Performance de la semaine #42

Salut les sériephiles !

Le dimanche est le jour où je fais le point sur les meilleures performances de la semaine. Après m’être enchaîné l’ensemble de la saison 3 de Stranger Things, on pourrait imaginer que ce serait dans ce casting que je choisisse… mais j’ai décidé de les snober à défaut de réussir à me concentrer sur un seul d’entre eux. J’ai trouvé en effet que cette saison encore les jeux des acteurs étaient vraiment au top. Bon, et si ce n’est pas eux alors, qui est-ce qui m’a tapé dans l’œil cette semaine ? Zendaya, évidemment !

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Voir aussi : Les performances des semaines précédentes

Qui donc ? Zendaya, j’ai eu l’occasion de la voir dans deux rôles cette semaine, et c’est fou le charisme qu’elle a dans l’un et l’autre. Je l’ai d’abord vu dans Euphoria, et ça fait trois semaines que ça me titille de la mettre en avant dans cette catégorie d’articles. Elle y incarne le rôle de Rue, une ado droguée qui feint d’avoir arrêté et qui nous raconte toute l’histoire de la série et de la vie de son entourage, en voix-off. Ce qui est remarquable avec elle, c’est que Rue est très exactement le genre de rôle que je ne supporte jamais dans les séries, mais qu’elle parvient à me la faire adorer.

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Bon, après, j’exagère : évidemment que si, j’adore ce genre de personnages ! Rue est très cassante avec les gens autour d’elle, elle se détache de tout ce qui lui arrive et de tout ce qu’elle vit ; et ça, quand même, ça fait partie des traits de caractère qui me plaisent en général. C’est un peu une version beaucoup plus ravagée de Veronica Mars par exemple. Et d’ailleurs, dans ce troisième épisode (attention spoilers), elle est tellement ravagée qu’elle m’a collé de sacrés frissons dans sa dernière scène où elle s’énerve contre une porte fermée. Le jeu de l’actrice était incroyable de justesse, la panique semblait on ne peut plus sincère et tout le dernier quart d’heure d’épisode est à couper le souffle – de sa jalousie inquiète à l’effondrement final, en passant par la dispute et les excuses.

Voir aussi : Euphoria – S01E03

Bien sûr, Rue est encore au lycée et Zendaya n’est pas exactement adolescente, mais elle arrive à se glisser dans la peau d’une ado avec une facilité déconcertante ! J’en veux pour preuve le rôle de MJ dans Spiderman Far From Home que j’ai eu l’occasion de voir mercredi : certes, on voit bien que Tom Holland et elle sont un peu plus vieux que leur rôle, mais je trouve que l’on a là des adolescents tout de même bien crédibles.

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QUEEN.

Voir aussi : Tom Holland, performance de la semaine #21

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Dire que moi aussi j’ai marché sur ce pont… qui n’a jamais été aussi désert, hein.

Ce qui est fou, aussi, c’est que MJ a ce même côté détaché de la vie que Rue, mais pour des raisons totalement différentes. Cela permet à Zendaya de nous montrer qu’elle excelle dans ce genre de rôle, mais pour avoir eu l’occasion de comparer ces deux rôles à deux jours d’écart, ça lui permet surtout de montrer les nuances de son jeu. Si on voit tout de suite que Rue est paumée dans sa vie quand on l’aperçoit à l’écran, ce n’est pas du tout le cas de MJ, qui est plutôt sûre d’elle au contraire. Et puis après, comme j’adore aussi Tom Holland, je trouve que les deux acteurs se complètent vachement bien.

Voir aussi : Mon avis sur Spiderman Far From Home

De toute manière, peu importe avec qui elle joue, j’ai toujours trouvé que Zendaya était convaincante. Ainsi, j’adore son rôle dans The Greatest Showman, aussi discrète soit-elle. Là, c’est Zac Efron qui lui fait les yeux doux, mais l’alchimie dans « Rewrite the stars » est incontestable aussi.

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Donc elle danse, chante et joue à merveille. Peut-on simplement conclure qu’elle est parfaite ?

Bref, c’est une actrice à suivre et je ne regrette pas d’avoir regardé Euphoria juste pour elle, parce qu’elle a confirmé cette semaine tout le bien que je pensais d’elle !

Spiderman : Far from Home

Salut les sériephiles !

Comme je l’avais annoncé hier, j’ai profité de mon mercredi pour fêter le cinéma, et quoi de mieux pour ça que de me précipiter dans une salle obscure pour assister au retour de Spiderman ? Je n’ai pas trouvé mieux, justement et comme d’habitude, je viens vous en parler ! Et je commence par la bande-annonce, mais méfiez-vous, elle en dit tellement qu’il y a carrément une scène qui n’est pas dans le film, hein.

Voir aussi : Les articles du blog sur le Marvel Cinematic Universe

On commence évidemment sans le moindre spoiler, mais avec mon avis tout de même, donc si vous ne voulez rien savoir… ben vous n’êtes probablement déjà plus en train de lire cet article. J’ai beaucoup, beaucoup aimé ce film. Cependant, j’en attendais beaucoup, peut-être trop, car Homecoming est l’un de mes Marvel préférés. Il faut dire qu’il est bien aidé : plus adolescent, plus drôle et avec un casting que j’adore (autant Tom Holland que Zendaya), il faudrait vraiment que je sois difficile pour ne pas être fan.

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Difficile de ne pas sentir son cœur fondre, vous ne trouvez pas ?

Ces trois points positifs sont de nouveau de retour dans Far From Home : on retrouve le même casting et on évacue rapidement la question des cinq ans de décalage d’Endgame dans un début bien senti (et la confirmation discutable du multiverse, déjà proposée par  la saison 6 d’Agents of S.H.I.E.L.D). L’humour qui m’avait tant plu dans le premier film était toujours là, lui aussi, mais comme je n’avais plus le charme de la découverte, je crois que ça a manqué de quelques gags. En fait, le seul défaut que je peux trouver au film est peut-être celui-ci : il manquait un brin d’originalité. (côté spoilers, arrêtez-vous là si vous n’avez pas vu le trailer, sinon, vous êtes bons pour la lecture de tout l’article !).

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Bon, ça, et la promo. Même sans avoir vu la bande-annonce, il était difficile de passer à côté du nouveau casting de Jake Gyllenhaal et de son rôle, qui tarde pourtant à être révélé. C’est comme ça. La révélation se passe bien et relance le film dans une nouvelle direction, alors que nous avons déjà eu le temps d’en prendre plein les yeux dans les effets spéciaux. Et j’ai bien aimé les intentions et illusions du méchant, c’était original.

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Très clairement, ce film est une petite claque visuelle, comme d’habitude. Les scènes d’action sont vraiment nombreuses et les gestes de Spiderman sont fluides et beaux à voir. Ce ne sont pas les seuls : la promo avait largement insisté sur l’idée que le héros allait voyager en Europe, et ça ne manque pas. Ce qui est top, c’est qu’hormis les Pays-Bas, j’ai moi-même déjà visité l’ensemble des pays et villes représentés dans le film… et du coup, je n’étais pas perdu. C’était un plaisir de retrouver des lieux que j’avais adoré pendant mes propres vacances ; et très sympa de voir le nombre de ponts qu’on a Europe, dis donc (oui, parce que, quand même, il y a un truc avec les ponts dans ce film, non ?). Surtout, c’était beau et ça donnait envie de voyager pour (re)découvrir tous les lieux du film. Et ça fait deux fois en une semaine que j’ai envie de retourner à Londres, ça commence à sentir le roussi pour mon portefeuille !

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Non seulement, l’actrice est parfaite, mais bon dieu, que le personnage d’MJ est beaucoup plus fun comme ça !

Outre les voyages et l’humour, le film se démarque aussi par son intrigue qui s’inscrit bien dans le reste du MCU. Alors qu’il devait entamer une nouvelle phase, ce film est finalement la conclusion de la phase 3 et je vois pourquoi : la transition après la fin d’Endgame est très visible. Le fantôme de Tony Stark erre sur ces deux heures de spectacle, parfois de manière un peu trop lourde, mais ça n’empêche pas le MCU d’entrer dans une toute nouvelle ère post-Avengers. Thanos est vite oublié avec la menace des Elementaux et de Mysterio… mais aussi avec l’affirmation de Peter Parker comme nouveau Tony Stark (et ne parlez pas de Captain Marvel aha). On se doutait que ça prendrait cette direction, mais ça fonctionne bien de voir l’adolescent fuir ses responsabilités un temps, pour mieux y revenir.

En bref, ce film est donc un bon film de super-héros tout en étant un bon film d’ados. On reprend exactement la formule qui fonctionnait tant dans le premier film, mais comme on est dans le deuxième, Peter évolue et grandit. Cet aspect de l’évolution du personnage est franchement ce qu’il me manquait dans les Iron Man ou le con arrogant continuait d’être un con de plus en plus arrogant. Là, Tom Holland continue de rendre justice au Spiderman fun et rigolo des comics – le selfie dans les airs ! – tout en étant forcé de grandir et d’affronter des menaces plus importantes. Et ça fonctionne.

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Non seulement, l’acteur est parfait, mais en plus le personnage est beaucoup plus touchant comme ça que dans ses versions précédentes…

Quant à la prochaine phase (et au prochain film Spiderman), elle promet déjà pas mal de changements, et je crois que je vais en être encore plus fan que les premières avec des super-héros que je n’aimais pas spécialement dans leurs films en solitaire. Notons aussi que jamais les scènes post-génériques n’auront été si importantes dans l’univers Marvel. La première des deux m’a vraiment laissé sur les fesses, et à en entendre les réactions du reste de la salle, je ne suis pas le seul à avoir été surpris.

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Bon, en revanche, désolé, mais la tante May est toujours beaucoup trop jeune (et j’ai beaucoup aimé Happy !)

Bon, vous l’aurez compris : j’ai adoré ce film, même si je le mettrais tout de même un tout petit peu en-dessous du premier… parce que cette fois, j’en attendais trop. Mais bon, j’ai eu ma dose de Zendaya/Tom Holland, avec un petit bonus Cobie Smulders : j’étais aux anges !

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Spiderman : Into the Spiderverse (New Generation)

Salut les… cinéphiles !

Comme l’article Marvel n’en finit plus de cartonner, je me suis dit qu’il était temps pour moi d’enfin regarder Spiderman : Into the Spider-verse. C’était un moyen surtout de prendre mon mal en patience en attendant le retour du Marvel Cinematic Universe avec Avengers Endgame.

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Synopsis : Ce film présente une nouvelle origin story pour Spiderman quand Miles Morales, un adolescent afro-américain fan de l’homme araignée, se voit mordre à son tour par une araignée radioactive.

Résultat de recherche d'images pour "miles morales"Pour être honnête, je n’ai jamais été un grand fan de Spiderman et quand ce film est sorti, je ne voyais pas trop l’intérêt d’aller le voir. Oh, bien sûr, il était difficile de passer à côté des nombreux éloges qu’il recevait sur Internet, et particulièrement sur Twitter, mais j’ai joué l’aveugle pendant un moment. Finalement, si je l’ai regardé, c’est parce que je me suis dit qu’il devait quand même valoir le détour, et c’est parce que j’avais un trajet en train à occuper autrement qu’en corrigeant des copies pour une fois.

Du côté des a priori que j’avais en lançant le film, on notera surtout deux choses : la peur de m’ennuyer ferme après l’avoir vu survendu sur Twitter et la peur de trouver que le dessin animé ne soit pas de qualité. Comme j’écris cet article, vous aurez compris que ces deux peurs sont totalement surmontées : non seulement, j’ai envie de vous le survendre moi aussi, mais en plus, c’est un dessin animé hautement qualitatif.

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Et il nous transporte tellement dans son univers !

En fait, même si l’histoire était nulle, je trouve que le film vaudrait le coup rien que pour ses visuels. Dès le départ, il est très clair que le parti pris est de rendre le tout fluide. Les déplacements des personnages principaux sont très maîtrisés et les mouvements proposés sont vraiment beaux ; donnant l’impression de se déplacer dans les airs avec Spiderman. J’ai adoré l’esthétique comics très souvent proposées – avec des bulles et du texte surgissant parfois de nulle part. C’était efficace pour se plonger dans cette histoire, donnant l’impression d’être en train de lire un comic, justement.

Résultat de recherche d'images pour "miles morales"Cependant, l’histoire est telle qu’il arrive un moment du film où de nouveaux personnages sont introduits, et comme il est question d’un multi-univers, les dessins s’adaptent. Le changement de style propre à chaque univers est rendu possible par le dessin, et je vois mal comment ce film aurait pu être aussi géniale sans passer par le dessin animé. C’est totalement méta, en fait, et comme j’adore tout ce qui est méta, j’ai adoré regarder ce film.

Cela dit, il n’y a pas que le visuel qui fonctionne dans Into the Spider-verse. L’écriture du scénario est elle aussi maîtrisée. Introduire un nouveau Spiderman au cinéma, ENCORE, c’était un risque certain, mais c’est fait de manière super naturelle ; avec des références aux films et à la popularité du super-héros, justement. Le nouveau Spiderman ? C’est un adolescent cool, qui n’est pas sans rappeler le Peter Parker d’Homecoming, mais peut-être en mieux, car il est mieux dans ses baskets.

La narration avec une voix off qui nous parle directement est efficace, surtout au moment de l’introduction des autres univers, parce que c’est ce qui nous vend bien le passage d’un univers à l’autre et d’un personnage à l’autre. On passe avec ce film d’un Spiderman à plein de Spidermen ; et c’est vraiment bien fichu, surtout quand ils se retrouvent tous au plafond à former une espèce d’araignée géante.

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Bon, est-ce que ça m’aide à mieux apprécier les araignées ? Certainement pas. Toutefois, c’était un film très divertissant et, je me répète, visuellement beau. C’est rare que je dise ça après un film, mais lui, je pense que je le reverrai ; et avec plaisir en plus. Les différents twists de l’écriture sont assez communs pour une origin story, c’est sûr, mais je les trouve suffisamment engageant et divertissant pour plaire à un large public – et ça aussi c’est cool : c’est un film tout public… avec beaucoup d’humour et de gags qui fonctionnent !

Si vous ne l’avez pas encore vu, foncez, surtout si vous êtes fans de super-héros. Il vaut le détour. Vraiment. Et si vous avez un compte Twitter, restez bien jusqu’à la scène post-générique, elle vous vendra probablement du rêve.

PS : Il y a plein de choses que je ne dis pas pour ne pas trop spoiler, mais eh, l’introduction de Spider-Gwen dans le film est GÉ-NI-A-LE !

Performance de la semaine #21

Salut les sériephiles,

Toujours plus tard ! N’ayant pas dormi de la nuit, il était un peu compliqué pour moi d’assurer mon article du jour ; surtout que j’avais des copies à corriger et des cours à terminer de préparer. Tout est à peu près prêt pour demain – à part moi, probablement – alors je passe rapidement par ici en théorie pour enfin vous révéler le nom de l’acteur/de l’actrice qui a attiré mon attention cette semaine. Malheureusement, entre les séries en pause, mon film de la semaine (je suis devant Batman, et bof) et ma vie sociale mouvementée depuis jeudi (pauvre chou), je n’ai pas eu l’occasion de voir grand-chose cette semaine. C’est tout l’inverse de la semaine précédente, quoi…

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On fait ce qu’on peut !

Je n’ai vu que quatre épisodes cette semaine, qu’est-ce que vous voulez que je fasse de ça ? En plus, faut voir les séries que c’était, parce que je n’ai pas vraiment d’acteurs préférés dans les trois premières – pour ne pas dire que tout le monde finit par me souler dans You’re the Worst – et que je n’ai que des acteurs préférés dans The Magicians.

Le problème, c’est qu’au sein de cette dernière, je ne peux pas vraiment dire que quelqu’un ce soit démarqué. Finalement, je n’ai donc pas grand-chose à dire du côté des séries… et comme je suis devant un Batman qui m’endort petit à petit (arf, j’ai encore du repassage express à faire pourtant), je ne sais quoi vous dire.

Ce matin – enfin… cet après-midi, tout est une question de perspective, j’imagine ; je parlais un peu avec Poluss pour procrastiner bien comme il faut et elle me parlait de Homecoming. C’était l’occasion pour moi de revenir sur la carrière de Tom Holland hors Marvel Cinematic Universe et de redécouvrir qu’il était dans tout un tas de bons projets.

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Si je suis loin d’avoir tout vu, j’ai redécouvert avec surprise qu’il était dans le film The Impossible, sur le tsunami de décembre 2004. Le film raconte la vie d’une famille prise par surprise alors qu’ils étaient à l’hôtel ; et bien sûr, c’est une histoire vraie. C’est surtout une histoire difficile d’une famille qui cherche à se retrouver à tout prix.

Ce qui est génial, c’est que ce film, j’ai justement envie de m’en acheter le DVD car je compte m’en servir au travail. J’ai retrouvé l’existence de ce film hier et ce matin, voilà que Poluss me fait en parler pour une toute autre raison. Voilà, ce sera donc Tom Holland ma performance de la semaine.

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Ou de la décennie ?

Résultat de recherche d'images pour "tom holland how i live now"Il me reste ainsi à évoquer l’excellent How I live now. Bon, il n’est sûrement pas aussi excellent que dans mon souvenir ; mais c’est un film que j’ai vu lorsque j’étais en prépa et qui m’avait beaucoup plu – j’avais besoin de ce genre d’histoire, je pense. C’est une bonne histoire de science-fiction post-apocalyptique se centrant sur des adolescents qui survivent bien malgré eux et comme ils peuvent. Rien que ça, ça ne pouvait que me plaire.

 

Et puis, sinon, Tom Holland, ben c’est aussi Avengers Infinity War, hein. C’est quand même l’acteur qui m’aura fait aimer Spiderman après des années de « mouais » et celui qui aura réussi à m’avoir comme un bleu en fin de film alors que tout allait bien pour moi. Difficile d’en dire beaucoup plus sans spoiler ; mais vous comprendrez je pense !

Allez, bonne semaine à tous… et désolé pour l’article tardif !

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Sur ce… dodo (enfin repassage).