Vus cette semaine #22

Ce RDV se contente de reprendre l’ensemble de mes avis sans spoiler sur les épisodes vus au cours de la semaine. C’est donc un simple copier-coller de ce qui se trouve déjà dans la colonne de gauche et qui est mis à jour quotidiennement. Le titre de chaque épisode mène à la critique plus complète et avec spoilers. Les épisodes sont reclassés par ordre chronologique de diffusion, en J+1… 

Mercredi

The 100 – S06E05 – The Gospel of Josephine – 19/20
Dire que je craignais de m’ennuyer cette saison après les trois premiers épisodes… Ben purée, je me trompais et j’aurais dû savoir qu’il fallait que je continue de faire confiance aux scénaristes de ma série préférée. C’est encore un épisode brillamment réussi, avec le développement d’une mythologie nouvelle mais très efficace. Les pièces du puzzle se mettent en place et les nouveautés de cette saison sont vraiment pertinentes. J’adore !

Vendredi

Life in Pieces – S04E07 – Lost Math Art Glam – 16/20
Bon, ce n’est pas un épisode révolutionnaire parce qu’il n’invente pas grand-chose, mais chacune de ses intrigues fonctionne. Je suis vraiment attaché à cette famille, et la conclusion de l’épisode me le rappelle. Bref, je savoure toutes les semaines, en voyant d’un mauvais œil les dernières histoires qui se rapprochent.
In the Dark – S01E09 – Deal or no Deal – 18/20
Si l’épisode paraît tout classique à ses débuts, on sent rapidement qu’on se dirige vers une situation de plus en plus alambiquée et stressante pour l’ensemble des personnages. Et bien sûr, cela mène à des rebondissements assez bien sentis pour chacun d’entre eux, avec pas mal de stress et d’incertitudes sur la manière dont tout va se jouer dans le dernier acte. Ils m’ont bien baladé, et c’était chouette.

Samedi

Agents of S.H.I.E.L.D – S06E04 – Code Yellow – 19/20
Même si et épisode est censé se concentrer sur les intrigues qui me bottent le moins, force est de constater que la série a réussi à me raccrocher malgré une structure de saison particulière. Comme le précédent, cet épisode est une vraie réussite d’écriture, avec une bonne dose d’humour au milieu de l’action. En plus, je connais une co-productrice qui ne s’est jamais autant éclaté que dans cet épisode.

Rattrapage – Russian Doll

S01E05 – Superiority Complex – 16/20
Bon, le twist de l’épisode 3 est vraiment efficace pour la série qui a quand même gagné en qualité et en rythme grâce à ça. Cet épisode ne nous apprend pas grand-chose de plus, mais j’en ai aimé les idées et variations. Les intrigues sont plus prenantes, ça se regarde tout seul.
S01E06 – Reflection – 18/20
Avec de l’humour et de plus en plus d’indices et variations, cet épisode commence à vraiment me creuser la tête sur le sens de tout ce que je suis en train de regarder. Comme en plus je suis beaucoup plus attaché aux personnages qu’au début, je trouve que la série a pris un nouveau tournant qui la fait devenir vraiment géniale. Comme d’habitude avec Netflix, il aura juste fallu le temps que ça démarre.
S01E07 – The Way Out – 18/20
Humph. C’est soit très brillant, soit mauvais, je n’arrive pas à me décider. J’aime beaucoup, en tout cas, parce que le travail des personnages est vraiment excellent. Les réponses apportées, en revanche, sont tellement loin de tout ce que j’ai l’habitude de regarder que ça me laisse perplexe. Au moins, je garde en tête que la série est super originale… j’espère juste mieux la comprendre avec son dernier épisode. J’suis pas venu ici pour souffrir, okay ?
S01E08 – Ariadne – 17/20
Eh, je ne sais pas si j’aime cette fin, mais c’est une bonne fin pour la saison – et à vrai dire, ça fonctionnerait bien comme fin de série. J’ai beaucoup aimé ces huit épisodes – enfin, non, j’ai beaucoup aimé l’originalité et le caractère inédit de la tournure des événements malgré une idée de base vue et revue (sans mauvais jeu de mots, promis). L’épisode final n’est pas forcément la fin que j’en attendais, mais comme ni le début, ni le milieu n’étaient ce que j’en attendais ! Franchement, c’est bien une série Netflix, je ne vois pas comment ça pourrait marcher sur un network.

Challenge Séries 2019

S04E12 – The Tale of the Book of Secrets – 14/20
J’ai hésité à en écrire une critique complète tant l’intrigue avance d’un coup, mais bon, finalement, la série nous prouve juste qu’elle est capable de fournir les dialogues les plus insipides et prévisibles du monde juste après s’être moquée de ça dans l’épisode précédent. Allez, ça reste un bon épisode avec des prises de vue toujours aussi magnifiques, mais c’était précipité, et c’est dommage.
S04E13 – Though This Be Madness, Yet There is Method in’t – 16/20
OK, je ne m’y attendais pas, mais cet épisode super prévisible a réussi à vraiment m’accrocher, probablement grâce au duo improbable qu’il met en avant et qui est composé de deux personnages que j’adore autant que je déteste, selon les twists du scénario et mon humeur du jour. C’était de l’action gratuite et facile, mais ça passait bien. En revanche, la cohérence après l’épisode précédent, je la cherche encore !
S04E14 – The Big Blast from the Past – 12/20
Voilà encore un épisode qui cherche juste à faire des économies en s’enfermant au FBI tout en développant ses personnages – et tant pis si ça signifie refaire ENCORE le même twist. À ce stade, les personnages me paraissent juste tous débiles tant c’est prévisible et tant ils sont tous aveugles face à ce qui arrive. C’est vraiment une série dont la qualité varie d’un épisode à l’autre, c’est fou !
S04E15 – Frequently Recurring Struggle for Existence – 13/20
Bon, le titre m’avait prévenu, mais je trouve cet épisode vraiment super répétitif dans l’intrigue qu’il propose à la fois pour Jane et pour le reste de l’équipe. Pas vraiment d’innovation, pas tellement de suspense, c’était bien pour passer le temps en me faisant à manger, mais j’ai déjà oublié tout ce qu’il s’y est passé en fait.
S04E16 – The One Where Jane Visits an Old Friend – 15/20
Il y avait du bon et du moins bon dans l’épisode, mais en tout cas pas mal de rythme et des avancées sympa pour la suite du côté du fil rouge. Concrètement, je trouve que cette saison fonctionne quand même moins que la trois et ce n’est pas plus mal que la série soit annulée l’an prochain après une saison de conclusion. On sent qu’ils arrivent au bout des intrigues dont ils ont déjà fait le tour – par contre, les personnages continuent d’être géniaux (en tout cas, certains).

> Vus en 2019

Blindspot – S04E16

Épisode 16 – The One Where Jane Visits an Old Friend – 15/20
Il y avait du bon et du moins bon dans l’épisode, mais en tout cas pas mal de rythme et des avancées sympa pour la suite du côté du fil rouge. Concrètement, je trouve que cette saison fonctionne quand même moins que la trois et ce n’est pas plus mal que la série soit annulée l’an prochain après une saison de conclusion. On sent qu’ils arrivent au bout des intrigues dont ils ont déjà fait le tour – par contre, les personnages continuent d’être géniaux (en tout cas, certains).

> Saison 4


416.jpg

I just want Jane back so whatever she needs.

Je ne sais pas si c’est le fait que ce soit un épisode 16 qui le justifie, mais j’ai trouvé dès le départ que cet épisode allait justifier l’écriture d’une petite critique. Bon, franchement, c’est aussi et surtout parce que je suis encore et toujours fan du personnage de Tasha, même si ça n’a AUCUN sens après toute la merde qu’ils lui ont donné comme intrigues ces derniers temps.

Son passage du mauvais côté de la force était ridicule et n’a jamais réussi à pleinement me convaincre, mais au moins, ça sert à cet épisode : Madeline est de retour après quelques épisodes d’absence et on sait tout de suite que le fil rouge va avancer, même si ça n’a aucun sens de la voir refuser de tuer Tasha. Allez, ça m’arrange et je suis curieux de voir quel « plan » elle peut bien avoir pour cette traitresse qui a retourné sa veste.

En parallèle, Tasha est moins sûre d’elle que jamais, retournant chez Madeline pour trouver de nouveaux indices, espérant toujours réussir à la retrouver. C’était plutôt marrant à suivre, surtout que je commence à retomber dans le panneau de la romance Tasha/Reade. Je suis irrécupérable : ils en ont tellement vécu ensemble que je devrais me faire une raison et recommencer à espérer la mort de l’un d’eux pour le drama, mais non, je n’y arrive pas. Du coup, quand la série essaye de nous faire croire qu’ils sont en danger à cause d’une fusillade venant de l’autre côté d’une baie vitrée, ça marche presque sur moi. Faudra juste qu’on m’explique comment aucune balle ne peut toucher Zapata qui s’amuse à rester debout en plein milieu du bureau, sans rien pour la protéger !

Reade et elle s’en tirent toutefois et retourne au FBI où ils découvrent que ce n’est pas Madeline qui essaie de les tuer, mais le cartel d’El Toro qui en est même à s’en prendre au reste d’HCI Global. Je savais bien que j’aurais dû faire une critique complète de l’épisode 13, parce qu’il a vraiment un gros impact sur celui-ci : le cartel se venge car Tasha a tué El Toro, son hacker privilégié. Et tout ça, c’est la faute de Madeline.

Comme Boston était aussi présent lors de ce meurtre et hack d’Air Force One, les scénaristes ont une bonne excuse pour le ramener à nouveau dans la série. C’est tant mieux, parce qu’il faut que je vous avoue ici que Boston est en train de devenir l’un de mes persos préférés – si vous ne l’aviez pas encore compris dans ma dernière critique complète. Autant Rich peut parfois me souler, autant Boston a toujours juste le bon dosage entre humour et sérieux pour que ça fonctionne. Et puis, ses disputes avec Rich sont marrantes.

Cela permet de développer une sous-intrigue dans l’épisode au cours de laquelle on découvre que Rich achète les œuvres d’art de Boston, ce qui fait peur à Patterson qui connaît bien le couple désormais et peut donc être de bons conseils à Rich. C’est fou quand même comme le personnage de Rich manquait aux deux premières saisons à l’origine.

Du coup, il y a tout un suspense qui s’installe afin de savoir si Rich balancera ou non à Boston que c’est lui qui achète ses œuvres d’art, surtout quand Boston se met à penser que Rich est jaloux du succès qu’il rencontre en tant qu’artiste. C’est simpliste comme intrigue, mais ça fonctionne très bien et c’est tout à fait crédible vu le caractère des deux personnages que ce soit ce qui fasse rester Boston au FBI pour aider Rich à faire son boulot, une fois de plus.

Dans tout ça, le FBI en arrive rapidement à la conclusion que ce n’est pas le cartel qui est derrière tous les meurtres, mais Madeline : elle tue ses anciens alliés parce que ceux-ci ont trop d’informations sur elle. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée que ça à couvrir ses traces : elle oublie de faire le ménage et ça permet à l’équipe de retrouver la trace de JB, le pilote de Zapata.

Le problème, c’est que tout cela est bien trop simple et que personne ne s’en méfie : Tasha le recontacte et il accepte de venir au FBI pour fournir le lieu et le moment où Madeline quittera le pays. Non mais allô les gars, un pilote louche débarque, vous demande 10 000$ et vous acceptez de l’aider en échange d’une info qui est soit bidon, soit un piège ? J’vous jure, cette série m’épuise une fois sur deux avec ses idées débiles comme ça !

Et une fois de plus, Boston prouve pourquoi j’aime tant ce personnage : c’est lui qui comprend que JB est en train de les manipuler, et c’était tellement évident que j’aimerais comprendre comment ça peut être le seul à s’en rendre compte. C’était tout de même plutôt drôle comme twist.

En revanche, de son côté, Jane est super soporifique dans cet épisode : elle est traumatisée par l’idée d’être responsable de ce qui est arrivé à Gordon dans l’épisode précédent où Kurt a été obligé de tuer ce wannabe terroriste. Du coup, elle se décide à voir tous les psys de la vie. Si ça permet quelques scènes drôles, ça ne prend pas du tout parce que ça fait quatre saisons qu’elle devrait voir un psy franchement…

Enfin, elle l’a fait en saison 2, on n’oublie pas les traîtres comme ça, surtout quand ils survivent à des explosions au beau milieu de cabane en bois. J’en étais là de mes réflexions quand la série a pris la décision d’en arriver là aussi et de nous ramener Borden dans la série, sans même proposer un de ces éternels flashbacks pour nous rappeler qui il était.

Bon, après, évidemment le cas de Jane est compliqué et c’est logique de ramener son ancien psy, alors on va dire que ça fonctionne. Ce qui fonctionne moins, c’est la réaction de Patterson qui n’en a rien à foutre du tout (ou presque) que Jane la trahisse comme ça. Enfin bon, c’est vrai que ça ferait chier tout le monde d’avoir les deux amies qu’on ne voit jamais ensemble se faire la tronche.

En plus, Borden n’est pas trop mauvais à souligner que NON, il n’y a pas Jane et Remi qui seraient deux personnes différentes. Jane s’énerve telle une ado en pleine crise quand elle comprend que dis-donc Borden a osé la manipuler elle aussi. Loin d’être énervée, elle lui demande finalement de la pardonner pour tout ce qu’elle lui a fait avant de devenir Jane Doe, prenant enfin la responsabilité de ce qu’elle a fait par le passé. En revanche, la simplification de ce qui lui arrive en simple choc post-traumatique, ce n’est pas brillant, je trouve.

Après, c’est plutôt chouette car ça permet à Jane de revenir au FBI juste à temps pour la dernière intervention de l’épisode qui voit toute l’équipe se rendre à l’hôpital pour arrêter Madeline qui compte utiliser un hélicoptère médical afin de s’échapper sans laisser de trace. Cet hélicoptère est conduit par un ancien copilote de JB, ce qui est complétement débile après tout ce qu’ils ont fait pour s’assurer que le FBI ne soit pas en mesure de la trouver. En plus, c’est tout aussi débile de ne pas fixer l’heure de son vrai départ au même moment que le bluff de JB, si ce n’est avant.

J’en demande trop à la série, je pense. Finalement, une suite d’incidents et d’hommes de main mènent Zapata à être toute seule pour arrêter Madeline, ce qui m’a plus fait buguer qu’autre chose. Ca n’a pas de sens de ne débarquer qu’à quatre et j’ai trouvé ça trop simple comme arrestation après tout le flan qu’ils nous ont fait dans cette saison et en début d’épisode sur le plan qu’elle avait contre Tasha.

La conclusion de la sous-intrigue Boston/Rich était autrement trop chou, avec Boston avouant qu’il sait parfaitement que Rich est celui qui achète ses œuvres d’art. Et sinon, Jane se fait ENCORE injecter un produit en fin d’épisode, tombant dans les pommes pour pouvoir servir, j’imagine, de monnaie d’échange afin de récupérer Madeline… Ah lala, c’est sans fin !

> Saison 4

Vus cette semaine #21

Ce RDV se contente de reprendre l’ensemble de mes avis sans spoiler sur les épisodes vus au cours de la semaine. C’est donc un simple copier-coller de ce qui se trouve déjà dans la colonne de gauche et qui est mis à jour quotidiennement. Le titre de chaque épisode mène à la critique plus complète et avec spoilers. Les épisodes sont reclassés par ordre chronologique de diffusion, en J+1… 

Lundi

Supergirl – S04E22 – The Quest for Peace – 16/20
C’était probablement une bonne fin de saison, mais la vérité, c’est que la saison a tellement traîné en longueur que je ne sais plus bien ce que j’en attendais. Les pistes ouvertes pour l’an prochain sont parfois intéressantes, parfois pas du tout motivantes, et je suis prêt à parier qu’ils choisiront d’explorer en priorité celles qui ne me passionnent pas. Du coup, c’est un épisode qui marque bien la fin d’un chapitre interminable de la série tout entamant le suivant. L’épisode fait son travail, ni plus, ni moins… mais moi, j’ai décroché d’un trop grand nombre d’intrigues, je crois.
Charmed – S01E22 – The Source Awakens – 18/20
Bien. Il faut s’asseoir confortablement et poser son cerveau pour savourer cet épisode qui est possiblement le plus rapide de la saison. Il s’y passe quelque chose toutes les deux ou trois minutes, c’est un tourbillon d’informations et c’est une fin de saison globalement réussie… mais la précipitation provoque quand même quelques troubles et des décisions romantiques pas super justifiées. Rendez-vous l’an prochain pour voir se rouvrir les portes du manoir !

Mercredi

The 100 – S06E04 – The Face Behind the Glass – 18/20
Cet épisode est déjà bien plus clair dans ses intentions et même si le sentiment de « on prend les mêmes et on recommence » est toujours un peu là, l’intrigue prend un tournant qui fonctionne vraiment bien. C’était un excellent épisode devant lequel il serait dur de s’ennuyer et qui termine par une scène qui donne vraiment envie de découvrir la suite !

Vendredi

In the Dark – S01E08 – Jessica Rabbit – 16/20
Je m’y attendais déjà la semaine dernière et le titre n’a fait que le confirmer, cet épisode prend enfin le temps de se consacrer plus longuement au personnage de Jess, que j’aime décidément beaucoup. Après toutes les révélations de l’épisode précédent, il faut relancer l’intrigue et c’est plutôt bien fait avec quelques petites pistes que je suis curieux de voir explorer.
Life in Pieces – S04E06 – Recovery Discipline Psycho Labor – 18/20
La pause était longue, mais ça valait le coup parce que les segments de cette semaine sont plutôt drôles, y compris pour les personnages que j’aime le moins. J’ai eu l’occasion d’éclater de rire, et c’est bien pour ça que je regarde cette saison. Gros plus pour cet épisode qui nous présente aussi un nouveau personnage déjà adorable !

Samedi

Agents of S.H.I.E.L.D – S06E03 – Fear and Loathing on the planet of Kitson – 20/20
Oui, je sais, cet épisode a exactement le même défaut que la semaine dernière et pourtant j’y mets 20. Ce n’est pas (totalement) de la mauvaise foi : je note de manière subjective et cet épisode se concentre sur mes personnages préférés, avec autant d’humour que de tension. C’était un excellent épisode que j’ai adoré découvrir, alors hop, pas de chichi, note maximale largement méritée !

Rattrapage – Lucifer

S04E07 – Devil is as Devil Does – 15/20
Ce n’est pas que je n’aime pas cette saison, c’est qu’elle a quand même pas mal de défauts dans l’écriture de ses personnages, parce que la contraction à dix épisodes au lieu de vingt-six se sent trop, et pas de la meilleure des manières. Autrement, ça reste un épisode sympathique à regarder, comme toujours avec cette série.
S04E08 – Super Bad Boyfriend – 16/20
Ah, ça y est, on approche de la fin de saison et ça se sent, car les intrigues m’ont quand même plus convaincu que dans les épisodes précédents. En plus, on sent vraiment qu’on est sur Netflix une fois de plus, mais cette fois parce que l’épisode est calibré comme sur la FOX, avec sept ou huit minutes de plus. Et on les sent passer cette fois, mais c’est une bonne chose car c’est la meilleure partie de l’épisode.
S04E09 – Save Lucifer – 16/20
Ouf, la série repart sur de bonnes pistes menant très clairement à l’épisode final de la saison (et de la série ?). C’est plutôt bien foutu et toutes les intrigues avancent, approchant clairement de leur conclusion. En revanche, j’ai du mal à voir comment est passé le temps dans cette saison de dix épisodes qui couvre très clairement plusieurs mois… ce n’est qu’un détail, je sais.
S04E10 – Who’s Da New King of Hell – 20/20
Voilà l’excellent épisode final auquel nous n’avons pas eu le droit l’an dernier, et franchement, je suis en paix avec n’importe quelle décision de Netflix pour le futur de la série désormais, parce que cet épisode peut conclure la saison ou la série, au choix. J’ai adoré, c’était vraiment bien écrit, et je n’ai pas vu les 55 minutes passer, contrairement aux deux épisodes précédents.

Rattrapage – Russian Doll

S01E01 – Nothing in this World is Easy – 15/20
Ben mince. J’avais un excellent souvenir du trailer alors je misais beaucoup sur cette série, mais finalement, ce premier épisode ne me donne ni un goût de trop peu, ni l’envie de vraiment poursuivre. À la rigueur, il pourrait presque se suffire à lui-même. Bon, je vais quand même continuer parce que quitte à commencer, autant aller au bout, mais ce n’est pas du tout le coup de cœur que j’en attendais…
S01E02 – The Great Escape – 15/20
Bien qu’un peu plus drôle dans sa deuxième moitié, j’ai quand même senti passer le temps devant cet épisode. Pourtant, le délire de la boucle temporelle est supposé nous empêcher de voir le temps passer. Seulement, la série propose une boucle bien personnelle assez peu répétitive et peine à choisir une direction bien définie. C’est peut-être mon plus gros problème : on ne voit pas où ça veut en venir.
S01E03 – A Warm Body – 15/20
Forcément, à force d’épisodes, je finis par m’habituer et m’attacher au personnage de Nadia et à sa vie complétement foireuse. Cet épisode nous apporte quelques réponses bienvenues et finit sur ce qui est probablement la meilleure scène de la série pour l’instant, parce qu’elle ouvre de nouvelles perspectives nécessaires pour ne pas qu’on s’ennuie trop.
S01E04 – Alan’s Routine – 17/20
Ah, voilà un épisode qui me parle déjà bien plus que les trois qui précèdent, parce qu’il y est question d’un peu plus de stabilité déjà ; et parce que le mystère s’épaissit… grâce à de nouveaux indices. Il y a tout de même de nombreux éléments auxquels je ne m’attendais pas, et la surprise apportée par cet épisode réussit à faire son effet sur moi. Il était temps, quand même.

Challenge Séries 2019

S04E03 – The Quantico Affair – 19/20
Rien ne va plus, voici que la série me prend par surprise avec un excellent épisode alors que je voulais juste le regarder pépère en mangeant. Difficile de ne pas développer un peu plus et avec spoiler pourquoi j’ai tant adoré cet épisode, donc hop, hop, hop, en voici la critique complète !
S04E04 – Sous-vide – 15/20
Il suffisait donc de demander pour y avoir droit, ce qui n’était pas arrivé depuis un moment arrive à nouveau dans cet épisode. Cela permet de passer tout l’épisode au FBI, quand la série n’est pas occupée à tourner en Europe avec une équipe réduite. J’aime cette tendance au voyage, c’est vraiment sympa comme idée depuis la saison 3. L’épisode en lui-même était plutôt cool, mais j’ai trouvé que la conclusion était bien trop rapide. Les cliffhangers fonctionnent et donnent envie de continuer, vraiment.
S04E05 – Naughty Monkey Kicks At Tree – 13/20
Pas bien brillant cet épisode qui poursuit deux intrigues en parallèle, une « à la semaine », une en fil rouge. Je n’ai pas réussi à accrocher, alors que pourtant, ça mettait en avant deux personnages que j’aime bien. D’ailleurs, c’est quand même la réussite de cette série, envers et contre tout, il y a encore trois personnages auxquels j’accroche, malgré la structure souvent bancale des épisodes.
S04E06 – Ca-Ca-Candidate For Cri-Cri-Crime – 12/20
Typiquement, ce genre d’épisode me conforte dans ma décision de ne pas critiquer longuement chaque épisode : nous sommes en plein dans le ventre mou de la saison, il ne se passe pas grand-chose de véritablement passionnant et cet épisode sert surtout à combler le temps entre deux cliffhangers.
S04E07 – Case, Sun, Moon, and the Truth – 14/20
Le personnage de Jane est peut-être une bonne actrice, mais l’actrice elle-même prend un sérieux coup avec cette intrigue, parce que bof. Cela n’empêche pas l’épisode d’être assez bon et de monter en tension de tous les côtés avant une mi-saison qui promet d’envoyer du pâté, comme à chaque fois. J’imagine qu’il faut apprécier la série à sa juste valeur et lui reconnaître sa constance d’écriture, saison après saison !
S04E08 – Screech, Thwack, Pow – 14/20
J’ai attendu quelques jours afin de voir cet épisode en ayant le temps d’en faire une critique complète, et je le regrette, parce que pour une mi-saison, ce n’était vraiment pas passionnant. Il n’y a que sur la fin de l’épisode que j’étais vraiment dedans… et c’était la fin de l’épisode. C’est con. La suite attendra encore un peu.
S04E09 – Check Your Ed – 14/20
Ces épisodes de mi-saison sont censés être les plus réussis habituellement, mais c’est vraiment un échec cette année ; je suis déçu. Non seulement l’épisode était hyper prévisible, mais en plus, il ne parvient pas à être aussi bon que lorsqu’ils ont proposé quelque chose de très similaire en saison 3… Au moins, la fin est plutôt bien trouvée et donne envie de découvrir le reste de la saison, parce que j’aime un personnage que tout le monde déteste. Naïvement, j’espère quelques réponses d’ici la fin…
S04E10 – The Big Reveal – 15/20
Mouais, mouais, mouais, je n’appelle pas ça une grosse révélation cet épisode ; il ne fait que confirmer une théorie que j’avais depuis dix épisodes et qui n’était pas si bien écrite que ça du côté de la construction de personnages. Bon, il n’empêche que cet épisode capitalise bien sur les doutes qu’il réussit à provoquer malgré tout et qu’il donne les pistes nécessaires pour poursuivre la saison. On repart sur du meilleur.
S04E11 – Careless Whisper – 15/20
Pas mal du tout pour cet épisode qui permet aux scénaristes de beaucoup s’amuser et de nous prouver que la série pourrait être encore plus mal écrite s’ils y mettaient du leur. C’est ce qu’ils font dans cet épisode à visée parodique, et ça marche. Quelques messages subtils (ou pas) nous indiquent aussi à quoi nous attendre pour le reste de la saison et, ma foi, l’intrigue médicale commence à être intéressante…

> Vus en 2019

Blindspot – S04E08

Épisode 8 – Screech, Thwack, Pow – 14/20
J’ai attendu quelques jours afin de voir cet épisode en ayant le temps d’en faire une critique complète, et je le regrette, parce que pour une mi-saison, ce n’était vraiment pas passionnant. Il n’y a que sur la fin de l’épisode que j’étais vraiment dedans… et c’était la fin de l’épisode. C’est con. La suite attendra encore un peu.

> Saison 4


408.jpg

We’re not the good guys, are we?

C’est très cool de rattraper Blindspot des mois après la diffusion, mais ça pose quand même un problème de savoir à l’avance les épisodes que j’aurais envie de commenter de manière complète. C’est le cas de cet épisode et ça m’a forcé à laisser passer du temps avant de m’y mettre. Il commence plutôt bien, avec Rémi tirant sur Kurt, provoquant un accident. Et hop, on repart « plus tôt ce jour-là ». J’ai l’impression que je déteste ce genre d’épisode, mais d’un autre côté, j’y mets toujours des bonnes notes, alors oui, ça commence bien.

Plus tôt ce jour-là, donc, Reade fait équipe avec Weitz pour retrouver Zapata à Mexico ; et il s’en confie à Patterson parce qu’ils ont besoin d’elle, évidemment.

De son côté, Rich s’amuse à mettre au point une application capable de faire dire n’importe quoi à n’importe qui. Cela commence avec humour puisqu’il fait dire à Patterson qu’elle l’adore, mais ne soyons pas bêtes : ça servira plus tard dans l’épisode de manière bien plus sérieuse.

Patterson et Rich ne restent pas longtemps au boulot : ils sont convoqués dans l’appartement de Kurt pour apprendre que Jane est devenue Rémi. Bien qu’elle soit une terroriste hyper dangereuse, ils prennent la décision de n’en parler à personne. C’est ridicule, mais nécessaire pour la série, surtout que Patterson pense avoir trouvé un moyen de lui rendre ses souvenirs.

Pas le temps de s’en inquiéter cependant : le FBI reçoit une alerte un brin flippante : ils ont 32 minutes pour mettre à l’abri la population d’un missile nucléaire qui est en route vers New-York. Normal. Malgré la situation, c’est plus drôle que flippant, parce que Rich se met à flipper pour Boston plutôt que pour lui.

Cela lui permet malgré tout de découvrir que l’alerte est totalement infondée : il n’y a aucun missile nucléaire en route vers New-York, et pire que ça, le hack qui y fait croire vient de l’intérieur du FBI. On comprend aussitôt que c’est le grand plan de Rémi, même si je ne vois pas bien l’utilité d’une telle diversion pour libérer sa mère.

En plus, la diversion n’est que moyennement efficace. Bien sûr, c’est le chaos en ville, mais dans le bureau du FBI, tout le monde est calme même si personne n’arrive à stopper l’alarme. Cela leur permet de rapidement comprendre le lien entre Boston (qu’ils savent responsable du hack grâce au câble ethernet qui l’a permis) et Remi, même s’ils sont loin de se douter de la vérité : Rémi fait tout ça en forçant Boston à agir pour elle. Elle lui fait d’abord croire qu’il s’agit toujours d’une session de recrutement pour le FBI, avant de le menacer.

Et la menace doit être flippante, parce que Remi va de plus en plus mal : elle voit Roman partout et lui parle désormais, ayant des conversations avec lui en présence de Boston qui sent bien qu’elle est complétement vrillée du cerveau la pauvre. Par conséquent, il l’endort en lui disant qu’il veut faire équipe avec elle, mais laisse une piste facile à suivre pour le FBI qui, évidemment, comprend bien vite ce qu’il en est parce que Patterson est trop maligne.

Bien sûr, ils bougent quand même trop tard, pour changer : Remi parvient à libérer Sheperd sans trop de mal, laissant Violet pour morte, mais aussi Boston, qui est assez malin pour faire semblant d’être mort. C’est donc lui qui vient à la rescousse de Kurt quand il a l’accident de voiture que nous avions en début d’épisode. Et les agents le laissent faire, alors qu’il est techniquement du côté ennemi. Bon, il se fait quand même arrêter par Kurt.

Plutôt que d’essayer de rattraper Remi et Shepherd et malgré un énorme accident de voiture, Kurt souhaite en effet interroger Boston pour en savoir beaucoup plus : cela lui permet de comprendre que le ZIP fait halluciner Jane et que la situation est quand même pas mal merdique pour Jane – parce qu’il a encore espoir de ramener Jane bien sûr. Ce qui est tout de même sympa, c’est que ça permet une belle réunion entre Boston et Rich.

Bon, après, ce dernier fait croire à Boston qu’il est un gros connard qui le laisse retourner en prison parce qu’il préfère protéger Jane que lui. Boston profite donc de ce au revoir avec son ex pour lui dire qu’il l’aime encore et qu’il espérait finir avec lui. C’est à ce moment-là que Rich révèle qu’il mentait, et je dois dire que même moi, je suis tombé dans son piège sur ce coup-là. Patterson, elle, imagine que c’est l’application de Rich qui fait dire à Boston qu’il l’aime. Amusant.

Remi, elle, doit faire face à sa mère qui a perdu tout espoir et lui révèle que, oui, elle savait que le ZIP était un poison. C’est gênant, mais elles décident malgré tout de travailler ensemble ensuite, ne se doutant pas que le FBI a peut-être un moyen de raviver les souvenirs de Jane : l’application de Rich. Comme prévu, elle leur sert donc à piéger Remi : elle pense recevoir un mail vidéo de Roman qui lui dit de se rendre dans un entrepôt, alors que bien sûr, ce n’est que Kurt qui l’y attend. Et c’est là que l’épisode se termine pour cette intrigue, quand ça devenait enfin intéressant. Humph.

Pendant ce temps, à Mexico, la nouvelle d’un missile nucléaire ne semble inquiéter que Tasha. Elle continue donc son boulot comme si de rien n’était, forcée par Madeline Burke à le faire puisque celle-ci s’en contrefiche pas mal. C’est complétement perché comme idée ça : je veux bien que Madeline soit méchante, mais je ne comprends pas trop en quoi le risque de voir une ville américaine rayée de la carte ne l’inquiète pas plus que ça. C’est toute sa richesse qui s’effondre si ça arrive, alors euh, sa confiance est complétement débile.

Bon, il faut que j’arrête d’en attendre trop de cette série, de toute manière, ce n’est pas la première fois que rien n’a de sens. On ne voit pas Reade pendant un long moment, l’épisode préférant se concentrer sur le deal de Madeline avec un autre criminel. C’est particulièrement inintéressant avec un filtre jaune pas bien joli et le but est de nous montrer que Madeline est une cinglée avec beaucoup de pouvoir et une intrigue géopolitique inintéressante à offrir. Franchement, ça me fait presque regretter d’être à écrire une critique complète.

Après tout ça, Madeline et Tasha se séparent, à peu près deux secondes avant que Reade ne débarque et ne voit Tasha. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle se retrouve prise au piège entre Weitz et Reade…

> Saison 4