The Magicians New Class

Salut les sériephiles,

C’est mon anniversaire qui touche à sa fin alors que minuit approche, et il est donc temps pour moi de me rendre à l’évidence, je vais finir la semaine avec un joli nombre de zéro épisode vu. Pas grave, j’ai fait plein d’autres choses. Par exemple, j’ai passé une partie de ma nuit d’anniversaire à lire l’un de mes cadeaux – The Magicians New Class.

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Si vous êtes des habitués du blog, vous connaissez normalement mon amour de The Magicians, qu’il s’agisse de la série ou des romans. Forcément que Lev Grossman décide de poursuive son histoire avec une nouvelle génération d’étudiants de Brakebills des années après les premiers, ça m’intéresse. Quand ça se fait en plus au format comics, ça m’interpelle et ça me donne envie d’en savoir plus. Je l’ai donc mis dans ma wishlist, et bim, Laura a eu la gentillesse de me l’offrir.

The Magicians: New Class : Grossman, Lev, Sturges, Lilah, Bak, Pius: Amazon.fr: LivresPour mes 29 ans, ma première lecture fut donc la compilation en un album des cinq comics de cette histoire. Est-ce que j’ai aimé ? Evidemment. On ne retrouve qu’un seul personnage de la trilogie dans ces comics, le Dean Fogg (qui est blanc dans les romans, ça fait toujours bizarre de s’en rappeler). Celui-ci décide de faire venir des magiciens autodidactes à Brakebills (des hedge witches donc), ce qui n’est pas du goût des étudiants de tradition classique. Pourquoi le fait-il alors ? C’est le mystère que l’on va découvrir progressivement.

Si j’ai adoré me retrouver à nouveau dans l’univers de The Magicians, je trouve que l’intrigue pose quand même quelques problèmes de continuité. On se retrouve ici avec des personnages qui semblent maîtriser la magie quasiment sans effort – les autodidactes entrent directement en troisième année ? C’est un peu étrange et ça donne par moments l’impression qu’il nous manque des éléments, parce que la magie, c’est censé être difficile, épuisant, réservé à une élite qui a vraiment souffert. Là, les nouveaux personnages ont souffert bien sûr, mais tout semble désormais simple pour eux.

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Simple et stupide, parfois : les étudiants ne se posent apparemment aucune question sur l’invitation qu’ils reçoivent sur Brakebills ? Et ils ne veulent pas y aller ? C’est contraire à ce que les romans nous apprenaient tout de même, et ça pose parfois des problèmes de rythme avec des questions qui ne sont pas posées alors qu’elles devraient, et d’autres qui obtiennent réponse quand on ne se les pose pas vraiment.

Toutefois, le simple fait qu’on revienne à Brakebills est déjà suffisant pour me convaincre. En plus, Lev Grossman semble avoir à cœur de nous proposer des personnages aussi attachants que la première génération. J’étais assez surpris d’avoir une représentation transexuelle et une représentation homosexuelle en si peu de pages, d’ailleurs. La série était ouverte d’esprit, c’est une évidence, mais les romans étaient plus timides sur le sujet à se concentrer uniquement sur un Quentin plus misogyne que dans la version télévisée. Inévitablement, c’est un peu bâclé parfois parce que le format impose d’aller vite, mais on sent que Lev Grossman avait beaucoup d’idées pour ses nouveaux personnages.

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On retrouve certaines règles, on retrouve le côté imprévisible de la magie, les concepts tordus jamais lus ailleurs et les intrigues romantiques dramatiques qui ont fait le sel du premier tome/de la première saison. Bref, c’est un comics hyper agréable à lire quand on est fan de la série. Je me suis replongé avec un plaisir énorme dans cet univers et le plus gros reproche que j’ai à y faire est simplement que ça s’arrête si vite.

On nous pose les bases d’une intrigue qui devrait continuer bien au-delà de ces cinq numéros… J’espère que Boom Studios redonnera un jour sa chance à cette histoire. Si ça peut se suffire en soi et qu’on nous laisse à notre imagination pour la suite, j’aimerais vraiment une suite.

Voir aussi : Toutes les critiques de la série

Qui sait, pour mes 30 ans peut-être ? GO Lev Grossman, you can do it!

Faith a fait Boom (Studios)

Salut les sériephiles,

Il faut vraiment que je me fasse une raison : quand je rentre chez moi vers 18h après une journée de boulot, c’est trop serré pour que je prenne le temps d’avoir une vie perso apparemment – ou en tout cas, une vie sur le blog. Pas de critique d’épisode ce soir, donc, et j’espère avoir le temps de me rattraper à un moment dans le week-end, mais ce n’est pas gagné du tout avec tout un bingo à pondre à l’arrache samedi. Personne n’a gagné après tout.

Faith (comic) | Buffyverse Wiki | FandomBon, cette intro traine en longueur et en blabla, ce n’est toutefois pas le but de l’article. Non, je suis ici pour vous parler de Faith Lehane, ce personnage que j’adore et qui est à son tour rebooté par Boom Studios, comme tout le reste de la franchise Buffy. Forcément.

Quand j’ai découvert totalement par hasard la sortie de ce comic, j’étais hyper motivé parce que j’adorais l’idée de retrouver Faith dans ses propres aventures. La chute n’en fut que plus dure : apparemment, il s’agit simplement d’un one-shot. La vie est injuste. C’était honnêtement un très bon début de série pourtant, mais comme d’habitude, la chronologie de ce reboot est insupportable.

En effet, le comic débute avant que Faith n’arrive à Sunnydale, alors qu’on l’a déjà vue arriver à Sunnydale et se termine justement quand elle y va, tout en nous révélant au passage un morceau du voyage de Wesley dont on ne savait encore rien (alors qu’on l’a vu partir et arriver à destination) et en se terminant par une « révélation »… qui n’a finalement aucun impact sur le numéro 23 de Buffy, sorti hier. Vraiment, je suis paumé dans ces comics !

Voir aussi les critiques des autres numéros : #1 #2 #3 #4 | #5 #6-8 | #9-12 | #13-17 | #18-22

Boom! Studios Review: Faith #1 - DC Comics NewsBon, en ce qui concerne Faith, c’est un comic vraiment chouette qui propose de s’intéresser de plus près à une grosse part d’ombre de la série d’origine : le Conseil et la formation des potentielles. Oh, on a eu la saison 7 de la série, c’est sûr, mais on a bien compris qu’il s’agissait là de mesures exceptionnelles. Comment ça se passe autrement ? Eh bien, un observateur est chargé d’entraîner une Tueuse tout simplement.

Avec Faith, ce n’est pas si simple cependant, puisque dans ce reboot, l’idée est de faire de Faith le sujet d’une expérience du Conseil. J’imagine qu’à terme, ça justifiera probablement un moment où elle partira en vrille ? En attendant, ça fait un très bon comic où Faith se voit constamment oublier la mémoire et kiffe sa vie au cinéma. Les cinémas me manquent. Une chronologie claire pour ces comics également. On fait avec.

Ce numéro était plein d’humour, finissait bien avec l’introduction d’un méchant attendu et fonctionne comme one-shot (mais il pourrait tout de même se prolonger pour quelques numéros, c’est dommage). S’il arrive après coup, il permet de comprendre un peu mieux certains des comportements de Faith dans les comics Boom Studios, donc c’est plutôt une bonne chose. Les dessins y sont aussi mieux réussis, je trouve, même s’il y a de l’abus sur les cases faisant une page entière.

L’histoire m’a plu, les dessins aussi, notamment le côté noir et blanc de certains passages… On croirait vraiment que je vais enfin raccrocher à ce reboot… Oui, mais non : je l’ai lu après le numéro de Buffy, et je ne vois pas pourquoi ils ont vendu ça comme un très bon point d’entrée dans le reboot pour ceux qui ont raté le coche, parce que si on lit le 23 après avoir lu ça, je pense qu’on ne comprend rien. Il faut revenir au numéro 21 quand Faith est arrivée.

BUFFY THE VAMPIRE SLAYER #23 - BOOM! Studios - Come Innovate With Us.Tant que je suis à parler de tout ça, je vais en profiter pour déjà faire un point sur Buffy d’ailleurs : ça part en cacahuète totale et je ne suis plus trop tout ce qu’il se passe. La fanfiction qu’est ce reboot semble vouloir mélanger absolument tous les éléments de la série d’origine. Elle nous fait donc un melting pot d’intrigues et méchants, tout en proposant ses propres idées. J’aurais préféré qu’on se concentre sur cette Tueuse du passé, d’ailleurs, au moins, ça ne ruine pas de bons moments de la série.

À la place, elle est rapidement reléguée au second plan alors qu’on ne sait toujours rien du plan d’Anya et que Willow devient Dark Willow à cause d’Anya. Dans quel but ? Ca reste confus, je trouve, comme certains dessins parfois. En tout cas, nous voilà donc avec Willow et Xander en grands méchants plus méchants qu’Anya et le Maire ? Ca va partir en vrille cet univers.

J’aime bien, en revanche, ce qu’ils font du personnage de Kendra qui commence à avoir vraiment plus de matière que dans la série d’origine : le coup des trois Tueuses, ça me plaît bien, même si c’est une hérésie. On n’est plus à ça près… Sinon, j’ai vu passer dans les résumés de ce comic le mot « multivers ». J’imagine donc qu’on se dirige vers ce qui a été la fin d’Angel et Spike, mais je suis curieux de trouver quelqu’un fichu de me dire le rapport entre ce numéro 23 et l’introduction d’un multivers. Nous n’y sommes pas encore…

Hellmouth – Buffy/Angel (BOOM! Studios)

Salut les sériephiles, et surtout les fans de Buffy !

Comme promis hier, je reviens aujourd’hui pour vous parler du Mois de la BD qui continue de bien avancer, l’air de rien. Ben oui, je ne regarde peut-être pas de séries ces derniers temps, mais je me rattrape au moins dans mon retard d’un an complet des comics du reboot de Buffy, comme prévu. Si j’ai mis du temps à me lancer dans mon challenge de ce mois, je rattrape peu à peu mon retard, puisque j’en suis désormais à seize bande-dessinées lues pour dix-huit jours… autrement dit, je suis bien parti pour au moins lire tout ce que j’avais prévu. Je vais faire en sorte d’y arriver.

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Pour cette semaine, je débarque donc pour évoquer le grand arc narratif rebaptisé Hellmouth, formant le premier crossover entre les séries Buffy et Angel, sur cinq numéros – et autant de mois. Bon, et comment dire… Ce n’était ce que j’en attendais, et ça me rapporte bien moins de points que prévu. Laissons de côté les points du Mois de la BD, cela dit, histoire de parler vraiment du sujet de cet article…

Hellmouth (1-5)

Je n’ai pas du tout accroché à cet arc qui nous réunit les deux héros que sont Buffy et Angel. Il faut dire que ce n’est pas vraiment surprenant : si j’adore les séries originales, les deux personnages ne sont pas tellement des personnages que j’aime. Là, toute l’intrigue se concentre uniquement sur leurs aventures et les envoient dans la Bouche de l’Enfer, comme l’indique le titre.

Pourquoi je n’ai pas accroché ? Ben… L’intrigue se déroule en parallèle des autres comics, qui eux se déroulent sur plusieurs jours, alors qu’ici, on n’a pas trop idée du temps qui passe. J’ai eu énormément de mal avec les dessins de ces comics… Outre les looks franchement hasardeux (les fringues de Buffy ?), les positions des personnages semblent vouloir être évocatrices juste pour le fun, notamment dans les combats, ce qui n’est pas spécialement digne du Buffyverse, mais bon.

C’est méga douteux les bas résille et la maigreur des personnages… Regardez-moi ce look !

Au-delà de ça, la relation entre Buffy et Angel débute pleinement dans ces comics, sauf qu’avec le reboot et le coup de jeune donné aux intrigues, ben… ça ne prend pas du tout. Je suis team Spuffy, ça n’aide pas, mais là, Buffy et Angel n’ont rien d’un couple et leur duo ne fonctionne pas trop. Les répliques sont drôles, mais la révélation qu’Angel est un vampire met trois plombes à arriver pour être évacué bien trop vite.

Ajoutons à ça qu’une bonne partie des dessins était à mes yeux parfaitement illisible (mais parfois, ils sont super jolis, OK) quand il s’agissait des combats, et ça donne un ensemble assez décevant, avec une fin en deus ex-machina quand des personnages débarquent pour sauver Buffy à dos de créature magique introduite sans explication. Pas exceptionnel, mais j’ai aimé le cliffhanger final qui décide de nous informer que Buffy et Kendra (arrivée par-là par un twist scénaristique franchement perché) ne sont pas les seules Tueuses en vie. La Tueuse qui a précédé Buffy est encore de la partie. Ah, ça devrait relancer ce reboot vers autre chose… Non ?

Buffy (09-12)

Voir aussi les critiques des autres numéros : #1 #2 #3 #4 | #5 #6-8#9-12 | #13-17

Quand je disais que ce n’était pas ce que j’en attendais et que ça m’apportait peu de points, c’est parce que ces quatre comics s’intitulent Buffy… mais Buffy n’y est tout simplement pas, puisqu’elle est dans la Boca del Infierno. C’était particulier au départ, mais petit à petit, on s’y fait et le flambeau est repris agréablement par Willow, Xander (un peu) et… Robin ? Ah.

La Bouche de l’Enfer est ouverte, mais il n’y a pas d’Apocalypse, juste des humains qui perdent de plus en plus leur self-control. Cela donne lieu à un tas de scènes un peu chiante de personnages qui s’engueulent. C’est sympa au départ quand on ne comprend pas d’où les ruptures sortent (notamment Willow/Rose, c’était infernal de rendre Willow aussi chiante), c’est lourd ensuite quand on se retrouve avec Giles qui perd ses nerfs ou une dispute Willow/Xander.

Même si certains dessins sont sympas, les traits des personnages paraissent hyper caricaturaux, et le côté « PAS CONTENT » de tous les personnages n’aidait en rien. C’était lourd comme ambiance. C’était le but, OK, mais c’était lourd.

Là aussi, les dessins sont parfois illisibles : j’ai bien cru qu’Anya était Buffy dans un cliffhanger, et je ne comprenais pas. L’arrivée de Kendra se fait donc sur un twist tordu, mais j’aime bien l’idée de voir Robin être un Observateur adolescent. Du point de vue de la série, ça n’a pas trop de sens, mais l’histoire fonctionne plutôt bien. En plus, Kendra débarque pour sauver Rose et Cordelia, alors forcément, je l’aime bien dans cette version.

En revanche, Cordelia, je ne comprends plus rien à cette version du personnage qui accepte de bosser dans un fast-food servant du poisson (du thon !) tout en étant toujours la pimbêche superficielle des premières saisons ET une ado capable de se mettre à taper du vampire en pleine bouche de l’enfer. Wait what ?

Du côté de l’intrigue générale de cet arc, j’ai eu du mal aussi sur la fin. J’adore l’évolution des personnages et je sais que je continuerai de lire juste parce que j’aime ces personnages… mais l’histoire des humains devenant des zombies pour la Mère de l’Enfer, c’était peu engageant. En plus, le sacrifice de Xander, un moment méga important tout de même, a été bien atténué par le fait que je n’ai pas compris immédiatement ce qu’il faisait et ce que ça signifiait pour le perso. Bref, je suis mitigé. Et j’ai perdu Drusilla au passage. Et Jenny qui débarque de nulle part à la fin, c’était chelou. Mais bon !

Angel (06-08)

Voir aussi les critiques des autres numéros : #00 | #01 | #02 | #03 | #04 | #05

Oh, je n’ai lu que trois comics ? J’ai eu l’impression que c’était plus, mais c’est surtout parce qu’on tient là l’intrigue qui me plaît le plus ! En effet, on se débarrasse du personnage titre qui se retrouve en Enfer lui aussi pour ne garder que Fred et Gunn, c’est donc immédiatement un véritable plaisir à suivre, même si les dessins sont franchement immondes par moment (enfin, non, mais juste, ça ne ressemble pas du tout aux acteurs… Après, on s’en fout, je sais bien, mais ça me fait mal parce qu’ils essaient de faire en sorte que ça y ressemble et en fait non).

La série propose sa propre raison à la folie de Fred, et ça marche moyennement, mais j’aime bien la manière dont ça permet à Gunn de devenir allié avec… Spike ! Forcément, l’arrivée de Spike dans cet univers, c’est plaisant ! Et ce n’est pas la seule bonne surprise de ces trois comics qui introduisent également Wolfram & Hart, ainsi que Lilah.

Les dessins sont super chelous… Ont-ils seulement déjà vu Amy Acker ? Et vous, êtes-vous capables de dire qui est Fred et qui est Lilah sur ce dessin ? Le rajeunissement des persos et les traits du dessin… J’ai tant de mal avec ce lifting ! Je souffre des yeux, même si j’aime beaucoup ce reboot.

J’ai beaucoup de mal à voir vers quoi ils se dirigent, mais j’ai hâte de lire le comic suivant, qui intègre définitivement Spike à ses pages. Je suis curieux de voir ce qu’ils vont en faire… J’espère aussi que Lilith restera présente pour la suite des aventures dans ce reboot, parce qu’elle est un personnage créé de toutes pièces dans ce comic – à partir de LA Lilith que tout le monde connaît – que j’aime énormément. Elle a un franc parler et une manière de faire avancer l’histoire qui est agréable.

Voilà, cinq saisons d’Angel résumées en deux bulles.

Vous aurez donc compris que des trois séries à suivre en parallèle avec cette arc Hellmouth, c’est Angel qui a le plus su me convaincre et me séduire… Peut-être que c’est aussi parce que l’intrigue était totalement détachée de ce qu’il se passait à Sunnydale ? L’absence d’Angel n’était pas du tout pesante, surtout que les séries ne font que commencer, alors les relations entre les persos ne sont pas ce qu’elles étaient à la télévision.

Les comics Angel ne font pas semblant sur le sujet et l’assument, contrairement à Buffy : que Buffy pleure le départ de Willow, ça n’a pas trop de sens car je n’ai pas eu le temps de les voir devenir meilleures amies en sept comics. Tout a été trop rapide. À l’inverse, Fred qui craque et fait un câlin à Gunn, son sauveur, après quelques années d’hôpital psychiatrique et même s’ils ne se connaissent que peu, c’était logique.

L’avantage de ces lectures, c’est que ça reste un vrai plaisir de lire les dialogues entre les personnages. C’est bien écrit, tout simplement, avec toujours ces petites piques d’humour qui fonctionnent !

Est-ce que ce reboot vaut vraiment le coup ? Difficile à dire. C’est toujours aussi génial de retrouver les personnages qu’on aime après tout ce temps (même s’il y en a qui sont sous-développés ou laissés de côté en cours de route sans qu’on ne sache pourquoi, genre Joyce ?), mais l’intrigue est clairement bien en-dessous de ce qu’elle était dans la série. Il y a des variations intéressantes à observer en ce qui concerne les personnages, mais c’est dispensable. La qualité n’étant pas vraiment là, je ne pense pas que ça puisse tout à fait convaincre une nouvelle génération de fans… C’est une fanfic de qualité, pour les fans, mais c’est tout. Et c’est peut-être un peu dommage que ce ne soit que ça.