Ne changez pas de page ! Vous êtes bien à la bonne adresse… même si les plus observateurs d’entre vous auront remarqué qu’elle a un peu changé au cours de la nuit. Il n’y a pas que la façade qui est refaite sur le site… Une bonne centaine d’entre vous est déjà passée par ici depuis le changement, n’hésitez pas à me laisser vos avis et surtout à me signaler les bugs ! D’autres petits changements sont encore envisageables dans les heures à venir, et je vous parlerai plus longuement demain des choix que j’ai fait pour cette nouvelle version du blog parce que ce n’est pas le sujet de l’article tout de même…
Seulement, en attendant, ne perdons pas trop vite nos petites habitudes et parlons des stats de la semaine dernière où vous étiez un peu moins nombreux à venir. Normal : bonnes vacances à tous ceux qui le sont ! Normal aussi, parce que j’ai trente commentaires qui attendent encore que je vienne les valider… Oups ! Vous aurez compris que j’étais occupé ailleurs, mais j’essaie de rattraper ça au plus vite, parce que ça la fout mal de dire que je n’ai que 21 commentaires publiés cette semaine… pour 22 articles ! Parmi ceux-ci, les plus lus étaient :
Finalement, il n’y a que le Bingo qui date de la semaine dernière et il marque un tout petit début pour l’instant. L’échec de la grille précédente doit avoir entamé la motivation d’un certain nombre d’entre vous… J’espère que ce ne sera pas pour du long terme ! A priori, ça ne devrait pas être le cas, puisque vous êtes nombreux à farfouiller les anciens articles du blog, il n’y a qu’à voir le reste de la liste avec de vieux articles sans cesse remis au goût du jour. On peut aussi jeter un œil du côté des recherches menant au blog pour s’en convaincre : «The CrossingSophie serie » m’a fait hurler, parce que wahou, il y a encore des gens qui regardent la série (et qui ont bon goût, parce que j’adore Georgina Haig).
L’autre point positif pour le Bingo, c’est que vous ne pouvez plus le perdre de vue : il est mis en avant sur la page d’accueil du blog désormais, ce qui fait qu’il n’y a qu’à cliquer sur le logo en haut pour retomber dessus. Je pense que ça soulagera un certain nombre d’entre vous de retomber si vite dessus… J’espère, en tout cas, car c’est une demande qu’on me faisait depuis un moment (ça et la barre de recherche) !
Quand je mets fin à un trauma de plusieurs années chez certains
Malgré ses nombreux égarements du côté des anciens articles, les saisons les plus consultées de la semaine dernière sont-elles des saisons en cours ? C’est ce que nous allons vérifier ensemble tout de suite :
Je vous faisais du faux suspense dans le paragraphe précédent : évidemment que les séries que je regarde en ce moment attirent plus que celles dont l’épisode final de la série continue de rassembler des fans. C’est ainsi sans surprise que The 100continue de prendre le dessus sur le reste des séries du blog… et ce même si j’ai dit que la dernière saison était pour l’instantla plus ratée de la série(par chance avec eux, ça reste mieux que bien d’autres séries !).
À l’inverse, Blindspot se prépare à s’en aller sur sa meilleure saison. Je ne vais pas aller jusqu’à les regretter (quoique, y a une assistante de laboratoire que j’aime beaucoup tout de même), mais ça se souligne, la qualité est vraiment là. Une que je regrette déjà en attendant la saison 3 est en revanche In the Dark dont la saison 2 a réussi à être plus brillante encore que la première. Ses intrigues sont très classiques, mais les personnages sont super attachants et ont des répliques tellement bien écrites que la série illuminait franchement mon vendredi. Avec son départ, je dois dire que mes séries hebdos sont bien peu nombreuses, il ne me reste plus que Perry Mason le lundi là… Il va être temps de me remettre aux rattrapages, donc.
En ce qui concerne Gentleman Jack, ce n’est pas vraiment une nouveauté, mais c’en est une sur le blog, puisque j’ai fini la saison 1 seulement dimanche dernier. Ce sont clairement les critiques des trois derniers épisodes qui permettent à la série d’être là d’ailleurs…
Elle est aussi là parce qu’elle le mérite et est géniale, OK.
Le classement se ferme avec Agents of S.H.I.E.L.D qui, pardonnez-moi le jeu de mot involontaire, fait clairement yo-yo cette saison du côté de vos vues. C’est fort dommage parce qu’elle aussi, elle nous quitte sur une de ses meilleures saisons… On aura l’occasion d’en reparler sur le blog, c’est évident ! En attendant, je vous quitte sur… un article assez habituel. Pas mon meilleur, pas le pire. De toute manière, vous avez le nouvel habillage du blog à explorer et commenter… histoire que j’en sois à 40 commentaires non validés, merci d’avance pour ça !
Épisode 10 – Love You to Bits and Bytes – 20/20 Donnez-moi tout de suite un spin-off de cette série ! L’épisode est génialissime, hyper prenant, grâce au choix qui est fait de se centrer (probablement pour la dernière fois) sur des personnages qui ont fait toute la force de la série, à la fois dans l’humour et dans la qualité. C’était un vrai plaisir à suivre jusqu’à l’ultime rebondissement de l’épisode et je pense sincèrement que la fin de la série ne sera pas à la hauteur de cet avant-dernier volet des aventures de mes personnages préférés. Au moins, on aura eu ces 43 minutes de vrai plaisir !
S’il y a bien une chose qui m’avait fait douter de la survie de Patterson, c’est le titre de cet épisode qui me faisait craindre qu’elle soit de retour une dernière fois dans la série sous la forme de messages codés et de langage binaire la faisant apparaître en hallucination aux personnages. Comme elle est en vie, c’est plus serein que prévu que je peux commencer cet épisode qui débute par une scène mignonne entre Kurt et Bethany.
C’est chou de le voir retrouver sa fille pour un rapide câlin, les scénaristes ne font pas trop mal leur job, là. La scène est vite expédiée, en moins d’une minute, pour en venir à l’affaire qui nous intéresse le plus : il va nous falloir une nouvelle directrice du FBI. Le président nous envoie donc une actrice qui a apparemment décidé de popper dans un maximum de séries que je regarde cet été, dans le rôle d’Arla.
Afrin rappelle tout de même à toute notre équipe qu’il faut toujours arrêter Ivy. Kurt et le reste de l’équipe décident de repartir aussitôt en chasse, même si Rich a ses doutes. La scène prouve qu’il est probablement le plus intelligent de tous, ou en tout cas le plus réaliste : faire tomber Madeline ne veut pas dire qu’ils ne sont plus considérés comme des terroristes.
Il propose de s’enfuir grâce à de l’argent amassé par Boston, mais ce n’est pas exactement ce que nos agents veulent faire. Bien sûr, Boston s’énerve en pleine rue d’apprendre ça et ça mène à une énième rupture super triste entre Boston et Rich. Je suis triste malgré la répétition de cette série, mais Rich reprend vite le dessus.
Tout ce qu’il rate pour cette rupture téléphonique, c’est un joli petit discours de Kurt et l’avancée de l’enquête par Patterson qu’il n’a aucun mal à rattraper. L’équipe comptait sur l’avocat de Madeline pour avoir une piste, mais Tasha leur apprend qu’il est mort, ce qui ne laisse plus que la piste du hackeur de Madeline, celui qui a eu la bonne idée de vouloir accuser Matthew. Celui ? Plutôt celle.
La série nous révèle que la seule hacker qu’on connaît et qu’on n’a pas encore vu dans la saison ou l’épisode : Kathy. Evidemment que l’alliée de Patterson et Rich est de retour… mais en tant que grande méchante finale, en duo avec Ivy. C’est excellent de voir ces deux-là travailler ensemble, surtout que Kathy est un personnage qui fonctionne vraiment bien.
Pendant que Kurt, Tasha et Jane vont l’arrêter à son appartement, Kathy débarque au FBI. Oui, oui, elle se rend et elle balance tout ce qu’elle sait à Rich et Patterson qui sont évidemment ceux qui les interrogent. La scène est à mourir de rire, et j’adore l’idée. Kathy demande tout simplement à avoir le même deal que Rich pour le FBI. Ben oui, elle veut bosser avec Patterson et Rich. C’est si simple.
J’adore son personnage et j’étais mort de rire pendant une bonne partie de la scène, et de l’épisode en fait. Kurt et les autres refusent de lui accorder le deal de toute manière, même s’ils ne peuvent de toute manière pas le faire, même s’ils le souhaitaient. Malgré tout, ils ont besoin de Kathy dans leur équipe pour hacker les codes de Madeline. Rich ne lui faisant pas du tout confiance, il décide de lui mentir, contre l’avis de Patterson.
Tout l’épisode se concentre uniquement sur eux et c’est vraiment la meilleure idée du monde depuis le temps qu’on demande un spin-off sur ce duo. Leur ajouter Kathy dans les pattes ne fait que les rendre plus drôles : l’honnêteté de Patterson est finalement ce qui permet à Kathy de bosser pour eux, malgré l’absence de certitude d’obtenir un deal avec le FBI pour la protéger. Après tout, Patterson n’en a pas un pour elle-même… Et puis Kathy reste arrêtée par le FBI quoiqu’il arrive.
Pas de bol pour elle, quand elle découvre finalement le laboratoire (dans une scène toujours bien hilarante) et réussit enfin à hacker les fichiers de Madeline (une fois de plus) qu’elle a construit elle-même (ce qui simplifie le tout), elle découvre qu’un autre hackeur est déjà sur le coup, et est bien plus efficace qu’elle. Oups. Un hackeur plus brillant que Patterson et Rich ? Boston bien sûr. Le pauvre a à peine eu le temps de rompre qu’il s’est fait recruter à bout portant par Ivy.
Heureusement, Patterson finit par s’en rendre compte de ce qu’il se passe et trouve le moyen de calmer les engueulades constantes de Rich et Kathy pour mettre sur pied un plan qui pourrait fonctionner. Oui, au conditionnel, parce que les scénaristes parviennent bien à mettre la pression sur l’équipe de geeks. Le trio se met aussitôt à chercher Boston, mais ce n’est pas très discret. Le pauvre se fait donc couper un doigt par Ivy qui n’apprécie pas de le voir refuser de virer du serveur les intrus qui sont clairement là. Rich s’énerve de plus en plus alors que Patterson réussit à hacker la webcam grâce à l’IP de Boston, ce qui n’a probablement aucun sens, mais qui leur permet finalement de géolocaliser l’endroit où il est retenu prisonnier.
Ils se rendent compte qu’il a un doigt en moins, ce qui n’est pas pour calmer Rich qui est clairement en train de soupçonner Kathy tout du long de jouer double jeu avec eux, ce qui reste toujours une possibilité après tout. Bon, bien sûr, cela finit par une triangulation comme toujours, et je suis un peu frustré de voir que l’épisode oublie totalement Afrin. C’est toutefois une bonne chose parce que ça permet des scènes hilarantes où Rich et Kathy sont menottés ensemble et où Patterson conduit une voiture dans laquelle tout le monde hurle. Vraiment, c’était un épisode super drôle : il n’y a pas grand-chose à résumer dans la critique, tout est dans les répliques et ça en fait un des meilleurs de la série.
Toute l’équipe finit par retrouver Boston, mais c’est super triste, parce qu’il est évidemment laissé en arrière par Ivy sur une plaque de pression reliée à une bombe. C’est toujours pareil avec cette série, il n’y a plus qu’à attendre de les voir parvenir à arrêter la bombe. Le but est évidemment pour Ivy de gagner du temps maintenant qu’elle sait où retrouver le ZIP, grâce à Boston. Laisser ce dernier assez conscient pour parler n’est toutefois pas la meilleure de ses idées.
En effet, Boston peut expliquer où il a caché le code d’accès permettant d’accéder aux dossiers de Madeline, et donc à l’emplacement du zip. Les hackeurs n’ont aucun mal à trouver celui-ci et à donner sa localisation dans un entrepôt sur les quais, ce qui fait que Jane, Zapata et Kurt se tirent aussitôt, n’ayant décidément pas grand-chose à jouer dans l’épisode. Il faut dire que les scénaristes font clairement le choix de dire adieu au duo Patterson/Rich et aux guests Boston/Kathy en leur offrant un dernier gros épisode avant la fin.
C’est tant mieux ! Même si on est loin de la vraie action, la scène reste hilarante à regarder, parce que ça permet enfin la rencontre entre Kathy et Boston, avec Rich au milieu. Pendant qu’ils s’engueulent tous les uns les autres, Patterson s’amuse à essayer de faire en sorte elle-même que la bombe n’explose pas. Elle s’apprête à faire une grossière erreur, mais heureusement, Kathy trouve à temps la manière de désarmer la bombe dans les fichiers de Madeline. Elle interrompt donc Patterson avant qu’elle ne fasse une erreur et explique la procédure à Boston. Malheureusement, celui-ci n’est pas vraiment le plus grand des experts en gestion du stress, surtout avec un doigt de moins.
Il ne parvient donc pas à aller assez vite pour couper les différents câbles… Boston décide alors de se sacrifier parce qu’il ne reste plus que cinq minutes maintenant qu’il a perdu du temps : le chrono s’est déclenché faute d’une procédure assez rapide. Boston demande donc à tout le monde de se barrer, mais bien sûr que Rich refuse de le faire et comprend aussitôt ce qu’il est en train de faire quand Boston lui explique qu’il n’est pas amoureux de lui. L’épisode est tellement bien écrit, vraiment, donnez-moi un spin-off sur ces quatre-là. Ils perdent toute une minute à s’échanger des mots d’amour et autres gentillesses, avant de décider de s’y remettre tous pour désarmer la bombe.
Kathy a alors l’idée de remplacer Boston sur la plaque de pression, afin de désarmer elle-même la bombe, car cela ira plus vite maintenant qu’elle a lu les instructions et sachant qu’il ne parvient pas à se calmer assez pour l’écouter. Boston ment bien sûr sur son poids, Kathy en a perdu, Patterson nous fait quelques maths improbables et l’échange peut se faire, avec quelques bonnes blagues au passage sur un autre mensonge de Boston. J’ai tellement ri, les scénaristes ont géré à fond leur épisode.
Finalement Kathy révèle bien sûr qu’elle a juste décidé de se sacrifier. C’est vraiment triste, parce que j’ai cru un instant qu’on aurait vraiment eu droit à mieux comme fin pour elle. Elle me paraissait capable de désarmer la bombe, mais ce n’est finalement pas le cas ?
Une chose est sûre : ce fut long en tout cas ces cinq minutes… bien sûr, rien n’explose : Kathy parvient à s’échapper sans le moindre mal grâce à ça, parce que personne ne peut la surveiller avec cette bombe. Rich avait raison, évidemment qu’il ne fallait pas lui faire confiance. Et j’avais à peu près raison de penser qu’elle pourrait bien désarmer la bombe, mais les scénaristes ont réussi à me faire penser le contraire tout de même, ce qui est un très joli coup pour la série qui est bien plus prévisible que ça habituellement.
Après tout ça et malgré sa fuite, Kathy rappelle bien sûr Patterson pour s’excuser et leur dire qu’ils sont tous totalement dingues de croire que le FBI leur accordera un deal. Et venant de Kathy, ça en dit long. J’ai bien ri de voir Boston demander aussitôt à Patterson de se garer pour qu’il puisse quitter la voiture ! Cela pourrait faire une jolie fin pour Rich et Boston de se barrer ensemble maintenant, mais j’imagine qu’ils veulent quand même, à terme, faire de Rich un héros, un vrai.
Finalement, la nouvelle directrice débarque au FBI et demande à l’équipe de s’arrêter malgré le risque de voir la bombe au ZIP exploser. Afrin appelle aussitôt Kurt pour lui transmettre cet ordre, mais Jane et Tasha sont parfaitement contre : certes, désobéir à un ordre direct signifie qu’ils perdent toutes chances de revenir avec les honneurs au FBI, mais en même temps, y obéir signifie devenir amnésique, ce qui n’est pas bien plus logique. Kurt reprend donc son coup de fil avec Afrin pour lui dire qu’elle n’a qu’à expliquer qu’elle n’a pas réussi à les contacter.
Le trio arrive ainsi à l’entrepôt où Ivy est censée être, mais c’est bien évidemment un entrepôt gigantesque où il n’est pas évident de la retrouver et où des hommes de main sont chargés de tous les tuer. Kurt se retrouve bien mal barré en premier, mais il parvient contre toute attente (ou pas) à maîtriser quelques hommes armés dans une jolie chorégraphie.
C’est cependant Jane qui arrive la première à Ivy. Celle-ci parvient à s’enfuir, mais après avoir lancé le déclenchement de la bombe ZIP qui est simplement une bombe laissant s’échapper du gaz progressivement. OUPS. Voyant Kurt se précipiter pour lui venir en aide malgré le ZIP, Jane prend la décision… de ne pas sortir ? Elle avait tellement le temps, je ne comprends pas ! Elle ferme la porte au nez de Kurt, ce qui n’a aucun sens. On reprend alors exactement le même cliffhanger que la semaine dernière avec Patterson, sauf que cette fois, il s’agit de Jane et du ZIP. Encore. Oui, la scène est jolie car le couple Jane/Kurt est séparé par une porte en verre leur permettant de s’échanger des derniers mots silencieux, mais plutôt que de fermer la porte sans sortir, elle avait clairement le temps de sortir et de la sortir… Bref, ça a beaucoup moins de sens que Patterson et elle n’a pas trop de chance de s’en sortir sans être zippée, elle.
De toute manière, on sait qu’avec le temps, elle pourra retrouver ses souvenirs, on n’est plus à ça près. En tout cas, ça fait un excellent cliffhanger et le dernier épisode sera intéressant à découvrir avec cet énième rebondissement et cette bombe au ZIP. J’imagine au moins que Jane est parvenue à l’arrêter et l’empêcher de s’échapper de cette pièce grâce à la porte qui s’avérera probablement hermétique ? Je vois mal la série se terminer sur une micro-apocalypse de population amnésique.
Il me fallait immortaliser ces pas de danse, pour la postérité !
Épisode 9 – Brass Tacks – 18/20 Eh bien, voilà quarante minutes qui arrivent à passer drôlement vite, avec tout un tas de rebondissements bien menés et une série qui vire vraiment à l’espionnage et à l’action pure et dure. Il y a toujours des facilités de scénario énormes, mais on est habitués. Le rétrécissement de la commande à onze épisodes est vraiment une bonne chose pour la série qui ne perd plus tellement de temps sur cette deuxième moitié de saison, réussissant ainsi à cartonner plus que jamais. J’ai même l’impression que ça finira par être la meilleure saison de la série !
Si je suis si en retard dans le visionnage de cet épisode, c’est pour trois raisons. D’abord, je trouve ça naze de diffuser deux épisodes pour l’avant-dernière semaine et de garder pour la semaine prochaine le tout dernier de la saison. J’espère que ça va se justifier dans le scénario. Ensuite, je trouve ça odieux et pourri d’avoir tué le meilleur personnage de la série – et ça a intérêt à être juste un rebondissement naze. Enfin, j’ai écrit cette critique, mais mon ordinateur a eu un bug, s’est éteint, a mis trois plombes à se rallumer et Word ne m’en a rien récupéré, ce qui m’a forcé à recommencer à zéro la critique. Superbe.
L’épisode débute de manière plutôt bavarde et efficace avec chacun de nos héros dans une salle d’interrogatoire du FBI à se souvenir de Patterson, soit des derniers moments du meilleur personnage de la série, soit de moments où leur amitié est clairement visible. Madeline, elle, savoure sa victoire en apprenant qu’elle est vraiment prête à devenir vice-présidente.
Tout ne peut pas être si beau dans sa vie, néanmoins, et elle doit encore gérer l’impatience d’Ivy concernant le ZIP dont elle ne suit plus la trace. Oui, Madeline a eu la bonne idée de la priver de son ZIP et de décaler un peu l’attentat, histoire de nous garder de quoi faire pour la fin de la série. Pour l’instant, il faut d’abord faire parler nos héros – et possiblement les sortir de là avant des aveux complets.
En effet, Madeline a un plan simple : diviser pour mieux régner. Les quatre agents arrêtés sont donc interrogés séparément par notre méchante haïssable en tout point qui espère les faire craquer pour les faire confesser une liste de crimes qu’elle veut leur faire commettre à sa place. La tache n’est pas simple, parce que même Rich résiste, y compris quand elle évoque Boston. Tasha est de loin la plus bitchy avec elle, mais elle peut se le permettre, surtout quand Madeline évoque son bébé… Quelle connasse, je n’en peux plus, c’est rare de haïr autant une méchante de série en ce qui me concerne.
Pendant ce temps, on retrouve enfin Boston dans la série, mais c’est pour qu’il apprenne la mort de Patterson à la télévision – ou plutôt qu’il la devine. Il comprend qu’il doit fuir car ça sent le roussi pour lui. Et ça ne manque pas : il est effectivement pris en joug par deux agents de Madeline (ou d’Ivy ?) qui sont aussitôt maîtrisés par… Patterson !
Elle est donc bien en vie et la série fait le choix de le révéler super rapidement alors qu’ils tenaient là un suspense assez efficace et bien mis en place dans cette saison finale. Patterson nous fait donc simplement le coup du tunnel, encore une fois, dans un flashback qui ne nous montre même pas vraiment comment elle a réussi à s’enfuir assez vite. C’était dommage et décevant, mais admettons.
L’avantage, c’est que ça lui permet vite de revenir à l’action pour venir en aide à nos héros et les libérer des locaux du FBI. Elle envoie aussitôt un message crypté à notre laborantine préférée n°2, Afrin, qui le déchiffre aussitôt, en présence de Matthew. Si elle est persuadée de la survie de Patterson, il a du mal à y croire et préfère tout arrêter, une fois de plus. Quelle carpette ! Et quel gâchis ce personnage qui aurait pu avoir tellement plus de carrure… Après, je reconnais que ça fonctionne bien pour la série ce caractère ! Quoiqu’il en soi, il reprend un peu espoir quand il apprend que deux autres scientifiques sont prêts à venir en aide à l’équipe…
Afrin semble leur faire confiance, mais je suis du côté de Matthew cette fois : c’est trop gros cette aide spontanée, surtout après Briana. Heureusement, ils ne leur confient aucune mission et se rendent dans les vestiaires du FBI après avoir eu la bonne idée de suivre les requêtes de Patterson. C’est donc l’heure pour eux de la retrouver, ou plutôt de le retrouver. Pour tromper l’intelligence artificielle du FBI, Patterson et Boston ont en effet eu la bonne idée de se travestir et c’est tout bonnement bluffant. Cela me fait un point du Bingo Séries assez facilement, et je ne pensais pas trouver si réussi pour le marquer, surtout dans cette série, mais oui, le maquillage change totalement leur apparence physique.
Pour la petite histoire, j’ai même vu une photo floue de Boston en femme avant de lancer l’épisode, et j’ai sincèrement cru qu’il s’agissait d’une autre actrice… Comme quoi ! La parade est amusante et efficace, mais elle n’empêche pas nos héros de stresser en découvrant qu’après une deuxième salve de scènes bavardes et inefficaces à interroger les agents, Jane a pris la décision de craquer et de confesser des crimes qu’elle n’a pourtant pas commis.
Elle commence donc à parler (sachez que « AKA » peut faire réagir mon « OK Google »), mais Boston est assez malin et rapide pour pirater le Bluetooth de la caméra face à laquelle elle est (ah oui, tout de même) pour lui envoyer un message en morse, suffisant à faire en sorte que Jane gagne du temps. Grâce à cela, Patterson peut passer en boucle les images des salles d’interrogatoire et accompagner Matthew pour libérer Tasha de sa cellule. Les retrouvailles avec Patterson sont si mignonnes, alors qu’en parallèle Rich apprend sa survie de la part de Boston. Leur câlin est moins impressionnant, forcément.
J’aurais aimé une petite réplique sur son perpétuel plan B, mais ils n’ont pas eu le temps de le caser. Ben oui, il faut aller chercher Kurt… sauf que ce n’est pas possible : il est mieux gardé que les deux précédents apparemment, mais heureusement Rich connaît un moyen d’y accéder : les grilles de ventilation. Evidemment. Il arrive à le libérer juste à temps, mais une agent du FBI débarque… Elle décide de faire confiance à Kurt plutôt qu’à Madeline dont l’autorité est plus que fragile : elle demande donc à être menottée pour leur gagner du temps sans compromettre son job.
En parallèle, Boston et Patterson retournent dans leur nouveau QG avec Tasha et Matthew, en profitant pour reprendre leur vraie apparence, pour éviter de multiplier les scènes prenant des heures de préparation, j’imagine. En plus, ce maquillage ne doit pas être bien pratique à porter. Le problème, c’est que nos geeks découvrent bien vite que Madeline a tout prévu, décidant de mettre tous ses crimes sur le dos de Matthew.
Comme à son habitude, il décide de s’enfuir… laissant Patterson faire ce qu’elle sait faire de mieux pour réussir à trouver des preuves contre Madeline. Le but est d’ensuite de demander à Megan, l’ex de Reade, de publier tout ça au plus vite. Evidemment, dans tout ça, il reste la pression de Madeline : Ivy a découvert rapidement que Patterson était encore en vie, Boston non arrêté et le bâtiment du FBI compromis. Autant dire qu’elles sont en retard pour arrêter nos héros qui lancent ensuite l’évacuation du bâtiment, alors que Kurt et Rich ne sont toujours pas parvenus à récupérer Jane, qui reste bien en-dehors de l’action de l’épisode pour cette fois.
Madeline découvre au passage qu’elle est en échec et mat : les journalistes s’apprêtent à publier les preuves qu’ils ont contre elle. Son avocat lui propose tout simplement de s’enfuir, comme il s’apprête à le faire. Ils n’ont plus aucun moyen de pression sur personne d’influent à présent pour empêcher la publication des informations, donc c’est foutu pour elle. Il ne lui reste plus qu’à s’enfuir.
Pourtant, sans ces preuves envoyées aux journalistes, elle s’en serait bien sortie une fois de plus. Certes, Ivy a évacué les lieux aussi, mais elle ne sait pas où est le ZIP, donc Madeline a encore un semblant de pouvoir. En plus, les hommes d’Ivy sont plutôt bons et parviennent sans aucun souci à arrêter Patterson, Tasha, Boston, Rich et Kurt (après une scène marrante pour ces deux derniers, donc).
Tout le monde se retrouve donc arrêté et ramené dans la salle principale du FBI. Tout le monde ? Pas Jane, pas Afrin, pas Matthew. Je sais que c’est censé être la surprise de l’épisode, mais il est évidemment de retour pour décharger les terroristes des prisonniers. Ce n’est pas si simple toutefois de les convaincre, alors il finit par faire appel à d’autres agents du FBI, ceux aperçus au cours de l’épisode comme étant encore fidèle à notre groupe. Voilà donc ce que faisait Matthew pendant sa fuite… C’est bien vu, mais ça n’empêche pas la fusillade d’avoir lieu.
Tasha et Kurt viennent en aide aux agents qui les sauvent de justesse et parviennent rapidement à mettre un terme aux actions des méchants. Oh, Matthew se prend une balle au passage, mais l’important reste à ses yeux d’aller récupérer Jane, ce que Tasha et Kurt font aussitôt. Patterson, Boston et les autres agents s’occupent alors de rester l’aider, en attendant une ambulance. Le plus triste est encore de voir Afrin débarquer dans la pièce et s’interroger sur le retour de Matthew. Le faire mourir en héros, c’est un peu gros après cette saison à se carapater autant qu’il le pouvait, mais ça marche bien, surtout quand ses dernières considérations sont encore son look sur la photo qui sera utilisé après son décès.
Cet épisode de victoire est donc teinté d’une défaite avec la mort de Matthew, mais bon, le plus important c’est que Jane peut être libérée (j’étais sûr que ce serait Ivy sous la cagoule, d’une manière ou d’une autre) et retrouver Patterson à son tour. Le FBI reprend le contrôle, donc, mais sans personne pour le diriger. Et ils ont toujours un attentat à stopper.
La fuite de Madeline se déroule plutôt bien, avec un petit jet privé et du champagne… sauf que pas de bol, son pilote de jet privé refuse de décoller parce qu’il a reçu l’ordre de ne pas le faire, à cause d’un appel anonyme. C’est finalement Tasha qui débarque pour arrêter Madeline, qui prend encore le temps de quelques mots plutôt sympathiques avec elle. Elle sait qu’elle a perdu, mais ce n’est pas pour autant qu’elle compte dire où elle a planqué le ZIP, hein. Madeline décide donc de se suicider en buvant son verre de champagne (ou de vin ?) devant Tasha qui ne fait rien. PARDON ? Mais enfin, meuf, t’étais là quand elle a tué tout plein de gens richissimes de la même manière. Ah, vraiment, Tasha, rarement un personnage m’aura tant plu et déplu à la fois. Cela fait trois saisons que je ne sais plus quoi penser d’elle, honnêtement ! En tout cas, je reste ravi de la mort de Madeline, ça va sans dire.
Finalement, il est révélé que c’est l’avocat de Madeline qui a eu la bonne idée de la dénoncer, afin de mieux se mettre au service d’Ivy. Evidemment. L’idée était plutôt bonne, mais s’allier à une terroriste comme Ivy, ce n’est pas si simple. Il lui donne sa seule information capitale sans rechigner, ce qui fait qu’elle n’hésite pas à le tuer. Bref, l’épisode se termine avec le FBI détruit, Madeline enfin morte et l’équipe d’Ivy en train de déchiffrer une clé USB de Madeline pour savoir où est le ZIP.
Probablement la meilleure capture d’écran de toute la galerie du blog ❤
Ouuups ! J’ai mis la priorité sur la nouvelle grille du Bingo Séries et j’en ai presque oublié de vous publier cet article aujourd’hui… La semaine commence sur les chapeaux de roue, là, et je ne sais pas si je vais dépasser les 27 articles de la semaine dernière pour celle-ci ! L’important, c’est de participer, de toute manière, et d’ailleurs, merci à vous de toujours participer, que ce soit en lisant cet article (en plus des autres) ou en participant aux commentaires (67 depuis lundi dernier). Merci, vraiment, ça motive dans les jours de coups de mou.
Il n’y en a pas tellement en ce moment comme ça y est, c’est les vacances ! On verra si ça aura un impact sur les stats des jours à venir. Pour l’instant, je ne remarque rien de particulier, et vous allez voir qu’on reste sur un classement très similaire à celui des dernières semaines :
Cette fois, on ne peut pas blâmer la diffusion de 6ter pour justifier le succès des articles sur les comics Buffy, parce que la chaîne est passé à Charmed (et j’ai des articles plus complets sur mon rewatch de la série par ici). Peut-être qu’il faudrait que je relise tous les comics pour en faire des articles, finalement !
La réaction de toutes les séries et tous les livres sur mon planning en ce moment.
Les différences par rapport à la semaine dernière ? L’épisode de The 100 parce que la chronologie est chaotique à suivre et que l’on avait tous besoin d’un petit rafraîchissement de mémoire pour le cliffhanger. J’ai bien remarqué un pic dans les recherches menant au blog sur ce cliffhanger qui nous a laissé face à un nombre incalculable de questions… Par contre rien pour justifier le petit pic sur la liste des séries critiquées sur le blog, à part peut-être cette recherche magique : « vraie infirmiere hopital scene parfois erotique ». Là, je suis sur le cul (oui, c’est juste histoire de caser un bon mot-clé de plus pour le référencement). J’imagine que ça doit mener à des critiques de Grey’s Anatomy? ou peut-être un épisode de Council of Dads? J’ai tenté la recherche sur Google (en navigation privée par contre ahaha) et ça n’a rien donné menant au blog… Le mystère va rester entier !
Ce n’est peut-être pas plus mal comme ça. J’enchaîne sans plus de transition avec le top des saisons les plus consultées :
Peu de surprise en première place… En revanche, le reste du top est vraiment étonnant je trouve : 13 Reasons Why attire plus de monde que la semaine dernière avec sa saison 4, diffusée il y a une petite éternité sur Netflix. Comment ça, un mois, ce n’est pas une éternité ? Vous avez vu le moins de juin qu’on vient de vivre ?
J’attends ce jour.
A l’inverse, Blindspot n’attire que très peu de monde, malgré un épisode qui aurait dû multiplier les recherches sur la série. Je sais en tout cas que moi je suis allé sur quelques sites de reviews (américaines, donc) à la fin de l’épisode, un réflexe qui me taraude encore sur certains épisodes, même après avoir écrit mes propres critiques. C’est dire !
Yep, vraiment pas, mais j’aime bien cette série même si je n’en parle pas dans l’article !
Pour le reste, c’est plus dans la lignée de ce à quoi je m’attendais par rapport aux semaines précédentes et au nombre d’articles publiés, je pense donc que tout ça, j’aurais pu le prédire. Par contre, vraiment, je m’attendais à plus de vues sur Blindspot. Comme quoi, cher lectorat, vous resterez vraiment un mystère à mes yeux… mais pas un mystère « parfois erotique », promis !