Top 60 – 13 et 12

Salut les sériephiles,

Il est déjà 20h, il est donc largement temps pour moi de continuer à dévoiler les cases du calendrier de l’avent… Il y en a de moins en moins en stock, mais bon, c’est simplement parce que Noël approche à grande vitesse désormais. Et c’est tant mieux, parce qu’on aime tous Noël ici, non ? En plus, ça veut dire qu’on approche petit à petit des meilleures saisons de 2018-19, et je suis sûr que vous voyez déjà vers quoi je me dirige… En attendant, voici de quoi nous rapprocher du top 10 !

Résultat de recherche d'images pour "preview websérie"

Preview (S01) – Terminée

Cette saison 1 est courte et peut se voir d’une traite comme un film, ce que je n’ai pas manqué de faire lors d’une projection parisienne pour un rewatch en présence de l’équipe de la websérie – dont Charlotte Hervieux devenue depuis voie française de la reine Elsa d’Arendelle, rien que ça. C’est une websérie qui vaut vraiment le détour, avec une belle réflexion qui, pour l’instant, ne vieillit pas sur la plateforme qu’est Youtube. Note moyenne : 17,7/20

Résultat de recherche d'images pour "why women kill"

Why Women Kill (S01) – Renouvelée (anthologie)

Un casting de folie, une triple intrigue bien menée avec des parallèles sympathiques, un humour qui me manquait depuis Desperate Housewives et un générique carrément réussi, voilà les quelques ingrédients qui ont fait de cette série estivale un vrai succès. Je crois que tout le monde a plus ou moins accroché aux aventures des trois couples présentés, et je ne peux qu’approuver ce sentiment ! Note moyenne : 17,7/20

Et voilà donc pour moi aujourd’hui. À demain pour entamer le top 10 😉

Publicité

Osmosis arrive sur Netflix

Salut les sériephiles,

Le 29 mars commencera la saison 1 d’Osmosis et, comme c’est dans un mois, il est temps que j’en parle sur le blog, je pense. Non, je ne regarde pas encore assez de séries comme ça et, même si j’ai la masse de retard dans les nouveautés que je veux commencer, j’en ai donc repéré encore une qui s’apprête enfin à sortir sur Netflix (mais est produite par une filiale de TF1). Cela fait bien deux ans (trois ?) qu’elle est annoncée par la plateforme, mais ce n’est que ce matin que nous en avons eu une bande-annonce. C’est bien pour ça, d’ailleurs, que je vous propose cet article aujourd’hui, parce que j’ai (très) envie d’y croire :

Osmosis, c’est donc une série de science-fiction française. Rien que pour ça, mon attention était déjà attirée. Elle raconte l’émergence d’une technologie pouvant déchiffrer le code du véritable amour. Grâce à cela, des volontaires peuvent donc tester une toute nouvelle application, Osmosis, qui leur promet de leur trouver le partenaire idéal, l’âme sœur, le grand amour, tout ça tout ça. C’est ambitieux comme projet – tout en étant à fond dans les tendances du moment, avec la multiplication des applications de rencontres sur lesquelles je ne mets pas les pieds (enfin, les doigts, du coup).

En huit épisodes, cette série promet surtout de grandes choses : c’est tout à faire mon genre d’histoires préférées ce genre d’intrigues ! Ben oui, c’est de la science-fiction futuriste, avec une sombre compagnie qui vend un produit qui promet de dépasser tout le monde bien rapidement. La bande-annonce est alléchante et ne vend pas autre chose.

Mieux encore, elle surfe bien sur les tendances du moment et ne semble pas trop timide dans les relations proposées. Pas timide, certes, mais pas du tout dans la survente de sexe. On verra ce qu’il en est véritablement, parce qu’on connaît tous les tendances de Netflix à la nudité et que l’intrigue s’y prête quand même bien.

Je veux dire, il n’y a qu’à voir la description des personnages et cet « ado accro au porno » pour se convaincre qu’on est sur une pente glissante, surtout qu’il a été question de scènes explicites pour la série dans des rumeurs fin septembre (rumeurs démenties par les acteurs, cela dit)… En tout cas, la bande-annonce n’en vend pas à outrance des scènes explicites, c’est bon signe et ça devrait donc être une vraie bonne série qui n’est pas qu’un mauvais prétexte au porno de seconde zone – je déteste ça dans les séries.

En plus, il faut bien reconnaître que le fan de Dollhouse en moi ne peut s’empêcher de repérer les similitudes d’ambiance, franchement. Et après l’annulation de Reverie, j’en ai bien besoin. Au pire, si ce n’est pas aussi génial que prévu, ça me permettra au moins d’attendre la saison 2 d’Altered Carbon, qui me fournit elle aussi ma dose de science-fiction futuriste… Merci Netflix, quoi ! Allez, il n’y a pas que cette plateforme pour me fournir mes doses, parce que j’attends aussi la saison 3 de Westworld. Autrement dit, Osmosis se situe directement dans la cour des très grands avec son intrigue de base et je l’attends au tournant. J’espère que je ne serai pas trop déçu – j’ai hâte !

Le Visiteur du Futur va revenir en film !

Salut les sériephiles,

Image result for visiteur du futur

Il est bien tard encore ce soir, mais je ne vous abandonne toujours pas, voici donc l’article quotidien habituel qui va cette fois porter sur un film, ou plutôt sur un projet de film à venir, et donc sur la série dont il est tiré. Si vous êtes à fond dans les webséries françaises et si vous avez suivi Twitter hier, vous savez déjà que je vais donc vous parler du… Visiteur du futur.

Bon, je suis arrivé bien après la bataille sur cette série (un peu comme cet article arrive bien après la bataille de la journée) parce que je n’avais pas particulièrement accroché à la saison 1. Seulement voilà, à force de fréquenter des gens qui étaient dans l’univers de la websérie fin 2015 et à voir que l’intégrale de la série en DVD était en promo, j’ai fini par (des)craquer et me l’acheter, et par tout voir autour de Noël 2015. J’ai aussi acheté La Meute, le roman qui suit la saison 4, mais j’avoue ne pas avoir pris le temps de le finir (bouuuuuuuh). Et il y a aussi eu des BD, mais ça, je suis passé à côté.

Image result for visiteur du futur

Cet article part dans tous les sens et je fais complétement dans le désordre ce que je voulais faire, mais comprenez-moi, il est 21h, il faut que je me bouge pour la rédaction quand même, on est sur un nouveau record de retard. Donc, si on revient à la base des bases, voilà ce qu’il va se passer : Le Visiteur du futur va revenir sur nos écrans, et probablement sur nos grands écrans, avec un film qui sera à la fois la suite des BD et une nouvelle histoire s’adressant aussi aux gens qui n’en connaissent pas l’univers.

Les acteurs vont apparemment tous reprendre le rôle qu’ils avaient dans la série, ce qui est quand même un sacré plus, parce que je les adore tous (il y a même Justine Le Pottier !).

Image result for visiteur du futur

Quant au visiteur en lui-même, si vous ne connaissez pas, n’attendez plus, foncez sur le site officiel où vous trouverez les quatre saisons (oui, j’ai acheté les DVD d’un truc disponible gratuitement pour me motiver à le regarder, il ne faut pas chercher).

Pour en revenir aussi à la base des bases, surtout si vous ne connaissez pas, on parle tout de même ici de la première websérie française, diffusée sur Dailymotion (plus cocorico tu meurs) et créée par François Descraques, qui s’impose un peu comme LE nom incontournable de la production websérie française.

Comme le titre l’indique assez bien, on est sur de la science-fiction avec un visiteur qui vient, je vous le donne en mille, du futur pour prévenir Raph, un type un peu comme toi ou moi (bon, une nana si t’es une nana, hein), de ce qui ne va pas tarder à se produire.

Image result for visiteur du futur

La saison 1 est plutôt du genre humoristique avec des petites pastilles parfois assez peu engageantes, il faut bien le dire. Genre, j’ai toujours ri un peu, mais parfois je me suis contenté de sourire quand c’était pas mon humour, le pipi caca de l’épisode 2, bof bof. Heureusement, et comme beaucoup de projet SF, la série a grandi de saison en saison, pour proposer une intrigue de plus en plus complexe et finalement digne d’une vraie production série.

Image result for visiteur du futur
Et pas seulement pour ses ralentis badass !

Et pour ne rien gâcher, l’histoire a un début, un milieu et une fin. Et une fin. Et encore une autre fin. Et maintenant, un film à venir. C’est quand même la classe !

 

Stargate Origins – S01E06-10

Spoilers

Ci-dessous ma critique des épisodes 6 à 10 de Stargate Origins.

06.jpgÉpisode 6 – 15/20
The only reason you think magic is dangerous is because you don’t have it anymore.

C’était histoire de gonfler un peu les stats de la semaine dernière du côté du nombre d’épisodes vus que je me suis dit que Stargate Origins serait parfaite, alors j’ai commencé cet épisode hier, puis je me suis fait interrompre en plein milieu. Sur des épisodes de dix minutes, faut le faire ! Quoiqu’il en soit, il est temps pour moi d’achever cette courte saison et de voir où ils souhaitent aller avec ça.

On reprend sur le groupe de nazis montrant la vidéo et l’existence des nazis à leurs nouveaux amis d’une autre planète. La bonne nouvelle, c’est que les habitants d’Abidos ont besoin de nouveaux alliés, donc ils acceptent d’être plutôt sympathiques avec eux quand ils découvrent les images vidéos.

En plus, la reine comprend le fonctionnement d’une arme à feu, et ça la fait rire, probablement parce qu’elle se sent puissante. En fin d’épisode, elle parvient à négocier de nouveaux esclaves terriens grâce à l’aide du professeur, qui refuse de traduire dix secondes pour le principe. C’est tout de même problématique, même si c’était rigolo de voir les nazis comparés à des esclaves obéissants.

Pendant ce temps, sous leur tente, James et Catherine s’engueulent et se reprochent l’un l’autre ce qui est arrivé à Wasif, qui se repose et se réveille nu, et flippé par sa nudité attention. Finalement, on lui donne des vêtements et il révèle qu’il parle l’ancien égyptien, ou en tout cas suffisamment pour le comprendre et proposer des bribes de traduction. Si j’ai bien aimé le voir reprocher à Catherine l’impossibilité de l’interrompre, je trouve ça un peu gros que quand il s’écriait « danger ! », il ne l’ait pas traduit ; mais bon. Voilà le trio parti pour des négociations avec leurs hôtes qui veulent les retenir prisonniers.

Cela ne dure pas bien longtemps : le collier de Catherine, celui récupéré enfant dans le pilot, est en fait le signe de Ra, donc les geôliers s’agenouillent et s’excusent immédiatement devant elle. C’était clairement un épisode de transition qui, par conséquent, n’apporte pas grand-chose. Au moins, l’humour prend toujours.

07.jpgÉpisode 7 – 16/20
Naquahda, naquahda !

Naquahda, naquahda, voilà les Daltons ! Les nazis se mettent à faire du troc : des hommes contre du Naquahda, une matière capable de rendre jeune et éternel, et de tuer n’importe quel ennemi facilement. Cela aide bien forcément, le nazi se fait tout un film sur son futur reich et je crois bien qu’il veut devenir führer à la place du führer. Allez comprendre pourquoi, l’allemand continue de parler anglais tout du long, avec son accent pourri, même dans les clips de propagande.

Pendant ce temps, Catherine et ses amis se font un festin, Wasif devenant pote avec Motawk, qui l’a pourtant poignardé, et Catherine comprenant soudain, en se droguant, toute la logique de la série : le carnet trouvé par le nazi contient des symboles qu’elle n’a jamais vus parce qu’ils ne viennent pas de la Terre, mais de celle sur laquelle elle se trouve actuellement.

Elle comprend donc et l’ancien Egyptien de mieux en mieux, et le plan des nazis de devenir éternels et de prendre le pouvoir suprême sur Terre. Cela ne l’empêche pas de se détendre pour la soirée, dans les bras d’un James dégoulinant de sueur avec qui elle passerait bien beaucoup de bon temps dans la tente de leur guide. La drogue aide bien à détendre l’atmosphère pour tout le monde et la réalisation nous montre les personnages partir en vrille, ça me rend curieux de voir l’épisode suivant.

Une fois de plus, un épisode qui fait figure de transition, en développant les personnages et les relations entre eux plutôt que l’intrigue. C’est franchement étonnant sur une saison de dix épisodes aussi courts, mais bon. Les scènes post-génériques sont beaucoup trop drôles en tout cas.

08.jpgÉpisode 8 – 16/20
You have no good side.

Le lendemain, James et Catherine se réveillent au son d’un gong annonçant l’arrivée d’Aset dans le village. Le problème est qu’Aset est évidemment la reine qui s’est alliée avec les nazis, et qu’ils débarquent eux aussi. James les aperçoit à temps pour empêcher Catherine de vouloir sauver son père et, heureusement, le village comprend à temps que le nazi est l’homme horrible et méchant dont elle leur a parlé.

Ce dernier veut savoir jusqu’où sont prêts à aller les hommes d’Aset pour elle, et ainsi, il organise un combat entre un garde du village et Stefan, l’autre nazi qui ne sert pas à grand-chose et se fait bien sûr maîtriser assez vite par le non-terrien. On notera qu’il se bat pourtant bien et avec pas mal d’honneur, mais que dans les derniers instants, il a besoin de son boss pour gagner le combat. Celui-ci tue sans scrupule le garde qui prouvait sa bonne foi religieuse, et tout le village est dépité par la tournure des événements, mais tenu en respect par Aset. En tout cas, les nouveaux alliés du trio, Motawk et Kasuf, doivent être heureux de ne pas s’être portés volontaires comme il le voulait initialement, empêchés respectivement d’y aller par Wasif pour Motawk et par le couple pour Kasuf…

Ensuite ? Oh, rien de bien méchant : le nazi tue Stefan de sang-froid sous les yeux d’une Eva dépitée et forcée de le filmer. Eh oui, le voilà qui part en vrille dans sa soif de pouvoir notre bon vieux nazi. On se croirait dans la réalité dis-donc. Aset refuse de ramener à la vie le garde avec la baguette d’Horus, qu’elle brise au passage, parce que le garde est mort avec honneur.

C’est ainsi tout le village qui se tourne vers le trio pour se débarrasser des nazis. Evidemment. Nous voilà donc en route vers une fin de saison qui a pour but de tuer les nazis, comme dans n’importe quelle bonne production américaine. Ce n’était pas mauvais côté scénario, mais alors le jeu de la scène finale laissait vraiment beaucoup à désirer et était plus comique que dramatique. Dommage. Cela gâche un peu l’épisode qui était autrement vraiment cool dans son scénario, même si un peu prévisible.

09.jpgÉpisode 9 – 17/20
She knows. Do not be a hero Catherine.

Le trio part en mission anti-nazi avec Motawk et Kasuf, ce dernier refusant initialement de lire les coordonnées que lui montre Catherine, avant de lui expliquer qu’il les a déjà vus dans une cave près des mines. On développe un peu nos connaissances géographiques, donc, alors que le groupe se sépare : Catherine et Kasuf se rendent à la cave, alors que les trois autres vont faire diversion pour sauver le professeur.

Kasuf explique le concept de Naquadah, sous la ville de Nagada (c’est recherché tout ça) alors qu’elle tente de lui faire un cours de théologie et de droit de l’homme. Bon courage. Si elle récupère la séquence qui lui permet de rentrer sur Terre, Catherine décide finalement de profaner le temple sacré et détruit les dernières coordonnées, pour être certaine que le nazi ne s’en ira jamais de cette planète, car son plan est bien sûr de sauver son père mais de laisser le nazi rôtir dans cette galaxie lointaine.

Pendant ce temps, Motawk et Wasif sont assez clairement en couple, avec un Motawk qui ne lâche plus la main de Wasif, ce qui est assez marrant. Je ne suis pas spécialement surpris, parce que ça fait quelques épisodes que c’est suggéré, mais ça change dans Stargate qui a toujours été assez conservatrice dans mon idée. C’est plutôt positif, j’imagine.

Ils ont pour plan avec James, complétement à côté de la plaque, de s’emparer du Naquadah et se rendent en secret dans la pyramide d’Aset – après tout, Kasuf est toujours censé y faire le ménage, j’imagine. Catherine et Kasuf les rejoignent justement et comprennent qu’ils doivent immédiatement mettre à exécution leur plan.

Du côté des nazis, Eva commence à se rebeller contre Wilhelm Brucke alors que le père de Catherine apprend que sa fille est sur la planète et proche des « caves ». Cela lui donne le courage nécessaire pour trahir enfin le nazi et se battre contre lui. Et au moment où Brucke, notre nazi donc, s’apprête à le tuer, Ra se dit qu’il est temps de rendre visite à Abidos. Eh bien, voilà qui est définitivement plein de surprises !

Comme on a perdu un peu de temps dans les épisodes 6 et 7, la série se précipite vers sa fin de saison, mais ça fonctionne plutôt bien dans ces treize minutes qui ont le temps de mettre en place plusieurs intrigues en parallèle, de la romance et de l’action.

10.jpgÉpisode 10 – 20/20
When you least expect it.

La série n’a plus de temps à perdre, avec 13 minutes pour tout conclure. Du coup, on nous offre le baiser Motawk/Wasif à l’arrache, histoire de conclure cette storyline, avant d’envoyer Catherine s’opposer à Brucke et le toucher non pas d’un, mais de deux coups de feu qui ne font que le blesser. Son père réussit à convaincre Catherine de ne pas le tuer car il n’en vaut pas la peine, et sans surprise que Brucke sort un flingue de sa botte pour les tuer – l’idiot a oublié qu’Eva aussi a un pistolet et un fort désir de revanche. Elle s’émancipe donc du nazi et le tue, surtout que le nazi lui-même préférait soudainement son pouvoir à Hitler. C’est con.

Tout ça n’occupe que deux minutes de l’épisode : Eva se fait ensuite dégommer pour le principe alors qu’elle ne le méritait pas spécialement et Aset refuse de laisser partir Catherine et son père avec tous leurs souvenirs. Et voilà comment une pirouette leur permet de rétablir la mythologie : Aset les lobotomise, faisant tout oublier de la langue au père et donnant pour mission à Catherine d’assembler une équipe assez puissante pour détruire Ra…

C’est vraiment facile tout ça, mais c’est amusant de voir toute la base de la saga réécrite ainsi. On peut dire adieu à la saison 2 en revanche, même si je ne crois pas qu’elle était prévue. En fait, Aset est sacrément humaine : elle déteste Ra, a un héritier illégitime et laisse des terriens se promener sur sa planète sans prévenir pour autant le Dieu. Pas trop de surprise à voir celui-ci débarquer pour se venger, averti par Serqet, chargée à présent de tuer tous nos héros.

Cette saison ne se termine pas en happy end DU TOUT. Sur Terre, notre nazi préféré se fait dégommer par Serquet sans même le savoir, à cause d’un coup de son arme qui passe à travers la Porte des Étoiles. Motawk et Wasif sont capturés par Ra qui en fait des Goaulds sans le moindre scrupule, sans même comprendre que Wasif est un terrien, du coup. Ils ont bien fait de s’embrasser tant qu’ils le pouvaient encore. Un peu comme James et Catherine : James retrouve sa copine lobotomisée et se débrouille pour la faire revenir sur Terre, avant d’être exécuté par Serquet. Wow. C’est drôlement violent comme fin de saison (alors cela dit, on ne voit pas la blessure de James… manque de budget ou ouverture pour une suite improbable ??).

Ra déplace ensuite la Porte des Étoiles et détruit le temple d’Aset, alors que la tablette pour entrer les coordonnées est détruite par Serquet. De même, le village vers lequel Yasuf retournait se fait pulvériser. Le voilà qui doit désormais gouverner Nagada, une cité détruite.

Sur Terre, le professeur et Catherine reviennent et n’ont aucune idée de leur voyage. Catherine ne se souvient même plus de Wasif ou James, la Porte des Étoiles intéresse les nazis qui veulent la racheter, James et Wasif sont portés disparus et Catherine se retrouve avec du Naquahda en poche. Et c’est tout. Pour la suite, il faudra regarder le film et les séries Stargate.

11

EN BREF – Cette saison commençait faiblement, mais m’a replongé dans l’univers Stargate à merveille, me donnant envie d’en revoir plus (bon, je n’ai pas le temps pour ça, mais franchement, c’est inattendu comme envie après tout ce temps !). En plus, je m’attendais à une websérie un peu bof bof, mais son écriture était dynamique et fun, et s’il y a bien quelques épisodes moins bons, l’ensemble tient quand même super bien la route.

La fin était bien plus noire que ce que j’attendais d’une websérie si drôle. La pirouette était obligatoire pour respecter la mythologie de la franchise, et je suis heureux de ce lavage de cerveau en règles, mais de là à buter tout le village, James, tous les allemands de la série, Aset et son bébé… C’était quelque peu radical.

J’adore quand ça finit mal cela dit, et là, je suis servi, d’où la jolie note finale pour conclure la saison en beauté !

Retour à la liste des épisodes