Historias de Upa Next – S01E03

Épisode 3 – Rober – 14/20
Les problèmes commencent avec cet épisode qui tente d’imposer le changement de prénom d’un personnage culte et de réécrire une partie de l’histoire de la série comme si on n’allait pas s’en rendre compte. Il faudra voir comment tout ça est géré par la suite. Autrement, c’est toujours aussi sympa de retrouver les personnages de la série, la nostalgie reste au rendez-vous et l’intrigue semble fonctionner à peu près. J’ai hâte d’avoir les épisodes du revival maintenant.

Spoilers

Roberto est devenue une star internationale – sur le déclin.

Como si el tiempo no ha pasado.

Que c’est idiot d’avoir renommé Roberto, même si je vois bien pourquoi c’est fait comme ça ! Voilà donc le retour de Rober dans nos vies, et il faut bien le dire, j’attendais cet épisode au tournant pour voir ce qu’ils allaient faire de son personnage. C’est finalement assez raccord : Upa Dance perçait à fond en fin de saison 6, alors forcément, on le retrouve dans sa villa à Miami. Roberto n’est plus vraiment une star pour autant : on est clairement face à une star sur le déclin et c’est ça qui doit nous intéresser dans ces retrouvailles avec le personnage. Bon, ça, et le retour des petits effets de faux ralenti-accéléré quand les personnages se déplacent, comme dans le dernier générique de la série d’origine. J’adore.

Finalement, on retrouve un personnage pas si différent de ce qu’il était avant : il commence ce revival en étant bourré à moitié à poil au bord d’une piscine où comatent deux femmes tout aussi dénudées et, on ne le voit qu’en fin d’épisode, un homme aussi. Admettons. Toujours est-il que Rober, comme il se fait appeler maintenant, ne semble pas au meilleur de sa forme quand il décuve, et ça rappelait bien le passé de la série.

Il est réveillé par sa nouvelle femme de ménage, Clarice (Clariz, peut-être ?), dont il refuse de retenir le prénom (ça fait un running gag un peu lourd pour un épisode si court) mais avec laquelle il s’entretient pendant ces cinq minutes. C’est une bonne occasion pour nous faire un résumé de la vie de Rober, parce que la femme de ménage le rencontre pour la première fois… mais elle le reconnaît.

Elle lui demande aussitôt des nouvelles d’Upa, parce qu’elle était fan du groupe et avait tous les albums… même si elle n’a pas franchement le profil des fans d’Upa il y a quinze ans. Après, c’est une femme de ménage, elle pourrait donc s’être reconnue dans le personnage de Tania.

Par contre, il n’est pas du tout question de la dernière formation d’Upa Dance – celle que je préférais et la seule dont j’ai l’album, si vous voulez tout savoir. Non, non, la femme de ménage demande aussitôt à Rober des nouvelles de Lola et Silvia… Et c’est un peu déconnant parce que le groupe avec Pedro, Lola, Silvia, Jero… n’a jamais eu tant de succès dans la série. C’est dommage de ne pas faire au moins semblant. La femme de ménage ne demande que des nouvelles de Lola et Silvia, comme s’il ne fallait surtout pas évoquer les personnages dont les acteurs ont refusé de revenir.

C’est débile comme idée, parce que personne n’a oublié qu’ils existent parmi les fans. Bref. Rober n’a plus vraiment de nouvelles de ses camarades de classe, mais il nous informe qu’ils restent quand même un peu en contact via un groupe Whatsapp. C’est plutôt logique, ça se passe comme ça aussi dans la vraie vie, surtout quand ton pote déménage sur un autre continent.

Pêle-mêle, la conversation avec la femme de ménage permet de savoir que Rober reste tout de même quelqu’un d’assez connu, parce qu’il a sorti trois albums solo et qu’il a participé à un télé-crochet dont il a été finaliste. Pourtant, quand il reçoit un appel d’une femme qui semble être son agent, il est assez évident qu’il est bien sur le déclin. Sans qu’elle ne l’engueule, le ton de son agent est suffisamment clair pour qu’on comprenne qu’il s’agisse de remontrances. Elle l’informe en effet qu’elle a des contrats sur le point d’être finalisé afin de… reformer Upa Dance, avec Lola et Silvia ; et seulement Lola et Silvia.

Vont-ils nous dire qu’ils ont fini par se faire un album à eux trois ? C’est bizarre de ne s’intéresser qu’à elles deux et à une formation du groupe qui n’a jamais vraiment existé en tant que tel. Si c’est ça la raison du retour de Rober en Espagne, je trouve que c’est léger de continuer la série et de faire comme si quelque chose avait existé alors que ça n’a jamais été le cas. Bon, on verra, peut-être qu’ils trouveront un moyen de finaliser les choses et d’expliquer tout ça correctement.

Rober doit en tout cas contacter les deux femmes pour les convaincre de reformer Upa, et ça ne semble pas gagné. Même Clarice est sceptique, alors qu’elle est super fan du groupe : elle sait bien que ce genre de retour de flamme n’est pas toujours une réussite. Bon, on nous fait un épisode un brin méta cette semaine, quoi.

Ces cinq minutes se terminent alors avec Rober qui se rend dans son bureau pour envoyer un mail à Silvia. Avant de le faire, il regarde avec nostalgie les photos promo de la série de Silvia et lui qu’il a dans son portable. Apparemment, on veut nous dire qu’il n’a jamais vraiment tourné la page de son amour pour Silvia… Mais là aussi, c’est étonnant, parce que depuis le temps, bon, il a dû voir du pays – et elle aussi. On ne sait toujours pas vraiment ce qu’est devenue Silvia en plus, parce que son épisode se déroulait dix ans plus tôt alors que celui de Rober ne commence que deux semaines avant le début du revival.

Par contre, on sait qu’elle risque d’accepter – peut-être contrainte – les retrouvailles avec un Rober qui ressemble désormais plus à Cristobal qu’à Roberto. Pardon, je me devais de le souligner, ça m’a sauté aux yeux quand je l’ai vu torse nu là. Il va être le prof bizarre qui fait mettre ses étudiants à poil dans le revival, c’est forcé. Et c’est dommage, parce qu’il est mieux avec sa chemise rose que totalement à poil. Bref.

Historias de Upa Next – S01E02

Épisode 2 – Lola – 14/20
Moins de nostalgie dans cet épisode et plus d’incompréhension concernant ce que la série souhaite faire au juste. Concrètement, on retrouve certes les personnages que l’on connaît bien, mais à des stades de vie tellement différents qu’ils ne sont plus forcément ceux qu’on connaissait – et c’est donc trop court pour se faire une vraie idée. Mais bon.

Spoilers

Trois semaines avant le début du revival, Lola a une matinée bien remplie.

 

Vamos a hacer un pinky promesa

Quatre minutes ? Et encore, c’est sans compter le générique avant et après ? Franchement, il y a de l’abus : à quoi bon proposer un épisode par semaine si pour proposer des épisodes de cette longueur ? Les espagnols ne semblent pas savoir faire dans la longueur normale, c’est soit 4 min soit 70 apparemment. Bon, plus sérieusement, j’étais déçu… mais après, l’épisode se centre sur Lola et son débit de paroles est toujours aussi incroyable. Sincèrement, elle dit plus de mots en quatre minutes que Silvia et Carmen réunies dans le premier épisode.

C’était presque trop, d’ailleurs : elle n’est pas loin du monologue pendant ces quatre minutes. Bref, où en est Lola trois semaines avant le début du revival ? Elle n’est plus du tout la gamine naïve des débuts, en tout cas, ça c’est sûr. La voilà qui est devenue maman de deux petites filles. Si Lola rêvait de grand amour pendant toute la série originale, elle a finalement deux enfants avec un parfait inconnu pour nous à qui elle n’adresse pas un mot dans cet épisode. Outch.

Avant d’en arriver là, nous suivons la morning routine d’une maman loin d’être débordée par ses gamines. Elle les a en garde partagée, ne comprend pas trop pourquoi elles dorment ensemble alors qu’il fait chaud dans leur appartement et si elle vit apparemment dans un appartement plus grand que celui de son père à l’époque, on retrouve bien les habitudes de Lola. Je veux dire, cette scène où elle ouvre les rideaux pour que ses gamines prennent le soleil là, ça m’a paru très Un, dos, tres dans l’âme – et très Paula d’ailleurs.

Cet épisode est très court, mais Lola a quand même le temps d’avoir tout un débat avec ses filles sur la longueur des cheveux ; parce que les petites ne veulent pas avoir les cheveux courts. Elle cherche donc des exemples de personnages avec les cheveux courts pour les convaincre que ce n’est pas si grave – tout en les coiffant exactement comme elle se coiffait dans la série d’origine. Franchement ? Je crois que les gamines vont être aussi insupportables que celles d’Evil, même si elles ne sont que deux. Espérons qu’on ne les subisse pas trop dans le revival.

Elle mène ensuite les deux petites filles dans la rue où elles retrouvent leur père. Lola ne lui accorde pas un mot – ce n’est pas Pedro, ce n’est pas Nacho (trop occupé avec les conventions The 100), ce n’est pas Jéro. Mystère. Le type n’est pas moche en tout cas, mais j’ai l’impression qu’on nous indique qu’il n’aura aucune espèce d’importance dans la série. Retenons juste que Lola mène de front sa vie de maman géniale ayant une super relation avec ses gamines et sa vie professionnelle.

Sa vie professionnelle ? On n’en saura pas grand-chose. Les looks de Lola ont gagné en qualité en tout cas (à défaut de gagner en tissu). Une fois débarrassée de ses filles, elle se détache les cheveux et se précipite vers un immeuble où elle est attendue de pied ferme par un danseur ou coach (je pense). Elle est aussi attendue par toute une troupe de danseurs – ça laisse l’impression qu’elle est leur chorégraphe.

On n’en saura pas plus pour cette semaine – et il n’y a même pas eu la mention de Pedro ou Ingrid, alors que ça aurait pu être sympa de savoir ce qu’ils devenaient via Lola, même si les acteurs ne reviennent pas dans la série.

Historias de Upa Next – S01E01

Épisode 1 – Silvia – 13/20
C’est difficile de se faire une idée en si peu de temps, mais a priori, la série n’a pas trop changé, franchement. Je dirais bien qu’elle n’a pas pris une ride, mais c’est justement tout le contraire. La qualité de jeu des acteurs est toujours la même et le scénario semble tourner en rond autant que dans la série d’origine qui n’est vraiment pas loin… Mais eh, ça permet de faire le lien avec les personnages tels qu’on les retrouvera plus tard et la nostalgie a fait son effet sur ces sept premières minutes.

Spoilers

Carmen a une nouvelle à annoncer à Silvia.

 

Pues va ser eso, a menos que alguien… toma mi relevo

Comme c’est étonnant : la série commence par une longue minute de danse de Silvia, avant même la moindre ligne de dialogue. Si cela nous permet d’apprendre que la scène se déroule il y a dix ans, donc finalement pas loin de dix ans aussi après la fin de la série, cela permet aussi de constater que Silvia a pris un petit coup de vieux. Soit l’ado que j’étais était vraiment bluffé par Monica Cruz, soit son niveau est moins bon qu’avant, mais la chorégraphie ne mettait pas autant en valeur l’actrice et le personnage par rapport à mes souvenirs de la série.

Qu’importe, c’est vite évacué de toute manière. On comprend bien que Silvia est dans la salle de danse de l’école de Carmen Arranz, mais que la salle est en travaux. Les ouvriers passent plus de temps à la mater qu’à travailler, et ce ne peut pas être surprenant. Qu’est devenue Silvia depuis la fin de la série ? Difficile de se faire une idée. Elle danse toujours à l’école, ce qui permet d’imaginer que l’argent de son père, qu’elle a investi dans l’école tout en rejoignant le conseil d’administration, a bien sécurisé sa place.

Elle travaille désormais avec Carmen, dont elle semble beaucoup plus proche qu’avant. Celle-ci vient justement la voir à la fin de sa petite danse, pour remettre les ouvriers au travail et pour lui parler. J’ai pas mal ri : le personnage de Carmen a peut-être pris quelques rides, mais il est toujours le même ; elle fait semblant de tout gérer en envoyant tout le monde bouler et en leur disant de faire leur travail, grosso modo.

L’actrice semble prendre du plaisir à sortir de sa retraite pour ce petit épisode, et on la comprend. La nostalgie est vraiment là : la danse de Silvia, c’était une chose, mais les voir traverser toutes les deux l’école en travaux, descendre LE fameux escalier pour aller dans les vestiaires où il s’est tant passé de choses avant d’aller vers la salle des profs, c’était un vrai plaisir. On retrouve les lieux bâchés et en travaux comme jamais, mais ce n’est pas grave, l’espace est toujours le même.

Je ne sais pas si ce sera encore le cas dans la nouvelle série, mais cette petite liaison entre passé et futur était la bienvenue pour raviver la nostalgie. Par contre, il ne fallait pas s’attendre à beaucoup d’action en sept minutes, générique compris. L’ensemble de cet épisode consiste donc en un long dialogue entre Silvia et Carmen.

L’avantage, c’est que comme j’ai vu l’épisode sans sous-titre, j’étais plutôt content que ça se contente de ça. L’accent de Carmen est parfaitement compréhensible, son rythme plutôt lent par rapport à Silvia (ou pire, l’ouvrier – et mon cauchemar à venir : Lola) donc j’ai bien suivi de quoi leur conversation parlait. Ce n’était pas bien compliqué non plus, parce qu’on en revient toujours au même avec Carmen Arranz.

Elle a reçu une proposition de rachat de l’école pour en faire une banque ou un supermarché, et comme elle envisage de prendre sa retraite, elle considère la proposition. Elle en parle donc à Silvia qui est toute choquée, dans le simple but de lui forcer la main : elle aimerait bien que Silvia reprenne le poste de directrice de l’école afin que celle-ci reste ouverte. Ca se fait à coup de dictons sur le fait qu’elle est bien à être restée si longtemps à l’école contrairement aux autres et l’idée gagne bien vite Silvia – parce qu’après tout, on n’a que sept minutes d’épisode.

Après, Silvia aura dix ans pour se décider vraiment et devenir détestable comme la prof qu’elle est censée être. Oui, parce que je suis persuadé qu’elle sera chiante comme prof et directrice, sinon ce ne serait pas drôle ! En attendant, elle contemple de haut les travaux de l’école, et on sent bien qu’elle a pris sa décision d’en devenir la directrice.

Historias de Upa Next (S01)

Synopsis : Avant le grand retour de la série pour son revival, cette mini-série en six épisodes de moins de dix minutes a pour but de nous expliquer ce qu’il s’est passé entre la fin plus qu’ouverte de la saison 6 et Upa Next.

Pour commencer, je sais que j’ai plein d’autres séries à regarder, mais la bande-annonce de celle-ci m’a vraiment apporté un vent de nostalgie incroyable, et j’ai eu envie de voir ce que ça pourrait bien donner. Je ne le regrette pas : le premier épisode fait sept minutes ! Certes, j’ai mis du temps à trouver un moyen de le voir, mais bon, ce n’était pas grand-chose. Je n’attendais rien de cette mini-série, ce qui est plutôt une bonne chose : elle ne fait qu’une petite transition pas bien travaillée entre l’absence de fin de la série d’origine et le revival.

C’est une manière comme une autre, pour moi, de commencer ma rentrée séries, on va dire. Et puis, il ne faut pas oublier non plus que j’ai intérêt à profiter des épisodes qui font sept minutes avant de désespérer et d’abandonner face aux épisodes de 70 minutes que la chaîne espagnole diffusera quand le reboot – pardon, le revival – commencera.

Voir aussi : Lola, Roberto et Silvia sont de retour pour Upa Next

Bref, je ne sais pas du tout si je tiendrais vraiment le rythme devant cette série – surtout si je n’en trouve pas des sous-titres. Mais eh, sept minutes, c’est gérable et je bosse enfin mon espagnol, depuis le temps que je dis que j’ai envie de le faire. Un, dos, tres.

Note moyenne de la saison : 14/20

S01E01 – Silvia – 13/20
C’est difficile de se faire une idée en si peu de temps, mais a priori, la série n’a pas trop changé, franchement. Je dirais bien qu’elle n’a pas pris une ride, mais c’est justement tout le contraire. La qualité de jeu des acteurs est toujours la même et le scénario semble tourner en rond autant que dans la série d’origine qui n’est vraiment pas loin… Mais eh, ça permet de faire le lien avec les personnages tels qu’on les retrouvera plus tard et la nostalgie a fait son effet sur ces sept premières minutes.
S01E02 – Lola – 14/20
Moins de nostalgie dans cet épisode et plus d’incompréhension concernant ce que la série souhaite faire au juste. Concrètement, on retrouve certes les personnages que l’on connaît bien, mais à des stades de vie tellement différents qu’ils ne sont plus forcément ceux qu’on connaissait – et c’est donc trop court pour se faire une vraie idée. Mais bon.
S01E03 – Rober – 14/20
Les problèmes commencent avec cet épisode qui tente d’imposer le changement de prénom d’un personnage culte et de réécrire une partie de l’histoire de la série comme si on n’allait pas s’en rendre compte. Il faudra voir comment tout ça est géré par la suite. Autrement, c’est toujours aussi sympa de retrouver les personnages de la série, la nostalgie reste au rendez-vous et l’intrigue semble fonctionner à peu près. J’ai hâte d’avoir les épisodes du revival maintenant.
s01e04 – Sira Luiso Silvia – 15/20
Les choses plus sérieuses commencent enfin avec cet épisode qui nous introduit deux nouveaux personnages de la série. Il est assez clair que le but de cette mini-série est de nous présenter tous les futurs professeurs et la partie adultes de la nouvelle série. C’est bizarre de se rendre compte qu’on passe de l’autre côté par rapport à la série d’origine, mais c’était un peu inévitable aussi. Et puis, le casting reste beau à regarder, rien ne change donc.
S01E05 – Lala y Tara – 12/20
Zéro nostalgie sur cet épisode qui tente de surfer sur la tendance et sur 2022, avec ce qui semble être une pâle copie des effets visuels d’Euphoria et la première chanson de ce revival. S’il était temps d’avoir un peu d’artistique dans cette mini-série, les nouveaux personnages sont trop clichés pour vraiment m’attacher. Pour l’instant, en tout cas.
S01E06 – Suso y Dario – 15/20
Les personnages de cet épisode semblent déjà un peu moins cliché, même si l’introduction qu’on leur propose n’est pas forcément la meilleure, donnant l’impression que leur jeu d’acteur n’est pas tout à fait au point. Question de perspective et d’habitude, j’imagine, c’était déjà le cas dans la série originale, après tout. Contrairement à l’épisode précédent, celui-ci donne vraiment envie de regarder Upa Next en faisant le lien avec la série de manière plus évidente. C’est bien logique : il s’agit de la fin de cette mini-saison.