme ça où on sait qu’ils sont très bons en hockey – Ilya avec une petite longueur d’avance.

Tous les matchs sont évoqués entre deux, avec à peine trente secondes de match à chaque fois. On les voit s’affronter… pour mieux les retrouver sur le banc, à parler parmi le brouhaha du match comme les deux amants qu’ils sont – sauf qu’ils ne sont pas amants, justement, ils sont juste plan cul.

Sur le banc de l’équipe de Shane, il y a un autre acteur que j’adore. Il est un coéquipier, Scott, qui parle mal d’Ilya, mais qui glisse à Shane l’information qu’il est dans la chambre d’hôtel à côté de celle d’Ilya. Ben super. Cela fait stresser Shane quand il rejoint Ilya dans sa chambre, mais ça n’arrête pas du tout les deux garçons, loin de là.

Shane se rend dans la chambre d’hôtel et il ne faut pas longtemps pour qu’Ilya soit déshabillé complètement. C’est ensuite au tour de Shane qui, une fois de plus, garde ses chaussettes. Ils savaient ce qu’ils faisaient je vous dis. Après les fellations, il est temps de parler sodomie, avec Ilya qui a très envie de pénétrer Shane. Il s’inquiète de son consentement tout de même (ouf), puis de son expérience sur le sujet pour mieux découvrir que… Shane a un dildo dans les fesses, ce à quoi Ilya ne s’attendait clairement pas. Il fait un peu d’humour, mais espère quand même pouvoir faire l’amour à Shane. En vain.

Il comprend que ça ne sera pas pour ce soir, mais il promet à Shane que ce sera pour la prochaine fois. Ils sont de nouveau en compétition deux semaines plus tard. Ilya organise ainsi leur prochain plan cul directement dans l’appartement de Shane. Cela ne semble pas plaire plus que ça à Shane en vrai. Il est si angoissé de tout.

Après ce petit moment sexuel entre eux, Ilya donne enfin son numéro à Shane qui n’osait pas le demander, mais essayait quand même. Voilà donc Shane qui se fait appeler Jane dans le portable d’Ilya, et Ilya qui s’avère être Lily.

Deux semaines plus tard par contre, c’est la douche froide pour Shane : il y a une tempête de neige à Montréal qui annule les matchs car les autres joueurs ne peuvent venir. Shane est coincé à Montréal, Ilya ne peut y venir. Il n’a clairement pas de nouvelle de Lily et, une fois dans les vestiaires, il se laisse inviter à un dîner chez un autre coéquipier. Mouais. C’est peut-être parce qu’ils sont à moitié à poil, peut-être parce qu’on a vu Shane faire l’amour avant, mais ça semble si gay ça aussi !

De son côté, Ilya reçoit une visite surprise qu’il semble ne pas trop apprécier : celle de sa petite amie. Oh ben super, le voilà bisexuel et il ghoste complètement Shane qui est pourtant accro. Pauvre petit Shane.

Ce n’est que quatre mois plus tard que les chemins de Shane et Ilya se recroisent. Cette chronologie est si naze ! Ils se recroisent à l’occasion d’une cérémonie où Shane est sacré meilleur nouveau de la saison, super. Sur place, Scott lui propose d’aller boire des coups avec ses deux autres compétiteurs, un certain Vincent et… Ilya.

Scott les a beaucoup associés déjà et ça semble déranger Shane… mais il laisse les choses se faire quand même. On arrive alors à la fin de l’épisode où les deux se retrouvent sur le toit de l’événement auquel ils sont. Shane est énervé après Ilya : pendant toute la saison, Ilya a apparemment gagné sur lui à chaque fois (franchement, on ne l’a pas tant vu que ça !) et, pour une fois qu’il gagne, il espérait voir Ilya le célébrait. Ce n’est pas le cas.

Il faut dire qu’Ilya a d’autres problèmes plus importants à gérer : il doit retourner en Russie trois jours plus tard et n’a pas le cœur à la fête. Mouais. Ils ne me vendent pas du rêve du tout ce couple. C’est bien de s’aventurer sur des séries différentes de ce que je regarde habituellement, mais peut-être qu’il y a une raison qui fait que je reste sur mes séries habituelles quand je vois ce qu’on me vend ici. Du sexe plus qu’une relation amoureuse pour le moment.

Ilya finit par embrasser par surprise Shane, qui vit très mal le fait d’être embrassé en extérieur. Il a peur d’être vu. Oh, ça leur ferait du bien de se décoincer sur la question pourtant. Drôle de cliffhanger, en tout cas : ils se quittent en froid en attendant la prochaine saison. Bon. Je verrai le prochain épisode plus tard, du coup. On m’avait vendu une romance, ce n’est pour l’instant qu’un long plan cul ; on m’avait vendu des rivaux, je sens juste de l’agacement du côté de Shane. Et Ilya est pas mal détestable. Bref.

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Heated Rivalry (S01)

De quoi ça parle ?

De deux joueurs de hockey rivaux qui tombent amoureux l’un de l’autre.

Ce que j’en attends

C’est l’hiver et il faut bien que la température dans l’appartement remonte de quelques degrés avant que je tombe malade. Ainsi quoi de mieux, ce week-end, que de me laisser porter par les douces voix de Twitter qui m’ont mise en avant cette série qui promet quelques degrés supplémentaires ? Six épisodes tous diffusés avant Noël, une romance gay ennemies to lover, qu’est-ce qui pourrait mal tourner ?

Plein de choses, à commencer par le fait que je ne suis pas très romance de base (même si je me soigne tellement Ludo a insisté) et encore moins ennemies to lover (mais Ludo m’a embarqué dans Fourth Wing, alors qui sait ?). En vrai, c’est une romance gay, ça sera très choupi et sûrement un peu hot, ça va très bien avec le mois de décembre. Twitter me l’a vendu comme une histoire d’amour, certes, mais aussi comme l’adaptation d’un roman -18 qui respecte parfaitement le cahier des charges de la nudité.

Bon, j’ai d’autres arguments pour me décider à regarder la série, je vous rassure : j’hésitais en voyant tout ça, alors j’ai lancé la bande-annonce. Il y a dedans des visages connus d’acteurs que j’aime bien, qui ne sont pas forcément excellents, mais qui ont mon capital sympathie. Et puis, c’est une série qui change complètement de ce que je regarde habituellement : c’est un peu ce que je cherche dernièrement, parce que je me plains que ça manque de nouveauté sur les networks, alors faut bien aller chercher les nouveautés ailleurs, je suppose. Pourquoi m’obstiner à toujours voir les mêmes séries et m’en plaindre (coucou 9-1-1), pourquoi en avoir marre des spin-offs et reboots si je ne tente pas le reste et ce qui ne devrait pas me plaire ?

En plus, techniquement, c’est un peu comme si je suivais un conseil d’Aurélien en regardant la série, parce que le créateur bosse aussi pour Shoresy. Croyez-le ou non, mais c’est l’argument final qui fut décisif pour me faire lancer l’épisode 1, parce que j’avais peur que ce soit médiocre jusqu’au bout, mais bon, j’ai cru voir que c’était le créateur de cette série (c’est pas le cas, j’ai mal vu) et s’il est bon, ça ne peut pas être si catastrophique que ça. En plus, je n’ai rien vu du mois et on a un podcast « keskonavu » à diffuser la semaine prochaine, quoi.

Heated Rivalry – S01E01 – Rookies – 12/20

C’est très beau, très esthétique à la réalisation et au casting, mais ce n’est pas une romance. Du tout. Twitter m’a menti, une fois de plus. C’est l’histoire d’un plan cul à la chronologie totalement éclatée et bien plus frustrante que la soif sexuelle entre les deux protagonistes, dont je me demande bien ce qui…

Heated Rivalry – S01E02 – Olympians – 13/20

Si le hockey n’est toujours pas une préoccupation pour la série, le côté romance pointe (très !) timidement le bout de son nez dans cet épisode. On tourne beaucoup en rond, le temps passe toujours trop vite, les protagonistes sont énervants (parce qu’inactif ou chiant, selon le perso), mais petit à petit, ça se dirige vers…

Heated Rivalry – S01E03 – Hunter – 18/20

Je suis complètement dérouté par cet épisode qui change totalement de point de vue et raconte une histoire bien différente de celle des deux premiers épisodes. Et, en fait, il me raconte ce pour quoi j’étais venu à la base. C’est juste beaucoup mieux, c’est simple, c’est de la romance efficace parce qu’elle est basique,…

Heated Rivalry – S01E04 – Rose – 14/20

Il faut me faire une raison : je n’aime pas le couple phare de cette histoire, parce que précisément, ils ne sont pas un couple. C’est dommage, ça me gâche une bonne partie de l’épisode et je préférerais qu’on continue d’explorer d’autres vies autour d’eux qui ont l’air plus saines et amusantes. Seulement voilà, l’argument de…

9-1-1 Nashville – S01E06 – Good Southern Manors – 15/20

C’est mieux que la série-mère, assurément, mais ce n’est pas non plus un épisode de pause qui me laisse sur un suspense insoutenable. Tout est assez prévisible et manque de se concentrer sur les personnages : il n’y en a que deux vraiment mis en avant dans l’épisode et c’est dommage de ne pas réussir à mieux équilibrer cette première saison. Ceci étant dit, c’est de loin l’épisode pré-hiatus qui me donne le plus envie de voir la suite. Rendez-vous en janvier, donc.

Spoilers

Don a aussi un beau-père pour ajouter au drama familial, Cam fait face à une menace inattendue au boulot.


How much money is a life worth ?

J’ai totalement oublié de vous publier cet article (et quelques autres, d’ailleurs) alors je me rattrape, à défaut d’avoir prévu un beau calendrier de l’avent cette année… Voilà donc un épisode bien peu marquant.

Il commence par une première intervention intéressante et qui aurait pu être un gros événement de début de saison, mais eh, c’est la pause après tout : un bateau de tourisme se fait détourner et se dirige droit vers un pont touristique de la ville. Les gens à bord du bateau se préparent à un crash digne du Titanic. Quoi, il n’y a pas de canot de sauvetage ? Étrange, tout ça.

Deux jours plus tôt, nous suivons toujours autant de personnages qu’on ne connaît pas : nous assistons ainsi à la visite et dégustation d’une distillerie – bon, je ne sais pas si c’est le bon mot pour le whisky, j’avoue. On se centre surtout sur un couple gay qui effectue la visite et veut en avoir pour son argent : l’un d’entre eux boit tout le whisky et finit par convaincre son partenaire de faire de même. Les deux finissent bien vite bourrés et ça provoque inévitablement un accident.

Au départ, ce n’est quasiment rien, juste un peu de sang pissé par le bras. Le problème, c’est que ça détourne l’attention et personne ne se rend compte du vrai danger : en tombant sur une machine, l’homme a déplacé un interrupteur qui gérait la pression de la machine. Cette dernière prend feu et provoque toute une série d’explosion.

Bref, la distillerie est mal en point. Quand les pompiers arrivent sur place, ils ont droit à de grosses explosions, des déchets qui leur tombent dessus et plein de choses à gérer. Parmi elles, Don doit surtout gérer son beau-père. Et oui, c’est le père de Blythe qui gère cette usine fabriquant du whisky. C’est donc de là que vient toute la fortune familiale ? Oui, mais Don ne parle plus à son beau-père. On finit par découvrir que c’est parce qu’il a déshérité Ryan, rien que ça, en apprenant qu’il choisissait de devenir pompier plutôt que de rejoindre l’entreprise familiale. C’est si nul. Enfin, nul de sa part.

Pour la série, c’est assez basique pour faire du drama. Bien sûr, l’incendie est l’occasion d’une nouvelle tension familiale : Don prend la décision de faire éclater les cuves du vin le plus précieux du vieil homme, détruites par Ryan lui-même. Oh, ça se fait pour une bonne raison : l’explosion qui résulterait d’un incendie dans la pièce où sont ces cuves serait trop dévastatrice et tuerait toute l’équipe de Don.

Le drama familial s’intensifie en tout cas et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Don. Blue découvre un peu plus sa famille, au moins, et le reste de l’équipe continue de faire de la figuration au milieu de tout ça. La haine du grand-père ? Elle revient au centre de la table bien vite quand Don apprend par son chef que le budget de la ville va être drastiquement réduit.

C’est simple, il va perdre de l’équipement, du salaire pour ses hommes et surtout cinq pompiers. Et ce sera le cas pour toutes les casernes. Face à cette nouvelle, le chef des pompiers demande à Don d’utiliser son lien familial avec le père de Blythe pour avoir à nouveau un joli financement. Cela ne sort pas de nulle part : le grand-père a déjà financé une rénovation de la caserne 113 quand il était en bon terme avec son beau-fils. Tout le monde s’en souvient et tout le monde espère un nouveau financement.

C’est amusant, on va dire. Cela mène à une réunion de la réconciliation pour Blythe, Don et le père de Blythe. En vrai, c’est surprenant de les voir se réunir autour d’une table et de simples verres d’eau. Ils parviennent assez vite à un accord, en plus : le père de Blythe accepte de donner de l’argent en échange de Don reconnaissant qu’il a détruit le whisky par petite vengeance personnelle, ce qu’il fait d’une certaine manière. Pourquoi pas. Le problème, c’est que le grand-père ne se contente pas de ça : il demande à ce que Blue soit viré.

Évidemment, il a appris que Blue était le fils de son beau-fils et il l’a appris par le chef des pompiers plutôt que par sa famille. Don ne peut tolérer ça et, à vrai dire, Blythe ne semble pas non plus être prête à l’entendre. Malheureusement, Don pète un câble – et un verre – ce qui ne joue pas en sa faveur, mais eh, on est quand même de son côté parce qu’on ne veut pas le voir se séparer de Blue.

Bizarrement, Don est prêt à l’envisager pourtant. Il en parle à Ryan et se prépare même à virer Blue… jusqu’à ce qu’il comprenne, en parlant avec Blue, qu’il a de quoi faire pression sur son beau-père lui aussi. En effet, il se rend compte que s’il manquait de l’eau pour éteindre l’incendie de la distillerie, c’est en fait à cause de son beau-père : il a eu la bonne idée de détourner l’eau de la ville pour avoir la clim dans sa distillerie de manière moins onéreuse. Ben super

Le beau-père prend mal le chantage, mais on voit bien que ça aura son effet sur du plus long terme. Bien sûr, le beau-père appelle aussitôt sa fille pour lui expliquer ce qu’il se passe. Depuis son cheval, Blythe s’en plaint à Don, parce que ce n’est pas ce qu’il aurait dû faire selon elle. Mouais. Je trouve au contraire que c’était une bonne idée, moi.

En parallèle, il y a toute une intrigue au centre d’appels qui m’a bien plus convaincu. J’ai toujours préféré les intrigues autour du centre d’appels dans toutes les séries de la franchise, alors ce n’est pas si étonnant. Je crois aussi que je commence à me faire à la présence de Cammie et que je l’aime bien. Eh, ça change.

Bon, cela dit, l’intrigue est loin d’être parfaite : on découvre en effet que le centre d’appel revient trop cher à la ville et qu’il dépasse totalement la moyenne des autres grandes villes. Eh, je trouve ça malin que ça nous explique que l’appel en visio utilisé par Cam est vraiment une de ses idées de financement (avec l’argent hérité de son défunt mari) tout en nous expliquant pourquoi on ne le voit pas dans les autres séries de la franchise. En revanche, ce n’est pas bien malin de nous dire que pour faire face à ce problème budgétaire, la ville a fait appel à des experts qui ont déjà réduit le budget des centres d’appels dans d’autres grandes villes comme Los Angeles. Il me semble qu’on aurait vu Maddie faire la leçon à ces abrutis en costards et tailleurs si elle avait dû leur faire face, non ?

Bref. Cela permet à la série de présenter quelques collègues de Cam et je suis vraiment pour : plus on me met des personnages dans le centre, plus je suis content car ça multiplie les possibilités d’intrigues. Je suis même triste qu’ils virent la bitch de service, celle qui dit tout haut et méchamment ce que tout le monde pense tout bas, parce qu’elle m’a bien fait rire.

Oui, il y a donc toute une équipe qui est présente dans le centre pour superviser les appels et faire en sorte de trouver où faire des économies. On se croirait presque dans les services publics français quand cette obsession des économies finit par faire plus de dégâts qu’autre chose dans un métier qui doit être profondément humain. Difficile de chronométrer les appels et de demander aux opérateurs de faire plus court quand il s’agit de sauver des vies.

On voit ainsi les riches technocrates demander d’écourter des appels, et on suit tout un tas de petites interventions. Ils interviennent directement dans les appels, donnant des ordres aux opérateurs, quitte à les stresser davantage. Ainsi, quand Cam doit se débrouiller pour aider une babysitter à retrouver un petit garçon perdu, elle fait une erreur qui pourrait lui coûter la vie : elle entend mal le numéro de la machine à laver dans lequel est coincé le gamin et donne les mauvaises instructions. Tout est bien qui finit bien, mais Cam réaffirme qu’il est normal d’être poli et de prendre son temps dans les appels pour bien faire son job.

Elle fait ensuite le chantage le plus ridicule de l’histoire des chantages, en menaçant une personne qui veut la virer de… démissionner ? Elle n’attend que ça, en fait ? C’est un brin ridicule. Le chantage est en tout cas qu’elle ne veut pas qu’on écoute ses appels pour lui donner des ordres, parce que ça la déconcentre et peut provoquer des problèmes plus graves. Certes.

Par chance, il y a ensuite un cas qui permet à Cam de justifier pourquoi ses si bonnes idées qui coûtent chères sont indispensables à la ville : elle a l’occasion d’utiliser la fonction visio des appels d’urgence avec une femme qui est en train de s’étouffer dans sa chambre d’hôtel et ne parvient pas à expliquer ce qui lui arrive, à défaut de pouvoir parler. Son appel a déjà été mis de côté par deux collègues de Cam, sous ordre des technocrates. Finalement, grâce à la vidéo, Cam sauve la femme.

Elle fait d’une pierre trois coups : elle sauve une vie, elle prouve qu’elle est utile et elle prend sa revanche sur la vie, parce qu’elle n’a pas réussi à sauver son mari s’étouffant au restaurant il y a quelques années. Pauvre Cam. Pauvre nana qui doit virer tout le monde aussi, parce qu’elle se reconnaît dans cette femme seule s’étouffant dans sa chambre d’hôtel. Par conséquent, elle décide de ne pas virer Cam et même de prendre quelques leçons de politesse pour virer le manager de Cam avec le bon timing. Personne ne le regrettera : il trahit ses collègues et détourne de l’argent depuis plusieurs années. Superbe.

L’épisode pourrait donc se terminer sur un happy end, mais nous sommes sur un épisode qui précède une pause d’un mois et demi. Par conséquent, on en revient au début de l’épisode pour mieux découvrir qu’il n’y a pas que le bateau qui est piraté. En fait, c’est tout le système d’urgence qui l’est : la police, les pompiers, le centre d’appels… Tout le monde est submergé d’alerte et du piratage avec une tête de mort sur les écrans.

Grey’s nous a déjà fait le coup du ransomware il y a quelques années, mais dans 9-1-1, on ne vise pas qu’un hôpital : on vise toute une ville, avec des alertes tornade (encore ?), tremblement de terre et pourquoi pas alerte nucléaire. Cela promet pour l’épisode de retour, il va y avoir du grabuge. En plus, la ville a six heures pour débloquer 10 millions de dollars.

Oh, et bien évidemment, dans l’entre-deux, il nous faut aussi un cliffhanger sur la survie d’un personnage. À cause d’une alarme qui résonne dans la campagne où Blythe montait son cheval, notre super cavalière tombe et se blesse. Alors survivra-t-elle lol ?

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9-1-1 – S09E06 – Family History – 12/20

Certes, c’est mieux que les épisodes dans l’espace, mais les situations paraissent franchement forcées dans cet épisode. Les bonnes idées tombent à plat car on les voit venir à des kilomètres, les mauvaises idées continuent d’abandonner et ça fait que l’épisode est franchement moyen. C’est bête pour une mi-saison, mais il n’y a pas tellement d’enjeux, des persos qu’on ne suit pas vraiment et qui font du surplace, des cas médicaux vite expédiés. Eh, que sont-ils devenus ?

Spoilers

Alors qu’Harry veut intégrer l’académie, Athena est confrontée au passé lorsqu’elle intervient sur une tentative de suicide d’adolescente.


What do you think the team wants ?

Oh la, ça fait plus d’une semaine que l’épisode a été diffusé – quasi deux, en fait – et je n’ai toujours pas pris le temps de voir ? Cela en dit long à la fois sur ma capacité à me laisser déborder par le taf (bon, et le concert de Lady Gaga, on ne va pas se mentir !) et sur ma volonté à voir cette saison. C’est un début raté, j’espère que la pause ce sera mieux car, non, cet épisode ne remonte pas vraiment le niveau.

Maggie commence l’épisode par convaincre son mari de reprendre le poste de capitaine qu’il ne voulait pas. Pff. J’ai l’impression qu’on tourne en rond et qu’on perd du temps avec cette intrigue. C’est fou quand même, c’était réglé en fin de saison dernière et ça fait six épisodes qu’on y a droit désormais. C’est chiant, on sait vers quoi on va et le faux suspense ne prend pas du tout.

La première intervention de l’épisode nous permet d’assister à une réunion de famille un peu dérangeante où la nouvelle venue ne veut pas jouer à tirer la corde avec sa belle-famille. Elle fait bien, ils se coupent tous les doigts. J’ai eu du mal à ne pas rire face à l’improbable moment que ça représentait, mais bon, c’est 9-1-1, peut-on s’attendre à autre chose ? En vrai, ça permettait de bons gags sur les doigts à retrouver. C’est ce qu’il manquait avec les épisodes dans l’espace.

Lors de la deuxième intervention de l’épisode, Athena est confrontée à une situation qui semble sortie de son passé : une jeune fille essaie de se suicider et est retrouvée par sa mère. Athena arrive à temps pour sauver la gamine, mais ça se termine ensuite en enquête pour elle : elle comprend que la gamine était harcelée à l’école et par SMS, et elle veut savoir qui lui envoie des messages lui disant que ça ne vaut pas la peine de se lever le matin. Sympa.

Athena remonte la piste jusqu’à l’ancienne meilleure amie de la gamine, mais c’est pour mieux se rendre compte qu’elle n’est pas coupable. Elle envoie donc l’ancienne amie être une bonne amie à l’hôpital et continue son enquête. Durant la soirée, May tombe sur les captures d’écran imprimées et parle avec sa mère de sa propre tentative de suicide, de son soulagement de voir sa mère à son réveil.

Sans trop de surprise, Athena se sert de cette conversation pour résoudre son affaire : c’est la mère qui harcèle sa propre fille, pour renforcer le lien entre elles. Aha. C’est une bonne idée, mais je l’ai sentie venir dès le début de l’épisode malheureusement : le flashback était trop gros pour être anodin. Et puis, ça fait une bonne intrigue.

La solution est bien trop simpliste ensuite : la gamine qui a voulu se suicider se confronte à sa mère et lui dit qu’elle ne lui parlera plus jamais. Alors bon, je suis désolé pour elle, mais il y aura au minimum un procès, hein, et puis bon, la vie… Pas si simple de couper les ponts en étant ado, mais bon, nous sommes dans une série alors tout se passera bien.

Une troisième intervention voit les pompiers intervenir dans un cabinet médical de luxe où un docteur a laissé sa patiente faire une crise allergique pendant l’IRM sans même le voir. Il s’agit finalement d’une réaction allergique hyper rare que Chimney et Hen n’ont pas tant de mal à identifier. Malheureusement, cette intrigue se termine mal : la patiente meure. J’ai trouvé ça assez inattendu, franchement.

La suite empire encore les choses : Hen s’acharne sur un massage cardiaque qui ne sert à rien et est énervée après le médecin du spa qui a laissé la patiente mourir. Il essaie de lui diagnostiquer un petit quelque chose, mais elle refuse de le laisser parler. Pourtant, plus tard, une fois seule chez elle, Hen fait un malaise et s’effondre au sol. Elle se réveille plusieurs heures plus tard, mais prétend que rien ne s’est passée et qu’elle est restée coincée au travail. Pardon ? Cela n’a aucun sens de sa part, ça ne correspond pas du tout au personnage.

En fin d’épisode, Hen ne va toujours pas mieux mais continue d’ignorer ses problèmes médicaux. Pardon, mais comment c’est possible ? Et pourquoi on a encore une intrigue sur elle ? Si elle n’en parle à personne, Hen finit par se dire qu’un petit examen médical pourrait être bien, après une conversation avec Maddie sur sa patiente décédée. Elle se fait donc faire une IRM ensuite. Drôle de fin, mais je suppose que ça fait un bon cliffhanger de la savoir en danger d’une énième maladie. Après tout, maintenant, ils sont aussi capables de tuer les gens… mais si peu de temps après Bobby, c’est si peu probable que ça ne fonctionne pas du tout. Genre, vraiment, ça m’a plus fait lever les yeux au ciel qu’autre chose. En plus, pourquoi elle retourne voir le médecin qu’elle juge incompétent ?

Sinon, dans cet épisode, Harry est devenu pote avec Buck ? Je trouve que c’est un peu gros, ils ont fait quoi depuis le début de la série ? Une journée « ensemble » ? C’est pourtant vers Buck qu’Harry se tourne quand il a besoin d’aide pour entrer à l’académie. Il est invité sur place, pas accepté : il comprend qu’il a besoin d’un bon gros entraînement physique. C’est logique de se tourner vers Buck ? Pas sûr. Il a plus eu affaire à Chimney et Maddie qu’à Buck, je trouve. Bon, on va dire que Buck a la vibe tonton cool qui le motive.

On suit en tout cas l’entraînement d’Harry et le montage n’a pas réussi à beaucoup me convaincre. C’est peut-être parce qu’on nous a fait le même genre de scène avec Blue il y a peu de temps dans 9-1-1 Nashville ou peut-être parce que les exercices ne ressemblaient à rien. Les choses sont un peu plus compliquées pour Harry qui se voit refuser l’entrée à l’académie à cause de son passé : il a un casier judiciaire car il a été arrêté il y a deux saisons face à un raciste.

Pour autant, savoir que l’entrée chez les pompiers sera compliquée pour Harry ne suffit pas à ce que Buck le lâche et abandonne tout ça. Il se débrouille donc pour emmener Harry devant le restaurant où le chef des pompiers sera. Cela lui permet d’avoir un entretien avec le chef : il en ressort qu’il fait ce qu’il faut pour avoir une seconde chance. Il pourra donc être candidat dès le lundi suivant.

Ils croisent aussi Chimney sur place, parce que c’est lui qui mangeait avec le chef des pompiers. À la grande surprise générale d’absolument personne, Chimney est donc nommé capitaine de la 118. En fin d’épisode, notre équipe de pompiers habituelle offre une montre à Chimney, avec une petite inscription qui fait tirer une larmichette à Chimney. Pourquoi la série ne réussit plus du tout à m’émouvoir cette saison ? Mystère, mais vraiment, ça ne prend pas du tout.

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