Épisode 7 – Channel the Cat – 16/20
On sent que la saison décolle vers quelque chose d’autre avec cet épisode qui s’intéresse davantage à des choses qui ne restaient jusque-là que pressenties. Et la fin nous promet de savoureux moments pour les derniers épisodes. J’ai hâte de voir ce qu’ils vont faire de tout ça !
Spoilers
Gretchen est de retour, et ça ne plaît pas à Sam.
What ? I like bad girls.
Après une bonne pause repas délicieux, on se remet à la série avec l’impression d’avoir déjà tout oublié de ce qu’on a vu juste avant. On se remet vite dans l’ambiance avec Sam qui déteste Gretchen et n’hésite pas à rappeler à Zahid toute la mauvaise influence qu’elle avait sur lui. Ils ont l’air compliqué à supporter cela dit : ils ont désormais décidé de faire l’amour partout – et uniquement ça.
Cela déconcentre Sam qui demande alors conseil à Paige pour trouver comment accepter la situation, et comment se concentrer pour répondre correctement à une commande artistique qui a été passée. C’est compliqué pour lui, mais Paige lui conseille d’abord de faire la commande comme lui le sent – donc sans les détails de la commande – avant de lui demander de pimenter leur vie sexuelle.
Ce n’est toutefois pas l’avis de Sid, qui n’aime pas du tout les recommandations de Paige et n’hésite pas à le faire savoir à Sam. Ce dernier nous fout donc encore un énorme vent à Paige, et je la plains tellement elle prend cher à chaque épisode. Elle finit par demander conseil à Gretchen, ou plutôt par accepter ses conseils, quand elle apprend que Sid est une fille et qu’elle se découvre encore plus jalouse et énervée qu’avant.
Les conseils de Gretchen ? J’ai beaucoup ri, surtout quand elle explique à Paige qu’elle est stupide, car il s’agit surtout d’envoyer un sexto. Ce n’est tellement pas du Sam… Et Paige est assez stupide pour l’envoyer dans un groupe avec la famille Gardner au complet. J’ai tellement ri. Par contre, pauvre Paige. Elle se retrouve à vouloir s’excuser auprès de ses beaux-parents – et à vouloir expliquer qu’elle recherchait juste plus d’intimité avec Sam.
Mais quelle angoisse de raconter tout ça à ses beaux-parents. Pauvre Doug. Et pauvre Paige qui se retrouve à apprendre la danse de séduction des pingouins pour tenter d’avoir plus d’intimité avec Sam.
Casey est beaucoup trop stressée, et ils ne sont pas subtils dans leur manière de ne pas l’aborder alors que ça se voit sur ses ongles. La vie est pourtant plutôt cool avec elle : elle a désormais sa copine qui vit chez elle et ne garde pas si longtemps le secret de sa mère qui a décidé de la virer de chez elle. Après, difficile de ne pas être d’accord avec Doug sur ce coup-là : Izzie apporte bien trop de dramas dans la vie de Casey.
D’ailleurs, ça recommence bien vite : elle apporte ainsi la bonne idée d’aller à une fête plutôt qu’à la course athlétique que Casey avait prévu. Il fau dire que son stress est stressant pour nous aussi : elle a des ongles qui font peur à voir et je m’inquiète beaucoup trop pour son bien-être. En plus, Izzie n’aide pas tellement non plus : elle l’invite à une soirée où elle la présente à nouveau comme une fille intouchable du côté scolaire.
Et le pire, c’est qu’elle a raison : sur un défi pas vraiment sérieux d’Izzie, Casey décide de se dénoncer pour la tricherie et le test falsifié d’Izzie… Rien ne se passe. Casey est intouchable : ils ont besoin d’elle pour gagner les courses de l’équipe, alors voilà, personne n’ose la punir. Il faut dire qu’une grosse course se prépare, avec même l’université de ses rêves qui vient la voir courir ce jour-là.
Bon, il est sûr et certain qu’elle va se planter, reste à savoir comment exactement. Je l’ai senti venir juste avant : elle décide de ne pas partir au top départ, tout simplement.
On s’en doutait, on ne voulait pas le voir, mais si : Elsa se rend chez sa mère pour faire face à elle. Contrairement à ce qu’elle imaginait, ça se passe plutôt bien ; avec sa mère qui adore la tarte qu’elle a préparé. C’est trop beau pour être vrai… et pourtant, ça dure un moment. J’ai à nouveau soupiré plus fort que le vent en-dehors. Je n’en ai rien à foutre de la mère d’Elsa, moi. La voir amnésique, c’était un peu triste quand même.