Evil est quand même à ça de nous faire une Riverdale

Salut les sériephiles,

2019 | Smells like Chick Spirit

C’est un titre étonnant, n’est-ce pas ? J’exagère un tout petit peu avec ce jeu de mots qui vise à comparer les deux séries, mais très franchement, je viens de terminer un nouvel épisode de la série Evil, le dixième de la saison 2, et cette fois encore, je me suis retrouvé face à des intrigues qui n’avaient pas de conclusion, alors que celles de la semaine dernière étaient oubliées à nouveau. De plus en plus, je regarde les épisodes en ayant l’impression que les scénaristes oublient des trucs ou ne les reprennent que quelques épisodes plus tard. C’est peut-être pour ça que j’ai oublié la série dans mon article d’hier !

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Je commence à en avoir vraiment marre de finir les épisodes sur de bons gros « wtf » sans savoir quoi en faire… Quand ce n’est pas dès le début de l’épisode. La qualité est toujours là, la série est incroyable pour un tas de raisons, dont les moments wtf parfois sacrément bien dosés, et les acteurs sont tous bluffants à tour de rôle. M’enfin, côté écriture, je perds de plus en plus le sentiment que tout est maîtrisé parce qu’ils vont dans tous les sens sans chercher à donner une direction claire. Et vous savez de quelle autre série je dis ça ? Si vous avez lu le titre de cet article, oui.

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La différence avec Riverdale ? Cinq lettres seulement si on compare les deux titres. Elles ont même des personnages avec le même prénom !

Et plus sérieusement, cette dernière entame des trucs qu’elle ne conclue jamais parce qu’elle oublie vraiment en avoir parlé et qu’elle ne sait pas du tout où elle veut aller avec. Ca et le fait que les scénaristes ne lisent pas le travail de leurs collègues, aussi.

Voir aussi : Les critiques de la saison 5 de Riverdale

Don't Put That Evil On Me GIFs | TenorEvil a le mérite de savoir très clairement où elle souhaite aller et de nous le rappeler de temps à autres, tout en faisant toujours des références précises aux épisodes précédents… Parfois même, la référence est trop précise, avec des retours inattendus de personnages. Mais voilà, ils oublient juste de nous expliquer où ils vont ces scénaristes. C’est bien qu’ils le sachent, ce serait mieux de nous emmener avec nous.

La plupart du temps, ça ne me dérange pas, car ça permet de théoriser des tas de choses et de penser longtemps à la série entre chaque épisode. Avec cette saison 2, en revanche, ça donne juste un énorme sentiment de brouillon : il y a tellement d’épisodes qui se terminent sans qu’on ne sache de quoi il en retourne – autant d’un point de vue rationnel que d’un point de vue surnaturel… Et puis, surtout, il n’y a aucun indice qui permette de vraiment savoir ce qu’il en est. Rien que le principe du livre qui tombe à chaque épisode pour nous indiquer le titre ??

Voir aussi : Les critiques de la saison 2 d’Evil

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Moi à la fin de chaque épisode d’une série qui était justement géniale dans ses explications en saison 1

Au départ, c’était sympa. Ensuite, ils ont commencé à l’inclure dans les scènes de la série et du coup, ça prend un côté méta totalement incompréhensible aujourd’hui, avec un livre qui tombe sur une table et une main qui vient l’ouvrir sans que personne ne soit là pour le lire, en théorie. Au-delà du fait que la série casse de plus en plus le principe de base concernant le doute fantastique (c’était une grosse part de sa réussite en saison 1 !), je trouve qu’on reste sur notre faim et que chacune des trois intrigues de cet épisode 10 mériterait d’avoir tout un épisode pour elle. Histoire d’avoir aussi une conclusion qui ne soit pas dans une saison… Je veux dire, RSM Fertility était annoncé comme le fil rouge de la saison 2 en fin de saison 1 et a été totalement zappé jusqu’à l’épisode 10.

GIFs on the Run — Evil | Sneak peek
Et à chaque épisode, on nous zappe des choses et des morceaux d’intrigues.

Je n’ai pas envie qu’ils recommencent à faire ça pour la saison 3. En fait, il y a tellement de pistes qui sont restées sans réponse que je me dis qu’il faudrait que je fasse une fiche pour suivre correctement la série. Ce n’est pas normal, hein. Ça peut l’être quand c’est bien mené et qu’on est assez fourni en indices pour se faire une idée de la direction prise ou pour avoir des pistes claires sur la suite.

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Là, chaque épisode me laisse juste perplexe et me fait pousser d’énormes WTF. Alors oui, la série a encore mon amour pour son casting, son ambiance, son côté loufoque, ses intrigues géniales et ses moments capables de faire peur l’air de rien. En revanche, elle commence à me perdre et j’espère qu’ils rectifieront le tir. Ça n’en prend pas du tout le chemin par contre.

Après, vous allez me dire à raison : de quoi est-ce que je me plains ? Les scénaristes nous avaient prévenu il y a un bon moment et je n’ai pas meilleure conclusion pour cet article que cette réplique : the world is weird. Indeed.

2019 | Smells like Chick Spirit

11 septembre 2001

Salut les sériephiles,

Nous sommes le 11 septembre, et comme d’habitude, il est difficile de ne pas avoir une pensée pour le 11 septembre 2001 aujourd’hui. Vingt ans après l’attentat meurtrier qui a touché les États-Unis, nous sommes encore tous hantés par les images des tours jumelles percutées par les avions, puis s’effondrant. Que le complot sur le gouvernement ayant eu son rôle à jouer sur l’effondrement soit vrai ou non ne change pas grand-chose à la responsabilité des terroristes, ni au traumatisme que nous avons tous subi ce jour-là.

Et c’est de ce jour-là que je vais parler dans cet article, en commémoration de cette vingtième année post-attentat, parce que je fais partie des plus jeunes à m’en souvenir, je pense – pour en avoir parlé à des gens qui avait un ou deux ans de moins que moi et qu’on avait éloigné de la télévision. Pour tout vous dire, cela dit, moi aussi on m’a éloigné de la télévision… mais je suis celui qui a apporté la nouvelle à la famille.

Si on revient vingt ans en arrière, j’avais huit ans ce jour-là et je m’en souviens parfaitement : on avait fini l’école plus tôt, à 14h au lieu de 16h30 – ce que je trouve complètement aberrant maintenant que je suis prof. C’était une histoire de maîtresse malade, mais moi, ce dont je me souviens surtout, c’est que j’étais bien heureux de pouvoir rentrer plus tôt à la maison, et sans devoir en plus, pour pouvoir regarder mes dessins-animés.

C’est con un enfant, hein ? Tout heureux d’avoir une maman pour venir me chercher, me voilà qui une fois à la maison allume la télévision pour mieux tomber sur les images d’une tour que je ne connais pas spécialement, en fumée. Bon, il n’y a pas de dessins-animés sur France 3 ? Pas grave, je zappe sur M6. Puis sur TF1. Partout, les mêmes images. Et sans mentir, j’étais encore devant la télévision au moment de l’impact du deuxième avion – c’est le moment où j’ai compris qu’il se passait un truc vraiment grave. Jusque-là, je regardais sans trop comprendre les images, une part de moi imaginant plutôt un film, du coup. Par contre, la réaction des journalistes sans voix au moment du deuxième avion – le moment où ils comprennent que c’est la merde pour de vrai, c’est inoubliable.

Je ne sais pas trop s’ils découvraient vraiment les images ou s’ils les avaient gardées de côté pendant le flash spécial. Je trouve ça super violent de découvrir un événement pareil en direct à la télévision – et on se souvient tous du « Génial » de Pujadas qui a défrayé la chronique en plus (sinon, ça a recommencé à tourner sur Twitter aujourd’hui). Terrible, le métier de journaliste. Bref, me voilà devant la télévision pour le deuxième avion… Je suis donc allé chercher ma mère pour qu’elle m’explique ce qu’il se passait – et c’est fou de se dire qu’à l’époque, la télévision était encore le seul moyen d’être informé « en direct » de ce qu’il se passait. Aujourd’hui, les attentats, je les apprends sur Twitter, pas à la télévision.

Le reste de la journée est évidemment moins marqué dans mon esprit, même si j’ai quelques images qui me sont restées tout de même, comme le retour du lycée de ma plus grande sœur. Elle, elle savait très bien ce qu’étaient les tours jumelles, et elle l’avait appris au lycée (la radio, je crois ?). Ensuite, le monde a été suspendu pendant une semaine à la télévision – dont on m’a écarté, donc. J’ai tout de même vu les images des tours s’effondrant, j’ai su pour les autres endroits visés. Je me souviens des conversations d’adultes entre eux – les murmures angoissés vis-à-vis d’une guerre possible (eh, merci Chirac) – et les explications « comme on peut » faites en classe.

À huit ans, j’étais de ceux qui ont eu l’occasion de comprendre ce qu’il se passait sans en prendre pour autant toute la mesure. Les chiffres faisaient froid dans le dos, mais ça ne reflétait aucune réalité. C’est en grandissant que je me suis rendu compte que les tours jumelles étaient partout, tout le temps. J’ai vu le tabou autour des tours disparaître dans les séries – dans Brothers & Sisters ou Fringe notamment ; j’ai vu des films où elles étaient encore là et symbolisaient New-York. J’ai compris qu’elles étaient l’équivalent de notre Tour Eiffel, et qu’en plus, il y avait des gens dedans.

Et vingt ans plus tard, j’ai encore les images en tête, j’ai encore le souvenir de la peur quand j’ai compris et que j’ai appris le mot attentat au même moment. Aujourd’hui, je donne cours à des élèves qui n’ont pas connu ce que je considère comme un point de bascule total dans ma vie – ils n’ont même pas souvenir de 2015 de toute manière. Et surtout, je me dis que si ça a tellement marqué mon existence comme un moment où je quittais l’enfance – un peu comme quand on apprend que le père Noël n’existait pas – alors que je ne suis même pas américain, être américain ce jour-là devait être horrible. Il n’y a pas de mot pour décrire l’indescriptible.

Ne l’oublions pas.

C’est aussi la rentrée sur le blog

Salut les sériephiles,

Je suis sûr et certain que les articles publiés à pas d’heure in extremis avant minuit vous manquaient énormément, alors c’est avec grand plaisir que je reprends mes mauvaises habitudes aujourd’hui. Bon, non, mais que voulez-vous ? Les vacances sont bien terminées, le boulot a recommencé et j’ai passé une bonne journée de six heures face à des élèves. La fatigue s’est fait sentir ce soir quand j’aurais dû écrire mon article et je me suis mis à la place devant un bon film.

Il faut dire aussi que je suis embêté, car j’avais prévu d’écrire un article sur ma rentrée séries, afin de me projeter un peu dans les semaines à venir en vous parlant des séries que je pensais regarder et quand, une sorte de nouveau planning intenable correspondant davantage à mon emploi du temps. La vérité est que ça m’est impossible de faire ça finalement !

En effet, ma rentrée a été un peu mouvementée quand on s’est rendu compte qu’il y avait eu une erreur de répartition de classes me concernant directement, et mon emploi du temps est plus que provisoire avec quelques heures à recaser. L’avantage, c’est qu’en attendant, j’ai quelques heures de moins dans mon emploi du temps la semaine prochaine, yay.

C’est une vraie bonne nouvelle pour vous, parce que vous aurez remarqué que je n’ai plus vu de séries depuis mardi. Grâce à ces heures de moins dans mon emploi du temps, je sais que je vais avoir du temps pour travailler la semaine prochaine, et donc je vais pouvoir profiter un chouilla plus de mon week-end. Idéalement, je vais donc essayer de rattraper les épisodes que je n’ai pas pu voir de What if ?, Riverdale, In the Dark et The Outpost. Après, j’ai aussi The Other Two ou American Horror Story, sans oublier Lucifer, qui m’attendent.

On va voir ce que je peux faire, ça fait trop pour un week-end – surtout que je veux aussi en profiter comme d’un week-end. Et en même temps, à nouveau, j’ai un peu plus de temps pour moi la semaine prochaine. Cela dit, les quelques heures que je gagne vont rapidement être consumées par le travail, les premières copies (dès lundi mouahaha) et le retour du podcast – ben oui, on ne vous oublie pas et on vous concocte un 42e épisode aux petits oignons. Bref, tout s’accumule encore et toujours en cette période, et la fatigue aussi. Il est possible que je me couche avant minuit depuis quelques jours là. J’ai un nouveau rythme à prendre – un rythme étrange où j’ai du temps le matin, mais où je rentre à 18h30. Pas de bol, c’est le soir que je gère le blog en général.

Allez, début septembre, le rythme est toujours un peu fou – et je découvre cette année la joie d’être professeur principal. Croyez-moi, ça ne va rien arranger à mon emploi du temps de me retrouver à gérer vingt-huit élèves. Il paraît que c’est parfois gratifiant… Je l’espère vraiment. En attendant, il va falloir m’organiser petit à petit pour réussir à tout gérer.

J’y arrive depuis quatre ans malgré les déménagements et les changements d’emplois du temps fréquents, alors je ne m’inquiète pas. Sachez juste que la période d’adaptation va se sentir sur le blog. M’enfin, on n’est plus à ça près, on en a vu d’autres ! Et puis, il n’y a que les plus fidèles d’entre vous pour s’en rendre vraiment compte, je crois.

Allez, bonne nuit et désolé pour cet article qui part dans tous les sens, il est tard. Enfin, il est tôt par rapport à mes horaires de la semaine dernière, bien sûr, mais mon réveil était il y a un peu plus de seize heures. Promis, je reviens dès que possible avec plus d’infos sur mon emploi du temps global et mon planning séries !

Et de quatre !

Salut les sériephiles,

Déjà quatre ans que je commence quotidiennement un article ici avec ces mots ! Comme chaque année, je me sens obligé de faire un article pour célébrer cet anniversaire, parce que ça a donné une deuxième vie au blog de me lancer dans ce projet et parce que… je suis content de moi, tout simplement. Écrire ces articles quotidiens était une sorte de défi que je m’étais lancé à moi-même avec l’objectif de tenir un mois, alors quatre ans ! C’était inimaginable.

Pour être tout à fait juste, il y a eu deux petits fails avec une publication le mauvais jour, ce qui fait que ça ne fait que 537 jours d’affilée qu’il y a un article (au moins) publié sur le blog… mais tout de même, je considère que ça fait quatre ans que je tiens mon défi, et j’en suis content, parce que ça me demande une rigueur dont je ne me savais pas capable. Plus qu’à trouver la même volonté pour le sport ou mes résolutions non tenues de début d’année.

En revanche, je rencontre un problème avec le reste de cet article : il va être difficile de ne pas répéter ce que j’ai pu écrire les années précédentes… à commencer par un immense MERCI à chacun d’entre vous – ceux qui lisent ces lignes comme ceux qui ne les lisent pas mais en ont lu d’autres sur les quatre dernières années. Il est évident que sans lecteur, j’aurais fini par me lasser, mais avoir l’opportunité de discuter en commentaire (ou sur Twitter) est toujours un plaisir ! Bien sûr, le mois de juillet qui s’achève montre une sacrée baisse de l’activité en commentaire, mais elle accompagne une baisse de la publication des articles et est assez logique avec la période de vacances.

Et moi, je n’en prends jamais de vacances sur ce blog ? Comme chaque année, je me pose la question, c’est vrai ; mais j’ai peur de ne jamais reprendre si je devais m’arrêter pour une courte durée. Cette année, on a dit adieu aux TFSA faute de temps le vendredi. C’est dommage, tout de même, et ça fait que je me suis retrouvé parfois dans des positions improbables pour publier les articles à temps. Eh, j’ai fini un de mes articles à la va-vite dans une voiture me menant à la cérémonie de mariage que j’organisais il y a deux semaines. Et ça ne m’a pas empêché de gérer comme je pouvais d’autres petits soucis d’organisation en même temps 😉

Je crois que c’est l’anecdote la plus marquante de cette année pour les 500 mots. Quant aux TFSA, je me dis que ça m’offrira des idées d’articles si j’ai à nouveau des manques d’inspiration en me rendant vers l’objectif des cinq ans… Pas sûr de l’assumer, ce cap !

Cela dit, ça fait un moment que je n’ai plus eu de manque d’idée sur le sujet d’article du jour. Comme vous savez peut-être, j’ai toujours mon agenda pour me dire où je vais avec le blog. Sans lui et sans toutes les habitudes prises avec les RDV hebdomadaires ou mensuels du blog, j’aurais probablement jeté l’éponge il y a un moment.

Pour ne rien vous cacher d’ailleurs, il y a quelques jours, j’ai sérieusement remis en question le temps que prenait le blog, notamment sur mes visionnages d’épisodes ou parfois sur ma vie privée. Seulement voilà, je le fais chaque année et pour le moment, j’ai quand même l’impression de tirer plus de bénéfices que d’inconvénients à écrire quotidiennement.

De là à tenir jusqu’au cinq ans ? Écoutez, on verra bien. Je ne fais pas de promesse, mais a priori, je vais continuer pour le moment. L’avantage d’un blog, c’est aussi que j’en fais ce que je veux : j’ai eu tendance depuis un mois à mettre moins de gif dans certains articles… C’est un gain de temps, j’écris, je publie, hop le tour est joué en quinze minutes, ça change d’autres articles qui prennent parfois une heure (hum, celui d’hier par exemple, le temps de compiler les liens ou les stats quand WordPress rame…). C’est aussi un retour à l’écriture pure que j’aime beaucoup.

Ce que je sais aussi, c’est qu’à chaque fois que je me dis qu’il faut que j’arrête cette partie « 500 mots » et que je me lance sur d’autres projets (un jour, je terminerai mes romans, au pluriel, oui), je finis par avoir envie de poster les stats ou la performance de la semaine, ou les derniers coups, ou les sept clichés, ou… Vous cernez mon problème (ou mon secret de motivation) ? Je me suis piégé tout seul avec le blog, car c’est de la satisfaction immédiate : j’écris, je mets en page, c’est en ligne et j’ai des retours. Avec le temps, en plus, ça se cumule en une belle œuvre, et ça vaut plusieurs romans, facilement.

Pas besoin d’y passer quinze ans avant publication ; je peux même laisser les fautes et les corriger plus tard. Enfin, quand vous me signalez les fautes, merci encore, parce que pour ne pas mentir : je relis rarement avant de publier. Bref, ça ne peut pas s’arrêter tant que j’ai du temps libre cette affaire, et même quand je n’en ai pas, je m’en dégage… Je suis insupportable, je sais, mais certains sont là depuis quatre ans déjà, alors c’est que ça doit aller 🙂

MERCI !