Shannen Doherty

Salut les sériephiles,

C’est la rentrée et je doute que ces articles continuent d’être quotidiens… mais j’ai préparé celui-ci à l’avance. Il faut dire que ça fait quatre mois (déjà !) que j’aurais dû le publier et qu’il me trotte dans la tête. Malgré tout, les mots me viennent difficilement, parce que je ne sais jamais trop comment écrire ces articles, même si j’ai envie de les écrire.

Shannen Doherty nous a quittés en juillet dernier, emportée par une maladie qui n’aura cessé de la poursuivre pendant des années.

Prue Halliwell

Pour moi, elle restera avant tout Prue Halliwell dans Charmed, cette première série fantastique qui a marqué mon entrée dans un genre dont je ne suis, comme vous le savez, jamais totalement ressorti. J’aime l’urban fantasy, j’aime le féminisme, et je le dois en partie à la série, non ?

Prue n’était peut-être pas la sœur que j’appréciais le plus, mais elle était la force du trio Halliwell, un modèle de ténacité et de courage, et son départ brutal à la fin de la saison 3 a laissé une marque indélébile dans l’histoire des séries… et dans mes souvenirs d’enfant.

Pendant des années et des années, j’ai eu des posters de la série, et donc de Shannen Doherty dans ma chambre ; j’ai pris grand plaisir à revoir la série il y a cinq ans, je sais que je le ferai encore. En vrai, Charmed, c’est la première série qui m’a fait venir sur Internet, c’est l’une des premières sur lesquelles j’ai eu l’occasion d’écrire (ironiquement, j’en parle dans cet article sur… Buffy). Bref, c’est vraiment une part de mon enfance et le drame du départ de Shannen Doherty reste un truc marquant – c’est le moment où j’ai découvert ce que c’était Hollywood, en vrai. Je m’éloigne beaucoup du sujet, cela dit.

Ce look était tellement incroyable, elle dégage tant de puissance !

Prue n’était pas parfaite ; elle était exigeante, parfois intransigeante, mais c’est ce qui la rendait si vraie. Elle ne reculait devant rien pour protéger Piper et Phoebe, qu’il s’agisse de combattre un démon ou d’affronter ses propres peurs. C’est cette dualité qui a fait d’elle un personnage si mémorable : une héroïne complexe, en perpétuelle lutte pour équilibrer sa vie personnelle avec ses responsabilités de sorcière. Et bordel, une icone féministe l’air de rien. Revoyez la première saison où elle refuse de se justifier sur ses plans avec les mecs. Pour l’époque, c’était incroyable d’avoir un personnage si libre et si décomplexée… Et même aujourd’hui, cette liberté semble parfois reculer.

Beverly Hills

Bien des années plus tard, j’ai eu l’occasion de revoir Shannen dans un dernier rôle marquant, dans Riverdale, où elle est apparue pour rendre hommage à Luke Perry, son collègue de Beverly Hills.

Le voir partir si soudainement, c’était déjà un choc pour toute une génération, et le fait qu’elle apparaisse dans cette série pour lui dire adieu a renforcé ce moment d’émotion. C’était l’une de ces scènes où la fiction rejoint la réalité.

Riverdale – S04E01

Épisode 1 – In Memoriam – 15/20 L’épisode est loin d’être parfait, mais je n’ai pas à cœur d’être aussi brutal que d’habitude dans ma critique, parce que Luke Perry est mort tout de même. C’est triste, l’épisode parvient à l’être par touche et ce début de saison est tout particulier, forcément. Il ne donne…

Brenda et Dylan, c’était toute une époque. Ce n’était pas exactement la mienne, mais tout de même, impossible de grandir dans les années 90 sans en avoir entendu parler. Y a-t-il encore des couples aussi iconiques dans les séries de nos jours ? Je n’en ai vraiment plus l’impression, parce qu’il n’y a plus de séries pour ado. En fait, c’est ça, la disparition de Shannen Doherty, c’est aussi la mort d’une époque l’air de rien.

Une personnalité remarquable

Au-delà de ses rôles cultes et des portes qu’elle aurait claquées sur les plateaux, Shannen Doherty, c’était aussi une personnalité remarquable, altruiste et, pour ce que j’ai eu l’occasion d’en voir, sympathique. J’ai eu la chance de rencontrer Shannen en 2017, au Comic Con de Paris. Elle faisait déjà face à la maladie, mais elle ne laissait rien transparaître de sa fatigue. Elle abordait chaque rencontre avec une énergie qui semblait inépuisable, déterminée à ne pas laisser son combat contre le cancer entraver sa passion et ses échanges avec ceux qui l’admiraient.

J’ai pris à cette occasion cette vidéo qui, depuis cinq ans, me rapporte un nombre incroyable de vues sur Youtube… Comme j’avais déjà le blog à l’époque, j’avais eu l’occasion de parler de ces rencontres avec Shannen Doherty et de tout le bien de ce que j’avais pensé de ses réponses – y compris concernant le reboot de la série qui était bien critiqué à l’époque.

Un vendredi au Comic Con Paris (2018)

Salut les sériephiles, J’ai une heure top chrono pour vous pondre cet article du jour et tout irait bien si je n’avais pas prévu un sujet si vaste : le résumé de ma journée du vendredi au Comic Con. J’ai plutôt l’habitude de faire des articles à rallonge, mais on va faire comme si j’allais y…

Un samedi au Comic Con Paris (2018)

Salut les sériephiles, C’est reparti pour un compte-rendu d’une journée au Comic Con, et il paraît que c’est crevant à lire tellement il y a de choses. Comme il y en a encore plus qu’hier, méfiez-vous, vous êtes prévenus. Pourquoi y a-t-il plus ? Parce que cette fois, je n’y étais pas tout seul, j’ai retrouvé…

Un premier hommage

Quelques semaines avant sa disparition, Shannen avait rejoint le podcast de ses anciens partenaires de Charmed, Holly Marie Combs, Drew Fuller, et Brian Krause. Elle avait d’abord envisagé de revoir toute la série avec eux, de replonger dans les souvenirs et de partager cette expérience avec ses amis et ses fans. En début d’année, elle espérait même avoir encore trois à cinq ans de combat supplémentaires face à son cancer.

Malheureusement, son état de santé s’est dégradé subitement, ne lui laissant que le temps de deux épisodes du podcast. Cela permet d’entendre à quel point elle est heureuse d’avoir interprété Prue et à quel point elle avait oublié comment elle était badass. On sait au moins qu’elle est fière de ce rôle et de l’impact qu’elle a pu avoir.

À sa mort, ses anciens collègues et amis lui ont inévitablement dédié tout un épisode de podcast que je vous conseille si vous comprenez l’anglais.

Ce qui me touche le plus dans son parcours, finalement, c’est cette force de résilience face à l’adversité. On l’a connue à l’écran de l’adolescence à l’âge adulte, on peut dire sans trop s’avancer qu’elle a traversé des périodes sombres, mais elle semble être restée fidèle à elle-même, sans jamais renoncer. Je trouve aussi qu’il est marrant (humph, ce n’est probablement pas le bon mot) comme avec du recul ce qu’on appelait un « sale caractère » semble être aujourd’hui la base et comment ce qu’elle réclamait quand elle quittait ses séries n’était peut-être que le minimum syndical. On ne saura jamais vraiment, je suppose.

Une chose est sûre, ça faisait un moment que je ne la voyais plus, mais sa mort m’a rendu triste. Elle méritait largement un article sur ce blog, parce qu’elle a marqué ma vie et que, d’habitude, je fais un article quand c’est le cas.

Un samedi au Comic Con Paris (2018)

Salut les sériephiles,

C’est reparti pour un compte-rendu d’une journée au Comic Con, et il paraît que c’est crevant à lire tellement il y a de choses. Comme il y en a encore plus qu’hier, méfiez-vous, vous êtes prévenus. Pourquoi y a-t-il plus ? Parce que cette fois, je n’y étais pas tout seul, j’ai retrouvé des amis sur place, comme je vous l’avais annoncé dans le programme. Comme d’habitude, la journée commençait assez tôt, surtout qu’il fallait cette fois attendre l’ouverture des portes dans le froid, contrairement à la veille.

Compte-rendu du vendredi

Pas de regret d’avoir eu à payer ma place, et nous sommes rentrés avec Laura et son copain vers 9h45, donc sans avoir perdu beaucoup de temps sur la journée. Les journées sont denses au Comic Con, alors on était bien content de nous !

Après avoir récupéré nos sacs Warner (plutôt Gotham ce jour-là, parce que le sac est quand même plus classe) et surtout nos pins (à la recherche d’Harley Quinn pour Laura), nous avons fait un rapide premier tour – c’était facile, j’ai guidé vers les quelques goodies à récupérer, mais à part les cartes postales Canal, il n’y avait pas grand-chose à se mettre sous la dent.

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Oui, c’est une capture d’écran et alors ?

Quoique : pour se mettre quelque chose sous la dent, il suffisait d’aller en Masterclass pour la projection de Final Space qui se faisait avec un cookie plutôt bon et bienvenue. Enfin, bienvenue, j’avoue que je ne l’ai mangé que le soir en goûter, parce que mon petit déj’ était encore là et qu’il n’était que 10h15, mais ça fait toujours plaisir d’avoir un peu de nourriture gratuite au Comic Con parce que bon, je suis radin et dans tous les salons, la bouffe est toujours super chère. En plus, au Comic Con, elle est à l’extérieure, donc je ne suis pas du genre à craquer pour la malbouffe sur place.

Ce n’est pas le sujet cela dit, parce que je dois dire que j’ai beaucoup aimé le concept de cette projection de Final Space, en VF, avec Baptiste Lecaplain et William Coryn qui ont travaillé sur cette VF. Je n’ai pas bien fait mon travail, parce que je n’ai pas vu la VO que l’on m’a vendu de manière très positive, donc il est dur de comparer. Cependant, j’ai beaucoup aimé la VF, fait rare pour être souligné : on sent une réadaptation du matériau d’origine, un délire poussé à l’extrême entre Baptiste Lecaplain et William Coryn.

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À eux deux, ils suffisaient à mettre l’ambiance, mais comme en plus, c’est Terry LTAM qui présentait ce panel, on a passé une bonne heure à se marrer. La bonne ambiance était là dès le départ, avec la première story de Baptiste Lecaplain, prenant cours auprès de Terry, puis avec une critique express, radicale et bien sentie de The Walking Dead comme cette série qui est « comme une copine qu’on n’arrive plus à quitter ». Ouep. Beaucoup d’humour, une bonne présentation et ça donnait envie. Pourtant, ce n’est pas trop mon genre à la base, mais pourquoi pas.

Après ce très chouette panel, on a trainé un moment dans la Masterclass pour récupérer une photo avec Baptiste Lecaplain et, surtout, une avec Terry. Les deux ont été super sympas avec nous et c’est franchement cool cette bonne ambiance qui règne toujours dans au Comic Con. Tout le monde y reste assez accessible, même quand il est l’heure d’évacuer la salle et que le panel est terminé.

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Ensuite, j’ai abandonné Laura et son copain pour retrouver Poluss dans les allées du Comic Con. Là, j’ai bien compris qu’on était samedi : il y avait à peu près 3 fois plus de monde que la veille et circuler était absolument impossible. Ajoutons à ça que Poluss ne connaissait pas le salon et se retrouver a été un petit calvaire, mais je pense qu’on a réussi à s’en tirer en moins de dix minutes, à coups de message et téléphone.

Et pour suivre la journée de Laura, c’est par là.

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Le but de tout ça ? Nous rendre à la Grande Salle pour retrouver Shannen Doherty. Deuxième session avec elle pour moi ce week-end là, et cette fois, elle est bien à la hauteur de sa réputation : à peine arrivée, elle veut se faire sa petite story insta et elle invite tout le monde à se lever, histoire qu’on ne voit pas trop que le fond de la salle est vide. Tss.

Plus encore que la veille, les questions du public ne s’autocensurent pas : sa brouille avec Holly Marie Combs, son départ de Charmed, on a le droit à tous les points gênants possibles. Franchement, je trouve qu’il n’y avait pas beaucoup d’empathie de la part du public français : on sait bien qu’après 17 ans, elle ne nous répondra pas. Bon, elle nous a dit quand même qu’un jour un livre serait écrit sur le sujet et qu’en attendant, elle ne dira rien. À la lumière du mouvement #metoo et des fétichismes un peu chelou de Spelling (les trois femmes fortes), il y a quand même des questions qui se posent dans la manière dont elle a présenté ça. On verra un jour, j’imagine, en tout cas, elle semble interdite d’en parler : ça ressemble fort à un contrat de confidentialité, tout ça.

Bon et sinon ? Sinon, elle a fait une petite vidéo qu’elle a envoyé à Sarah Michelle Gellar pour la faire venir en France, parce que quelqu’un lui a demandé de l’appeler. Ouep, j’avoue, j’ai du mal à concevoir le concept du « j’ai payé 22 euros mon entrée pour venir voir une actrice et lui demander d’en faire venir une autre », côté empathie et respect pour l’actrice qui vient des States, je trouve ça moyen. J’en ai parlé à d’autres qui ne voient pas ça comme moi, mais voilà, moi j’ai quand même eu des moments de gêne dans ce panel, pour elle.

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Cela dit, Shannen Doherty a surtout fait preuve d’une capacité assez incroyable à contourner les questions, en se concentrant sur de petits détails de celle-ci pour éviter le point auquel elle ne veut pas répondre. Pas de chance pour elle, Yaële Simkovitch veillait au grain et faisait bien son travail, en revenant toujours à la charge et en rappelant les questions. Quant au panel en lui-même, il était très bien, mais avait le problème de répéter ce qui avait été fait la veille comme il y avait eu hors sujet la veille. Shannen Doherty elle-même s’est retrouvée à beaucoup se répéter et à le dire, « comme je disais hier ». Pas top, ça pour le coup, mais le problème venait de la veille. Et puis, ça ne fait pas mal d’entendre de nouveau une défense du reboot.

Dans tout ça, le panel est passé vite avec quelques vidéos que je prenais, quelques tweets, quelques commentaires et blagues avec Pauline, et puis surtout avec l’arrivée de Dean Cain. Oui, Superman a décidé de rendre une petite visite à ce panel, et c’est très chouette. Cette rencontre n’est pas anodine : les deux acteurs ont partagé l’écran pour quelques épisodes dans Beverly Hills et ça permettait les retrouvailles d’un couple qu’on attendait tous en voyant le planning de ce Comic Con. En plus, les deux acteurs s’entendent super bien – genre, ils ont passé les fêtes de fin d’année ensemble il y a deux ans, parce qu’ils sont voisins. Classe.

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Bref, il a rapidement été temps de se retrouver dans les allées bondées (beaucoup trop bondées) et surtout de retrouver Laura et son copain, qui, heureusement ont eu la bonne idée de se mettre un peu en hauteur, qu’on les repère. Un peu épuisé d’avance par le monde dans les allées, on a décidé de rester là et de manger debout, parce que l’espace détente était déjà pris d’assaut, évidemment.

Cela dit, on était plutôt bien placé pour manger, on avait vue sur le salon, donc on a pu commenter un peu la matinée, les cosplays, tout ça tout ça.

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Et y a quand même des cosplays qui ont la grande classe !

C’était un bon moment qu’on a poursuivi avec l’artist alley et le haut du Comic Con. Le vrai problème, c’est qu’il y avait tellement de monde que c’était dur de se laisser convaincre par les travaux des artistes, faute de pouvoir bien les voir. C’est top quand on les connaît déjà, mais sinon, la notion de découverte des œuvres est loin d’être satisfaisante. Dans le même genre, impossible d’accéder aux animations (box karaoké, box Syfy) sans y passer deux heures d’attente. On est heureusement tomber d’accord tous les quatre pour dire que ce n’était pas ce qui nous intéressait le plus – même s’il y a un regret pour Syfy, j’y reviendrais.

Tout ça a fini par nous mener vers la file d’attente de la Masterclass pour aller « À la rencontre de Summer Glau », toujours avec Yaële Simkovitch. Là-dessus, je vais abréger, j’ai déjà longuement parlé de ma rencontre avec Summer Glau, et donc de ce panel très réussi. Il y a été question de ses séries, de Firefly à Arrow, en passant par Les Chroniques de Sarah Connor. Outre mon article, je vous invite aussi à aller voir le compte-rendu de ce site, avec lequel je me suis associé. Le panel est passé bien trop vite en tout cas, peut-être aussi parce que je filmais (et mon portable a trouvé ça long avec sa surchauffe).

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À la sortie, j’ai retrouvé une autre amie cosplayeuse, à retrouver sur Instagram sous le pseudo @coco_loco_cosplay, qui se baladait dans les allées avec d’autres cosplayeurs. Il y a un petit aperçu sur son insta, n’hésitez pas une seconde à aller y jeter un œil ! Cela faisait un petit moment qu’on ne s’était pas vus, donc on a bavardé en suivant les autres qui cherchaient de quoi craquer.IMG_20181027_185802_186.jpg Ben voui, dans le programme, on avait prévu un grand craquage shopping et d’une certaine manière, il a eu lieu, d’une autre, je ne suis pas reparti avec grand-chose. Craquage ? Ben voui bis, j’ai pris ma photo avec Summer Glau. Pendant ce temps, les autres ont tenté la Syfy Box, mais il y avait déjà trop de monde attendant, donc ça n’a pas pu se faire.

En bref, assez peu de goodies sur la journée, quelques jeux de société, mais pas tout à fait ce qu’on voulait ou attendait. La journée est passée à la vitesse de l’éclair finalement, mais je pense que c’est la foule qui a donné cette impression aussi. Il était déjà temps de dire au revoir à Poluss qui ne restait pas pour la projection. La projection ? C’était soirée Syfy et ça promettait d’être bien avec Marvel’s Runaways, que je n’ai pas eu le temps de voir à sa sortie, et le début de saison 4 de Channel Zero.

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Un avis express ? Runaways est plutôt sympathique, mais très lente à mettre en place. Le casting est chouette, alors je ne dis pas que je ne regarderai jamais la suite… Cela dit, ça ne m’a pas transcendé au point d’avoir envie de me jeter sur la suite. Et je sais que ça ne se voit pas beaucoup, mais ça a été tout le contraire pour Channel Zero : j’en ai adoré le premier épisode de la saison et j’ai hâte de voir la suite, même si je ne sais pas du tout quand je la verrai. Côté négatif, et je l’ai dit dans mon article sur le Serigraphe, je regrette seulement que cette soirée se soit faite dans le froid. Syfy a joué la carte de l’originalité côté goodies, en tout cas, avec un coloriage. C’était original – j’aurais adoré un T-Shirt Channel Zero, mais le financement doit pas être le même chez Syfy que chez Paramount, et c’est déjà très bien d’avoir eu quelque chose, surtout que, cette fois, toute la salle a obtenu quelque chose.

Et puis, ça tuait l’attente avant les épisodes. En revanche, il n’y a pas eu de coupure, même de trente secondes, entre les deux séries et c’était très perturbant de changer radicalement de style – d’une série ado à une scène de cul, il n’y avait que dix secondes, fallait rentrer dedans.

IMG-20181027-WA0014.jpegLa deuxième journée de Comic Con s’est donc terminée et on a repris le petit rituel du samedi soir établi l’an dernier avec Laura en allant au restaurant. Et croyez-moi, les crêpes et le cidre étaient bienvenus après une journée comme celle-ci ! Non, parce que quand je dis qu’il y avait du monde et qu’on n’avançait pas dans les allées, ce n’est pas du tout une manière de parler : ça ressemblait à ça le Comic Con cette année. Un peu victime de son succès quand même (et encore sur cette photo, il y a une personne devant moi qui a bifurqué sur la droite au dernier moment, y a un joli espace pile poil devant, on pourrait croire que j’abuse, mais promis, je dis vrai) !

Compte-rendu du vendredi
> Compte-rendu du dimanche
> Compte-rendu de ma rencontre avec Summer Glau
> Compte-rendu des trois jours

Compte-rendu du samedi par Laura

Merci aux équipes du Comic Con, à Yaële et Terry, aux cosplayeurs, à Syfy, aux invités et à tous les amis dans cet article pour cette très belle journée !

Un vendredi au Comic Con Paris (2018)

Salut les sériephiles,

Image result for comic con 2018 parisJ’ai une heure top chrono pour vous pondre cet article du jour et tout irait bien si je n’avais pas prévu un sujet si vaste : le résumé de ma journée du vendredi au Comic Con. J’ai plutôt l’habitude de faire des articles à rallonge, mais on va faire comme si j’allais y arriver. Il est plus que temps pour moi de revenir dessus, ça va quand même faire deux semaines que c’est passé, j’oublie au fur et à mesure. C’est aussi l’avantage de ce type d’article, ça me permet de me remettre dedans !

Comme les autres années, j’ai eu la chance de pouvoir résider à proximité du salon, sans en être tout à fait voisin. C’est donc avec un réveil à 7h20 au beau milieu de mes vacances qu’a commencé mon week-end de folie. Folie ? Oh, il y a eu quelques excès financiers comme je vous l’ai déjà raconté. En même temps, si je prends le problème à l’envers, j’étais en vacances et ça fait quelques mois que je ne m’étais pas payé de vacances. Et un voyage au Comic Con, ça vaut bien un voyage de vacances, non ? Bon, le repos en moins parce que ça fait des sacrées journées.

Comme prévu dans mon planning de la journée, j’ai pu entrer dès 9h30 sur place. L’accès presse est une sorte de St Graal pour ça : pas besoin d’attendre beaucoup dans le froid – même si la gestion de la file d’attente semble avoir beaucoup progressé en quatre ans. Entrer parmi les premiers dans le salon est top : ça permet quelques photos et un tour de repérage express de ce que j’ai envie de faire. Franchement, ça permet aussi de voir tout de suite quels stands vont cartonner : à 9h32 samedi, il y avait déjà une file d’attente pour avoir son totebag Super Nanas au stand Canal, tout est dit.

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De mon côté, j’ai interrompu mon premier tour de repérage en passant au stand Syfy qui a eu l’idée de renouveler son stand cette année. Plutôt qu’un stand avec questions/réponses de la part d’intervenants/du public, on avait droit cette année à une box dans laquelle on rencontrait un « ordinateur », une voix off qui nous posait tout un tas de questions, en nous invitant à nous « lâcher ». Alors bien sûr, quand vous faites ça le vendredi matin sans être encore bien réveillé (après 2h de réveil, OUI) et avec des inconnus, c’est un peu chelou… mais on s’est quand même amusé et ça a permis d’avoir des goodies dès le début de journée et avant même d’avoir récupéré mon sac WB.

C’est malin. J’ai donc enchaîné pour récupérer un sac, avec mon choix se portant sur Riverdale. De toute manière, je ne regardais pas les deux séries mises en avant cette année. Et je regrette, a posteriori, de ne pas avoir mieux sélectionner mon pins dès le premier jour : je n’ai pas eu l’occasion de faire beaucoup mieux les jours suivants. Oui, parce qu’il y a un pins offert avec chaque sac ; cette année c’était un pins sur les super héros DC, encore. C’est probablement ce qui marche le mieux de toute manière ; et puis, on avait les méchants aussi !

Le temps passe à la vitesse de l’éclair et je me suis rapidement retrouvé au Workshop pour assister à une séance sur « La diversité dans les comics ». Franchement, on n’y a pas inventé l’eau chaude, mais la discussion était super sympathique : les intervenants étaient passionnés par leurs sujets, ça se sentait. Leurs sujets semblaient préparés… mais face à un sujet si vaste, il est inévitable que la discussion s’accélère, s’anime, prenne vie par elle-même : je pense qu’une grosse partie était improvisée. Un bon moyen d’assister, en fait, à une discussion entre passionnés. C’est ça aussi le Comic Con.

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J’avais ensuite « deux bonnes heures pour profiter pleinement des stands » d’après mon article programme. Voilà une bonne blague : c’est passé en un clignement d’œil : le temps de récupérer quelques cartes postales gratuites chez Canal, de faire le tour des exposants, de parler un peu avec L’armoire Geek (une excellente boutique Harry Potter – et maintenant Star Wars – à Versailles qui avait son stand à La Villette), de regarder les œuvres des artistes de l’Artist Alley, de jeter un œil à l’expo Walking Dead (mouais, ce n’était jamais que des planches du comics, quoi) et de craquer totalement pour un goodies inutile et hop, il était 13h.

J’ai bien senti que j’avais un peu merdé : je n’ai pas pris le temps de manger et je voulais absolument voir Shannen Doherty, or elle était en masterclass et la salle était toute petite. Cela n’a pas manqué : quand je suis arrivé pour attendre, la file d’attente était clairement déjà beaucoup trop longue. De cette journée du vendredi, je retiens malheureusement une organisation un peu mal gérée des files d’attentes et surtout du planning. La Grande Salle était bloquée pour tout un tas de projections qui ne semblaient pas attirer grand-monde (enfin, si, mais bon, ça ne semblait pas se bousculer non plus) alors que la Masterclass, assez petite, voyait défiler les stars. Et puis, Shannen Doherty était une des têtes d’affiche, évidemment que beaucoup de gens étaient là pour elle.

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Personnellement, j’ai eu de la chance, en arrivant, certes en retard, mais avec de la détermination et un bracelet presse qui m’a aidé à avoir une place dans la salle. Il faut bien que ça serve ce petit bracelet ! Bref, j’ai accédé au panel Charmed un peu grâce à vous, lecteurs, alors merci. Panel Charmed ? Mouais, on a eu un gros hors sujet : il était question de toute la carrière de Shannen, un panel prévu le lendemain… Dommage !

Shannen Doherty est-elle aussi odieuse que le veut la légende ? Dur à dire si je me fie uniquement à la journée du vendredi. La salle était pleine, elle semblait contente d’être là, les questions étaient intéressantes et ce panel était un vrai bon moment. Gros kiff, surtout, lorsqu’elle s’est mise à défendre le reboot qui était hué par des tas de gens dans la pièce. Pour la première fois de ma vie, je me suis mis à comprendre ces cinglés de La bataille d’Hernani s’envoyant des chaises à la tronche parce qu’en désaccord : beaucoup huaient clairement par principe, sans en avoir vu la moindre image et c’est très dommage. Je ne suis pas fan des reboots en général non plus (et je suis hyper énervé par l’annonce hier d’un reboot des 4400 alors que la série n’a jamais eu de conclusion et que les acteurs semblaient vouloir la faire cette saison 5), mais il faut laisser une chance, je trouve.

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Bref, Shannen Doherty a donc pris la défense du reboot, rappelant à tout le monde dans la salle que les audiences n’étaient pas mauvaises, que ça permettait à trois actrices de jouer, que ça offrait un job à deux cent personnes et surtout, surtout, que tout ça, c’était grâce aux fans de Charmed. La réponse était parfaite – même si on a tous oublié la vraie question qui a été posée (serait-elle prête à y faire une apparition ?). Pour la première fois du WE, j’avais l’occasion d’observer son habileté à contourner les questions.

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Et la pauvre, elle a eu de quoi faire niveau contournement de questions et problèmes, dès le vendredi : il y avait encore des fans pour lui demander pourquoi elle avait quitté la série… Oui ben vous vous doutez bien que si ça fait 17 ans qu’elle n’a pas répondu, elle ne nous le dira pas là, hein ? J’étais un peu énervé par certaines questions du genre, c’est de la perte de temps et à part l’irriter, je ne vois pas l’intérêt. Vraiment.

En tout cas, à la diffusion du générique, il a été assez clair qu’elle était énervée après Holly Marie Combs, au point de refuser de regarder l’écran hein, et elle a ri quand quelqu’un a hurlé son amour pour Alyssa Milano… le respect est mort, vu les rumeurs de dispute entre les deux, hein.

 

Beaucoup d’autres choses à dire probablement, mais je n’ai plus le temps alors je passe à l’après panel : une heure et quart d’attente avant le panel Harry Potter ? Easy. J’ai enfin pris le temps de manger à plus de 15h, alors que la gestion des files d’attente n’était toujours pas optimale. Il y a eu du progrès pendant le panel Shannen Doherty, mais la rumeur s’est aussi propagée qu’il fallait être là en avance, et les gens pour le panel HP étaient là avec deux heures d’avance.

IMG-20181026-WA0002Tout s’est bien passé pour moi malgré tout, j’ai eu pile le temps de manger et d’enchaîner à 15h45 avec le panel, en compagnie des acteurs incarnant Goyle et James Potter. Comme souvent dans ce genre de panel, c’est surtout l’occasion de se retrouver entre fans et on n’apprend peu de choses – si ce n’est que Goyle aurait pu être Dudley. Mouais. Les acteurs eux-mêmes semblent fans (ou pas, pour James Potter très rouillé sur ses formules), se rencontrent pour la première fois, mettent une bonne ambiance et se prêtent au jeu des questions. Le tout était mené par Yaële Simkovitch, qui a l’art de choisir les bonnes questions, même sur des petits panels comme ça.

Il était question d’Harry Potter avec des acteurs ayant des rôles pas trop énormes, l’angle d’attaque qui consistait à leur demander quels pouvoirs ils aimeraient avoir était bien trouvé, je trouve. Encore un bon panel, donc, et l’occasion, à la sortie de la salle, d’avoir l’acteur incarnant James Potter qui me dit merci de le laisser passer. OUAIS Y A LE PAPA D’HARRY QUI M’A PARLÉ ! DSC_0220Merci l’Armoire Geek (et dire que je n’ai même pas été les voir ensuite en dédicaces – je sais bien qu’ils sont payés comme ça, mais y avait Summer Glau à côté, hein, tout est dit).

Il me restait alors une bonne heure pour refaire un tour, mais vous aurez compris que le temps passe vite dans le salon ! J’ai été assez content d’enfin croiser Yaële en vrai – je veux dire, ça fait quatre ans que je suis ses panels et son compte Twitter (et sa chaîne Youtube, j’en reparle vite), alors c’était cool d’enfin se parler. Même qu’elle voyait qui j’étais, ehe ! Après quelques remerciements de rigueur, j’ai repris mon programme de la journée et j’ai flâné dans les allées, en donnant aussi la carte de visite du blog à quelques personnes avec qui je parlais.

De 18h à 19h, j’envisageais un panel de plus, mais finalement, je ne m’y suis pas rendu… À la place, j’ai craqué pour l’attente du sac Super Nanas (qui me sert aujourd’hui de photo de profil Twitter, oui). DSC_0461Est-ce que c’est un peu con de perdre une heure pour ça un jour de Comic Con ? Probablement. Est-ce que je suis heureux de l’avoir ? Totalement. En plus, il paraît que la ressemblance avec moi est flagrante (et je ne sais pas, je l’ai bien pris sur le moment, mais après coup, et si ce n’était pas un compliment ?).

Qu’importe ! C’est sans regret, à part celui de ne pas avoir eu l’occasion de répondre à des questions Prison Break : je n’ai pas eu les goodies qui étaient pourtant distribués gratuitement, et ça me rend triste. Mais bon, j’avais déjà fait le plein de goodies après tout.

Et ce n’était même pas terminé ! En effet, j’ai enchaîné (encore, oui) avec la projection à 19h du film Overlord par Paramount. Cela m’a permis de gagner un t-shirt, même si la distribution de ceux-ci étaient un peu chaotique. Les petits pots étaient mis dans les grands avec des « soldats » pour mettre l’ambiance. Malheureusement, ça n’a pas trop pris sur moi (et sur beaucoup j’ai l’impression), mais il y en a quand même qui se sont mis à accepter de faire des pompes pour un t-shirt à l’effigie du film. Eh beh. J’étais content d’en avoir récupéré un avant qu’ils aient cette idée – mais de toute manière, avec mon entorse du pouce, j’aurais eu de quoi négocier si on m’avait demandé d’en faire mouahaha !

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Le film ? Je ne sais pas pourquoi on me l’avait vendu sur Twitter comme une suite de Cloverfield. Ce n’est pas du tout le cas !

C’est simplement l’histoire de soldats devant s’assurer de détruire un clocher pour que le débarquement en Normandie puisse bien avoir lieu à la fin de la 2nde Guerre mondiale. Et ça permet toute une histoire de science-fiction (parce que JJ Abrams) autour des expériences scientifiques des nazis. Le film est très sympa, même si bourré de clichés de films du genre. J’en reparlerai à la sortie française du film (le 21), si tout va bien dans mon planning d’ici là.

Pas de cauchemar en lien avec le film à signaler, de très beaux jolis effets spéciaux et une projection très sympa. En revanche, la fin vers 21h40 commençait à être intenable pour le froid qui régnait dans la salle. IMG_20181026_213756_713Si vous faites une projection un jour, pensez à avoir de quoi vous couvrir, les courants d’air dans la Grande Salle à 22h, c’est inévitable et pas agréable. Franchement, ça casse le mythe de Poudlard, ils devaient se les cailler les étudiants, je comprends mieux pourquoi ils ont un chapeau dans leur uniforme !

C’est tout pour la journée du vendredi, mais c’est déjà pas mal du tout non ? Allez, j’ai 15 minutes pour la présentation de l’article maintenant, c’est foutuuu.

(ou pas. J’ai deux minutes de retard seulement, ça va le faire et se rattraper, je serai à l’heure à mon déj. Et j’essaye de vous faire le compte-rendu de la journée du samedi demain !)

Compte-rendu du samedi
> Compte-rendu de ma rencontre avec Summer Glau
> Compte-rendu des trois jours

Compte-rendu du samedi par Laura

Merci aux équipes du Comic Con, à Yaële, aux cosplayeurs, à Syfy, à Canal, à Paramount et aux invités !

Un samedi au Comic Con (programme)

Salut les sériephiles,

Deuxième jour de Comic Con Paris aujourd’hui, deuxième jour de découverte de mon planning, donc. Je suis actuellement (si tout va bien) en train de me dire que « purée, il fait tellement plus froid à Paris qu’à Bordeaux » dans la file d’attente, alors il est temps pour moi de vous révéler tout ce qui est au planning de la journée. Celle-ci s’annonce riche en événements, surtout que je ne suis pas tout seul : je me rends à la Villette avec Laura, son copain et avec Poluss qui nous y rejoint dans la journée. Trop de monde d’un coup, pas vrai ?

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Si tout va bien (bis), on devrait pouvoir commencer notre journée de Comic Con dès 10h15, quitte à se précipiter dès notre entrée en masterclass, en prenant à peine le temps de faire la nécessaire pause récupération de sac.

10h15-11h15 : Warner TV – Final Space (Masterclass)

Si je suis 100% honnête, je crois qu’avec Laura, on a surtout pris la décision d’aller voir cette Masterclass parce qu’elle est présentée par Teddy LTAM, et que Teddy, il est super drôle quand il présente quelque chose. Je ne peux que vous conseiller de traquer son nom sur le planning si vous ne savez pas quoi faire de la journée sur place. Et puis, commencer la journée par une projection, c’est un bon moyen de s’assurer qu’on se réveille petit à petit.

Ensuite, il sera déjà temps de nous séparer – et pour moi de retrouver Poluss – puisque nous ne sommes pas tout à fait d’accord sur la suite du programme, à défaut d’avoir eu la même enfance. Figurez-vous qu’il y en a qui n’ont pas vu Charmed, c’est honteux, vrai ?

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12h15-13h15 : Entretien avec Shannen Doherty (Grande Salle)

Deuxième jour où je devrais apercevoir l’actrice qui a ruiné mon enfance en tournant les talons de sa série – tout ça pour que je tombe finalement amoureux de Rose McGowan, certes. Je suis extrêmement pressé d’y être, parce que c’est aussi l’occasion de retrouver Yaële, une excellente conférencière aux questions toujours hyper précise. C’est simple, ça donne généralement l’occasion d’être dans un salon avec une actrice qu’on aime bien, et la conversation est guidée vers des points intéressants de la carrière de l’actrice. J’approuve, donc !

Il sera ensuite l’heure de manger et de faire le tour du salon à quatre : là, ça sent bon le craquage shopping et autres, mon portefeuille n’est pas prêt. Je peux toujours me calmer avec une conférence parlant de « La lutte contre le harcèlement dans les dessins animés », mais je pense l’éviter faute de temps, et surtout parce qu’il est impensable pour moi de rater l’événement suivant :

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15h30-16h30 : A la rencontre de Summer Glau (Masterclass)

On y retrouve Yaële pour la deuxième fois de la journée, mais cette fois, elle est avec Summer Glau, que j’adore pour ses différents rôles dans Angel, Dollhouse ou encore Sarah Connor. Véritable caméléon, elle reste toutefois surtout connue pour… Firefly ! Cela promet d’être une heure dense et riche en questions et infos en tous genres sur des univers que j’adore.

Et ensuite ? Après le repérage du midi, il sera temps de faire le grand craquage de l’après-midi : tout ce qui aura résisté à nos portefeuilles va se faire avoir au cours d’une nouvelle grosse séance de papotage/marche dans le salon. Et puis, il y a aussi plein d’activités à faire en général. Bref, on aura cette fois le temps d’épuiser tout ce que le salon a à nous offrir.

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19h30-22h : Soirée Syfy (Grande salle)

Pour bien terminer la journée, ce sera un petit épisode de Channel Zero qui nous attendra avec Laura. Après 5 ans, c’est la première fois qu’on va voir ensemble un truc d’horreur, il était quand même plus que temps ! Et puis, même toute la soirée a l’air cool, en même temps, c’est du Syfy et j’ai quand même un porte-clé Syfy, ça veut bien dire ce que ça veut dire : je vais adorer !

Il faudra ensuite… non pas rentrer, non, non, mais aller boire un dernier verre et manger un dernier morceau avant… le changement d’heure. Ouf, une heure de plus pour dormir moins, parce qu’il faudra encore se lever tôt demain pour se rendre au dernier jour du salon !

Bonne balade dans les allées à tous – et pour les autres, promis, je reste présent sur Twitter et Insta.