Blue Beetle : un film de super-héros réussi

Salut les cinéphiles,

Il est temps de parler du dernier né de l’univers DC : Blue Beetle. Si vous êtes un fan de films de super-héros, ce film est fait pour vous. Pour les autres ? Eh bien, laissez-moi vous dire que ce film pourrait bien vous surprendre quand même.

Après tout, je ne suis pas fan du tout de l’univers DC qui trop souvent me déçoit, mais comme pour The Flash, j’apprécie les efforts qui sont faits ici pour le distinguer d’un film lambda de super-héros… et surtout on est loin du reste de l’univers DC pour le moment.

C’est bien aussi d’avoir des films qui se révèlent plus indépendants que les autres ! Et c’est bien pour cela que je l’ai préféré à The Flash… Bref, j’espère même qu’on aura un deuxième volet, mais en attendant, voici mon avis développé sur ce premier opus :


Prévisible, mais efficace

Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le personnage, un petit synopsis, sans gros spoiler promis, s’impose : l’action se déroule au Texas, à El Paso. Jaime Reyes, un adolescent ordinaire, découvre un scarabée mystique d’origine extraterrestre. Lorsqu’il entre en contact avec cet artefact ancien, Jaime se retrouve doté de pouvoirs incroyables, transformant le jeune homme en Blue Beetle, le super-héros blindé.

D’accord, je l’admets, je survends volontairement les choses dans mon introduction : Blue Beetle est un film terriblement prévisible qui a peut-être un peu de mal à surprendre. Franchement, tout n’est pas parfait. Par exemple, le méchant du film est un peu trop lisse à mon goût, manquant de profondeur et tombant dans certains clichés du genre.

Mais est-ce vraiment un problème ? Eh bien justement, pas vraiment. Parce que même si on peut anticiper certains rebondissements, le film parvient à nous captiver. C’est un peu comme ces montagnes russes que vous avez déjà prises des dizaines de fois : vous savez exactement quand viendra la prochaine chute, mais cela ne vous empêche pas de crier de plaisir à chaque fois. Et c’est surtout comme une série procédurale : on sait que les héros vont résoudre les enquêtes, mais ça ne nous empêche pas de les regarder.

Un film de super-héros pour… les amoureux de super-héros

Blue Beetle est un film de super-héros pour ceux qui aiment les films de super-héros. Il coche toutes les cases : des scènes d’action époustouflantes, des moments d’émotion, une dose d’humour et, bien sûr, un héros sexy mais pas trop. Juste ce qu’il faut pour inspirer monsieur tout le monde et faire en sorte qu’on s’y reconnaisse. Après, faut peut-être qu’ils arrêtent chez DC avec leur obsession de mettre bien malgré eux les super-héros nus devant des gens ?

L’un des points forts du film est sans aucun doute ses effets spéciaux. J’ai aimé la charte graphique du film, aux couleurs de néon simples mais efficace. C’est un micro-spoiler, mais la métamorphose de Jaime en Blue Beetle est également impressionnante. En fait, j’ai particulièrement apprécié le fait qu’elle dure si longtemps, qu’on ne sache pas exactement ce qui lui arrive et que le film montre que cette transformation est douloureuse pour lui. C’est un détail qui ajoute une touche de réalisme à une histoire fantastique – et pourtant ça se fait avec énormément d’humour.

En effet, la transformation se fait en présence de la famille du héros. Oui, cette famille omniprésente peut être lourde par moments, mais elle se révèle être incroyablement attachante. Et c’est cette famille qui donne au film une dimension humaine, qui le rend un peu surprenant et en tout cas plus engageant.

Bien sûr, le gros plus vient aussi du fait que cette famille est mexicaine – pour une fois on n’est donc pas coincé avec un super-héros blanc dans sa famille déjà vue et revue 500 fois. Chaque personnage de la famille a son moment de gloire et son caractère bien trempé, qui permet de proposer un film se concentrant aussi sur les dynamiques entre les personnages. Pour moi, c’est toujours un plus.

Un script bilingue

Puisque la famille est mexicaine, l’un des aspects les plus originaux du film est le mélange constant d’anglais et d’espagnol dans le script. Cela donne au film une touche d’authenticité, un petit quelque chose en plus qui le distingue des autres films de super-héros. Bon, j’ai eu parfois du mal à croire que tout le monde parle un espagnol impeccable autour d’eux, parce qu’ils comprennent des accents ou du vocabulaire parfois complexes, mais ça restait agréable à l’oreille.

Et puisque je parle d’oreille, la musique du film est vraiment bonne. Elle parvient à créer une ambiance qui colle parfaitement à l’univers voulu – avec là aussi beaucoup d’espagnol, notamment grâce à des reprises de chansons. C’est cool, c’est frais, c’est entraînant. Bref, c’est réussi.


En conclusion, Blue Beetle est un divertissement solide qui plaira aux fans du genre. Il a ses défauts, mais ses points forts, notamment la performance de l’acteur principal et les effets spéciaux, en font une sortie cinéma agréable.



Et vous, avez-vous vu Blue Beetle ? Qu’en avez-vous pensé ?

The Flash – Décevante course vers…

Salut les cinéphiles,

Cela fait un moment que je n’avais plus pris du tout le temps d’écrire un article sur un film vu au cinéma. Avec les vacances qui pointent enfin le bout de leur nez, je me suis dit que je pouvais peut-être tenter de m’y remettre. Je ne rattraperai pas tout – je vais quand même essayer de le faire pour certains coups de cœur et surtout pour les Marvel – mais rien ne m’empêche de reprendre comme si de rien n’était.

Ainsi, aujourd’hui, je vais vous parler du tout dernier film de DC, The Flash. Bon, je dois admettre que je ne suis pas le plus grand fan des films DC en général, mais je suis toujours prêt à être surpris. Le film était vendu comme l’un des meilleurs de l’année (nope) et il se concentrait surtout sur un personnage que j’aime beaucoup – c’est possiblement mon personnage DC préféré, en fait. Je me suis donc naturellement dit « allons-y ».

Voir aussi : Je n’aime toujours pas les films DC

Basique et survendu

Finalement, ce n’est pas exactement ce qu’on me vendait, comme toujours… The Flash, c’est un film de super-héros plutôt basique dans l’ensemble et survendu par la critique et la promo. On sent clairement qu’il essaie de rivaliser avec les succès de Marvel, mais il ne parvient pas vraiment à atteindre le même niveau. Pour être honnête, la promotion du film en a presque révélé la totalité, ce qui est assez décevant… surtout que vous savez que j’ai tendance à ne pas regarder les promos. Rien qu’avec les affiches, on savait déjà beaucoup trop de choses. Et on devinait ce qui s’avère être le cas : ce n’est pas un film sur Flash, c’est un film sur les superhéros Marvel dont Flash s’avère finalement être le personnage principal, certes. Ce n’est toutefois pas celui qui a les meilleures scènes d’action.

J’en dis déjà trop, je trouve, alors attention, il y a bien sûr des petits spoilers dans la suite de l’article. Lisez à vos risques et périls.

Oui, parce que visuellement, c’est pas toujours top ce DC. Franchement, certains jeux vidéo font mieux qu’eux, et il y a vraiment eu des scènes du film où j’ai fini par me demander qui avait bien pu valider ça. Et puis, l’ensemble du film est sacrément prévisible, ce qui ne fait pas spécialement honneur à mon héros préféré de DC. Après avec Ezra Miller en tête d’affiche, malgré ses déboires judiciaires, voilà quoi, fallait pas non plus s’attendre à des merveilles d’écriture. Pour rester sur les effets visuels, le retour de Nicolas Cage, franchement, c’était raté. On aurait dit de l’image de synthèse. Et puis, le concept de la faille, c’était intéressant, mais mal exploité. On a juste des super-héros qui restent là, passifs, sans rien faire. C’est pas crédible du tout, donnez au moins une réplique ou une action ? Les mondes s’écroulent les uns sur les autres et ils admirent ça, sans popcorn… Le côté fan service fonctionnait pour être aussitôt hyper déceptif !

Ah, j’allais oublier. Supergirl était beaucoup trop attendue. Je veux dire, elle est sur l’affiche, alors pourquoi en faire tout un suspense dans le film ? Et puis, je suis pas fan de l’interprétation par l’actrice, franchement.

Tout de même du positif

Cela dit, on ne peut pas tout critiquer. Le retour de l’acteur qui joue Batman, ça valait quand même le coup. Et la dernière scène du film fonctionne plutôt bien, même si on la voit venir. Ça a été une bonne surprise.

Dans le même genre, la performance d’Ezra Miller est plutôt réussie, surtout qu’il joue deux rôles sans qu’on ne se demande qui est qui. Ce n’était pas une surprise, j’ai toujours beaucoup aimé son jeu (il fait un excellent Credence dans Les Animaux fantastiques) et ça continue de me poser problème vis-à-vis de sa personnalité. Dissocier l’œuvre de l’artiste, tout ça tout ça.

Après même si j’aime sa prestation et l’humour qu’il a su insuffler dans la version jeune de son perso, sérieusement, qui court comme ça ? Je veux dire, outre la posture ridicule qu’il adopte à chaque fois pour coller à peu près aux comics, j’ai vu des X-Men faire mieux avec leurs ralentis pour montrer la super-vitesse d’un héros. Là, la scène la plus intéressante de ce point de vue-là intervient au début du film… et elle n’est pas dingue, même si elle est drôle.

Ce qui m’a surpris d’ailleurs, c’est que le ton est beaucoup plus léger que prévu. DC est souvent critiqué pour ses films sombres, et je suis le premier à m’être royalement fait chier devant Batman (que ce soit celui de Pattinson ou n’importe lequel hein à part le deux de la trilogie), mais cette fois-ci, ils ont essayé de faire dans l’humour. Pour ma part, je suis bon public et je trouve que ça colle au personnage de Flash, mais j’aurais préféré un équilibre plus subtil, parce que là, ça frise le ridicule par moment sans jamais l’assumer à fond.

N’est pas Marvel qui veut

Bref, à la sortie de la salle, certains diront que c’est un No-Way Home du pauvre… et franchement, il est difficile d’argument le contraire. Ils ont même fait une référence évidente avec la scène des spaghettis pour expliquer le multivers. Bon, c’était marrant cette métaphore ; et puis ça donne faim, ça crache aussi un peu sur la concurrence, on s’en souvient, c’est nickel. Mais bon, difficile de ne pas voir la volonté de réunir les différents univers DC, les différents superhéros pour juste quelques clins d’œil et pour nous affirmer que c’est un univers étendu. C’est dommage que ce soit si raté… et non, les fesses d’Ezra Miller ne suffiront pas à me faire dire que c’était génial, hein.

En plus, on nous laisse sur la scène post-générique qui était… nulle à chier. Je vais rarement autant dans l’excès, mais là, on nous sert vraiment une scène finale courte qui n’est qu’une promo pour Aquaman mais qui donne pas envie de voir leur prochain film. Bon, passons, j’irai probablement le voir aussi de toute manière, j’aime les films de super-héros, c’est toujours fun ce genre d’action.

Finalement, The Flash est un film DC correct, sûrement mieux que leur moyenne qui m’a laissé parfois des traumas, mais qui ne se démarque pas vraiment des autres films de super-héros. Il essaie de suivre la voie de Marvel, mais sans tout à fait y parvenir ; peut-être justement parce que ça paraît être un mauvais copier-coller réchauffé. Bref, si vous êtes un fan inconditionnel de DC, vous pourriez y trouver votre compte. Sinon, il vaut peut-être mieux attendre la sortie en streaming et ne pas donner son argent à la va-vite. Je me dis que ce sera noyé au milieu de tous les films que je vois avec mon abonnement. En attendant, il reste pour DC une décevante course vers le multivers.

À quand le prochain Marvel ?

Salut les sériephiles,

Donnez-moi de l’action

Je suis à peu près sûr d’avoir déjà écrit un article sur le sujet, mais je ne le retrouve pas et, de toute manière, j’ai des choses en plus à en dire maintenant que trois mois ont passé depuis mes dernières minutes de Marvel inédites et bordel, ça me manque à peu près autant que prévu. Je m’en suis rendu compte en début de soirée où j’ai eu envie de voir quelque chose de fun et que, ouais, ça manquait de super-héros.

Je l’ai déjà dit à la reprise de The Walking Dead : je manquais d’action ces derniers temps. Alors bien sûr, je manque totalement de séries en ce moment, mais au-delà de ça, j’ai besoin aussi d’un peu d’action, de super-pouvoirs et de fun. Clairement, ce n’est pas The Batman qui m’a fourni tout ça, alors je me suis dit qu’il était temps ce soir de regarder un peu où on en était de l’attente interminable avant les prochains projets du MCU.

Du Marvel à portée de main

La bonne surprise, c’est qu’on est déjà au bout de l’attente – ou presque. Concrètement, dans une dizaine de jours, on aura de nouveau du Marvel à se mettre sous la dent, avec l’arrivée de Moon Knight pour quelques semaines – six épisodes seulement. C’est le 30 mars que ça débarquera sur Disney + et j’ai déjà hâte de vous dire que je n’ai pas le temps de la regarder immédiatement. Ca se rattrape six épisodes après.

Il est plus probable que j’arrive plus facilement à voir Morbius qui sort le même jour en France. Je suis plus branché films en ce moment, ça me fait poser mon cerveau pour une à trois heures sans avoir à écrire d’article, ça peut être un bon fond sonore, ça fonctionne bien. Bon, ça ne sera pas qu’un fond sonore puisque ce sera au cinéma, mais je ne suis pas sûr que ce sera bien pour autant : le film était prévu pour une sortie en juillet 2020, donc bon… deux ans de retard, ça va se sentir dans les effets spéciaux, je pense.

Et après ?

Rien ne me donne envie dans le film – ni l’histoire, ni le cast, ni le synopsis. Disons que ça, comme la série, ça va servir à combler un peu l’attente. Ben oui, parce que bon, on a beau dire, l’attente reste interminable avant le mois de mai. C’est une bonne chose, parce que je n’ai pas forcément envie d’y être tout de suite, mais en même temps… une part de moi a hâte d’enfin découvrir Doctor Strange in the Multiverse of Madness.

En plus, le film sort la semaine où Ludo viendra me rendre visite, je sais déjà que je vais le voir deux fois ce film ! Un mois plus tard, ce sera au tour de Ms Marvel de débarquer, le 8 juin. J’avoue que j’ai vu passer quelques images de la bande-annonce qui vient juste de sortir. Cela semble bien différent de mes quelques souvenirs des comics, mais ça donne envie quand même. Cela me fait surtout hésiter encore plus à reprendre ma lecture : est-ce que ça vaut le coup de découvrir les comics si c’est pour être déçu par la série ensuite ?

J’ai un peu peur de la multiplicité des projets Marvel en vrai, je ne sais pas si la qualité pourra être au rendez-vous jusqu’au bout… mais en même temps, j’ai déjà hâte, parce qu’un mois après, ce sera au tour d’un nouveau Thor de débarquer au cinéma si tout va bien. J’espère que le reste suivra avec même planning d’un mois, un mois et demi d’attente : la seule date fixée est Black Panther 2 en novembre, mais d’autres projets sont quasi prêts normalement, à commencer par She-Hulk. Croyez-le ou non, c’est celle que j’attends le plus cette année !

Je n’aime toujours pas les films DC (#37)

Salut les cinéphiles,

C’est officiel : me voilà sans ordinateur pour quelques jours, et même probablement pour quelques semaines. C’est embêtant et je ne sais pas du tout comment gérer les stats de la semaine pour l’instant. Bon, je dis ça mais je finirai bien par passer par chez moi récupérer mon ancien ordinateur à l’écran cassé pour remplacer temporairement l’ordinateur à l’écran cassé qui est en réparation. Je ne suis qu’une suite d’écrans aussi cassés que moi, apparemment. Et le timing est bon en pleine rentrée des networks : je n’ai encore rien vu pour l’instant. Super.

Bon, pour ne pas vous laisser sans rien de ma part aujourd’hui, et parce que je tiens à des 500 mots qui ne soient pas que du blabla, c’est parti pour une revue de quelques films de super-héros.

Aquaman

J’ai vu le film il y a quelques mois déjà, et si je ne l’ai pas encore évoqué sur le blog, ce n’est pas pour rien évidemment. Je suis loin d’être convaincu par le film, en grande partie parce que c’est du DC, je crois. En effet, comme toujours avec eux, j’ai trouvé que l’intrigue était trop simpliste et manichéenne, avec des gentils forcément gentils et des méchants forcément méchants. J’aime bien avoir quelques nuances pour accrocher aussi aux méchants.

En revanche, gros plaisir de retrouver Jason Momoa dans un rôle qui lui va vraiment super bien : le casting de tout le film est bien pensé pour proposer un divertissement de qualité, et je ne peux pas lui retirer que j’ai passé un plutôt bon moment devant. Franchement, le film vaut surtout le coup pour les effets spéciaux et les jeux d’acteurs, là ou à l’inverse le scénario était trop plat pour être vraiment prenant. Ce n’est pas si grave.

Après, je regrette de ne pas l’avoir vu sur grand écran pour en prendre encore plus plein la vue, et ça dès la première scène.

Wonder Woman 1984

Voilà un autre film que j’aurais aimé voir sur grand écran pour ses feux d’artifice et parce qu’il en met plein la vue. C’est Gal Gadot, et je suis amoureux d’elle, alors sur grand écran, je dis oui ! Elle ne parvient malheureusement pas à sauver le film malgré tous les efforts qu’elle fait, parce que c’était encore pire qu’Aquaman, sérieusement. Ce n’est donc peut-être pas si grave de ne pas avoir pu voir le film sur grand écran en France, hein.

Scénaristiquement, c’est une catastrophe sans nom qui semble sortir des années 80 au moins : il y a un potentiel de dingue dans cette histoire de vœux qui se réalisent, mais rien n’est exploité comme ça devrait. Personne ne comprend pourquoi ou comment l’assistante maladroite se transforme en chatte (son vœu est d’avoir plus de pouvoirs ???) et le méchant est d’une stupidité incroyable. Désolé, mais son but est quand même d’être le plus puissant du monde, et sans qu’on ne sache comment ou pourquoi, il se retrouve à deux doigts de détruire le pouvoir car ça lui permettra d’être le plus puissant ? Et son but est de dominer le monde ? Quel est l’intérêt de dominer un monde détruit ? Et pourquoi voir son fils lui donne-t-il envie de sauver le monde soudainement, il avait oublié qu’il l’avait quand il était insupportable pendant le film ? Et pourquoi est-ce qu’on remonte le temps ? Et pourquoi fallait-il avoir un plan où un putain de mec aide Wonder Woman à marcher quand en sens inverse jamais on n’aurait vu une nana soutenir un mec blessé parce que gnagnagna le mec est un super-héros ???

Bon, vous aurez compris, ça m’a énervé plus qu’autre chose.

Verdict, j’aime bien les films DC pour leur casting superbe et pour les effets spéciaux, mais il y a un problème majeur : c’est du DC, donc on a des gentils gentils et des méchants méchants, et le reste on s’en fout tant que le gentil gagne parce qu’îl est gentil et que le méchant perd parce qu’il est méchant. Honnêtement, j’aimerais être en train de caricaturer, mais après ces deux films, une fois de plus ma conclusion est la même : c’est sympathique à voir tous ces enfants spéciaux, mais qu’est-ce que le scénario est naze et pas crédible…

Sur ces très bons mots… Bonne fin de soirée à tous !