On est déjà dimanche, le temps passe bien trop vite et j’ai bien évidemment jeté l’éponge sur le #WESéries, mais je ne vais quand même pas vous abandonner sans vous proposer un article « performance de la semaine ». Une fois n’est pas coutume, aujourd’hui, je vais surtout revenir sur une performance qui mérite d’être saluée dans sa globalité plutôt que seulement pour cette semaine. Seulement voilà, c’est ma dernière occasion d’écrire un article dessus, alors voilà, ça passe ici 😉
Pourquoi ? C’est bien simple, l’actrice a brillé durant quatre saisons deThe Good Place. Peu importe la qualité du scénario qu’on lui sert, elle est brillante ! Qu’il s’agisse de donner un cactus, de danser sur des rollers, d’être Mauvaise ou juste bien gentille, D’Arcy Carden est une actrice qui se donne à fond pour son personnage. Et il n’y a pas à dire, Janet est l’une des meilleures trouvailles des scénaristes de la série, donc elle a eu pas mal de chance de pouvoir l’interpréter pendant les quatre saisons.
Bien sûr, il est difficile de parler du personnage de Janet sans penser à son « vide » dans lequel elle a dû recueillir ses amis et héros de la série pendant un épisode complet. Là encore, l’actrice avait eu fort à faire, incarnant tous les rôles de la série comme si de rien n’était. Bien évidemment, elle est surtout là pour communiquer de la bonne humeur avec son sourire contagieux, mais elle le fait si bien que je suis sûr qu’elle sera excellente dans tous ses rôles à venir.
Eh, ça paraît si simple !
Comme tout de même, on est sur un article qui s’appelle « de la semaine », parlons de son rôle dans ce tout dernier épisode de la série. Il est difficile de ne pas être frustré pour le personnage de Janet : alors que chacun a pu évoluer et avoir un arc qui lui permet de grandir, Janet était déjà parfaite dès son arrivée dans la série. Par conséquent, elle est coincée dans cet épisode final : elle voit l’ensemble des personnages de la série grandir une dernière fois et se trouver un rôle dans la vie, puis elle leur dit au revoir à tous. C’était inévitable : la non fille, non robot est éternelle après tout… Mais ça m’a fait de la peine pour elle quand même, même si elle est clairement en paix et qu’elle affirme à Jason que se souvenir de lui est la même chose que vivre avec lui.
En tout cas, une chose est sûre : je me souviendrai longtemps de la performance de cette actrice qui a toujours su être juste, communiquer la bonne humeur qu’elle devait communiquer et être brillante à chaque twist du scénario. Et il y en a eu plus d’un !
Vu aussi dans : Dans pas grand-chose, et c’est bien honteux ! Enfin, non, d’ailleurs, c’est une bonne chose, parce que c’est toujours chouette de se rendre compte qu’une carrière décolle grâce à un rôle dans une série que j’aime bien. The Good Place est déjà culte à mes yeux, comme je le disais dans l’article d’hier. Par conséquent, D’Arcy Carden est déjà culte – surtout que le personnage de Janet est facilement celui qui marquait le plus la série… Maintenant, il faudra pour elle qu’elle réussisse à s’en détacher, mais je ne m’inquiète pas trop, elle semble suffisamment douée pour ça.
Reste à savoir si elle retrouvera l’euphorie qu’apporte un tel rôle… mais justement, puisqu’on en parle…
L’info en + : L’actrice serait en négociation pour un rôle dans A League of Their Own, une série Amazon reprenant l’histoire du film du même titre. Ainsi, on la retrouverait bientôt à l’écran dans un rôle bien différent de celui de Janet, puisque ce projet est beaucoup plus sérieux : la série suivrait une équipe de baseball féminine durant la seconde guerre mondiale. Eh, on est loin du fun de The Good Place avec ce cadre historique. J’espère que les rumeurs se confirmeront pour D’Arcy Carden, et j’espère que ça me plaira – ça n’a pas l’air d’être ma tasse de thé a priori.
Si je fais un article sur la fin d’Arrow, vous vous doutez bien que je ne peux pas ne pas en faire un pour une série que je suis depuis son tout premier épisode et dont tous les épisodes sont critiqués sur le blog. En plus, elle a toujours rencontré un franc succès sur le blog, alors je sais que je ne suis pas le seul ici qui était un grand fan de The Good Place. Après quatre ans, la série tirait sa révérence dans un double épisode final très réussi hier.
C’est tout étrange de se dire qu’on ne verra plus de nouveaux épisodes de cette série. Et c’est très étrange aussi de se dire que ça ne fait que quatre ans qu’elle était là quand j’ai l’impression qu’elle a duré une petite éternité – ou quelques Bereamy. Franchement, je me souviens encore avoir visionné le pilot dans le métro (ou le RER ?) sans grande conviction. Je commençais cette série uniquement parce que Kristen Bell était à l’affiche, mais l’histoire me paraissait franchement médiocre…
Pourtant, après vingt minutes, j’avais éclaté de rire plusieurs fois sur mon siège, malgré le fait que j’étais au beau milieu d’un lieu public. C’était donc bien parti pour cette série et moi, et la saison 1 n’a pas démérité. Ce que j’aimais particulièrement avec The Good Place, outre les répliques, les personnages et les gags tous très approfondis et réfléchis, c’était finalement… son rythme.
Jamais la série n’a pris le parti de s’installer dans une routine comme le font de nombreuses comédies. Au contraire, leur but a toujours été d’avancer vers l’étape suivante. C’est ce qui explique qu’elle ne dure que quatre saisons, mais c’est aussi ce qui lui permet d’être assez qualitative dans l’ensemble tout de même. The Good Place a rapidement réussi à devenir culte avec ses concepts complètement perchés (le quartier), ses délires bien particuliers (le postier, les crevettes…) et ses répliques qui font mouche (fork !) en étant simples et efficaces. Partant de là, il ne lui manquait pas grand-chose pour être culte avant même la fin de sa diffusion.
Assez clairement, elle a réussi à atteindre le statut de série culte avec son rebondissement de fin de saison. Je sais, je sais, certains avaient compris avant (chapeau), mais moi, ils m’ont eu comme un bleu et ma mâchoire s’est décrochée quand la révélation est tombée.
C’était un twist brillant pour relancer la série, franchement, mais c’était aussi assez symptomatique : les mi-saisons étaient un peu creuses.
Franchement, ça a permis à la saison 2 d’être encore meilleure que la première à mon sens. Je pensais que la série allait proposer quelque chose d’assez classique, avec une réécriture de sa saison 1… À la place, ils ont proposé une centaine de réécritures possibles, puis une balade dans les différents endroits de l’au-delà ! Toujours plus ! Et puis, en plus, Netflix s’est mis à la diffuser un peu partout dans le monde, et en France notamment, ce qui participe largement à son succès, c’était malin comme idée !
The Good Place a su prouver qu’elle savait se réinventer et que ses personnages étaient assez bons pour être adaptés à toutes les situations : ils étaient stéréotypés, oui, mais aussi attachants et malléables. C’est exactement ce qu’il faut pour une comédie. Mieux encore, cette comédie qui a priori est juste là pour nous faire rire a pris l’habitude dès sa saison 1 d’ajouter des concepts philosophiques à son écriture, et l’air de rien, elle a touché à pas mal de dilemmes moraux et éthiques auxquels tous les humains sont confrontés un jour ou l’autre. Faire de la métaphysique en riant et en passant de bons moments, ce n’est pas toujours évident.
Alors certes, la saison 3 était en-dessous, mais elle réinventait toute la série une nouvelle fois et permettait d’approfondir les personnages. Si elle ne m’a pas trop convaincu sur le moment (toute la partie sur Terre était moins intéressante), tout a été justifié assez rapidement par les scénaristes quand on est revenu dans l’au-delà et au cours de la saison 4. En fait, le but était d’explorer les personnages et leurs défauts pour nous montrer comment les corriger.
Ah Jason, ce fournisseur de memes à chaque scène !
Et s’il n’y a qu’une chose à retenir de cette saison 4, c’est justement que tous les personnages ont été capables d’évoluer dans le bon sens et de devenir meilleurs quand bien même ils étaient atrocement insupportables sur Terre.
Oui, ils ont leurs petits défauts et Tahani continuera à jamais à faire du « name drop » des célébrités qu’elle connaît, mais ils ont aussi tous su évoluer : Jason a trouvé une paix intérieure et une forme de sagesse incompréhensible, Tahani s’est enfin mise à travailler pour les autres plutôt que pour se prouver quelque chose, Chidi est désormais capable de faire ses choix, Michael est devenu plus humain et Eleanor a enfin arrêté d’être égoïste. Franchement, elle ne l’est tellement plus que même quand elle passe la porte qui la supprime de l’existence, elle réussit encore à provoquer de bonnes actions sur Terre.
Cette série donne aussi envie de s’acheter des cactus, mais bon.
Quant à Janet, eh bien, elle était parfaite dès le début, alors bon, elle l’est restée (#notagirl #notarobot)… Tout comme la Juge et ses goûts irréprochables en pop culture ! C’était parfait comme conclusion et parfait comme série. L’air de rien, la série s’était imposée dans mon cœur et c’est un peu la dernière comédie que je suivais vraiment avec attention de manière hebdomadaire… Franchement, ça va me faire tout bizarre de me dire qu’elle n’est plus là, et je ne sais pas encore ce qui va être capable de la remplacer !
Je réclame déjà un spin-off sur Tahani pour ça, surtout qu’elle était sous-exploitée en saison 4 !
Mais bon, I take it sleazy, comme dirait l’autre 😉
Épisode 13 – Whenever You’re Ready – 20/20 C’est amusant car je trouvais la conclusion de la semaine dernière vraiment géniale, mais cet épisode parvient à la surpasser. Les scénaristes ont réussi un véritable coup de maître avec cette dernière heure (54 minutes) qui apporte une conclusion à l’ensemble des personnages. Tout est très fluide, les répliques s’enchaînent, les gags donnent le sourire et si on a envie de pleurer, c’est plutôt de joie que de vraie tristesse. Bref, cet épisode s’inscrit déjà dans la liste de mes fins préférées tant tout y est parfait.
Cela ne fait que quatre saisons que je regarde cette série, alors c’est bizarre d’être si triste de la voir tirer sa révérence, mais franchement, ça a été une super série à regarder : les gags étaient bons et les personnages avaient toujours ce qu’il fallait pour nous inviter à revenir.
L’épisode commence par une vie toute casée pour tous nos héros. Michael apprend la musique et écrit ses propres chansons alors que Chidi donne des cours de philosophies à plein de morts. En bref, le Paradis ressemble à la vie, quoi, mais en plus, Michael, Chidi et Janet ont des jobs supplémentaires avec un comité charé d’évaluer le nouveau système et ses défauts, inévitablement. Plus d’architectes et d’acteurs sont nécessaires selon Vicky, alors que Michael insiste pour dire que tout va bien et que la Juge s’indigne de savoir que Carrie Coon n’a pas eu d’award pour The Leftovers. Moi aussi.
Pendant ce temps, Janet et Jason vivent leur meilleure vie de couple et sont super mignons ensemble. C’est tout génial ; et au Paradis, Jason retrouve aussi son père. C’est intéressant de voir à quoi ressemble le Paradis pour chacun de nos héros, et franchement, je ne m’attendais pas forcément à un tel épisode.
Jason réussit son challenge de vie comme ça et après un dernier repas parfaitement raté il annonce à nos héros qu’il souhaite traverser les portes qui mènent à l’autre côté, celles qui vont le supprimer de l’existence. C’est terrible, mais il en est heureux et organise une grosse soirée pour ça. C’est tellement rapide de voir Jason prendre cette décision. Quant à Janet, elle affirme qu’elle va bien et est heureuse, parce qu’elle sait qu’il est temps pour Jason.
C’est assez logique que Jason soit le premier à vouloir disparaître, étant donné le personnage, mais ça reste assez triste. Et maintenant que les personnages sont en paix au Paradis, j’aime beaucoup l’idée de les voir se décider à quitter la vie éternelle. Après, voir Jason partir, c’est triste, surtout si tôt dans l’épisode et même si la fête était très sympathique à voir.
La porte qui mène à la suppression ? Elle est dans une forêt et c’est très chouette comme cadre, mais ça ne retire rien à la tristesse de la scène de voir que Jason a perdu le collier qu’il lui avait préparé et de voir que Janet lui assurait qu’elle se souviendrait toujours de lui, revivant les moments chaque fois qu’elle s’en souvient. Eh, ça démange dans les yeux, ça.
La fin pour Tahani ? Elle n’est pas prête d’arriver parce qu’elle a toute une liste de projets à accomplir avant de s’en aller. Et contre toute attente elle est réconciliée avec sa sœur et, quand ses parents débarquent au Paradis, ils sont les meilleurs parents du monde. C’est tellement inattendu d’avoir Tahani heureuse comme ça, en famille. C’est concrètement ce qu’elle a toujours voulu dans la vie.
Et comme elle a atteint tout ce qu’elle voulait faire, elle est prête à être effacée à son tour. C’est si triste à voir purée… Elle organise elle-même sa soirée de disparition durant laquelle elle a la meilleure idée de sa vie. Enfin, de sa mort. Elle demande à Michael de devenir une architecte à son tour : elle s’ennuie dans sa mort, mais elle ne veut pas pour autant être supprimée. C’est une si belle idée de la part des scénaristes qui prouvent encore leur inventivité.
Et ils se servent aussi de cet épisode final pour rappeler un max de figurants et de personnages secondaires des épisodes précédents. Le mieux, c’est encore que tous les personnages semblent avoir une belle conclusion au paradis et que tout est super fluide pour les personnages comme pour l’épisode. C’est fou, mais dans cet épisode, ils réussissent vraiment à écrire un truc parfait qui donne envie d’être au Paradis. En plus, le tout se fait sans jamais oublier les personnages. Forcément, on enchaîne ensuite avec Chidi et Eleanor. Cette dernière lit des livres de philosophie alors que Chidi lit… le Da Vinci Code.
Aïe, on sent que c’est la fin pour Chidi. Pire, Shakespeare aussi était au Paradis, et il a décidé de se supprimer de l’existence après 4000 pièces. Et c’est là que nos héros prennent conscience que quelque chose ne va plus entre eux : Chidi envisage de partir, et Eleanor n’est pas prête pour ça. Elle cherche aussitôt quelque chose pour le garder auprès d’elle. C’est du grand Eleanor et j’ai beaucoup aimé l’idée, surtout que Janet est celle qui rappelle à Michael et Eleanor que s’il veut partir, alors il peut (et doit) partir.
Malgré tout, elle aide Eleanor à mettre au point le voyage parfait pour Chidi : un détour par Athènes, puis un détour par Paris. Ah et ils font tellement le tour de la capitale française, c’est chouette comme tout. J’adore ces personnages, j’adore les lieux qu’ils visitent, j’adore la scène où Eleanor explique à Chidi qu’elle n’est pas prête à le voir partir… et j’adore encore plus celle où elle comprend qu’elle se doit de le laisser partir. Franchement, cette série est géniale, et cet épisode est une pure réussite. Citer un philosophe pour faire comprendre à Eleanor qu’elle est égoïste, puis lui organiser une fin parfaite tout en sachant qu’elle sera seule ensuite…
Pardon, cette critique se transforme en une suite de mini bouts de phrases qui ne résument pas vraiment l’épisode et ne donnent pas tellement mon avis, mais honnêtement, tout est parfait, non ? Je ne peux pas écrire différemment cette fin. Même le départ de Chidi, qui laisse un calendrier à Eleanor et fait un câlin à Jason était parfaite. Et puis Eleanor qui dort pendant qu’il part… quelle horreur !
Le retour de Jason était totalement évident d’ailleurs, mais ça m’a quand même beaucoup plu de le savoir attendre une éternité le retour de Janet pour lui offrir le collier plutôt que de l’appeler. On enchaîne ensuite avec les derniers personnages : Michael commence à s’ennuyer quand il comprend que le système est parfait et que la Juge annule toutes les réunions pour le réguler. Tous les humains finissent au Paradis après avoir beaucoup changé et choisissent un moment où partir, après tout.
De son côté, Eleanor se trouve une dernière mission : convaincre Mindy, vivant désormais avec une tête flottante de Derek, qu’elle doit suivre le système et chercher à atteindre le Paradis elle aussi. Pour Eleanor, c’est une évidence, parce que Mindy n’est jamais qu’une version d’elle qui n’a jamais eu d’amis.
Cette mission réussie, Eleanor se pense prête à partir, mais découvre que non quand elle se rend compte que Michael veut être supprimé lui aussi et ne peut pas l’être. Elle s’offre donc une nouvelle mission : rendre Michael heureux, en négociant avec la Juge pour qu’il devienne humain et puisse à son tour vivre, mourir et traverser le test pour qu’il aille au Paradis. C’est beau de voir les scénaristes donner tant de soin pour conclure les intrigues de tous les personnages.
Eleanor parvient à son but, et Michael devient donc un humain, qui apprend à faire de la guitare sur Terre, tout en étant plus humain que jamais. Quelle conclusion pour la série ! Je ne m’y attendais vraiment pas à celle-ci. Et maintenant que Michael a eu ce qu’il voulait, Eleanor est prête à quitter la mort, partageant un dernier cocktail avec Janet. C’est si beau. Pour la première fois, on voit donc un personnage traverser la porte finale, et elle devient un tas de petites lumières colorées, chacune d’entre elles arrivant sur Terre où elles entrent dans des personnes pour les rendre meilleures et les améliorer. C’est finalement Michael qui a donc les derniers mots de la série, et qui vient conclure un épisode parfait de la plus parfaite manière. Que dire de plus ? Soyez bons envers les autres, pour qu’ils vous le rendent, et puis c’est tout.
Quand t’as fini une série géniale et que tu ne sais plus quoi faire.
EN BREF – Cette saison 4 n’était pas parfaite, mais la conclusion de la série l’est. C’est impressionnant de voir à quel point les scénaristes ont réussi à faire quelque chose de propre comme ça, c’est juste génial. Si la série aura parfois eu du mal à rester toujours aussi géniale, elle aura été inventive du début à la fin et aura toujours su vers quoi elle se dirigeait. Rares ont été les détours et dans l’ensemble, elle est un véritable exemple d’écriture. J’adore, tout simplement, et je n’ai même pas envie de m’étendre plus que ça ici. À quoi bon ? Cet épisode final a tout dit pour moi !
Ce RDV se contente de reprendre l’ensemble de mes avis sans spoiler sur les épisodes vus au cours de la semaine. C’est donc un simple copier-coller de ce qui se trouve déjà dans la colonne de gauche et qui est mis à jour quotidiennement. Le titre de chaque épisode mène à la critique plus complète et avec spoilers. Les épisodes sont reclassés par ordre chronologique de diffusion, en J+1… Toujours pas un max d’épisodes vus cette semaine, mais bon, c’est la vie.
Mercredi
֤This is us – S04E11 – A Hell of a Week (part. 1) – 17/20 Voilà donc un épisode qui reprend les bonnes vieilles habitudes de la série et nous propose une première partie d’histoire se concentrant sur l’un des membres du Big Three. Le développement du personnage mis au cœur de l’histoire tout comme l’ambiance qui se développe dans ces quarante minutes sont vraiment réussis… par contre, je suis un peu frustré de l’absence de certaines storylines. Trop de choses sont développées dans la série, finalement !
NCIS – S17E13 – Sound off – 14/20 Même si le schéma reste hyper classique, on est sur un léger mieux cette semaine : j’ai bien aimé certains développements et l’histoire un peu plus originale que lors du précédent épisode. Bref, il n’en faut pas beaucoup pour que ce soit plus satisfaisant, quoi.
Jeudi
The Magicians – S05E02 – The Wrath of the Time Bees – 17/20 C’est un très bon épisode encore, surtout du point de vue du développement des personnages. C’est vraiment très efficace comme début de saison, même si certains détails de certaines intrigues me dérangent parce que ça manque d’explications à mon goût. Les trajectoires des personnages commencent à nouveau à se croiser, et c’est une excellente nouvelle si tôt dans la saison.
Vendredi
The Good Place – S04E11 – Mondays Am I Right ? – 17/20 On sent déjà un vent de conclusion souffler sur cet épisode et ce n’est pas désagréable du tout. La série continue d’aller à un rythme très accéléré, mais ça lui a toujours réussi et ça ne change pas avec cet épisode qui résout quelques problèmes pour aller plus vite vers les épisodes de fin. J’étais en tout cas content d’en avoir un de plus à voir ce soir !
The Good Place – S04E12 – Patty – 17/20 Comme toujours, la série s’en tire bien parce qu’elle montre à quel point tout est réfléchi depuis un moment dans son schéma de saison. Mieux encore, elle propose une vraie réflexion sur l’au-delà, encore et toujours, après quatre années à le faire. Que demander de plus ? Peut-être un peu plus de gags… mais bon, le sentiment qu’on approche de la fin du voyage créé une nostalgie qui explique peut-être pourquoi j’ai moins ri alors qu’il y avait de très bonnes choses, notamment du côté des guests !