Escape game de Noël en ligne

Salut les sériephiles !

Pour ce 5 décembre, mon calendrier de l’Avent m’a réservé une surprise un peu différente : plonger dans deux escape games en ligne sur le thème de Noël. Si l’idée m’a paru originale mais peut-être un peu enfantine au départ, je me suis finalement bien amusé, et ça m’a même surpris sur quelques points.


L’idée était sympathique, mais j’ai quelque peu galéré à trouver des escape games qui valaient la peine d’être testés. La majorité semblait vraiment fait pour des enfants, d’où cette mention d’une idée enfantine. Par exemple, j’en ai fait un, le premier proposé en fait, qui était sympa, mais pour lequel il suffisait de suivre les étapes décrites, sans autre difficulté que de déplacer la souris. Pas exactement fun. J’ai bien failli abandonné, puis je me suis dit que je pouvais demander à l’intelligence artificielle de m’en chercher d’autres.

Les deux escapes games que j’ai finalement trouvés après deux minutes et quelques prompts avaient un côté ludique et mignon, clairement pensés pour un jeune public. Le premier était 100% Noël : il s’appelait Le Casse de la Fabrique de Jouets. Il s’agissait surtout de bouger la souris là aussi, mais je me suis pris au jeu. J’ai eu l’impression d’avoir sept ou huit ans à nouveau. De toute manière, je ne cherchais pas la difficulté, juste de quoi passer un peu de temps dans l’ambiance de Noël. N’est-ce pas le but d’un calendrier de l’Avent après tout ?

Bon, c’était vite terminé cela dit. Le second était un escape Harry Potter pour une classe de primaire. L’air de rien, ça m’a pris une bonne trentaine de minutes pour boucler les deux, et je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. L’escape Harry Potter m’a particulièrement fait sourire, même s’il m’a parfois agacé (comment ça, « il n’y a pas de bout de code » à la fin de cette énigme d’histoire un peu chiante ?).

Conçu pour des élèves de primaire, il était pourtant loin d’être simple parce que… Je ne suis plus à l’école primaire, en fait. Ainsi, certains petits détails liés aux leçons d’histoire ou de maths m’ont demandé un effort de réflexion ou de calculs, des choses qui ne sont plus forcément des réflexes aujourd’hui. Rien d’insurmontable, mais juste assez pour stimuler les méninges et me replonger dans des notions oubliées. Et puis, de quoi se rappeler que les élèves n’ont pas la vie simple, en vrai. Bizarrement, ça ne me manque pas tant que ça, aussi stimulant que ce soit, hein. C’est beaucoup plus drôle d’être celui qui donne les exercices.

Je ne dirais pas non plus que j’ai été mis en difficulté, hein, et ces escapes m’ont offert une jolie parenthèse amusante dans une journée un brin compliquée. Je n’avais pas tant d’heures au boulot, mais j’ai quand même trouvé que la journée en elle-même était interminable. Je suis complètement vidé d’énergie en ce moment, avec un petit mal de crâne persistant depuis ce matin. L’effet mois de décembre sans soleil, je suppose ? Il pleut tellement. Et le vent aujourd’hui ! N’empêche que, j’étais déjà malade il y a moins d’un mois, j’aimerais bien éviter que ça ne recommence.

J’ai pu aller au bout des deux escape games quand même, alors le plaisir de réussir était au moins là – même si celui Harry Potter a bugué juste avant la fin, je considère que j’étais au bout, parce que je n’allais pas tout recommencer, tout de même. Cette petite magie du remue-méninge s’inscrit parfaitement dans l’esprit de Noël, je trouve. Honnêtement, c’est le genre de chose que je n’aurais jamais fait sans ce calendrier de l’Avent, alors je suis content de m’être prêté au jeu et content d’avoir eu cette idée de calendrier de l’Avent d’intelligence artificielle. C’est déjà ça.

Et dans tout ça, ce qui m’a marqué, c’est qu’il existe plein de ressources gratuites sur Internet pour s’occuper autrement que ce que je fais habituellement, et ces deux escapes sont de bons exemples. C’est rapide, accessible et une activité de Noël comme une autre. Et vous, ça vous tente ?

Wizards of Baking… Obviously.

Salut les sériephiles,

Aujourd’hui, je vous parle d’une émission qui n’aurait jamais existé il y a quelques années mais qui, aujourd’hui, semble étrangement inévitable… Harry Potter: Wizards of Baking. Si, si. Sortez vos baguettes et enfilez vos tabliers.

Un concept qui surprend

On connaît tous l’engouement autour de l’univers d’Harry Potter, qui s’étend désormais bien au-delà des livres et des films originaux. Wizards of Baking exploite cette même magie mais la transpose dans un environnement qui pourrait sembler, au premier abord, très terre-à-terre et loin de tout ça : une cuisine. Cette compétition culinaire (une de plus !), diffusée à partir d’aujourd’hui sur Food Network (et disponible en streaming sur Max), réunira neuf équipes de pâtissiers professionnels, prêtes à rivaliser de créativité pour revisiter des recettes inspirées de la saga, des Chocogrenouilles aux Mandragores en sucreries. Ce qui démarque vraiment l’émission, c’est l’utilisation de décors originaux des films, une touche immersive qui fait rêver et qui ravive la magie. Puis, on ne va pas se mentir, ça donne envie de tester des trucs…

L’animation de l’émission est confiée à James et Oliver Phelps, connus pour leurs rôles de Fred et George Weasley dans les films Harry Potter. Leur humour et leur complicité naturelle apportent vraiment la touche qui donne envie de tester l’émission (j’avais eu la chance de les voir à Paris il y a cinq ans et je les avais adorés… j’en parlais par ici, et oui, pour une fois, c’est pas sur le blog !). Bien sûr, c’est devenu compliqué Harry Potter avec JK Rowling et je n’ai pas envie d’aller lui redonner de l’argent… Mais les jumeaux Phelps sont vraiment des acteurs chouettes et sympathiques. Ils sont coincés dans des rôles qu’ils ne dépasseront probablement jamais, et c’est leur gagne-pain après tout. Je suis content de les revoir à l’écran, ça aide tellement à vendre le concept ! J’aurais préféré que ça se fasse sans le nom « Harry Potter », je crois (mais est-ce qu’après tout la magie n’est pas aussi ce qui m’attire ?).

Des défis ou un sort ?

Les défis proposés aux pâtissiers dans la bande-annonce rappellent Poudlard, avec des mandragores en bonbons, des potions en cupcakes ou encore des gâteaux reproduisant la cabane de Hagrid. Pas sûr que ça donne vraiment envie de tout tester et tout reproduire chez soi (surtout que les recettes risquent d’avoir un côté très british). N’empêche que ! Les pâtissiers vont a priori devoir se doter d’un esprit créatif pour transforme chaque défi culinaire en une occasion de montrer leur talent, et rien que ça, ça me donne envie de voir ce qu’ils peuvent proposer.

Pour juger ces merveilles culinaires, l’émission réunit des experts du monde de la pâtisserie, mais également quelques invités spéciaux. Parmi eux, des acteurs emblématiques de la saga viennent jouer les goûteurs, ajoutant inévitablement une note de nostalgie qui donne envie de la regarder : Bonnie Wright (Ginny Weasley), Evanna Lynch (Luna Lovegood) ou Warwick Davis (Flitwick) sont ainsi annoncés.

JK Rowling a peut-être ch*é sur mon enfance ces dernières années, mais ces acteurs non. Les revoir à l’écran, les revoir ensemble ? Ca me vend du rêve. Je me demande inévitablement à quel point Rowling en tirera des bénéfices, mais j’ose croire que ce ne sera pas trop le cas comme elle a revendu pas mal de ses droits à Wizarding World.

Alors, est-ce que je regarderai ?

Je ne peux pas mentir : je ne suis pas encore décidé. Je suis vraiment partagé : je n’en regarde jamais des compétitions comme ça, c’est une vraie perte de temps et, vraiment, même si Harry Potter est une partie de moi que je ne peux pas faire taire quoique je fasse (c’est mon enfance, c’est dans mon ADN cette saga, je sais que je vois le monde à travers un prisme potterhead), les propos de JK Rowling sur Twitter me dérangent trop pour que je sois totalement apaisé.

Ce qui est sûr, c’est que quand j’ai vu passer le concept la première fois, j’ai rigolé et suis passé vite à autre chose. La deuxième fois, j’ai regardé la bande-annonce d’un oeil que je pensais distrait… et qui finalement a été happé. Avec des créations magnifiques et des guests que j’aime, l’émission sait déjà surprendre et émerveiller avant même d’être diffusée.

Cela ne m’étonnerait donc pas qu’elle devienne rapidement un fond sonore – et qui sait ? Elle m’inspirera peut-être pour le repas de Noël… La période choisie pour la diffusion est franchement idéale. Moi qui ne regarde jamais ce genre d’émissions, je sens que je vais me faire avoir par ce marketing tout pété et tout Potterhead.

J’ai besoin d’une nouvelle série préférée

Salut les sériephiles,

Vous aurez remarqué que ces derniers temps, il n’y a plus tellement de critiques d’épisodes sur le blog. Pire, je n’ai téléchargé qu’une seule photo pour une critique depuis le 1er avril. La blague continue donc par ici en ce moment, et j’ai de plus en plus de mal à me motiver pour regarder une série. Vous allez me dire, je vous vois venir, que je n’ai qu’à me poser sur mon canapé et faire play, mais ce n’est pas toujours si simple la vie et en ce moment, je n’arrête pas d’enchaîner les sorties, les promenades (surtout que le soleil était revenu) et le travail, ce qui fait que je me retrouve sur les moments calmes à regarder des films où je n’ai pas de critique à écrire.

Ou alors, je me retrouve à dormir, comme aujourd’hui où ma nuit de huit heures a été complétée par une sieste de quatre heures, le genre de truc qui ne m’arrive jamais. Vous le sentez venir l’autotest juste pour vérifier ? Je pense que c’est simplement de la fatigue accumulée par une période compliquée et riche en (mauvaises) émotions, mais bon. En attendant les vacances qui seront tout aussi crevantes (mais en bonnes émotions cette fois, j’ai si hâte) vu comment elles se profilent depuis quelques jours, voilà donc que j’en arrive à une journée où je ne sais pas quel article écrire. J’avais prévu deux articles qui sont des rendez-vous habituels de milieu de mois, mais j’espère voir quelques épisodes demain pour que ça prenne plus de sens.

Voilà donc pourquoi vous vous retrouvez avec ces 500 mots assez bavards : ils sont faciles à écrire, ça vient tout seul et j’en ai déjà oublié mon idée d’origine, que j’ai eu en allant me promener quelques minutes : les séries qui me manquent. Non, parce que, il faut se rendre à l’évidence : si je ne regarde plus de séries, c’est aussi parce que j’ai un problème en ce moment. En fait, je ne retrouve plus mon bonheur. En prenant un peu de recul, il est facile de voir que mes pannes de séries à répétition sont arrivées depuis 2020.

En 2020, il y a certes eu une pandémie, mais il y a surtout eu la fin de tout un tas de séries que j’adorais. Et aujourd’hui ? Je me retrouve coincé dans des rewatchs – WandaVision, The Magicians, des épisodes de Buffy parfois et une envie de plus en plus forte de revoir LOST – et ce n’est pas un hasard : je ne trouve plus forcément ce que je cherche dans les séries en cours. Je m’en suis rendu compte aux retours de The Walking Dead et de Charmed, quand j’ai eu quelques scènes d’action ou de magie me rappelant que c’était plutôt ça mon genre : la série fantastique, la série de science-fiction à la rigueur, avec un peu d’action. Les héros qui combinent plusieurs pouvoirs pour vaincre les méchants… tout en faisant de bonnes blagues, avec des vraies répliques dynamiques et bien agencées. Eh, ça me manque.

J’ai l’impression d’être de plus en plus en train de subir certaines séries. Il y a les séries procédurales, que je regarde en fond sonore, où c’est bien normal ; mais il y a aussi toutes les séries qui parlent de la vie quotidienne – Grey’s, This is us… Je les aime, d’accord, mais ça manque d’une part de rêve. Cette part de rêve, je l’ai un peu reçue avec Les Animaux fantastiques cette semaine, et ça me donne presque envie de me remettre à fond à l’écriture – m’enfin, j’ai encore moins le temps.

Bref, je ne sais pas où va cet article. La conclusion la plus logique après ces 500 mots, c’est juste que je vieillis et que j’ai de plus en plus tendance à être nostalgique de mes séries préférées. Ce n’est pas faute d’avoir une production conséquente et qualitative en ce moment, mais ça arrive moins à me fasciner et me donner envie de me plonger dedans. Allez savoir, peut-être que le retour des répliques percutantes de Gentleman Jack va me redonner envie d’un rendez-vous hebdomadaire ? Je n’en suis pas sûr : les critiques sont bien compliquées à écrire pour celle-ci.

Et avant que je n’en revienne à cette idée stupide, laissez-moi me rappeler que non, les critiques ne sont pas le problème. J’adore écrire des critiques de ce que je regarde. Oui, je regarderais sûrement un peu plus de séries sans le blog et sans les critiques à écrire, mais non, je n’ai pas envie de m’en passer. Il va juste falloir retrouver un meilleur équilibre entre tout ça d’ici la fin d’année scolaire. En attendant, je continue de voir des épisodes déjà vus sans même en parler sur le blog.

Vivement que je me retrouve une série préférée : celle qui me donnera envie de me jeter dessus chaque semaine, comme Euphoria avait un peu réussi à le faire au début de cette année. Et en même temps, pour ça, il faudrait que je tente de nouvelles séries en plus de toutes celles que j’ai envie de terminer – ou dans lesquelles je dois me mettre à jour. L’été va être chargé comme ça… surtout que ce n’est pas comme si un certain nombre d’entre vous n’avait pas déjà insisté lourdement pour me vendre des séries géniales. Un jour, je vous écouterai(s). Oui, entre parenthèse. J’ai envie de croire que ça puisse être un futur, pas un conditionnel.

Revoyez vos conjugaisons si vous n’avez pas la blague, et passez un bon samedi soir !

Les mondes magiques Harry Potter et les Animaux Fantastiques (Pop Up!)

Salut les cinéphiles, et les lecteurs,

Un numéro exceptionnel de 244 pages autour de Harry Potter et des Animaux fantastiques pour célébrer la sortie du film Les secrets de DumbledoreAujourd’hui, je reviens vers vous pour vous parler d’un magazine que vous connaissez déjà de nom si vous suivez le blog depuis un moment. En effet, je viens vous présenter l’une des dernières sorties de la collection Pop Up ! des éditions Diverti, qui ont eu la gentillesse de me faire parvenir ce nouveau magazine la semaine dernière.

Pour son huitième numéro, cette collection revient une nouvelle fois sur les mondes magiques de Harry Potter et des Animaux fantastiques. C’est la bonne semaine pour vous en parler puisque le troisième volet des aventures de Newt est au cinéma en ce moment.

Voir aussi : Besoin d’un résumé des Animaux Fantastiques et des Crimes de Grindelwald ?

244 pages pour en prendre plein les yeux

Pour rappel, à la sortie du deuxième film, le magazine avait déjà consacré un numéro complet aux aventures de ces deux héros de JK Rowling, dans la collection Tout Savoir, que j’adore tout particulièrement pour son habitude de fournir de petites encyclopédies sur tous les sujets. C’est également le cas avec la Collection Pop Up ! dont les numéros font eux aussi 244 pages, histoire d’avoir l’occasion de revenir sur les deux sagas.

Voir aussi : Les Mondes Magiques Harry Potter & Les Animaux fantastiques (2018)

J’avoue avoir eu une petite déception quand je me suis rendu compte que le magazine portait une nouvelle fois sur Harry Potter. J’aurais aimé 244 pages rien que sur Newt et ses acolytes, mais je me doute que ça serait un chouilla moins vendeur – et aussi plus compliqué d’avoir de quoi remplir 244 pages. De toute manière, j’écris ça parce que c’était mon premier instinct en voyant la couverture, mais la vérité, c’est que j’ai beaucoup apprécié également les pages consacrées aux huit films, parce qu’elles révèlent plein de petites informations sur les films. Rien de 100% inédit, mais une compilation d’infos que j’avais oubliées – ou que je ne savais pas forcément, d’ailleurs.

Une mine d’informations et de théories

Est-ce que ça vaut le coup si l’on a déjà le premier numéro ? Il y a quelques redites, évidemment, notamment dans les pages se consacrant aux personnages des onze films, mais je continue de penser que oui. Inévitablement, les informations sur les acteurs sont mises à jour et en plus, j’ai vu un certain nombre de films depuis la dernière fois.

Un numéro exceptionnel de 244 pages autour de Harry Potter et des Animaux fantastiques pour célébrer la sortie du film Les secrets de Dumbledore - sommaire 01Au-delà de ça, il y a des dossiers vraiment sympathiques dans le magazine, notamment sur JK Rowling avant le succès ou la PotterMania. Le dossier sur Les Secrets de Dumbledore est l’occasion de se replonger dans l’univers sans avoir à repayer une place de cinéma, tout en nous permettant aussi de découvrir quelques théories qui auraient pu être chouettes à l’écran – ou qui l’ont été ? Je vous laisse lire le magazine et voir le film pour le savoir.

Voir aussi : Mon avis sur Les Secrets de Dumbledore

Une autre page que j’adore ? Celle qui se consacre à faire un point sur la chronologie historique de ces deux univers. Bien sûr, JK Rowling avait affirmé vouloir s’écarter de l’univers Harry Potter et a pris des libertés sur les dates, mais plus on avance dans les films des Animaux fantastiques, plus on se retrouve avec une superposition des univers pour que tout se déroule selon la même chronologie. C’est donc plutôt intéressant de pouvoir tout remettre en place et de constater à quel point les événements vont finir par être simultanés – notamment la visite de Dumbledore dans l’orphelinat de Voldemort.

Un numéro exceptionnel de 244 pages autour de Harry Potter et des Animaux fantastiques pour célébrer la sortie du film Les secrets de Dumbledore - Sommaire 02J’ai aimé aussi les pages sur les couvertures des différentes éditions Harry Potter à travers le monde ou sur l’éphémère Pottermore : dans les deux cas, c’était l’occasion de redécouvrir ce que je connaissais déjà, mais dans des mises en page nouvelles, avec plein d’anecdotes et d’informations croustillantes. C’est toujours ce que j’aime avec ces magazines : ils ont l’art de la mise en page et du détail, ça aide bien à se projeter. D’ailleurs, autant vous dire qu’il y a tout un dossier sur les lieux londoniens des tournages, et là aussi, je me suis projeté – de même que je me projetterais bien aux Universal Studios… J’ai découvert ainsi qu’une partie du Paris des années 30 devrait y atterrir d’ici quelques années.

Bref, une bonne lecture et un magazine auquel se référer en cas de doute sur quoique ce soit concernant cet univers… Disponible chez tous les marchands de journaux à 19€90.

Voir aussi : Les Mondes de Disney, un magazine indispensable pour les fans