Les annulations 2015/2016

La saison 2015/2016 s’est achevée en mai dernier et les séries d’été approchent elles aussi de leur fin, il est donc temps je crois de tirer un trait définitif sur certains shows malheureusement (parfois heureusement…) annulés ! Bilan des annulations qui m’ont touchées :

11.22.63, saison 1 – OVNI dans le type de séries que je regarde habituellement, cette production a réussi à me fasciner autant qu’elle m’a ennuyé, en fonction des épisodes. James Franco menait plutôt bien le tout, à la tête d’un casting prestigieux qui justifie à lui tout seul de regarder la série. L’univers des années 60 m’a paru plutôt bien respecté, même si évidemment, je n’ai pas vécu à cette période-là, donc j’en sais rien. Je regretterai quand même des approximations trop grosses dans les « règles mythologiques » et, apparemment, un éloignement par rapport au livre, que je n’ai toujours pas lu. Humph. Rendez-vous par ici pour plus d’infos.

Agent Carter, saison 2 – Après une saison de lancement adulée par la critique mais que j’avais trouvé bonne sans plus, je suis revenu vers Peggy sans attendre grand-chose en retour. Cette saison a été pourtant une vraie bonne surprise et révélation, avec un casting toujours aussi impeccable (Enver Gjokaj et Chad Michael Murray en tête, une fois passée évidemment Hayley Atwell). Grosse déception d’apprendre cette annulation, qui est peut-être celle qui m’a le plus énervée cette année (et pourtant !). L’ensemble de la deuxième année était une vraie réussite esthétique et scénaristique, dont je ne regrette que le cliffhanger final, qui ne sera peut-être jamais résolu. Bref, j’oscille entre déception et ravissement. J’en parle plus longuement par-là.

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Angel from Hell, saison 1 – Ce n’était pas forcément super drôle, mais il y avait Ginger Gonzaga en guest dedans, et rien que pour ça, j’imagine que ça valait le coup de suivre ces treize épisodes malgré l’annulation. Bon, il y avait de bonnes blagues parsemés au hasard dans ces treize épisodes, mais plus la saison avançait, plus l’humour s’épuisait. Définitivement, cette annulation n’est pas une grosse perte ! Le cliffhanger final ne me fait ni chaud, ni froid, c’est terminé et ce sera bien vite oublié de toute manière.

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Containment, saison 1 – Cette série aura été une excellente surprise cet été : j’y ai jeté un œil après avoir entendu des échos positifs sur le pilot, mais sans vraiment y croire pour autant. Il a fallu quelques épisodes pour entrer dans cette histoire somme toute assez classique de contamination et de quarantaine, qui avait des aspects The 100, des aspects FTWD ou encore des aspects The Strain. Pourtant, assez vite, la série a su faire monter le suspense et exposer une théorie du complot des plus intéressantes. Si la toute fin ouverte est un poil décevante, il n’en reste pas moins que j’aurais vu treize bons épisodes, avec ce qu’il fallait pour frissonner, être triste ou rire. C’était un divertissement d’été, à consommer comme tel. Pas une grande série, mais une série qui se respecte et qui respecte ses fans. Je recommande chaudement.

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Grandfathered, saison 1 Peut-être ma plus grosse déception côté annulation cette année, Grandfathered proposait de suivre la vie d’un Dom Juan qui se découvre du jour au lendemain père et grand-père. Je n’ai regardé que pour Paget Brewster (inoubliable Frankie dans la dernière saison de Community). Il a fallu un bon quart de saison, peut-être un peu plus, avant que ça ne devienne véritablement bon et que j’entre dans la série. Malheureusement, c’était déjà trop tard pour les audiences. La dernière partie de saison est très réussie, mais finit malheureusement sur un cliffhanger qui ne connaîtra jamais de conclusion (et pourtant, les acteurs ont affirmé qu’une scène avait été coupée… tout n’est peut-être pas perdu, mais bon).

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Grinder, saison 1 – Après Grandfathered, voilà une autre annulation franchement dommage de la part de la Fox, qui a néanmoins laissé le temps au Grinder de s’installer. Il ne leur a pas fallu bien longtemps pour établir leur formule et celle-ci fonctionnait. Elle n’avait rien de purement original ou tout à fait exceptionnel cette saison, mais chaque épisode était fluide et il y avait de bonnes trouvailles. La fin de saison a l’avantage de conclure la série, ce qui est franchement appréciable pour une annulation. It all comes full circle, et si vous ne savez pas quoi voir cet été, n’hésitez pas !

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Haven, saison 5 – Ah Haven! Cette série est apparue dans ma vie aussi vite qu’elle n’en est repartie : j’ai tout de même vu les quatre premières saisons en une semaine au cours du mois d’Octobre, avant le Comic Con où j’ai rencontré l’acteur incarnant Duke. Je ne me fais pas chier, ouais. La saison 5, je l’ai par contre suivie à la semaine (enfin, à part pour les épisodes diffusés avant le Comic Con donc)… Et je l’ai beaucoup aimée, elle concluait d’une très belle manière la série, même si elle n’a pas fait revenir Jennifer (ça, je ne m’en remettrais pas, le personnage était tellement prometteur). De manière général, Haven s’est débarrassée de beaucoup trop de personnages féminins quand même, et le coup de grâce vient des derniers épisodes côté masculin, cette fois. Une belle boucle est bouclée avec une bonne blague finale des scénaristes, dans le ton de la série. Excellente série, excellente conclusion, j’espère retrouver assez vite les acteurs dans d’autres séries.

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Heroes Reborn, saison 1 – Bon. Vous prenez Heroes, vous prenez les raisons qui ont expliqué son échec, et vous les appliquez à Reborn, qui s’est contentée d’être une pâle saison 6 accrochée à un passé qui ne veut plus d’elle (bordel, combien de références à Claire ?). Il y avait de bons twists dans cette série, des moments marrants parfois, mais le casting était beaucoup trop large pour être pleinement exploité. La mythologie de la série est toujours aussi floue qu’auparavant, avec un renouvellement de questions permanent et des personnages qui ressuscitent sans qu’on nous dise comment (parce que c’est une nouvelle question comme ça). La conclusion tient à peu près la route, mais comme dans mon souvenir de la série-mère, ça manque trop de cohérence interne pour être pleinement appréciable.

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Person of Interest, saison 5 – La série a eu droit à une fin superbe et elle le méritait. J’en ai largement, largement parlé au moment de la diffusion des derniers épisodes, dans un article conclusif sur mon binge-watching de l’intégralité du show. Clairement, ça vaut le coup de supporter les premières saisons un peu longue si vous n’avez jamais regardé ou si vous avez abandonné en cours de route !

Trepalium, saison 1 – Intrigue SF, futuriste et prenante, cette série d’anticipation française a tenté de jouer dans la cour des grands sans toujours y parvenir. L’intention y était en tout cas, et rien que pour ça, ça vaut le détour. Je suis franchement déçu de savoir qu’il n’y aura pas de seconde saison, car il y avait du potentiel pour plus surtout que la série s’est améliorée peu à peu quand les acteurs sont entrés dans leurs rôles et que les implications politiques se sont révélées plus claires. La série a atterri récemment sur Netflix, elle est donc facilement disponible si vous avez un compte et que vous souhaitez vous laisser tenter. La fin n’est pas trop frustrante, qui plus est.

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You, me and the Apocalypse, saison 1 – On termine cet article sur une énorme déception : l’annulation de cette série britannique totalement WTF et très réussie. Franchement, il y avait certes un humour particulier, mais il finissait par prendre si on laissait sa chance à la série, le casting était exceptionnellement bon, le scénario très sympa. Malheureusement, la série se termine sur un cliffhanger assez prévisible que l’on peut toutefois choisir de voir comme une fin ouverte, à défaut d’une suite. Je la recommande si vous n’avez pas trop peur d’être frustré par ce détail donc.

Voilà, j’ai fait le tour des différentes annulations qui m’ont marquées entre septembre 2015 et août 2016. Honnêtement, il va falloir que je réduise mon rythme série un de ces quatre, je le sais, mais cet article sur les annulations me rassure un peu : c’est toujours ça de moins à voir. Malheureusement, pour la plupart.

 

 

Semaine 29 : du 18 au 24 juillet

Tant que je suis sur ma lancée, je poursuis ce rattrapage qui n’en finit plus avec la semaine 29 cette fois. Au programme : virée à Nantes, retour de vacances… bref, un emploi du temps toujours trop chargé !

12Les inédits de la semaine

Je n’ai pas perdu mes bonnes (mauvaises ?) habitudes cette semaine-là et j’ai regardé mes épisodes un peu n’importe où et n’importe comment : Scream dans le train pour Nantes, Roadies en voiture sur la route du retour (ça semblait tellement adapté), Preacher au beau milieu d’une insomnie provoquée par les voisins de camping bourrés (oh joie), c’était un peu chaotique comme programme, mais j’ai pris le temps de me poser pour voir la fin de Containment quand même !

Sans plus de blabla inutile, les épisodes que j’ai vu cette semaine :

Preacher (1×08), 12/20
Roadies (1×04), 16/20
Unreal (2×07), 20/20
Scream (2×08), 11/20
Wrecked (1×07), 19/20
Containment (1×13), 17/20
Suits (6×02), 14/20
Another Period (2×06), 16/20
Outcast (1×07), 14/20
Angel from Hell (1×12), 09/20
Angel from Hell (1×13), 12/20

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La performance de la semaine

 Sur le modèle de certains blogs américains (et de TVline), j’ai décidé de me mettre en quête du meilleur acteur de la semaine.

Pour la deuxième fois, c’est un acteur de Preacher qui décroche la performance de la semaine : Dominic Cooper. Cela fait quelques semaines déjà que j’envisage de lui donner le titre, mais il ne se démarquait pas assez. Par chance pour lui, cette semaine n’était pas des plus remplies de grandes performances et c’est assez pour que je choisisse de parler un peu de lui.

Dominic Cooper, je l’ai découvert avant tout grâce au Marvel Cinematic Universe et plus particulièrement grâce à son excellent rôle dans Agent Carter. Je ne l’aimais pas plus que ça si je suis honnête, mais il faisait bien son travail et interprétait un personnage assez marrant pour me marquer. Quand j’ai vu qu’il était pris dans une nouvelle série et qu’il allait partager l’affiche avec deux autres acteurs que j’aimais bien, je n’ai pas hésité.

Et je n’ai pas regretté. Autant j’ai trouvé la série Preacher assez inégale et le scénario souvent imbuvable, autant le rôle de Jesse est incarné à la perfection depuis le début de la série. On sent bien les doutes qui arrivent et creusent le personnage en profondeur. Dans l’épisode de cette semaine (spoilers en approche, donc) où il défend son église comme il peut, c’est le désespoir qui est mis en avant, mais aussi la folie dans son dialogue avec Eugene.

L’acteur parvient à nous faire passer les doutes du personnages avec beaucoup de justesse, c’est crédible alors même que le scénario est assez troué et loin d’être au top cette semaine. Autrement dit : il sauve l’épisode. En bref, c’est un vrai plaisir d’apprécier le casting de Preacher et c’est l’un des grands points forts de la série. Je suis donc plutôt content de pouvoir souligner un peu le rôle de Dominic Cooper dans ces quelques lignes 🙂

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Les autres actus du blog

Hum, pas grand-chose : j’étais toujours en vacances et je ne suivais pas vraiment ce qu’il pouvait bien se passer sur WordPress. C’est malin.

À souligner tout de même : cette semaine marquait la fin décevante d’Angel from Hell et la conclusion bien plus réussie de Containment. En revanche, toujours pas un épisode de vu pour le Challenge Séries. Bien joué.

Retrouvez par ici les articles des semaines précédentes

Semaine 28 : du 11 au 17 juillet

Allez, je continue le rattrapage de mon mois de retard tant que j’ai un peu de temps (parce que oui, je m’apprête à repartir lala). La chronologie est rétablie comme pour la semaine 27, allez hop, c’est parti.

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Les inédits de la semaine

En vadrouille sur la côte vendéenne plus ou moins natale (techniquement moins plus que plus, sauf que l’attachement est là), j’ai tenté cette semaine-là encore de me tenir à jour. Concrètement, ça donnait Preacher le soir au bord de la plage, BrainDead en me laissant conduire en voiture, Scream en sirotant un cocktail au camping… bref, vous comprendrez que j’ai un peu improvisé et regardé chaque fois que j’en avais l’occasion. Jamais mon t-shirt « This is what a binge watcher looks like » (dont je me suis servi comme pyjama, suivez le lien) n’avait eu autant de sens, mais une fois accro, c’est dur de décrocher vous savez bien !

Comme pour la semaine 27, les notes sont assez disparates, aussi en fonction de ce que je faisais pendant le visionnage et parce qu’avec une vie bien remplie, on est tout de suite moins motivé par certaines séries.

Preacher (1×07), 18/20
Roadies (1×03), 14/20
Braindead (1×04), 16/20
Unreal (2×06), 19/20
Scream (2×07), 15/20
Wrecked (1×06), 15/20
Containment (1×12), 18/20
Suits (6×01), 17/20
Another Period (2×05), 15/20
Outcast (1×06), 13/20
Angel from Hell (1×10), 07/20
Angel from Hell (1×11), 08/20

suits-182.jpgLa performance de la semaine

Sur le modèle de certains blogs américains (et de TVline), j’ai décidé de me mettre en quête du meilleur acteur de la semaine.

Chapeau bas à Gina Torres que j’adore depuis Firefly et qui a toujours su s’imposer dans les séries qu’elle rejoint (à l’exception peut-être de Con Man où elle a un rôle pas si marquant – mais drôle). Cela dit, si je la propose en performance de la semaine, ce n’est pas pour ses rôles passés, mais bien pour le personnage de Jessica Pearson qu’elle incarne dans Suits.

Jessica, c’est le genre de rôle qui ne se développe que dans le temps, qui commence par être présentée comme froide, manipulatrice, calculatrice… et que l’on découvre progressivement sous un nouveau jour, où le côté badass n’est qu’une apparence qui cache bien des faiblesses. Ces faiblesses rendent alors le personnage humain et nous donne encore plus envie de la voir être badass. Pas évident à interpréter, car il faut dès le départ trouver les bonnes nuances pour ne pas être non plus détestée des fans… et ça, Gina Torres l’a parfaitement compris et s’en est tirée impeccablement.

Cette semaine, avec le lancement de la saison 6, on a justement assisté à un développement plus approfondi du personnage qui pour la première fois laisse voir ses failles, autant à Rachel que Luis. C’était superbement interprété de la part de l’actrice, qui a su montrer à la fois la perte de contrôle de son personnage, notamment dans les scènes où elle fume un joint, et l’habitude qu’elle a de tout gérer, en reprenant pied en cours d’épisode.

Bref, un rôle de femme forte, mais pas trop, avec juste ce qu’il faut de nuance de jeu quand il le faut pour rester crédible. Gina Torres n’a pas toujours été une actrice que j’adore (mon dieu, dans Angel, la catastrophe à première vue, même si maintenant, je comprends mieux son jeu), mais dans Suits, elle a apporté les touches qu’il fallait pour rester crédible jusqu’au bout.

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Les autres actus du blog

Bon euh donc ? Par où je commence ?

Au secours ! Mon challenge série n’avance plus. C’est con, j’avais pourtant les DVDs avec moi. Ouais, mais bon, j’ai profité du soleil et j’avais un milliard de choses à faire, plus les épisodes à la semaine et tout… Le retard s’accumule vite.

Par conséquent, j’ai décidé de laisser de côté pour l’instant Dead of Summer, mais aussi de ne pas commencer tout de suite Night Of et Stranger Things. Priorité aux séries que j’avais déjà entamé et apprécié donc, ainsi qu’à la nouvelle saison de Suits. Je reviendrais sur ces trois là quand j’aurais un peu plus de temps.

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Semaine 27 : du 4 au 10 juillet

Bonjour à tous !

Hum. C’est avec un mois de retard que je publie cet article et du coup, il faut voir cet article comme une séance de rattrapage. J’étais parti sous le soleil italien et j’ai mis un certain temps à visionner tous les épisodes. Je n’ai clairement pas tout vu dans l’ordre chronologique, mais peu importe, j’ai rétabli ça pour cet article et les suivants qui viendront !

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Les inédits de la semaine

C’était assez compliqué de se tenir à jour dans le flot de nouveaux épisodes alors même que j’étais en vadrouille à travers le nord italien, mais j’ai tenté et pas trop trop failli. J’ai vu Scream et Unreal en direct des aéroports de Beauvais et Bologne, Wrecked, Containment, Another Period ou Angel from Hell dans l’avion. Du même coup, avec une vie aussi chargée, les notes sont assez disparates, parce qu’il y a des épisodes qui ne m’ont pas du tout (du tout) motivé et d’autres devant lesquels j’étais logiquement scotché.

Preacher (1×06), 17/20
Roadies (1×02), 16/20
Unreal (2×05), 20/20
Scream (2×06), 14/20
Wrecked (1×05), 16/20
Containment (1×11), 20/20
Cleverman (1×06), 05/20
Another Period (2×04), 14/20
Outcast (1×05), 14/20
Angel from Hell (1×08), 08/20
Angel from Hell (1×09), 08/20

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La performance de la semaine

Sur le modèle de certains blogs américains (et de TVline), j’ai décidé de me mettre en quête du meilleur acteur de la semaine. Attention, SPOILERS sur la saison 1 de Containment.

C’est inattendu, mais Katie de Containment mérite largement, et de très loin, la place de meilleure performance de la semaine, pour la réussite d’un épisode extrêment anxiogène qui mène à la mort de son personnage. Kristen Gutoskie que je ne connaissais pas avant cette mini-série et qui m’a franchement laissé perplexe au départ avec un rôle (et donc un jeu) très basique a petit à petit réussi à s’imposer comme le personnage principal qu’on voulait qu’elle soit.

Ses deux derniers épisodes nous font suivre avec horreur son avancée dans les symptômes de la maladie, l’espoir de la voir miraculeusement épargnée et l’horreur de la voir cracher du sang. Cette semaine, l’actrice se décompose donc sous nos regards impuissants, et sous ceux de son fils et de Jake. Ce n’est pas évident à jouer, mais l’écriture est heureusement impeccable et l’actrice n’a plus qu’à se laisser porter.

Plus que l’acteur, c’est peut-être le rôle que je célèbre ici, celui de la mère un peu débordée mais tellement aimante qui finit par être sacrifiée sur l’autel de sa stupidité et de sa compassion sans limite. Ses cauchemars et ses angoisses ont su être parfaitement rendus à l’écran et, même si je ne suis pas sûr d’avoir envie de voir ce que l’actrice donnerait dans un autre rôle, force est de constater que dans celui-ci, le boulot est fait et est bien fait.

C’est un arc dont je me souviendrais, même si la série est sur le point de s’achever à l’heure où j’écris ces lignes (pire, à l’heure où je les publierai, elle sera terminée).

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Les autres actus du blog

Pas franchement la masse d’actualités puisque je n’étais pas là. En revanche, j’ai englouti Secret City en faisant mes valises pour ces deux semaines et c’est une mini-saison que je recommande très chaudement et si vous n’en avez jamais entendu parler, cliquez par-là pour plus d’informations.

Bien moins positive est la note que j’attribue à la première saison de Cleverman, qui se termine enfin au son de mes ronflements. Voilà, voilà.

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