Films vus #45

Salut les cinéphiles,

Déjà deux semaines que je ne parle plus de films sur le blog, rien ne va plus, je vais accumuler du retard à nouveau, c’est moche. Moche, mais pas si grave après tout, parce que je m’y suis résolu. Il est tout de même temps de parler un peu plus longuement des films vus en septembre… avec un schéma de visionnage bien particulier : avec la rentrée scolaire, j’ai regardé peu de choses en cours de mois et énormément sur les derniers jours du mois. Bref, badaboum, nous voilà mi-septembre. Vous êtes dans l’ambiance, c’est bon ? Alors go !

Michael Fassbender & Alicia Vikander / The Light Between Oceans | Michael  fassbender and alicia vikander, Michael fassbender, The light between oceans

The Light Between Oceans

Ce film s’est avéré être un coup de cœur parfaitement inattendu. Il a été inattendu parce que son titre n’attirait pas plus que ça et parce que le début n’est pas vraiment mon genre de film, avec un côté très historique. Le film se déroule en Australie, après la Première Guerre mondiale et l’on y suit la vie d’un ancien soldat traumatisé par les combats. Il décide donc de s’isoler sur une île nommée Janus Rock, où il devient gardien de phare.

Présenté comme ça, avouez que ça ne donne pas spécialement envie, non ? Pourtant, le film est une bonne surprise pour la relation amoureuse qu’il va finalement mettre en avant, et pour son histoire de manière générale. Bien que prévisible à bien des égards, cette histoire parvient à être aussi bouleversante qu’elle le souhaite.

Côté esthétique, le film est magnifique à regarder, la musique nous entraîne et l’on s’évade avec les personnages sans trop de mal. Un coup de cœur, finalement, qui a même réussi à me tirer quelques larmes. Pff. Il y a quelques années, j’étais content de ne jamais pleurer devant rien. C’est parti loin cette époque.

The Nest (Il Nido) | Roberto De Feo e il cast raccontano il film

Il Nido

Il est rare que je regarde des films italiens, et c’est peut-être un tort, parce que j’ai bien aimé ce film. Il n’est pas incontournable, mais j’ai accroché à son ambiance mystérieuse. On suit cette fois la vie d’un petit garçon handicapé dans un grand château où toute sa famille veille sur lui. Oui, sa famille veille sur lui, mais elle l’étouffe aussi : le petit garçon n’a ainsi pas le droit de sortir du domaine – du nid familial, eh, c’est donc ça le titre.

C’est curieux, n’est-ce pas ? Qu’est-ce qui peut bien empêcher cette famille de sortir de son domaine ? La mère est-elle juste aussi cinglée que ce qu’elle en a l’air ? C’est particulier, parce que le film passe son temps à nous poser des questions, mais les réponses tardent à venir. Pour autant, j’aime bien l’idée de base et je trouve la mise en œuvre vraiment sympathique.

Après, c’est clairement un film qui va diviser. Si vous aimez accumuler les indices et ne pas trop savoir dans quoi vous vous embarquez, c’est parfait ! L’enquête n’est pas bien dure à mener, cependant, j’avais deviné avant les révélations de quoi il en retournait. Seulement, je me suis laissé séduire par l’ambiance du film, et c’est tout ce qui compte.

Phantom acquires remake rights for 'Ludo' | News | Screen

Ludo

Après mon coup de cœur pour Tumbbad, il était normal d’essayer de me diversifier un peu dans les films d’horreur en allant voir du côté des pays qu’on connaît peu. Ce film-là, je l’ai trouvé sur Netflix et j’ai eu bon espoir parce que l’algorithme disait qu’il allait me plaire, et parce qu’il n’était pas si mal noté. Par contre, j’en ressors plus que mitigé pour tout un tas de raison.

Ludo raconte l’histoire de deux jeunes filles qui fuguent pour aller en rencard avec deux jeunes hommes. Dépouillé de leur argent de manière surprenante, les jeunes se retrouvent à devoir chercher où passer la nuit – et, spoilers, ils finissent alors dans un centre commercial. Tout ça ne nous dit pas pourquoi le film s’appelle comme ça, je sais bien, mais c’est déjà un bon tiers du film. Le titre ? Il fait référence à un jeu, jeu qui entre en scène après la moitié du film et donne une toute nouvelle dimension au film.

Déjà, le problème est peut-être là : j’ai bien aimé la première partie du film, pas du tout horrifique, et quand l’horreur arrive, on ne sait pas trop d’où elle sort. La dernière partie du film part alors dans une espèce d’explication historique/mythologique des origines d’un jeu, et… ben en fait, on ne comprend rien du tout à ce qu’il se passe. C’est hyper décevant, parce qu’on met de côté tout le début du film pour autre chose.

Je ne déconseille pas le film pour autant, il a de bonnes scènes et il a eu un effet assez étrange sur moi, parce que j’étais fasciné par ce qu’il se passait – je n’arrivais plus à décrocher, je voulais vraiment comprendre. Seulement, ben… Je n’ai pas compris. Bref, j’étais déçu après ça, et j’ai eu l’impression de perdre pas mal de temps, même si certaines scènes sont marquantes, que les effets spéciaux sont bons et l’horreur bien présente.

Peut-être que c’était trop particulier pour moi ; en tout cas, j’ai trouvé ça plus mauvais qu’autre chose !

The Social Dilemma - Le digital pour tous

The Social Dilemma

Ah les américains ! Le tout Twitter américain s’extasiait tellement devant ce documentaire que je me suis dit que je pouvais bien aller faire un saut de ce côté-là sur Netflix. Le documentaire revient sur la menace que présente les réseaux sociaux, sur les aspects négatifs de ces nouveaux outils et promet presque de nous convaincre de désactiver nos comptes grâce à des interviews croisés de toute une armée d’américains ayant bosser à la conception de ces réseaux.

Concrètement, les personnes interrogées forment une liste vraiment impressionnante et… c’est bien pour ça que je suis surpris d’avoir assisté à un « documentaire » si inintéressant. On enchaîne du blabla avec encore plus de blabla, on a une partie fictive intéressante mais pas exceptionnelle pour illustrer les propos et dans l’ensemble, on n’apprend pas grand-chose. Peut-être que j’étais déjà trop sensibilisé sur le sujet pour apprendre vraiment quelque chose, peut-être que je ne me ferai jamais aux documentaires américains qui ne construisent rien mais empilent les anecdotes et errent sans fin.

Une chose est sûre, pour moi, la partie la plus intéressante, c’était… Le générique de fin ! C’est au cours de celui-ci que j’ai eu ce pourquoi j’étais vraiment venu : des exemples concrets d’utilisation des réseaux par ces personnes qui nous déconseillent de les utiliser alors qu’ils en sont les créateurs. Ça, c’était intéressant et ça aurait mérité d’être vraiment développé. Bref, ce documentaire devait révolutionner ma vie, autant vous dire que ça n’a pas porter ses fruits.

face claims - JENNIFER GARNER - Wattpad

Miracles for Heaven

Un bon film de dimanche, tout simplement. Inspiré d’une histoire vraie, et c’est ça le plus fou, ce film suit la vie d’une petite fille qui tombe malade du jour au lendemain et celle de sa mère qui va se battre jusqu’au bout pour comprendre quelle maladie a son enfant, et tenter par tous les moyens de sauver sa vie.

Hyper américanisé, ce film est porté par Jennifer Garner et une jeune actrice qui s’en tirent bien toutes les deux pour nous vendre cette relation mère/fille. L’histoire est absolument folle pour plein de raisons, on est sur du feel-good typique et vraiment, c’est bien pour le dimanche. En même temps, les films de Jennifer Garner, c’est souvent ça. J’adore cette actrice, pourtant, mais elle a des choix de films qui me laissent toujours un peu perplexe.

Timothy Green Sun | Green movie, Best movie lines, Movies

Timothy Green

Autant rempiler tout de suite, du coup, avec un autre film parfait pour le dimanche. Je ne saurais dire lequel des deux j’ai préféré. Dans celui-ci, qui est disponible sur Disney+, un couple apprend qu’il ne pourra pas avoir d’enfant et fait son deuil en imaginant l’enfant qu’ils auraient eu sur des bouts de papier. Ils enterrent ces papiers dans une boîte et au fond du jardin… mais dans la nuit un orage éclate, un éclair tombe sur l’emplacement de la boîte et il en surgit, vous l’aurez deviné comme moi je pense, un petit garçon, Timothy Green.

Ce don du ciel a toutefois une particularité aux jambes qui va avoir son importance pour la suite ; et l’on sait dès le départ que le couple ne le gardera pas à vie, puisqu’on les voit tenter de convaincre quelqu’un de leur permettre l’adoption. Très prévisible, ce film a souvent l’allure d’un conte. C’est du Disney, après tout ! Ca se sent, mais ce n’est pas négatif… si on est dimanche. Un autre jour, bof, je pense.

Allez, c’est tout pour moi ce soir, je retourne sur Twitter voir où en est cette élection américaine de dingue. A chaque connexion, un nouveau scandale a éclaté franchement…

 

La série préférée de… Ludo

Hello les amis !

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Ce n’est pas l’introduction que vous attendiez, hein ? C’est normal ! Aujourd’hui c’est moi, Ludo, qui est aux manettes du blog :-D, Shipou étant occupé à un petit truc, important pour son avenir à ce qu’il paraît, son cerveau fumant autant qu’une cafetière dans une salle de pause d’un commissariat… Bref, ceci étant dit il paraît que je n’ai droit qu’à 500 mots, venons-en donc au sujet principal : The West Wing ! J’ai prévu 5 arguments convaincants et percutants pour vous donner envie…

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Mais avant, c’est quoi The West Wing ? C’est une série en 155 épisodes diffusée entre 1999 et 2006 sur NBC. Elle suit le quotidien d’un Président des États-Unis, Josiah Bartlet, et de son équipe dans l’aile ouest de la Maison Blanche. Avec, vous vous en doutez pleins de péripéties dues à leurs vies privées, à leur caractères et aux exigences de leurs fonctions !

Je crois pouvoir dire que la première chose à laquelle je pense lorsqu’on me parle de la série c’est le personnage du Président Bartlet. C’est le boss, le patron, il parle on se tait, en théorie tout du moins. Parce qu’en fait c’est un peu le papa de tout ce beau monde. Il est bienveillant, a l’humilité d’accepter qu’on lui réponde tout comme il reconnaît ses erreurs. Il est aussi d’une loyauté infaillible envers son équipe. Ceci dit, il utilise parfois son pouvoir pour obliger les autres à participer à des activités qui ne leurs plaisent pas et c’est savoureux dans ces cas-là ! Il a aussi ses failles, bien sûr, mais ça, je vous laisse le découvrir…

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Il y a foule d’autres personnages aussi, forcément. Et c’est ce qui fait la force de la série aussi : la dynamique de groupe. Ils sont tous amis et se serrent tous les coudes. Évidemment, ils ont chacun leurs caractères et font tous des erreurs. Ça gueule parfois, ça se vole dans les plumes, mais finalement tout finit toujours par s’arranger sans conséquences… La plupart du temps.

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J’aime aussi particulièrement la construction de la hiérarchie et la manière dont chacun doit composé avec. Dans les faits il n’y a qu’une personne qui peut déranger le Président quand il le souhaite, le chef de cabinet. Vous vous doutez bien qu’il est souvent sollicité par tout le monde. En-dehors de ça, ils sont tous plus ou moins sur un pied d’égalité (il y a une hiérarchie là aussi mais n’y font pas attention la plupart du temps), ils doivent juste préparer les discours, projets de loi et toutes les choses dont le président à besoin. Cela donne la place à pas mal de débats et de discussions… Un autre aspect très intéressant ! Surtout qu’en général ils n’ont pas le temps de s’arrêter à chaque bureau, ils discutent donc souvent dans les couloirs, en vitesse, avec de longues tirades, dans lesquelles j’avoue ne pas toujours tout comprendre 🙂

Et puis les acteurs ! Non mais on en parle ??? Martin Sheen est juste parfait… A un charisme extraordinaire et endosse le costume de Président comme personne. John Spencer, plus ancien, joue le vieux sage, gardien du temple, c’est un peu le grand père avisé qu’on aimerait tous avoir. Bradley Whitford joue le benêt un peu à côté de la plaque, mais terriblement attachant. Richard Schiff qui joue le gros bourru qu’on aimerait pas avoir devant soit quand il est énervé. Rob Lowe le petit gendre idéal. Allison Janney qui s’en prends plein la tête au vue de sa fonction mais se montre être une combattante de toute beauté… Je pourrais continuer longtemps. Ce casting est un casting 5 étoiles et ça sert énormément la série à être ce qu’elle est !

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Et puis il y a la politique ! Bon je vous l’accorde, c’est déjà plus personnel… Personnellement les coulisses du pouvoir, la politique en général, américaine en particulier, la Maison Blanche, ça m’a toujours fasciné et interpellé. On notera en plus que la série se veut le plus plausible et réaliste que possible, la production ayant engagé pas mal de personnes s’y connaissant particulièrement comme Dee Dee Myers qui fut porte-parole de la Maison-Blanche durant le premier mandat de Clinton par exemple !

Avouez qu’il y a de quoi être convaincu par tout ça, non ? Alors allez-y il y a de quoi faire ! Vous m’en direz des nouvelles 😉 Et puis je terminerais en disant que… Quoi ? Comment ça je dirais plus rien ? On est déjà à 700 mots passés ? Bon…

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Merci à Ludo d’avoir accepté de participer à (et d’entamer le bal de) cette semaine particulière où je laisse la plume à ceux ayant le plus commenté le blog ces derniers mois. Je pense qu’il est impossible de ne pas le connaître si vous suivez le blog assez régulièrement, mais au cas où, vous pouvez retrouver ce co-organisateur du Week-end en séries sur son blog, Prends un livre et détends-toi, sur Youtube et sur ses réseaux sociaux.

Le mois de la romance

Salut les sériephiles lecteurs,

On se retrouve ce matin pour parler d’un défi organisé en février par Ludo et qui n’est pas le Week-end en séries. Et oui, il se diversifie et s’assure qu’on ne s’ennuie jamais le Ludo ! Cette fois, il nous propose Le Mois De La Romance (#LMDLR, donc), rien que ça, parce que février est le mois de la St Valentin. Il est inspiré, n’est-ce pas ?

Tout au long du mois de février, le principe est donc de lire des romans qui parlent d’amour, de la littérature sentimentale, de guimauve et de papillons dans le ventre, bref, un truc avec tout plein de cœurs et paillettes partout. Tout le monde peut participer, du moment que vous êtes motivés à lire.

Avant d’entrer dans le détail des règles, il faut savoir qu’il y a plusieurs niveaux possibles, donc ne vous défilez pas, c’est très faisable :

  • Le niveau « un peu » : 2 livres
  • « Beaucoup » : 5 livres
  • « Passionnément » : 8 livres
  • « À la folie » : 10 livres

Voilà, perso ça en impose déjà côté défi d’aller jusqu’à la folie, mais comme je suis pas mal de blogs de critiques de livres, je sais que certains le font couramment. En soi, avec les études moi aussi, mais du coup, pas de quoi entrer dans le challenge qu’il nous vend avec une jolie plage en plein hiver :

Franchement, ça fait rêver !

Comme ces niveaux sont donc encore trop simples, il faut que la moitié des livres que vous choisirez de lire (donc 1, 3, 4 ou 5 livres selon le niveau) correspondent à au moins une des consignes suivantes :

  • Du rose sur la couverture (même si ce n’est qu’une petite pointe de rose)
  • Plus de 400 pages
  • Livre sorti depuis le 1er septembre 2017
  • Un auteur déjà lu
  • Milieu du sport
  • Au lycée (ou n’importe quand dans la scolarité)
  • Les héros sont à l’opposé l’un de l’autre
  • L’homme est millionnaire. Ou milliardaire. Riche, quoi.
  • Un tome d’une saga
  • Les deux personnages travaillent.

Et comme Ludo est bien moins chiant que je ne peux l’être avec mes consignes du Bingo Séries, vous aurez compris que ces consignes sont des indications que vous pouvez tordre à l’envie pour valider votre challenge. Histoire de s’amuser encore plus, il y a également des défis facultatifs à faire pour les réseaux sociaux :

  • Poster une photo de soi avec son auteur romance préféré
  • Mettre en scène une romance
  • Se prendre en photo avec sa romance dans un lieu insolite
  • Reproduire une scène de sa romance (Ludo précise qu’il faut que ça soit soft, hein)
  • Manger quelque chose de rose pendant la lecture…

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J’en connais un qui a trouvé une bonne excuse pour manger des bonbons.

Pour les amateurs de romance, sachez qu’il y aura également des concours sur le blog de Ludo ! Comme je ne fais pas spécialement parti de ces amateurs mais que j’entends parler de ce mois de la romance depuis au moins deux mois maintenant, j’ai décidé de participer avec le niveau « un peu ».

Je ne suis même pas sûr de le valider parce que j’ai aussi pas mal de révisions à faire et que je suis généralement un détracteur de ce genre de romans qui me blasent, me font lever les yeux au ciel et ne me passionnent pas. Cependant, je n’avais pas envie de passer à côté de ce mini-événement et j’aime bien sortir parfois de ma zone de confort. On ne sait jamais, peut-être que je vais avoir une révélation ! N’hésitez pas à rejoindre le groupe Facebook du coup. Et s’il vous reste des questions, tout est expliqué plus en détail dans l’article de Ludo.

Résultat de recherche d'images pour "withering hope"Pour les très curieux, je compte donc lire deux romans, et je les ai déjà choisis ; il n’y a plus qu’à attendre février. J’ai choisi de faire le défi en anglais… parce que les romans étaient moins chers (booouh le radin) et que ça tuera peut-être l’ennui si je n’accroche pas à l’eau de rose :

Withering Hope de Layla Hagen : découvert par hasard sur Amazon, ce roman m’a attiré pour sa couverture (qui en plus possède une touche de rose avec le nom de l’auteur, donc hop, consigne validée). C’est un peu un Lost version romantique. Je suis sceptique, mais le côté aventure a l’air plus passionnant que la majorité des résumés de romance que j’ai pu lire dans ma quête d’un bon livre.

Résultat de recherche d'images pour "the air he breathes"The air he breathes de Brittainy Cherry : c’est Ludo qui me l’a conseillé, parce que c’est une des rares romances qu’il a lu récemment qui pourrait peut-être me plaire selon lui, « parce qu’il y a du drama et des morts ». C’est un argument de vente choc qui m’aura fait rire ; je ne sais pas à quoi m’attendre. Contrairement aux apparences, je l’ai bien en anglais, malgré la promo très intensive de Ludo pour la maison d’édition Hugo. En revanche, ma rapide recherche Google ne m’a sorti que la couverture VF, et comme c’est à peu de choses près la même, je me suis dit que ce serait suffisant.

Voilà. Deux livres, a priori, je ne prends pas trop de risques ; même en cas d’ennui, je devrais m’en tirer si tout va bien. C’est l’occasion ou jamais de tester de toute façon !

Bonne journée à tous… et bons préparatifs de votre mois de la romance !