Salut les sériephiles… et les lecteurs, une fois de plus !

Eh non, aujourd’hui, il n’est pas question de séries, mais de livres (surtout) et de films (un peu) puisque je viens vous parler de la saga Harry Potter. Certains d’entre vous le savent déjà pour avoir lu mon article sur le Comic Con Paris, je suis un grand Potterhead. Du coup, il est assez invraisemblable que je n’ai jamais écrit le moindre article sur le sujet.
À l’occasion des 20 ans de la parution française des romans de JK Rowling, je me dis qu’il est tout à fait légitime de me rattraper : j’ai prévu de vous pondre ainsi toute une semaine thématique d’articles 500 mots sur Harry Potter. Comme bien sûr, c’était trop beau pour être vrai, je me suis rendu compte que j’avais déjà beaucoup trop d’idées de sujets pour début février et que l’actu séries ne s’arrêtait jamais vraiment. Du coup, c’est bien simple, vous aurez des articles Harry Potter chaque fois que je n’aurais pas autre chose à vous proposer cette semaine (du genre Suits renouvelée pour une saison 8 sans une partie énorme du casting – faut que je digère, j’en parlerai dans 7 jours au moins), et la semaine suivante, et peut-être même la suivante du coup. À ce stade, je vais vous en faire un mois Harry, j’avoue.

Bon, techniquement parlant, j’ai prévu quelques articles sur le sujet quoi. Je publie celui d’aujourd’hui pour évoquer avec vous La Nuit des Livres Harry Potter, un événement organisé pour les 20 ans de la parution du premier tome et qui est suivi par tout un tas de librairies. Je vais tenter de participer aux festivités pour vous en parler, mais je n’ai pas grand-chose dans mon coin (heureusement, j’habite près de Paris quand même grâce à la magie du RER pas express).

Bref, je ne vais pas faire semblant de faire genre que je suis un fan de la toute première heure, il y a vingt ans, moi, j’en avais quatre (presque cinq) alors non, je n’ai pas découvert Harry Potter immédiatement. Comme beaucoup, je l’ai découvert d’abord au cinéma avant de me jeter sur les livres.
Harry Potter, c’est un film dont je me souviens très, très bien : pour la toute première fois de ma vie, je suis allé le voir sans adulte, car c’est ma grande sœur qui a eu l’excellente idée de nous amener au cinéma avec mon autre sœur. Prendre le bus, c’était déjà toute une aventure magique !
Et le film était génial, donc j’ai voulu lire le premier tome. Par chance, ma grande sœur l’avait… par malchance, elle me disait trop petit pour m’y mettre (je pense qu’elle avait surtout peur vis-à-vis du Basilic du tome 2… ou alors elle voulait se les garder pour elle, comme Buffy !).

Après quelques mois de caprice (ah les petits derniers), j’ai fini par avoir accès au tome 1, puis j’ai dévoré les tomes 2 et 3 en bibliothèque. Comme n’importe quel gamin, j’ai aussitôt voulu intégrer Gryffondor. Très vite, j’ai utilisé mon quart d’heure mensuel d’internet (aaah le début des années 2000) pour découvrir tout un univers de sorciers et faire quelques tests qui, déjà, voulaient m’envoyer à Serdaigle.
Quand j’ai eu droit à un peu plus de temps sur internet, j’ai appris à gruger les fameux tests pour obtenir ce que je voulais, avant de finalement me rendre à l’évidence que les Serdaigle sont beaucoup plus cools que les Gryffondor : ils ont la sagesse, l’esprit et la ruse ; tout ce que j’adore. Alors que le courage et moi… bon euuh… joker !

Et puis les Serdaigle ! Flitwick a toujours été un de mes profs préférés de Poudlard, et bam, c’est un Serdaigle. Je suis tombé amoureux de Cho ? Normal, c’est une Serdaigle. Et Luna m’a fait mourir de rire ? Logique, c’est une Serdaigle aussi.
Bref, je suis fier de ma maison, j’ai toujours été Serdaigle même que j’étais trop petit pour m’en rendre compte et je sais bien que c’est la meilleure maison… mais allez, je vous propose de défendre vos couleurs en commentaire ; j’adore débattre ! Et on se retrouve demain pour continuer à parler Harry Potter, bien sûr.




Pour les très curieux, je compte donc lire deux romans, et je les ai déjà choisis ; il n’y a plus qu’à attendre février. J’ai choisi de faire le défi en anglais… parce que les romans étaient moins chers (booouh le radin) et que ça tuera peut-être l’ennui si je n’accroche pas à l’eau de rose :
The air he breathes de Brittainy Cherry : c’est 