How I met your father – S01E08

Épisode 8 – The Perfect Shot – 08/20
J’ai envie de continuer la série car j’aime les acteurs, qu’il y a des points de Bingo Séries à se faire et que certaines répliques restent suffisamment bien senties pour me faire rire… mais tout de même, ce n’est pas glorieux comme ensemble. Les intrigues ne sont pas crédibles. Je sais bien que c’est une comédie, mais enfin, ça nous prend pour des idiots en permanence, quand les blagues ne semblent pas sortir des années 90. Fou comme l’humour reste sensiblement le même que dans la série-mère, mais sans parvenir à être drôle.

Spoilers

Une soirée de vente aux enchères est organisée par Drew dans son école.

Dua Lipa is a vegan.

Oui, vous êtes bien en train de lire une critique de cette série. Je me suis dit qu’il était temps de la continuer et de me débarrasser de la saison 1. Bon, je n’ai pas le temps de la finir ce soir, mais un épisode de temps en temps ne peut pas faire de mal si ça permet de supprimer une série de ma liste de choses à voir.

L’épisode reprend directement sur ce que je déteste : cette impression que les blagues ont été écrites dans les années 90. Ou par des boomers. Les clichés sur le féminisme ? Quel enfer. Au moins, Sophie mange un fruit, c’est déjà ça de pris : ça me fait un point de Bingo Séries. Sinon, ben, l’épisode reprend la structure habituelle : les personnages sont au bar pour nous réintroduire chacun d’entre eux et les intrigues de l’épisode

Commençons par défaut par Sophie, comme d’habitude. Celle-ci cherche à tout prix à prendre une photographie parfaite pour devenir enfin une grande artiste. Ce n’est pas très réussi comme intrigue, et ça nous mène à une Sophie qui s’éclate une dent en tentant de prendre une photo. On voit clairement le moment où elle va tomber, et… je ne m’attendais pas pour autant à une telle intrigue ensuite.

Elle fait appel à Jesse, allez savoir pourquoi, et il connaît évidemment un dentiste qui peut lui venir en aide. Le problème ? Ils n’ont pas de frics, et ils tombent sur le dentiste le moins cher de New-York. Cela permet quelques gags hilarants sur les artistes ratés de New-York qui se retrouvent tous là. Vous savez ce qu’est le pire problème de l’écrit ? On ne sent pas assez l’ironie dans le mot « hilarants » ci-dessus.

Je trouve ça super triste, en fait, et je ne sais pas, j’ai plus envie d’écrire une critique sur le système de santé américain après un tel épisode. Et puis, le dentiste incarné par un homme bon pour la maison de retraite ? Ahaha. Qu’est-ce que c’est drôle ? Ils ne savent pas quoi faire des blagues, en fait. C’est expédié vite fait, on ne sait pas trop pourquoi, et on enchaîne sur autre chose.

La dent de Sophie est vite réparée, mais vite cassée aussi quand la voiture de Jesse tombe subitement en panne. Allez comprendre pourquoi il ne lui fait pas le coup de la panne au passage. Il n’y a aucune blague sur le sujet, parce que ça casserait le pseudo romantisme de ce moment où Jesse fait comprendre à Sophie qu’il croit en elle en tant qu’artiste.

Il la touche profondément comme ça, et elle parvient à prendre une super photo (selon elle ?) de Jesse en train de réparer la voiture. Bref, tout est parfait entre eux… jusqu’à ce qu’ils arrivent à la soirée de l’épisode, géré par le petit-ami de Sophie.

Lui, il ne croit pas du tout en son art : c’est une passion, pas un métier. Ah, c’est sûr qu’organiser une vente aux enchères dans une école, c’est un vrai métier à côté. Sophie prend mal la réflexion de Drew et son réflexe est… d’en parler à Jesse, évidemment, tout en nous faisant des petits commentaires voix-off parfaitement ridicules. Tout ça mène toutefois au premier baiser entre Sophie et Jesse : c’est fou comme c’est cinématographique entre eux. On y croirait presque, ça donne l’impression que c’était attendu depuis huit épisodes quand mes personnages préférés ne sont clairement pas eux. Et pourtant, j’adore ces acteurs.

En parallèle, Valentina gère tout à fait dans son travail, mais son boss, Fred, continue de la voir comme une incapable et d’être hyper toxique. Etonnamment, j’ai trouvé que les gags fonctionnaient bien dans toute la salle, notamment avec la poupée qui est censée être un moyen d’éviter de parler à Valentina directement. Il y avait un bon humour dans la scène et le surjeu des acteurs fonctionnait mieux qu’ailleurs.

Après, voir Valentina voler un sac à main à son boss pour aller le vendre à la soirée de vente aux enchères ; tout en assurant que personne ne s’en rendra compte mais en laissant l’armoire ouverte ? Cela n’avait aucun sens comme intrigue. Pire, elle revole le sac à main derrière ? Mais ? Certes, il y avait de bons gags, m’enfin, ça donnait l’impression que de meilleurs gags pouvaient être exploités tout de même.

Et pendant ce temps, loin de toute l’intrigue, Meredith débarque chez son ex, et… ma foi, il était temps ! Qu’est-ce que j’adore Leighton Meester ! Et depuis le temps qu’on entend parler de Meredith, j’espérais bien avoir droit de la voir pour au moins un épisode.

Finalement, c’est comme le reste de la série assez décevant : l’actrice est sous-exploitée tout l’épisode et plutôt mal dirigée quand elle se met à enregistrer des bouts de réplique pour les transformer en chanson. Ellen sauve un peu la situation, parce qu’elle a un humour qui me fait rire, mais ce n’est pas glorieux.

L’intrigue ? Meredith a quelque chose à annoncer à son ex, mais le meilleur ami et la sœur de Jesse préfèrent le protéger et faire en sorte que Meredith ne le croise pas, même quand ils la pensent enceinte. Loin d’être enceinte, Meredith a juste enregistré une nouvelle chanson qui s’apprête à être un hit. Hâte d’entendre ça, dis-donc.

NCIS Hawai’i S01E18 (express)

Épisode 18 – T’N’T – 16/20
Si ça ressemblait davantage à un crossover, on sent bien qu’une grosse partie de l’épisode a probablement été réécrite pour gérer les problèmes posés par le covid… La distanciation et les groupes cas contact se font bien sentir dans tout l’épisode une fois qu’on y prête attention. Résultat des courses, je me suis plus concentré là-dessus que sur l’enquête en cours, c’est malin ! Pour le reste, l’enquête était probablement sympathique, mais j’ai préféré regarder à quel point le casting s’éclatait sur cet épisode.

Spoilers

Nick et Jane ont eu un accident de voiture assez impressionnant dans la première partie de ce crossover… Celui-ci n’a pas de conséquence, mais il lance évidemment une grosse enquête.

J’ai beaucoup aimé la scène d’action qui commençait cet épisode, mais je trouve assez abusé de proposer un cliffhanger avec un énorme accident de voiture pour finalement nous donner l’impression qu’il ne servait à rien. Torres et Jane ne sont même pas blessés ? Genre Parker avait une plus grosse cicatrice que Torres dans l’épisode précédent après s’être pris, hors écran, un cadre photo dans la tronche. Faut pas abuser.

L’épisode n’en reste pas moins sympa, mais pas pour son enquête. C’est bien simple, je n’ai pas suivi du tout l’enquête : j’étais là pour les personnages, et ça marche beaucoup mieux que dans NCIS. Nick est donc à Hawai’i pour cette enquête, et il a une super relation avec Jane. C’est rare de la voir comme ça, aussi souriante et bon délire, et j’ai aimé leur délire de T’n’T. Le surnom fonctionne, la dynamique entre eux aussi, la manière qu’a toute l’équipe de chercher ce qu’il s’est passé… C’était efficace.

Et puis, Lucy ? Elle m’a fait délirer tout l’épisode, que ce soit quand elle apprend ce qu’il en est de T’n’T ou quand elle rencontre finalement Jessica. Bien sûr, il n’y avait pas tellement de suspense concernant la présence de Jessica dans l’épisode : elle avait été annoncée comme faisant partie du crossover lors du tournage. Je m’attendais en revanche à une meilleure introduction, ou au moins une scène avec Torres, quand même.

J’ai aussi eu, on ne va pas se mentir, du mal avec les âges de tous les personnages. Jane étant à la tête de sa division et ayant deux adolescents, je l’imaginais tout de même bien plus vieille que Torres – et pourtant, la relation de flirt entre eux est vendue comme une relation d’égal à égal. Avec cette franchise qui a l’habitude de fonctionner par tranche d’âge, j’étais surpris – dans le bon sens du terme – de voir que ce n’était pas le cas.

Par contre, Ernie/Jessica ? Cela sortait vraiment de nulle part. Jessica n’a jamais été aussi geek depuis le début de la saison, alors je ne vois pas pourquoi elle est si à fond quand elle bosse avec Ernie. Qu’il soit fan d’elle, pourquoi pas… mais là aussi, c’est tout de même étrange qu’il se renseigne sur tous les agents de toutes les agences, mais admettons.

Pour le reste, l’enquête permettait tout de même de faire le tour de l’île d’Hawai’i, avec de jolis décors extérieurs tout du long. On peine quand même à comprendre ce que font Jessica et Nick, parce qu’ils ont l’air d’avoir plein de temps libre : il y a déjà une bonne équipe bien complète, et on la complète encore avec des agents d’une autre série et un autre personnage sorti de nulle part.

Oh, et Kasie ! Je ne m’attendais pas à ce qu’elle soit dans le crossover, car je n’avais pas vu qu’elle était annoncée au casting, pour le coup. Cela dit, j’aurais dû m’en douter vu le peu qu’elle avait à jouer dans l’épisode de sa série. Là, elle a une scène qui la met bien en valeur et qui permet à nouveau à Jess de s’éclater : clairement, l’actrice prend son pied dans cet épisode. On ne l’a jamais vue comme ça, mais il est vrai que cette série est plus légère que l’originale. Ce spin-off a moins de pression après tout.

Jessica et Nick qui n’ont pas une seule scène ensemble ? Kasie qui n’a qu’une scène de la soirée, seule dans son labo ? Eh, le covid est passé par là et ça se sent : on sait qu’il y a eu des cas positifs… et on se retrouve très clairement avec deux équipes tout au long de l’épisode. Il faut limiter les cas contacts, j’imagine ? C’était bizarre comme rendu, mais je comprends que ce ne soit pas évident à gérer niveau scénario. La fin d’épisode prêtait à sourire, et à vrai dire, je pense qu’on peut tout à fait passer à côté de ce détail s’en sans rendre compte – mais l’absence d’interaction Jess/Nick, tout de même, c’est trop gros.

Pour le reste, ben tout le monde semblait plutôt à l’aise dans cet épisode et ça fait plaisir de voir les acteurs s’éclater comme ça. Même Parker a eu son occasion de s’éclater… c’en est triste pour le casting de NCIS Hawai’i qui n’a pas eu cette chance. Quant à l’enquête, elle est vite réglée en fin d’épisode et tout est bien qui finit bien.

Qui se rappelle encore de Russian Doll ?

Salut les sériephiles,

J’espérais avoir le temps de commencer la saison 2 de Russian Doll ce soir, mais à vrai dire, j’ai trop de retard dans plein de séries pour avoir vraiment envie de me lancer dedans. C’est tellement fucked up, en plus, je sais que ça demandera toute ma concentration pour l’apprécier pleinement. Une partie de moi se dit que 3h30/4h, ça se trouve rapidement et que je vais me faire la saison sur une seule soirée… une autre partie de moi se dit que c’est tellement lourd que ça risque de terminer en visionnage étalé sur plus longtemps que ça.

Voir aussi : Mes critiques de Russian Doll (S01)

En attendant, si je ne la commence pas ce soir, c’est aussi parce que le dernier épisode de la série que j’ai vu date du 27 mai… 2019. Trois ans entre deux saisons, c’est extrêmement long, surtout pour une série dont les épisodes sont si courts. La saison 1, je m’en souviens vaguement comme d’une aventure bon délire, à laquelle on ne comprenait pas tout mais qui proposait des personnages attachants.

Et si le dernier épisode semblait conclure la série, voilà donc qu’une suite débarquait sur Netflix aujourd’hui. C’est pourquoi j’ai décidé de me pencher un peu sur la fin de saison 1, pour voir de quoi je me souvenais avant de lancer la deuxième saison. Premier point gênant : je ne me souvenais pas du nom de l’héroïne. Il faut dire que Nadia est particulièrement antipathique sur les premiers épisodes, à faire la fête tout le temps et à être détachée de tout – un sentiment accentué par le problème de la boucle temporelle. Nadia est un personnage qui revit en boucle sa soirée d’anniversaire de ses 36 ans, une soirée qu’elle vit particulièrement mal, même si elle est très entourée. Elle adore son chat et ses amis, mais ça ne semble pas suffisant pour lui donner envie d’être heureuse de sa vie. La boucle temporelle est vécue comme une malédiction dont elle cherche désespérément la cause, en vain. Et ça devenait ennuyeux.

Cela tourne mieux une fois qu’Alan arrive dans la série. Je ne me souvenais pas de son nom non plus, mais lui aussi, il revit constamment sa journée, en essayant de maintenir une routine bien moins éclatée au sol que celle de Nadia. Difficile d’oublier l’introduction du personnage et de sa routine, je n’ai jamais vu un acteur se laver autant les dents. Ceci étant dit, ça fonctionnait plutôt bien et je me souviens même de ce qui le lance dans cette boucle temporelle !

Voir aussi : Et si j’étais coincé dans une boucle temporelle ?

Alors qu’il voulait demander la main de sa petite amie, il s’est rendu compte que celle-ci le trompait ; avec un plan cul de Nadia. Dur à encaisser, mais en plus, il a droit de revivre ce trauma en boucle. Bienvenue en Enfer. Toute sa routine millimétrée part en vrille quand il rencontre Nadia, évidemment, et qu’ils comprennent que pour se sortir de la boucle, ils doivent s’accepter et travailler ensemble.

Ce n’est pas gagné : ils se détestent autant qu’ils aiment se faire l’amour, et plus le temps passe, plus la boucle temporelle semble détériorer tout ce qui arrive autour d’eux. Ainsi, des gens disparaissent, des fruits pourrissent sans raison… on sent que le temps presse. A force de chercher, ils comprennent que s’ils s’étaient parlés la toute première nuit, ils ne seraient probablement pas morts. En effet, Alan s’est suicidé peu de temps après avoir croisé Nadia, qui l’ignorait royalement, alors qu’elle, elle s’est fait renverser par une voiture.

Comprenant enfin tout ça et ayant fait le point sur les traumas qu’ils avaient l’un et l’autre, les deux personnages se donnent rendez-vous une ultime fois… pour mieux comprendre qu’ils ne se reconnaissent pas. Chacun se retrouve dans sa propre timeline et doit convaincre l’autre de l’écouter et de le rejoindre, afin d’éviter sa mort. Ils y parviennent tous les deux grâce aux informations récoltées sur l’autre. Dans une ultime scène cryptique, les personnages se rendaient alors, chacun dans un univers, à la même parade.

De là, l’écran séparé redevenait un seul et même écran, suggérant que les deux personnages reprenaient le cours d’une vie normale… peut-être dans la même timeline ? Franchement, la fin était cryptique, et j’espère que la saison 2 l’éclaircira un tout petit plus. Dans tous les cas, c’est une saison qui m’intrigue et que je sais que je regarderai !

NCIS S19E17 (express)

Épisode 17 – Starting Over – 17/20
Si ce n’était pas le crossover que j’attendais et que ça me fait presque regretter d’avoir attendu si longtemps avant de voir l’épisode, je dois avouer que j’ai passé un excellent moment. L’enquête était divertissante et pleine de surprises, je me suis laissé balader tout du long et la structure répétitive fonctionnait malgré tout. Et puis, ça reste un début de crossover malgré tout, ça aide aussi.

Spoilers

Un ancien militaire tombe du haut d’un immeuble. Suicide ou meurtre ?

Le cas tel qu’il est présenté en début d’épisode est un peu surprenant, c’est sûr, mais il n’était vraiment pas ce que j’imaginais. On m’a vendu un crossover avec NCIS Hawai’i, alors je m’attendais tout simplement à un épisode mêlant les deux équipes, mais en fait, c’est censé arriver dans le second épisode… et c’est bien dommage.

Certes, on voit Jane dans cet épisode, mais c’est loin d’être un crossover réussi. On nous balance donc que Jane et Nick ont un passif ensemble, impliquant de la TNT – ou pas. Ils ont aussi une affaire en commun qui recommence à faire des siennes, avec un témoin qui réapparaît après une longue disparition. Il n’en faut pas beaucoup plus pour que Nick passe son épisode à parler de Jane et qu’on nous introduise une relation entre eux digne d’un vieux couple.

Etonnamment, ça fonctionnait plutôt bien de les voir se tendre des perches et se moquer l’un de l’autre, alors que je ne suis pas toujours friand de ce genre d’intrigue. Assez vite, Nick est donc retiré de l’affaire et se rend à Hawai’i pour parler avec son témoin… Ce qui ne dure pas bien longtemps : le témoin se fait tuer et Jane perd le contrôle du véhicule qui se lance dans une suite de tonneaux assez impressionnante. Cela fait un bon cliffhanger.

Avant le cliffhanger, il y avait tout un épisode par contre. J’ai beaucoup aimé l’enquête, en plus. Pour une fois, je me suis laissé balader assez facilement par ce qui était proposé, avec un ancien militaire qui avait plein de choses à cacher : la culpabilité d’avoir provoqué la mort d’une coéquipière, la galère du père qui lui en veut, la seconde femme qu’il avait en parallèle de la première…

Les idées étaient plus bonnes dans l’épisode et je n’ai regretté que sa structure, quelque peu circulaire et répétitive, avec des agents qui tournent en rond en revenant toujours vers le père de la coéquipière tuée. Il n’en fallait pas plus pour que celui-ci redirige l’enquête, à chaque fois. C’est un peu énorme, mais pas autant que l’impression dérangeante d’avoir un épisode d’une ancienne saison recyclée. J’exagère un peu, mais avec la présence de Fornell, j’ai eu l’impression bizarre que Parker était écrit à fond comme Gibbs aurait pu l’être. C’est dommage quand ils ont un personnage original et nouveau d’en revenir à un schéma classique.

Après, il était temps d’avoir le retour d’une psychologue dans l’équipe, et j’ai beaucoup aimé le personnage de Grace. Elle ressemblait beaucoup à Jacqueline dans l’écriture, avec des répliques vraiment sympathiques… Et c’est aussi ça qui donnait cette impression de recyclage. En effet, si j’aimais sa présence, l’actrice choisie et son interaction avec toute l’équipe, avec des liens déjà bien établis grâce à son groupe de parole notamment, il est bien dommage de voir que les scénaristes en sont toujours à se sentir forcés de mettre en place des flirts relous et déjà vu : Grace/Parker, ce n’était pas nécessaire. Le sous-entendu est lourd par contre, on retombe dans le schéma Gibbs/Jacqueline, l’alchimie en moins.

Je préfère largement ce qu’ils nous font avec Jimmy et Jessica. C’est plus discret, mais aussi plus sympathique, car ça ne semble ni lourd, ni forcé et ça revient de manière suffisamment régulière dans la saison pour qu’on sache que c’est voulu. Il faudra voir comment ça se développe par la suite, en revanche. Dans cet épisode, ça donne l’impression qu’ils pourraient rester de bons amis, mais ce n’est pas dans les habitudes de la série. Ils ont en revanche l’habitude de tout nous garder hors écran…

Ce n’est pas le cas dans NCIS Hawai’i, alors je suis curieux de voir ce que donnera le crossover !