Sept clichés TV sur les profs

Salut les sériephiles,

Je sais bien que ce sont les vacances scolaires, mais il est temps pour moi de publier un article sur les clichés télévisuels concernant… les profs. C’est ma profession après tout, alors je suis bien placé pour m’énerver chaque fois qu’il y en a qui passent à la télévision. C’est toujours du grand n’importe quoi, en France comme aux États-Unis.

1. Les profs n’écoutent pas les bavardages comme dans Buffy
S’il y a bien un truc pour me choquer dans toutes les séries, c’est ce cliché là qui est évidemment complètement mensonger et FAUX. Désolé, mais dans une salle avec trente personnes, on entend très bien les bavardages des élèves, on sait de quoi vous parl(i)ez. Alors quand ça parle démons et vampires dans Buffy, j’ai du mal à comprendre comment personne ne peut réagir en face. Après, c’est Sunnydale, vous me direz.

2. Les classes sont silencieuses (et peu nombreuses) comme dans PBLV
Cette série est, pour le coup, un vrai cas d’école : je ne comprends pas pourquoi on nous fait croire qu’une prof comme Blanche Marci a de l’autorité face à des lycéens quand on la voit « s’énerver » pour rien et être injuste avec tous ses élèves en permanence. En vrai, elle serait vite bordélisée. Et ne me lancez pas sur Terminator – autant j’adorais la version 1 de Coralie, autant ses méthodes sont loin de faire d’elle une enseignante qui serait vraiment respectée. Bref, le silence dans les classes de cette série est artificiel. Et c’est un peu pareil dans toutes les séries. Il y a trente personnes, bien sûr qu’une classe n’est jamais parfaitement silencieuse – c’est FAUX. (Je vous rassure, on a du silence quand même sur une heure de classe, mais à en croire les séries, c’est PERMANENT et il n’y a que les héros qui bavardent ; sans être entendus donc ??).

3. On ne peut rien faire pour les élèves qui se sabotent comme dans Trinkets
Il y en a eu, il y en a et il y en aura d’autres : des élèves qui ont tout pour réussir mais qui se laissent déborder par les émotions et la vie perso. C’est bien dommage, mais on n’y peut rien, nous ne pouvons rien faire pour eux, c’est comme ça. Ce cliché est assez VRAI. On met plein de choses en place pour les récupérer et les faire travailler, évidemment, mais face à trop d’élèves et bien, nous sommes parfois débordés.

4. Nos vies perso ont un impact sur les cours comme dans Teachers
Ai-je vraiment envie de prendre cette série comme exemple ? Ma foi, il n’est pas plus mauvais qu’un autre cet exemple, et la réponse est que c’est VRAI… mais pas autant que ce qu’on voit dans cette série. Concrètement, dans la sitcom, les profs changent totalement le contenu du cours par rapport à ce qu’elles vivent… Ce n’est pas comme ça que ça se passe, fort heureusement. En vrai, disons qu’on peut voir un film qui nous fait modifier une partie du cours pour ajouter un exemple, que si on est énervé ou fatigué, ça risque d’impacter notre manière d’enseigner et que si une guerre éclate, ben oui, on répondra comme on peut aux questions des élèves. Ouais, j’ai hâte de la rentrée là…

5. Les profs demandent du matériel improbable comme dans Fais pas ci, fais pas ça
Je sais, je ressors toujours le même exemple, mais il faut bien reconnaître que si j’essaie de simplifier au maximum ma liste de matériel, j’ai été confronté à des parents me disant qu’ils ne trouvaient pas forcément le cahier que je demandais. Personnellement, tant que les élèves ont de quoi écrire et conserver les cours, j’ai tendance à dire que ça me va – mais j’observe que ceux qui ont ce que je demande sont souvent parmi les meilleurs, dingue, non ? Ce cliché n’en reste pas moins VRAI.

Voir aussi : Sept clichés TV sur… La rentrée scolaire (#2)

6. Les profs n’ont pas vraiment de compétences comme dans Riverdale
Être passé par le lycée de Riverdale avant est la seule compétence requise dans cette série pour devenir professeur. Ce n’est pas exactement comme ça que les professeurs sont recrutés, et heureusement. J’aurais tendance à dire que ce cliché est donc FAUX, même si j’ai eu à croiser des contractuels qui n’étaient vraiment pas au niveau supposé pour enseigner. Mieux vaut quelqu’un que personne paraît-il. De là à avoir des collègues dignes des profs de Riverdale ? Jamais ça ne m’est arrivé, et heureusement !

7. Les profs font des fautes au tableau mais les élèves corrigent comme dans How I met your mother
Cette scène avec le premier cours de Ted à la fac qui est une catastrophe puisque le doute survient sur l’orthographe du mot « professeur » est une des scènes qui me revient le plus souvent en tête depuis que j’enseigne. Et autant je dis tout le temps aux élèves que oui, on peut faire des fautes et qu’il ne faut pas hésiter à nous corriger, autant je vous assure que faire comme dans cette scène, ça ne marcherait pas, c’est FAUX. Le doute qu’il exprime dans cette scène ? Tout le monde le verrait et réagirait. Ce serait le bordel, si vite. Bref.

Beaucoup de vérités finalement par rapport à d’autres sujets… mais quelques erreurs aussi, heureusement !

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Sept clichés TV sur… les bars dans les séries !

Salut les sériephiles,

Oui, il n’y a pas eu d’article du jour hier sur le blog, et c’est une catastrophe industrielle ce caillou dans mon rouage bien huilé. Désolé ! On verra si j’ai de quoi en écrire deux aujourd’hui ou demain pour compenser.

La faute à une envie d’un apéro bien mérité après une semaine compliquée – et un apéro qui s’est prolongé. Et alors que les bières s’enchaînaient, je me suis rendu compte qu’il fallait que je rentre écrire un article sur les clichés TV concernant les bars. DINGUE : je ne l’ai encore jamais fait ?

Il y a tant à dire… mais je suis rentré après minuit, et paf, c’était trop tard.

  1. Personne ne finit jamais son verre, comme dans toutes les séries

Oui, bon, ce cliché-là, je suis sûr qu’il en a déjà été question quelque part sur le blog, mais bordel, il est tellement FAUX que je ne pouvais pas y couper, je crois. C’est dingue de se dire que dans tous les films et séries les verres finissent toujours pas rester à moitié plein, et si je vois le verre dans ce sens, c’est parce que je sais ce que coûte un cocktail dans un bar de grande ville (au hasard, Paris) et bordel, ces prix, quoi, je vide jusqu’à la dernière goutte mon verre moi. Les personnages, eux, ne boivent pas si souvent que ça et le verre ou la bouteille reste désespérément plein.

  1. Les personnages se rendent toujours dans le même bar, comme dans Supergirl

Un des clichés les plus fréquents est tout de même de voir les personnages se rendre toujours dans le même bar. Dans cette série, c’est parce que c’est un bar assez ouvert d’esprit avec les extraterrestres. Dans d’autres, c’est parce que l’appartement des héros est au-dessus du bar ou parce qu’il est en face du travail… Et genre, je comprends la facilité que ça représente, mais c’est quand même vachement FAUX comme cliché de se dire que 100% des soirées de certains héros habitant au-dessus se passent dans le bar du dessous. En près de trois ans, j’ai dû aller deux fois dans un bar de ma rue, tout de même. En revanche, il y a du VRAI tout de même dans ce cliché : quand on a des bons souvenirs quelque part et qu’on y est bien, on a tendance à y retourner… Quitte à être déçu que ça vieillit mal (je suis encore en deuil là-dessus).

  1. Les personnages ne restent pas assis, comme dans Grey’s Anatomy

Bien sûr, il existe des bars dansants (ou en tout cas, ça existait avant le Covid) où il est bien logique de ne pas être assis, mais je remarque tout de même qu’il y a plein de bars qui existent et dans lesquels les héros passent plein de temps à faire autre chose qu’être assis. Billard, fléchettes, boissons à commander au bar… Toutes les excuses sont bonnes pour créer du mouvement dans ces scènes. Par contre, perso, dans tous les bars que je fréquente, 95% du temps passé est passé assis à une table quoi. Bref, ce cliché est FAUX.

  1. Il est facile de draguer, comme dans Station 19

Une nana jolie au bar, et hop, l’affaire est pliée. Pardon mais non ? C’est FAUX. Je ne dis pas que c’est impossible, loin de là, et il y a plein de bars qui permettent effectivement la drague facile, mais dans les séries, c’est toujours BANCO. Une scène suffit : le héros rencontre un personnage et deux scènes plus tard, ils ont couché ensemble déjà. Deux saisons plus tard, c’est le mariage. Affaire pliée et réglée. Je dois manquer de gens fun dans ma vie : je ne connais aucun couple de mon entourage qui se soit rencontré de cette manière. Après, ça mérite presque un article sur les relations amoureuses dans les séries, ou les clichés des rencontres amoureuses…

  1. Les personnages ont leurs petites habitudes de consommation, comme dans How I met your father

Allez, c’est en pensant à l’épisode 2 de cette série que je me suis dit qu’il y avait de quoi écrire cet article de toute manière. « The usual ». Combien de fois entend-on des héros de séries prononcer ces mots comme commande dans les restos et bars ? Je suis trop radin pour pouvoir dire ça car c’est rare qu’un serveur me voit assez pour me reconnaître et retenir ma commande… mais ce cliché reste VRAI malgré tout. Peu importe où je suis, j’ai mes petites habitudes côté consommation, parce qu’il y a des choses que j’aime plus que d’autres. Bref, cuba libre, piña colada, venez à moi ! Avec modération, bien évidemment ;

  1. Il y a plusieurs soirées en une seule, comme dans Mixology

Qu’est-ce que j’adorais cette série ! Ce n’est toutefois pas la seule à nous révéler qu’il peut y avoir plusieurs soirées en une seule dans un bar : parfois, les personnages se séparent et chacun vit alors sa vie sans se soucier des autres. Parfois, c’est juste le mouvement naturel des arrivées et départs des autres personnages qui provoque ça. Par contre, dans tous les cas, qu’est-ce que c’est un cliché VRAI : si l’apéro dure une heure ou deux, OK, il n’y a qu’une soirée. Mais dès que vous passez beaucoup de temps dans un bar et que vous êtes plus de deux, il y a tout de même plusieurs moments bien distincts. En revanche, dans la colonne des FAUX concernant ce cliché, il n’y a jamais de fumeurs dans les séries récentes. Ce serait trop chiant d’envisager un espace extérieur dans le budget ?

  1. Payer est en option, comme dans How I met your mother

J’ai contourné ce cliché plusieurs fois dans l’article parce que je voulais finir dessus, mais bordel, avez-vous vu le prix des consos dans les bars ? Comment font-ils pour avoir le salaire qu’il faut pour y être plusieurs soirs dans la même semaine ? Et au-delà de cette série… c’est tout de même dingue de se rendre compte qu’il est très rare de voir les personnages payer ce qu’ils boivent. Passer la commande, c’est un énorme classique, la payer, c’est plus aléatoire. Cela doit aider à revenir plus souvent et être reconnu des barmen, après. Désolé, ce cliché est donc FAUX, de même que c’est faux de les voir avoir l’appoint pour les consos quand ils paient finalement.

Et c’est quoi son excuse aujourd’hui ?

Salut les sériephiles,

Toujours pas de critique, toujours pas d’article avec la suite du top et à peine un article du jour, de 500 mots quand même, faut pas abuser. Cette semaine se termine vraiment en toute petite forme, avec encore moins de choses que les semaines où je vais sur place au travail. C’est que le télétravail s’est bien porté, c’est que la troisième dose de vaccin est passée par-là (avec très peu d’effets secondaires) et c’est qu’on termine ce soir le week-end marathon de Noël.

La bonne nouvelle, c’est qu’il s’est passé quelques petits trucs qui verront naître à terme de nouveaux articles sur le blog. La mauvaise nouvelle, c’est qu’en attendant, ben il ne se passe pas grand-chose ici. On va se concentrer toutefois sur le positif, comme d’habitude : j’ai pu, pendant que je préparais les toasts, blinis et autres réjouissances du réveillon, continuer enfin mon rewatch de The Magicians. Je ne vais certainement pas terminer la série avant le 31, mais au moins, ça avance et je vais pouvoir rédiger un article sur la saison 3. Encore faut-il faire celui sur la saison 2, je sais.

Toujours concernant cette série, j’ai reçu pour Noël en cadeau un joli comics retraçant l’histoire de l’Alice des romans, j’en parlerai donc tout prochainement. Oui, j’ai quasiment fini ma lecture en moins de 24h, mais eh, c’est une bande-dessinée, ça se lit inévitablement vite (quoique, moins que je ne le pensais a priori, et tant mieux).

Du côté des cadeaux, je n’aime pas trop m’étaler sur le sujet, mais j’ai été encore cette année très gâté, et notamment par quelques-uns d’entre vous, alors merci, c’était super plaisant d’avoir des petits paquets à ouvrir le 25 au matin. J’ai pu compléter l’air de rien ma collection de DVDs Orphan Black et j’ai eu pas mal de lecture, de bonnes nouvelles et des heures de divertissement en perspective. Plus qu’à trouver du temps pour ça.

Du temps, qu’est-ce que ça manque sur cette fin décembre ! Aujourd’hui, j’ai percuté que si on était le 26, cela signifiait aussi que la nouvelle année approche. Qui dit nouvelle année, dit nouvel agenda. Je ne vais pas vous mentir : j’ai un peu délaissé celui de 2021 au cours de cette semaine de vacances, petite aversion de le voir à force de noter des choses dedans ce mois-ci… J’espère que ça ne me fera pas cet effet pour 2022.

En plus, en 2022, je vais innover un peu : il est trop tard pour recevoir à temps mes carnets habituels, pris sur Redbubble. Qu’à cela ne tienne, mon agenda 2022 sera un carnet plus basique, sur lequel viendra se poser un sticker. Pour le reste, je vais reprendre mon organisation habituelle je pense, car elle fonctionne bien. J’ai toutefois une centaine de pages en plus, donc j’ai réfléchi une bonne partie de la journée à des pages un peu plus Bullet Journal. J’ai hâte de m’y mettre plus concrètement demain, même si ça signifie aussi que je vais encore prendre du retard sur le blog.

On n’est plus à ça près, et au moins, je rattrape les vlogmas de Ludo pour compenser. Vous voyez ? Il y a toujours du positif. Et il y en a plus cette fois-ci par rapport aux fois où mon excuse pour ne pas avancer les séries est d’avoir été occupé à bosser. Cette fois-ci, j’étais occupé à bouffer et festoyer, mais aussi à préparer des petits trucs qui aideront le blog sur du plus long terme. C’est quand même plus joyeux !

Sur cette note positive, il me reste donc à vous souhaiter à tous une joyeuse nuit… Mais aussi à souhaiter à nouveau un joyeux anniversaire à Morgane. N’hésitez pas à lui souhaiter si vous passez sur Twitter 😉

Sept clichés TV sur… Les courses de Noël

Salut les sériephiles,

Joyeux Noël à tous ! Encore. Désolé pour hier soir, je me suis laissé déborder par l’organisation du réveillon hier, ce qui fait que je n’ai pas pu publier l’article que j’avais prévu et commencé : celui-ci, tout simplement. Voici donc ce que vous auriez dû lire hier :

1.Personne ne fait les courses comme dans How I Met Your Mother
C’est un truc que j’avais déjà relevé dans de précédents articles, il me semble, mais c’est quand même merveilleux le monde des séries où il suffit de changer d’épisode pour que d’un coup tout soit décoré et prêt. Personne ne semble avoir à faire les courses pour de la déco, des cadeaux ou de la bouffe. Et ça, vraiment, c’est un cliché on ne peut plus FAUX. Enfant, j’avais envie de croire que tout ça était simple, mais à la vérité, même en faisant beaucoup de courses en ligne (les joies de la livraison simplifiée en région parisienne), on finit toujours dans les magasins à un moment ou à un autre.

2. Quand on les fait, la liste n’est pas vraiment prête à l’avance, comme dans Fais pas ci, fais pas ça
Autre truc fascinant dans les séries quand il s’agit d’aller faire les courses, les personnages semblent avoir une liste hyper approximative de ce dont ils ont besoin, même pour un repas de réveillon. C’est apparemment une fois dans le magasin qu’il leur vient l’idée de réfléchir à ce dont ils ont besoin… Et là pour le coup, le cliché est tellement FAUX que personne ne peut y croire : déjà en temps normal, on fait une liste pour ne pas passer cinq heures dans le magasin, mais dans le cadre d’un réveillon, tout est anticipé normalement.

3. On peut acheter son cadeau le 24 comme dans Home for Christmas
Autre exception aux magasins dans les séries, si personne n’y fait de courses de Noël, il arrive parfois que l’on suive les personnages en train de faire des emplettes le 24. Mais alors, le 24 uniquement. Bien sûr, dans cette série de Noël, il y a une raison qui pousse l’héroïne à aller faire ses achats si tardivement dans le mois, mais ça n’empêche qu’elle fait ça sans que ça ne semble poser problème. Du coup, je suis partagé : il est VRAI qu’on peut faire ses courses et trouver un cadeau le jour J… mais pour l’avoir fait le 23 cette année, c’est compliqué quand même de trouver son bonheur.

4. Le père Noël est toujours là pour les courses comme dans Zoey’s Extraordinary Christmas
Les rares fois où nous voyons des personnages se déplacer dans un magasin pour Noël, vous pouvez être sûr et certains qu’ils croiseront un père Noël, s’ils ne sont pas eux-mêmes le père Noël d’ailleurs. C’est énervant comme tout parce que si vous avez des enfants, vous devez savoir que le père Noël est loin d’être toujours là : c’est donc FAUX. Oui, il a son stand, c’est sûr, mais comme c’est un job, ben, inévitablement, les magasins ne le paient pas 24h sur 24h. Seulement, peu importe l’heure à laquelle les personnages passeront, eux, ils auront la chance de voir le père Noël. Et de lui parler sans attendre dans la plupart des cas – ou tout l’inverse si c’est ça l’humour de l’épisode. D’ailleurs…

5. Personne n’achète en ligne comme dans Merry Happy Whatever
S’il est un cliché qui restera toujours FAUX, c’est que le peu de fois où on voit des personnages faire des achats de Noël, que ce soit en déco, bouffe ou cadeau, c’est toujours dans les magasins qu’on les retrouve, même si le centre commercial doit être plein et que ça leur prendra la journée. Bon, c’est logique, ce n’est pas bien passionnant de voir des personnages en train de surfer, je pense… mais tout de même ! C’est trop pratique pour ne pas le faire, surtout dans les séries où les personnages vivent dans une grande ville.

6. On a des idées loufoques et des achats compulsifs à l’approche de Noël, comme dans The Simpsons
VRAI, entièrement VRAI ce cliché, on ne peut plus VRAI : plus Noël approche, plus on a des envies d’achat qui ne s’expliquent pas. C’est parfois logique, cela dit : la pub est partout qu’il est difficile de ne pas penser à certains objets et de ne pas avoir de nouveaux besoins. Si je n’ai jamais été aussi radical que Bart dans le tout premier épisode avec son tatouage, il est bien vrai qu’on ne réfléchit parfois pas assez loin quand on est dans les magasins à l’approche de Noël. M’enfin bon, ne regrettons rien, pas aujourd’hui.

7. D’ailleurs, le 24 est extensible à l’infini, comme dans toutes les séries
Cela ne concerne pas que le 24 décembre, mais toutes les journées sur lesquelles les scénaristes se concentrent ont l’incroyable tendance à être interminables. C’est sûrement pour cela que les personnages ont ensuite le temps de trouver tout ce qu’il faut pour le réveillon au beau milieu de la journée du 24 décembre. Dans la réalité, désolé, c’est FAUX : tu vas faire tes courses le 22 décembre et il y a déjà plein de produits en rupture de stock.

Et voilà donc ce que vous auriez dû lire hier soir si j’avais pris un peu moins de temps à préparer mes toasts et blinis dans l’après-midi. Tant pis.