Salut les sériephiles,
Je vous propose aujourd’hui la suite de mon article de vendredi dernier sur les films regardés au mois d’avril. Loin de m’être tenu au « un film par semaine », j’ai plutôt abusé de la période de congés scolaires pour préparer mes cours devant quelques films à voir ou revoir. Bref, il y a de quoi faire encore aujourd’hui.
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Semaine 16 – The Perfect Date
Début de mes vacances, et ça se voit dans mon visionnage de films. Netflix m’a balancé de force la bande-annonce et j’ai trouvé ça sympa, surtout que j’ai cru que l’acteur principal du film était Raphaël de Shadowhunters. Finalement, pas du tout, mais ils se ressemblent beaucoup et je pensais que c’était pour ça que l’algorithme me proposait ça.
Je ne sais pas m’expliquer comment Netflix s’est dit que c’était une bonne idée de me le proposer puisque le film précédent vu sur Netflix était donc du Kubrick. Et The Perfect Date, ce n’est pas du Kubrick, hein. Cela dit, c’est une comédie romantique adolescente qui fonctionne plutôt bien, c’était sympa à regarder et je suis totalement sous le charme de l’actrice… pour mieux découvrir que je la connaissais déjà en tant que chanteuse il y a quelques années. Depuis mon visionnage du film, j’ai donc découvert ses nouvelles chansons et je suis en boucle sur l’une d’entre elles.
Et c’est comme cela que je n’ai pas complétement perdu mon temps devant ce film que j’oublierai vite ensuite.
Those People
Gros hasard là aussi, c’est bien parce que j’avais le temps pendant les vacances que j’ai regardé ce film. Je ne le connaissais pas cinq minutes avant de le lancer : alors que j’écrivais mon article Performance de la semaine sur Jason Ralph, je suis passé par son imdb par curiosité, voir si j’oubliais quelque chose. Je suis donc tombé sur ce film, dont le titre me disait quelque chose : et pour cause, je l’avais déjà vu un an plus tôt en écrivant mon article sur Britt Lower.
Bref, un film avec deux acteurs que j’aime, j’ai voulu de voir ce dont il s’agissait et une recherche Google plus tard, je découvrais qu’il était dispo sur Netflix et je faisais play. Bon, c’est un film assez classique là aussi, une romance gay qui n’a de romance que le nom ; parce que ça n’envoie pas forcément du rêve et tout se joue dans une histoire de désir pas tout à fait réciproque.
J’ai malgré tout beaucoup aimé le film, où Jason Ralph effectue là aussi une excellente performance – j’allais écrire « sa meilleure performance », mais non, quand même, la fin de saison de The Magicians était meilleure.
C’est donc un film que je conseille, il est sympa et assez entêtant avec l’utilisation de musique classique. Quelques rebondissements m’ont surpris en cours de route, c’était assez chouette à voir.
Infinity War
Voir ou revoir, donc, et avant d’aller voir Endgame, il fallait que j’écrive mon résumé sur les films qui précèdent. La tâche était énorme avec Infinity War, alors je me suis dit que ça ne me ferait pas de mal de le voir. C’était censé être mon film de la semaine, et puis c’était finalement une semaine assez chargée en films. En tout cas, le revoir m’a fait prendre conscience qu’il était chargé en scènes d’action, bien plus que je ne m’en souvenais parce que j’avais surtout retenu l’impact émotionnel.
Et même à le revoir, il n’y a pas à dire, Tom Holland réussit bien à faire passer la portée dramatique du claquement de doigts. C’était donc chouette comme tout ! Pour le reste, je peux vous renvoyer à mon article.

Semaine 17 – Endgame
Inévitablement. Là encore, je vous laisse avec mon article. Et d’ailleurs, plutôt deux fois qu’une (ce n’est pas le même).
Unicorn Store
J’ai décidément usé et abusé de Netflix ces dernières semaines, mais bon, ça rentabilise l’abonnement après tout. Il n’y a pas à chercher bien loin la raison du pourquoi j’ai regardé ce film : elle s’appelle Brie Larson. Je devais être un peu frustré après Endgame, allez savoir.
Le film est assez sympathique et vaut le détour surtout pour sa bande musicale et pour son esthétisme, parce qu’il est drôlement beau à regarder. Bon, OK, elle est belle à regarder aussi, j’avoue. J’ai mis un peu de temps à rentrer dans le film, parce que c’est une histoire assez perchée, sur le rêve et l’imaginaire, et que j’étais assez cartésien ce soir-là. Cela dit, c’est assez mignon cette histoire de magasin de licorne, et les contrastes entre vie morose et vie en rose, c’était plutôt plaisant.
Un film pour les rêveurs, donc, et pour ceux qui veulent de belles images !
C’est tout pour le mois d’avril, mais c’était déjà pas mal (bon, en fait, j’en ai vu un autre, qui sera dans l’article de mai, parce que je fais à la semaine et que je l’ai vu lors de la dix-huitième semaine. Faisons comme si.)









