Semaine 27 : du 4 au 10 juillet

Bonjour à tous !

Hum. C’est avec un mois de retard que je publie cet article et du coup, il faut voir cet article comme une séance de rattrapage. J’étais parti sous le soleil italien et j’ai mis un certain temps à visionner tous les épisodes. Je n’ai clairement pas tout vu dans l’ordre chronologique, mais peu importe, j’ai rétabli ça pour cet article et les suivants qui viendront !

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Les inédits de la semaine

C’était assez compliqué de se tenir à jour dans le flot de nouveaux épisodes alors même que j’étais en vadrouille à travers le nord italien, mais j’ai tenté et pas trop trop failli. J’ai vu Scream et Unreal en direct des aéroports de Beauvais et Bologne, Wrecked, Containment, Another Period ou Angel from Hell dans l’avion. Du même coup, avec une vie aussi chargée, les notes sont assez disparates, parce qu’il y a des épisodes qui ne m’ont pas du tout (du tout) motivé et d’autres devant lesquels j’étais logiquement scotché.

Preacher (1×06), 17/20
Roadies (1×02), 16/20
Unreal (2×05), 20/20
Scream (2×06), 14/20
Wrecked (1×05), 16/20
Containment (1×11), 20/20
Cleverman (1×06), 05/20
Another Period (2×04), 14/20
Outcast (1×05), 14/20
Angel from Hell (1×08), 08/20
Angel from Hell (1×09), 08/20

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La performance de la semaine

Sur le modèle de certains blogs américains (et de TVline), j’ai décidé de me mettre en quête du meilleur acteur de la semaine. Attention, SPOILERS sur la saison 1 de Containment.

C’est inattendu, mais Katie de Containment mérite largement, et de très loin, la place de meilleure performance de la semaine, pour la réussite d’un épisode extrêment anxiogène qui mène à la mort de son personnage. Kristen Gutoskie que je ne connaissais pas avant cette mini-série et qui m’a franchement laissé perplexe au départ avec un rôle (et donc un jeu) très basique a petit à petit réussi à s’imposer comme le personnage principal qu’on voulait qu’elle soit.

Ses deux derniers épisodes nous font suivre avec horreur son avancée dans les symptômes de la maladie, l’espoir de la voir miraculeusement épargnée et l’horreur de la voir cracher du sang. Cette semaine, l’actrice se décompose donc sous nos regards impuissants, et sous ceux de son fils et de Jake. Ce n’est pas évident à jouer, mais l’écriture est heureusement impeccable et l’actrice n’a plus qu’à se laisser porter.

Plus que l’acteur, c’est peut-être le rôle que je célèbre ici, celui de la mère un peu débordée mais tellement aimante qui finit par être sacrifiée sur l’autel de sa stupidité et de sa compassion sans limite. Ses cauchemars et ses angoisses ont su être parfaitement rendus à l’écran et, même si je ne suis pas sûr d’avoir envie de voir ce que l’actrice donnerait dans un autre rôle, force est de constater que dans celui-ci, le boulot est fait et est bien fait.

C’est un arc dont je me souviendrais, même si la série est sur le point de s’achever à l’heure où j’écris ces lignes (pire, à l’heure où je les publierai, elle sera terminée).

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Les autres actus du blog

Pas franchement la masse d’actualités puisque je n’étais pas là. En revanche, j’ai englouti Secret City en faisant mes valises pour ces deux semaines et c’est une mini-saison que je recommande très chaudement et si vous n’en avez jamais entendu parler, cliquez par-là pour plus d’informations.

Bien moins positive est la note que j’attribue à la première saison de Cleverman, qui se termine enfin au son de mes ronflements. Voilà, voilà.

Retrouvez par ici les articles des semaines précédentes

Semaine 26 : du 26 juin au 3 juillet

Bonsoir à tous !

Un autre dimanche est arrivé, encore plus vite que les autres j’ai l’impression. Enfin, c’est ce qu’il se passe quand on se fait une semaine hyper chargée, avec des retards de séries à la pelle. Bonne nouvelle, j’ai quand même réussi à tout voir, mais c’était franchement pas gagné, et j’ai mis de côté mon challenge séries pour ce faire. Il faut bien faire des choix dans la vie et d’ailleurs, c’est aussi parce que j’ai fait un choix que cet article est publié si tard qu’on est lundi : ce soir encore, l’Euro m’a retardé avec un fabuleux match France-Islande. Pauvre Islande, elle a fait un beau parcours dans la compétition, c’est presque dommage de finir sans mettre le 3e but. Cela dit, ce n’est pas franchement le sujet de ce blog…

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Les inédits de la semaine

La semaine commençait avec la fin de saison de Silicon Valley qui s’en va sans prendre la grande porte, mais en proposant un épisode toujours à la hauteur de cette sitcom. Mon début de semaine était hyper chargé, c’est donc soulagé que j’ai constaté qu’il n’y avait ni Roadies ni Outcast et que Cleverman approchait de sa fin. Dommage, cette dernière n’a toujours pas réussi à me convaincre… Au contraire de BrainDead et Unreal qui confirment l’essai. Scream change de case horaire et n’est vraiment plus au niveau de l’an dernier. C’est franchement dommage et ça explique l’annulation de la série. J’espère qu’on aura droit à une jolie conclusion. Le reste est en vitesse de croisière, mais côté nouveauté, Dead of Summer n’est pas une révélation et Angel from Hell est revenue en petite forme. Bref, rien de vraiment marquant cette semaine !

Vous pouvez consulter les critiques de chaque épisode en cliquant sur le lien ci-dessous :

Silicon Valley (3×10), 15/20
Preacher (1×05), 16/20
Unreal (2×04), 18/20
BrainDead (1×03), 17/20
Scream (2×05), 14/20
Wrecked (1×04), 14/20
Dead of Summer (1×01), 12/20
Containment (1×10), 17/20
Cleverman (1×05), 08/20
Another Period (2×03), 17/20
Angel from Hell (1×06), 11/20
Angel from Hell (1×07), 08/20

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La performance de la semaine

Sur le modèle de certains blogs américains (et de TVline), j’ai décidé de me mettre en quête du meilleur acteur de la semaine.

Grosse, grosse hésitation cette semaine pour la performance de la semaine, parce que Constance Zimmer (Unreal) et Carlson Young (Scream) aurait bien mérité aussi de gros paragraphes, pour, respectivement, leur première et leur dernière scène dans l’un et l’autre des épisodes de leur série… Bluffantes. J’ai toutefois fait mon choix et me suis arrêté sur Ruth Negga.

Ruth Negga, c’est un peu une puissance montante d’Hollywood avec Warcraft et Preacher, mais avant tout ça, j’ai croisé son chemin dans Agents of S.H.I.E.L.D où elle incarnait l’excellente girl in a flower dress de la saison 1. Le personnage a beaucoup, beaucoup évolué dans la série qui elle-même n’a eu de cesse de se développer. L’actrice avait déjà su s’adapter à de nombreux changements en étant toujours très juste et ce n’est donc pas une surprise de savoir qu’elle est capable d’arriver à décrocher la place de performance de la semaine.

Cependant, si je la choisis cette semaine, c’est pour son interprétation magistrale dans Preacher. Déjà la semaine dernière, le personnage de Tulip avait traversé pas mal de choses et l’actrice s’en était bien sortie, mais cette fois, c’est simple, elle porte toute la série. Et j’exagère à peine : certes, elle n’a pas le rôle principal, mais c’était tout comme car elle fait le lien entre Jesse et Cassidy, tout en permettant d’expliquer les ¾ des intrigues de la série. Ce rôle lourd et très franchement mécanique dans l’écriture de l’épisode cinq est pourtant interprété à merveille : pas une seconde Ruth Negga n’a paru passer à côté en terme de jeu.

Mieux encore : son rôle semble avoir été construit dès le départ pour supporter ces différentes nuances, ce qui prouve un certain travail de la part de l’actrice qui avait dû se renseigner sur Tulip. En définitive, il n’y a pas eu un moment dans l’épisode où je me suis dit « wahou, c’est ma performance de la semaine » contrairement à Quinn d’Unreal ou Brooke de Scream. Non, c’est vrai, pas de scène marquante au point de figurer ici… mais un jeu parfaitement maîtrisé de bout en bout, un rôle pas facile rendu crédible et une clé de compréhension de la série qui ne pouvait qu’être soulignée cette semaine !

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Les autres actus du blog

C’est bien vide du côté de l’actu cette semaine, car qui dit semaine chargée dit « je laisse tomber les à-côtés du blog ». Oups. Et ça ne va pas aller en s’arrangeant, je le reconnais : je pars en vacances jeudi soir jusqu’à mardi. Au moins. En vrai, j’ai un planning chaotique jusqu’au 23 juillet, je ne sais pas trop ce que je pourrais poster et quand. Logiquement, ça aura des conséquences sur le blog jusqu’au 30 au moins. Bim, adieu mois de juillet.

Peu importe, je continue à regarder mes séries et je ne devrais plus tarder (lundi ou mardi) à poster mon bilan du challenge. Mieux encore, j’ai à vingt centimètres de moi les DVDs d’OTH qui me permettront de continuer mon challenge même en l’absence de wifi. J’ai tout prévu, voyez-vous.

Bon, en attendant, j’ai mis à jour l’article sur la saison 3 de Silicon Valley à l’occasion de la fin. Oui, c’est à peu près tout. Je vous avais dit que c’était chargé !

À dimanche prochain pour un autre article résumant la semaine 😉

Retrouvez par ici les articles des semaines précédentes

Semaine 25 : du 20 au 26 juin

Bonjour à tous !

Un nouveau dimanche est à notre porte et quel dimanche ! Une grande partie de nous était devant sa télé cet après-midi, à déprimer pendant 45 minutes et à faire la fête pendant les 45 suivante, après une longue pause de 15 minutes. Bref, la France a gagné son huitième de finale avec un joli 2-1. Cela dit, le foot et moi ne sommes pas de si grands amis que ça… Je vous rassure donc : j’ai largement eu le temps de voir tout un tas de choses cette semaine encore !

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Les inédits de la semaine

Le second épisode de BrainDead m’a totalement fait revoir ma copie sur la série tandis que l’absence de Roadies cette semaine me fait douter un peu de l’efficacité de ce show sur le long terme. Pas le temps de vraiment s’en inquiéter toutefois avec la suite toujours à la hauteur d’UnREAL et surtout la fin de Person of Interest. Difficile de trouver encore de la saveur au reste de la semaine une fois cet épisode visionné, parce que la fin d’une série est toujours un moment un peu difficile. Heureusement, Wrecked (photo ci-dessus) a su trouver les blagues pour m’alléger le cœur et tout ça s’est terminé sur un épisode d’Outcast brillant. En un trois mots comme en cent, le résumé de la semaine : roller-coaster qualitatif.

Vous pouvez consulter les critiques de chaque épisode en cliquant sur le lien ci-dessous :

Silicon Valley (3×09), 16/20
Preacher (1×04), 15/20
Unreal (2×03), 19/20
Scream (2×04), 14/20
BrainDead (1×02), 16/20
Wrecked (1×03), 18/20
Person of Interest (5×13), 20/20
Containment (1×09), 18/20
Cleverman (1×04), 10/20
Another Period (2×02), 15/20
Outcast (1×04), 16/20

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La performance de la semaine

 Sur le modèle de certains blogs américains (et de TVline), j’ai décidé de me mettre en quête du meilleur acteur de la semaine.

Je sais, c’est la deuxième fois que je mets Person of Interest à l’honneur en quatre semaines… C’est aussi malheureusement la dernière fois puisque l’épisode final vient d’être diffusé. Du coup, je me suis dit qu’il était temps de saluer le travail de Michael Emerson, fantastique Harold Finch tout au long des 103 épisodes de la série.

Je ne crois pas qu’il y ait vraiment grand besoin de présenter cet acteur, révélé par son rôle puissant d’Henry Gale dans LOST lors d’une tirade sensationnelle et incroyablement brillante qui s’achevait pourtant sur la question la plus stupide du monde… You guys got any milk ?

Attention, je spoile l’ensemble de LOST : De ce rôle totalement faible d’Henry Gale a émergé la figure de Benjamin Linus, redoutable leader des Autres qui en pinçait pour Juliet. Sans broncher, Michael Emerson a joué toute une palette d’émotions avec beaucoup de justesse sur l’île, de l’amour contrarié à l’amour paternel, de la joie au deuil de sa fille, du calcul froid à l’espoir d’une quête de sens. On quitte le personnage sur l’île où il aide Hurley à diriger pendant des années, acceptant une place de second qui lui correspond bien mieux que celle de leader. En flash-sideways, Ben n’est pas encore prêt à passer de l’autre côté, car il lui faut encore retrouver Alex et probablement Rousseau.

Attention, je spoile l’ensemble de POI : Après LOST, pas le temps de se reposer, Michael Emerson enchaîne aussitôt avec Person of Interest, où il incarne le personnage d’Harold Finch, un riche philanthrope ayant inventé une Machine révolutionnaire capable de prédire les prochains crimes ordinaires. Le rôle est à des décennies de celui qu’il avait dans Lost, ne lui permettant pas vraiment d’exprimer tout son jeu d’acteur. Pourtant, au fur et à mesure de la série, Finch prend de l’épaisseur et se voit attribuer un passé douloureux, avec un amour perdu pourtant encore en vie. Bref, les scénaristes nourrissent enfin l’acteur, lui laissant la possibilité de faire ce qu’il sait faire de mieux.

Dans cet épisode final, il joue donc la performance de la semaine sans le moindre problème : du sacrifice personnel finalement bafoué à l’amour retrouvé, de la douleur de voir sa Machine mourir à petit feu à celle de voir son allié et désormais ami mourir sous ses yeux à sa place, de la culpabilité de ces morts au soulagement d’avoir battu Samaritan, Harold Finch en voyait de toutes les couleurs cette semaine. Et puisque tout ça n’était pas suffisant, il se prenait également une balle pour rajouter encore à sa douleur. Tout ça aurait facilement pu tomber à plat ou être surjoué, mais Michael Emerson a vraiment su trouver les tons et la justesse nécessaire à ces scènes difficiles à voir.

Brillant d’un bout à l’autre de sa carrière, cet épisode est l’occasion ou jamais de saluer un grand acteur, qui a réussi à ne pas s’enfermer dans un seul rôle malgré l’icône qu’il représentait dans LOST. J’espère avoir l’occasion de le revoir dans une autre brillante série un jour !

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Les autres actus du blog

Si vous ne l’avez pas encore compris avec le début de cet article, je ne sais pas quoi faire de vous, mais Person of Interest s’est achevée cette semaine. J’en ai profité pour tirer un grand et long bilan des cinq saisons qui ont su devenir brillantes en partant de (très) loin. Sobrement intitulé « du Bad Code au God Mode », ce qui est une référence à la série, cet article fait le point sur ce qui ne marchait pas et ce qui me hantera encore après la fin de la série. C’est disponible par ici, n’hésitez pas à me laisser votre avis 😉

Par ailleurs, j’ai dégagé, sans trop savoir comment, suffisamment de temps pour me voir l’intégrale de la saison 3 de That 70’s show au cours de ces sept derniers jours. Tout aussi magiquement, la note moyenne de ces 25 épisodes est elle aussi de 15,5, comme pour la 1 ou la 2. Magistrale et constante, cette sitcom est une vraie réussite !

Voilà, c’est tout pour cette semaine ! Je préviens d’avance que les jours à venir sont chargés pour moi et que par conséquent les critiques et avis seront peut-être un peu retardés cette semaine. Pas d’inquiétude, je verrais tout quand même, je suis beaucoup trop accro pour éteindre mon ordi !

À dimanche prochain pour un autre article résumant la semaine 😉

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