Semaine 28 : du 11 au 17 juillet

Allez, je continue le rattrapage de mon mois de retard tant que j’ai un peu de temps (parce que oui, je m’apprête à repartir lala). La chronologie est rétablie comme pour la semaine 27, allez hop, c’est parti.

06
Les inédits de la semaine

En vadrouille sur la côte vendéenne plus ou moins natale (techniquement moins plus que plus, sauf que l’attachement est là), j’ai tenté cette semaine-là encore de me tenir à jour. Concrètement, ça donnait Preacher le soir au bord de la plage, BrainDead en me laissant conduire en voiture, Scream en sirotant un cocktail au camping… bref, vous comprendrez que j’ai un peu improvisé et regardé chaque fois que j’en avais l’occasion. Jamais mon t-shirt « This is what a binge watcher looks like » (dont je me suis servi comme pyjama, suivez le lien) n’avait eu autant de sens, mais une fois accro, c’est dur de décrocher vous savez bien !

Comme pour la semaine 27, les notes sont assez disparates, aussi en fonction de ce que je faisais pendant le visionnage et parce qu’avec une vie bien remplie, on est tout de suite moins motivé par certaines séries.

Preacher (1×07), 18/20
Roadies (1×03), 14/20
Braindead (1×04), 16/20
Unreal (2×06), 19/20
Scream (2×07), 15/20
Wrecked (1×06), 15/20
Containment (1×12), 18/20
Suits (6×01), 17/20
Another Period (2×05), 15/20
Outcast (1×06), 13/20
Angel from Hell (1×10), 07/20
Angel from Hell (1×11), 08/20

suits-182.jpgLa performance de la semaine

Sur le modèle de certains blogs américains (et de TVline), j’ai décidé de me mettre en quête du meilleur acteur de la semaine.

Chapeau bas à Gina Torres que j’adore depuis Firefly et qui a toujours su s’imposer dans les séries qu’elle rejoint (à l’exception peut-être de Con Man où elle a un rôle pas si marquant – mais drôle). Cela dit, si je la propose en performance de la semaine, ce n’est pas pour ses rôles passés, mais bien pour le personnage de Jessica Pearson qu’elle incarne dans Suits.

Jessica, c’est le genre de rôle qui ne se développe que dans le temps, qui commence par être présentée comme froide, manipulatrice, calculatrice… et que l’on découvre progressivement sous un nouveau jour, où le côté badass n’est qu’une apparence qui cache bien des faiblesses. Ces faiblesses rendent alors le personnage humain et nous donne encore plus envie de la voir être badass. Pas évident à interpréter, car il faut dès le départ trouver les bonnes nuances pour ne pas être non plus détestée des fans… et ça, Gina Torres l’a parfaitement compris et s’en est tirée impeccablement.

Cette semaine, avec le lancement de la saison 6, on a justement assisté à un développement plus approfondi du personnage qui pour la première fois laisse voir ses failles, autant à Rachel que Luis. C’était superbement interprété de la part de l’actrice, qui a su montrer à la fois la perte de contrôle de son personnage, notamment dans les scènes où elle fume un joint, et l’habitude qu’elle a de tout gérer, en reprenant pied en cours d’épisode.

Bref, un rôle de femme forte, mais pas trop, avec juste ce qu’il faut de nuance de jeu quand il le faut pour rester crédible. Gina Torres n’a pas toujours été une actrice que j’adore (mon dieu, dans Angel, la catastrophe à première vue, même si maintenant, je comprends mieux son jeu), mais dans Suits, elle a apporté les touches qu’il fallait pour rester crédible jusqu’au bout.

00
Les autres actus du blog

Bon euh donc ? Par où je commence ?

Au secours ! Mon challenge série n’avance plus. C’est con, j’avais pourtant les DVDs avec moi. Ouais, mais bon, j’ai profité du soleil et j’avais un milliard de choses à faire, plus les épisodes à la semaine et tout… Le retard s’accumule vite.

Par conséquent, j’ai décidé de laisser de côté pour l’instant Dead of Summer, mais aussi de ne pas commencer tout de suite Night Of et Stranger Things. Priorité aux séries que j’avais déjà entamé et apprécié donc, ainsi qu’à la nouvelle saison de Suits. Je reviendrais sur ces trois là quand j’aurais un peu plus de temps.

Retrouvez par ici les articles des semaines précédentes

Semaine 27 : du 4 au 10 juillet

Bonjour à tous !

Hum. C’est avec un mois de retard que je publie cet article et du coup, il faut voir cet article comme une séance de rattrapage. J’étais parti sous le soleil italien et j’ai mis un certain temps à visionner tous les épisodes. Je n’ai clairement pas tout vu dans l’ordre chronologique, mais peu importe, j’ai rétabli ça pour cet article et les suivants qui viendront !

00

Les inédits de la semaine

C’était assez compliqué de se tenir à jour dans le flot de nouveaux épisodes alors même que j’étais en vadrouille à travers le nord italien, mais j’ai tenté et pas trop trop failli. J’ai vu Scream et Unreal en direct des aéroports de Beauvais et Bologne, Wrecked, Containment, Another Period ou Angel from Hell dans l’avion. Du même coup, avec une vie aussi chargée, les notes sont assez disparates, parce qu’il y a des épisodes qui ne m’ont pas du tout (du tout) motivé et d’autres devant lesquels j’étais logiquement scotché.

Preacher (1×06), 17/20
Roadies (1×02), 16/20
Unreal (2×05), 20/20
Scream (2×06), 14/20
Wrecked (1×05), 16/20
Containment (1×11), 20/20
Cleverman (1×06), 05/20
Another Period (2×04), 14/20
Outcast (1×05), 14/20
Angel from Hell (1×08), 08/20
Angel from Hell (1×09), 08/20

containment-the-cw.jpeg

La performance de la semaine

Sur le modèle de certains blogs américains (et de TVline), j’ai décidé de me mettre en quête du meilleur acteur de la semaine. Attention, SPOILERS sur la saison 1 de Containment.

C’est inattendu, mais Katie de Containment mérite largement, et de très loin, la place de meilleure performance de la semaine, pour la réussite d’un épisode extrêment anxiogène qui mène à la mort de son personnage. Kristen Gutoskie que je ne connaissais pas avant cette mini-série et qui m’a franchement laissé perplexe au départ avec un rôle (et donc un jeu) très basique a petit à petit réussi à s’imposer comme le personnage principal qu’on voulait qu’elle soit.

Ses deux derniers épisodes nous font suivre avec horreur son avancée dans les symptômes de la maladie, l’espoir de la voir miraculeusement épargnée et l’horreur de la voir cracher du sang. Cette semaine, l’actrice se décompose donc sous nos regards impuissants, et sous ceux de son fils et de Jake. Ce n’est pas évident à jouer, mais l’écriture est heureusement impeccable et l’actrice n’a plus qu’à se laisser porter.

Plus que l’acteur, c’est peut-être le rôle que je célèbre ici, celui de la mère un peu débordée mais tellement aimante qui finit par être sacrifiée sur l’autel de sa stupidité et de sa compassion sans limite. Ses cauchemars et ses angoisses ont su être parfaitement rendus à l’écran et, même si je ne suis pas sûr d’avoir envie de voir ce que l’actrice donnerait dans un autre rôle, force est de constater que dans celui-ci, le boulot est fait et est bien fait.

C’est un arc dont je me souviendrais, même si la série est sur le point de s’achever à l’heure où j’écris ces lignes (pire, à l’heure où je les publierai, elle sera terminée).

01
Les autres actus du blog

Pas franchement la masse d’actualités puisque je n’étais pas là. En revanche, j’ai englouti Secret City en faisant mes valises pour ces deux semaines et c’est une mini-saison que je recommande très chaudement et si vous n’en avez jamais entendu parler, cliquez par-là pour plus d’informations.

Bien moins positive est la note que j’attribue à la première saison de Cleverman, qui se termine enfin au son de mes ronflements. Voilà, voilà.

Retrouvez par ici les articles des semaines précédentes

Semaine 25 : du 20 au 26 juin

Bonjour à tous !

Un nouveau dimanche est à notre porte et quel dimanche ! Une grande partie de nous était devant sa télé cet après-midi, à déprimer pendant 45 minutes et à faire la fête pendant les 45 suivante, après une longue pause de 15 minutes. Bref, la France a gagné son huitième de finale avec un joli 2-1. Cela dit, le foot et moi ne sommes pas de si grands amis que ça… Je vous rassure donc : j’ai largement eu le temps de voir tout un tas de choses cette semaine encore !

Capture d'écran 2016-06-22 19.10.59

Les inédits de la semaine

Le second épisode de BrainDead m’a totalement fait revoir ma copie sur la série tandis que l’absence de Roadies cette semaine me fait douter un peu de l’efficacité de ce show sur le long terme. Pas le temps de vraiment s’en inquiéter toutefois avec la suite toujours à la hauteur d’UnREAL et surtout la fin de Person of Interest. Difficile de trouver encore de la saveur au reste de la semaine une fois cet épisode visionné, parce que la fin d’une série est toujours un moment un peu difficile. Heureusement, Wrecked (photo ci-dessus) a su trouver les blagues pour m’alléger le cœur et tout ça s’est terminé sur un épisode d’Outcast brillant. En un trois mots comme en cent, le résumé de la semaine : roller-coaster qualitatif.

Vous pouvez consulter les critiques de chaque épisode en cliquant sur le lien ci-dessous :

Silicon Valley (3×09), 16/20
Preacher (1×04), 15/20
Unreal (2×03), 19/20
Scream (2×04), 14/20
BrainDead (1×02), 16/20
Wrecked (1×03), 18/20
Person of Interest (5×13), 20/20
Containment (1×09), 18/20
Cleverman (1×04), 10/20
Another Period (2×02), 15/20
Outcast (1×04), 16/20

Harold.jpg

La performance de la semaine

 Sur le modèle de certains blogs américains (et de TVline), j’ai décidé de me mettre en quête du meilleur acteur de la semaine.

Je sais, c’est la deuxième fois que je mets Person of Interest à l’honneur en quatre semaines… C’est aussi malheureusement la dernière fois puisque l’épisode final vient d’être diffusé. Du coup, je me suis dit qu’il était temps de saluer le travail de Michael Emerson, fantastique Harold Finch tout au long des 103 épisodes de la série.

Je ne crois pas qu’il y ait vraiment grand besoin de présenter cet acteur, révélé par son rôle puissant d’Henry Gale dans LOST lors d’une tirade sensationnelle et incroyablement brillante qui s’achevait pourtant sur la question la plus stupide du monde… You guys got any milk ?

Attention, je spoile l’ensemble de LOST : De ce rôle totalement faible d’Henry Gale a émergé la figure de Benjamin Linus, redoutable leader des Autres qui en pinçait pour Juliet. Sans broncher, Michael Emerson a joué toute une palette d’émotions avec beaucoup de justesse sur l’île, de l’amour contrarié à l’amour paternel, de la joie au deuil de sa fille, du calcul froid à l’espoir d’une quête de sens. On quitte le personnage sur l’île où il aide Hurley à diriger pendant des années, acceptant une place de second qui lui correspond bien mieux que celle de leader. En flash-sideways, Ben n’est pas encore prêt à passer de l’autre côté, car il lui faut encore retrouver Alex et probablement Rousseau.

Attention, je spoile l’ensemble de POI : Après LOST, pas le temps de se reposer, Michael Emerson enchaîne aussitôt avec Person of Interest, où il incarne le personnage d’Harold Finch, un riche philanthrope ayant inventé une Machine révolutionnaire capable de prédire les prochains crimes ordinaires. Le rôle est à des décennies de celui qu’il avait dans Lost, ne lui permettant pas vraiment d’exprimer tout son jeu d’acteur. Pourtant, au fur et à mesure de la série, Finch prend de l’épaisseur et se voit attribuer un passé douloureux, avec un amour perdu pourtant encore en vie. Bref, les scénaristes nourrissent enfin l’acteur, lui laissant la possibilité de faire ce qu’il sait faire de mieux.

Dans cet épisode final, il joue donc la performance de la semaine sans le moindre problème : du sacrifice personnel finalement bafoué à l’amour retrouvé, de la douleur de voir sa Machine mourir à petit feu à celle de voir son allié et désormais ami mourir sous ses yeux à sa place, de la culpabilité de ces morts au soulagement d’avoir battu Samaritan, Harold Finch en voyait de toutes les couleurs cette semaine. Et puisque tout ça n’était pas suffisant, il se prenait également une balle pour rajouter encore à sa douleur. Tout ça aurait facilement pu tomber à plat ou être surjoué, mais Michael Emerson a vraiment su trouver les tons et la justesse nécessaire à ces scènes difficiles à voir.

Brillant d’un bout à l’autre de sa carrière, cet épisode est l’occasion ou jamais de saluer un grand acteur, qui a réussi à ne pas s’enfermer dans un seul rôle malgré l’icône qu’il représentait dans LOST. J’espère avoir l’occasion de le revoir dans une autre brillante série un jour !

001

Les autres actus du blog

Si vous ne l’avez pas encore compris avec le début de cet article, je ne sais pas quoi faire de vous, mais Person of Interest s’est achevée cette semaine. J’en ai profité pour tirer un grand et long bilan des cinq saisons qui ont su devenir brillantes en partant de (très) loin. Sobrement intitulé « du Bad Code au God Mode », ce qui est une référence à la série, cet article fait le point sur ce qui ne marchait pas et ce qui me hantera encore après la fin de la série. C’est disponible par ici, n’hésitez pas à me laisser votre avis 😉

Par ailleurs, j’ai dégagé, sans trop savoir comment, suffisamment de temps pour me voir l’intégrale de la saison 3 de That 70’s show au cours de ces sept derniers jours. Tout aussi magiquement, la note moyenne de ces 25 épisodes est elle aussi de 15,5, comme pour la 1 ou la 2. Magistrale et constante, cette sitcom est une vraie réussite !

Voilà, c’est tout pour cette semaine ! Je préviens d’avance que les jours à venir sont chargés pour moi et que par conséquent les critiques et avis seront peut-être un peu retardés cette semaine. Pas d’inquiétude, je verrais tout quand même, je suis beaucoup trop accro pour éteindre mon ordi !

À dimanche prochain pour un autre article résumant la semaine 😉

Retrouvez par ici les articles des semaines précédentes

Semaine 24 : du 13 au 19 juin

Bonjour à tous !

Le temps passe à une vitesse folle et nous voilà déjà dimanche. J’ai eu une semaine assez chargée, mais plutôt cool, blindée d’épisodes inédits et de lancement de saisons. Il y a donc des choses à découvrir sur le blog. Retrouvez aussi dans l’article qui est le/la meilleur(e) acteur/actrice cette semaine 🙂

01

Les inédits de la semaine

L’été sera chaud en terme de planning, surtout le mardi ! Avec les premiers épisodes de Roadies (photo ci-dessus) et BrainDead, j’ai en effet la masse d’épisodes inédits à découvrir chaque semaine. Ce n’est pas un mal pour l’instant, mais je ne sais pas si je continuerai la seconde à long terme, car le pilote m’a laissé un peu mitigé. Dans le même genre, j’ai commencé Wrecked mercredi. C’était super drôle, mais ça risque de lasser sur le long terme, pendant que le jeudi, Cleverman m’a largement hypnotisé. Heureusement, la fin de semaine a largement remonté le niveau, mais on va en parler un peu plus longuement ci-dessous. En bref, cette semaine était loin d’être la plus marquante de l’année, instaurant un petit rythme planplan un peu partout.

Vous pouvez consulter les critiques de chaque épisode vu cette semaine :

Silicon Valley (3×08), 13/20
Preacher (1×03), 14/20
Unreal (2×02), 17/20
Scream (2×03), 14/20
Roadies (1×01), 18/20
BrainDead (1×01), 13/20
Wrecked (1×01), 16/20
Wrecked (1×02), 15/20
Person of Interest (5×12), 18/20
Containment (1×08), 17/20
Cleverman (1×03), 08/20
Another Period (2×01), 17/20
Orphan Black (4×10), 20/20
Outcast (1×03), 17/20

Cliquez sur le titre de la série pour accéder à un avis à chaud sur l’épisode expliquant sa note 😉

12

La performance de la semaine

 Sur le modèle de certains blogs américains (et de TVline), j’ai décidé de me mettre en quête du meilleur acteur de la semaine. Et cette semaine encore, ce n’était pas bien dur de choisir !

Le succès d’Orphan Black tient à 85% minimum dans le rôle de Tatiana Maslany, qui réalise la performance de la semaine sans grande difficulté. Si vous n’avez jamais regardé cette série, passez directement au paragraphe sous la photo suivante, car je vais spoiler. Et oui, 85% j’vous jure que c’est un grand minimum, puisqu’elle incarnait cette saison Beth, Sarah, Cosima, Alison, Helena, Rachel, Krystal ou MK, apparemment sans la moindre difficulté et dans tous les cas de manière crédible et hyper convaincante. Chacune d’entre elles a son style, ses mimiques, son accent, sa manière de parler, c’est juste incroyable et de saison en saison, je me demande simplement si cette actrice a une limite. Même en photo, elle parvient à merveille à incarner un rôle, ressemblant plus à Alyssa Milano qu’à elle-même. Une dinguerie.

Cette semaine, c’était malheureusement déjà l’épisode final de la saison 4 et Tatiana Maslany a une nouvelle fois prouvé qu’elle n’avait pas froid aux yeux, enchaînant sans mal les scènes et les personnages, de la bitch pleine de pouvoir à la malade fragilisée, de la nana blessée à la nana superficielle, du comique au tragique, du sérieux au léger, sans jamais paraître hors-jeux (c’est un terme à la mode pendant l’Euro, mais ça n’a rien voir). Surtout, on a ENFIN eu droit à une histoire de clone tentant d’en interpréter un autre et le truc de dingue, c’est que comme d’habitude CA SE VOYAIT. Sarah a tenté de se faire passer pour Krystal, et non, ça n’a pas pris, on a tous vu que c’était Sarah et pas Krystal. Alors OK, en terme d’écriture c’est un peu logique, mais quand même. Qu’on m’explique pourquoi la première pensée qui m’est passée par la tête était : « non, ça ne ressemble pas à Krystal » alors même que c’était la même actrice hein ?

Alors certes, Tatiana Maslany est grandement aidée par l’écriture brillante de ses personnages et de la série en général, mais sérieusement, elle méritait largement de figurer en performance de la semaine pour cet épisode… Et elle mérite toujours autant l’Emmy Awards que Viola Davis lui a volé l’an dernier. Sérieusement.

03

Les autres actus du blog

Une petite semaine pour le blog, mais une semaine quand même. J’ai donc mis à jour l’article Orphan Black saison 4, avec une note moyenne de 18,5/20. Rien que ça. C’est l’occasion de relire tout ça et la conclusion que j’ai rédigé en fin d’article, en attendant impatiemment la saison 5, qui sera aussi la dernière.

Par ailleurs, je l’avais promis il y a deux semaines, mais j’ai finalement publié mon avis sur la saison 2 de That 70’s show qui obtient évidemment une note moyenne un peu moins haute, un 15,5/20. Si je résume, c’est donc constant par rapport à la première année de cette sitcom, les deux obtenant exactement la même moyenne. C’est bon, c’est drôle, mais ce n’est pour l’instant pas non plus une série incontournable. J’aime bien, ça se dévore de temps à autre, mais je m’en lasse toujours un moment avant de la reprendre quelques jours plus tard. Autrement dit, je ne la regarde pas aussi vite que ce que j’espérais. Mais bon.

Voilà, c’est à peu près tout ce que j’ai à dire cette semaine. Dans les sept jours à venir, pas de retour notable, pas d’épisode de Roadies ni d’Orphan Black, et surtout, surtout, des adieux à faire à Person of Interest. Je ne laisserais pas la série se terminer sans un dernier au revoir, évidemment, mais vous en saurez un peu plus en cours de semaine 😉

À dimanche prochain pour un autre article résumant la semaine 😉

Retrouvez par ici les articles des semaines précédentes.