Un cadeau idéal pour sériephile

Proposition quotidienne de rédaction
Quel est le plus beau cadeau que l’on puisse vous offrir ?

Salut les sériephiles !

Toujours en quête de retrouver ma passion pour les séries qui a disparu il y a quelques temps, j’ai décidé de répondre à un maximum de questions quotidiennes en l’abordant avec l’angle des séries. Tant que je suis en vacances, j’ai le temps de le faire, non ? Pas vraiment, mais bon, on va faire comme si et voici une nouvelle question qui pique ma curiosité. Parlons du plus beau cadeau qu’on puisse me faire.

Ce n’est pas compliqué, en fait, il suffit d’accéder à ma liste d’envies, toujours disponible sur le côté du blog. On y trouve tout un tas d’idées pour me faire des cadeaux, alors vraiment n’hésitez pas : des livres (je n’en ai pas du tout une vingtaine à lire déjà !), des DVDs, des produits dérivés, des accessoires (notamment pour parfaire mon agenda/bullet-journal !) et même des vêtements, il y a tous les plus beaux cadeaux sur cette liste et je ne dis jamais non à un cadeau venant de vous, voyons. Non ? Bon, d’accord, c’était pour l’humour – avouez que c’était tentant d’en parler, tout de même.

Mais soyons sérieux, on est quand même là pour parler de séries, non ? Le plus beau cadeau qu’on puisse me faire serait alors, sans aucun doute, du temps. Je sais, je sais, je dis toujours que si l’on veut trouver du temps pour faire quelque chose, on le trouve et que de toute manière, le temps, ça se créé si on en a vraiment envie… N’empêche que quand je rentre le soir, je suis souvent trop claqué pour prendre le temps de regarder un épisode, surtout quand ça veut dire qu’il faut écrire la critique en parallèle ou après !

Bref, il me faut du temps où je suis reposé pour dévorer ces pépites qui peuplent les plateformes de streaming. Parce que soyons réalistes, la liste des séries à regarder ne cesse de s’allonger plus vite que je ne peux en rayer une de cette liste. Offrir quelques heures en plus au début de mes journées ? Voilà un cadeau qui serait apprécié à sa juste valeur ! Oui, oui, au début. Ces vacances scolaires me confirment que j’adore commencer ma journée par les séries avant d’enchaîner sur d’autres choses, c’est un rythme qui me convient beaucoup mieux. Et je vous vois les mauvaises langues qui disent que j’ai déjà du temps avec les nombreuses vacances, mais euh, non, je les consacre à travailler, hein, je ne suis pas un élève (qui, soit dit en passant, bossent souvent pendant les vacances eux aussi parce que les collègues mettent trois tonnes de devoirs).

Après, si on veut quelque chose de plus réaliste et concret en imaginant un cadeau idéal pour cette nouvelle année… Imaginez une série qui m’emporte autant que Agents of S.H.I.E.L.D ou The 100. Vous savez, ce genre de série qui vous happe dès les premières minutes (bon, ou dès l’épisode 3 pour la seconde citée) et ne vous lâche plus, celle qui vous fait oublier le monde autour de vous. En cette nouvelle année, c’est le vœu le plus cher que je puisse formuler : découvrir une série qui rallume la flamme de ma passion et me redonne envie d’écrire et crier mon amour pour les séries.

Cela dit, petite parenthèse pour conclure l’article, sachez que je viens justement de terminer ce matin la saison 1 de Lessons in Chemistry. J’ai donc déjà eu un très beau cadeau puisque cette série se confirme comme un vrai coup de coeur. Elle n’a pas le statut de série culte et ne sera jamais une nouvelle Buffy par exemple, mais elle m’a au moins permis de passer un excellent moment. Et ce n’est pas fini, en plus : Gaëlle m’a offert pour Noël le roman qui a inspiré la série (et oui, je l’ai commencé aussi ce matin aussi, j’adore déjà), donc je vais rester un peu dans cet univers, c’est déjà ça. Et c’était donc déjà un des plus beaux cadeaux !

Sur ce, surveillez le blog, les articles sur la série arriveront bientôt. En attendant, je vous dis à bientôt pour, qui sait, peut-être ouvrir un cadeau inattendu reçu de la part d’un d’entre vous… Comment ça, non ? Pff. C’est bientôt mon anniversaire, je vais prendre mon mal en patience.

Un détour par mon université préférée

Proposition quotidienne de rédaction
Quelles universités avez-vous fréquentées ?

Salut les sériephiles,

Troisième jour et me revoilà, avec une question qui n’a pas grand intérêt pour le blog. Pour les plus curieux d’entre vous, ou pour ceux qui arrivent ici en passant par le widget WordPress, la réponse est Nanterre-Université, à une époque où elle s’appelait comme ça (mais bon, elle a changé de nom trois fois rien que le temps que j’obtienne mon master). Pour les autres, je vais détourner l’article, une fois de plus, parce que je suis toujours au début de ma quête qui consiste à retrouver ma passion pour les séries.

Et oui, cette question m’y a fait penser. Cela peut paraître improbable, et pourtant, ça m’a rappelé que quand j’étais encore étudiant, j’avais tendance à dépenser encore plus dans les objets dérivés. J’étais tellement fan de séries que j’avais toujours envie d’acheter des objets en rapport avec les séries, y compris des vêtements. C’est comme cela que j’ai réussi à me faire offrir un pull Community à l’effigie de la fac de Greendale, et que je me suis retrouvé à l’université de Greendale moi-même.

Un jour que je prenais le train pour Versailles, un couple d’américains approchant de la soixantaine s’est assis en face de moi. Assez vite, j’ai remarqué qu’ils me regardaient un peu trop, alors j’ai fini par lever les yeux de You’re never weird on the Internet de Felicia Day. Parce que oui, j’étais en train de lire cette petite pépite. Nos regards se croisent et là, l’américaine me dit bonjour et entament la conversation. C’est très américain ce genre de small talk et j’étais tout content de pouvoir sortir mon horrible accent pour lui répondre.

Malgré tout, on arrive à se comprendre et assez vite le mari entre dans la conversation. Vous devez le voir venir avec le titre de l’article, mais inévitablement, le couple finit par me demander où se trouve la fac de Greendale où je fais mes études. J’aurais pu leur mentir et improviser quelque chose, parce que de toute manière, je savais bien que je ne les reverrais jamais et que la conversation n’allait pas durer vingt minutes non plus, mais bon, je me suis retrouvé à leur expliquer que j’étais fan de séries. Là-dessus, il a fallu leur raconter tout Community.

Et si j’ai bien senti qu’ils étaient un peu déçu que je ne sois pas un américain, ni un étudiant de retour en France après des études aux USA, moi, j’étais tout content d’avoir pu faire la promotion de cette excellente série. S’ils étaient déçus, moi, j’ai senti qu’en fait, j’appartenais bien au campus de Greendale. J’en connais la devise par cœur – E pluribus anus – quand je n’ai aucune idée de la devise de ma fac (en a-t-elle une, même ?) et je pense plus souvent à la série qu’à mes cours, hein.

Pour cette raison, je ne vous la recommanderai jamais assez d’ailleurs, elle raconte les aventures d’un study group dans une fac américaine – un Community college, l’équivalent d’une fac publique avec peu de moyens, en gros. Dis comme ça, ça ne vend pas du rêve, mais allez-y les yeux fermés : c’est une comédie excellente, qui verse dans l’humour meta, les parodies et les running gags grâce à un petit groupe de personnages stéréotypés, mais tout de même surprenant. Il y a six saisons et un film à voir. Bon, j’attends encore le film, ralenti par la grève des scénaristes, mais il arrive, pour de vrai.

Peut-être qu’un rewatch de Community pourrait m’aider à retrouver ma passion des séries ? C’est quand même un souvenir totalement random que je vous raconte aujourd’hui, mais assez caractéristique d’à quel point les séries envahissaient ma vie avant. Aujourd’hui, quand il s’agit d’acheter des stickers pour décorer mon agenda, je me résigne à en choisir de mes séries en cours sans être autant à fond. Et ça, il faut que je trouve le moyen d’y remédier.

Vous l’aurez compris, ces articles répondant aux questions WordPress sont là aussi pour ça. Et après tout, je pense qu’on peut bien dire que j’ai fréquenté l’université de Greendale. C’était après être passé par l’Hearst College de Neptune et par le campus de luniversité de Sunnydale, souvenez-vous… Depuis, bien sûr, j’ai eu la chance d’intégrer Brakebills et je vous invite à m’y rendre une petite visite :

Et si… je retentais le Challenge Séries ?

Proposition quotidienne de rédaction
Jouez-vous au quotidien ? Que signifie s’amuser pour vous ?

Salut les sériephiles,

Oui, déjà un nouvel article papotage, le deuxième en deux jours, je sais, c’est choquant. Et ce n’est que le début. Tant que ce sont les vacances, j’ai envie de voir si j’arrive à répondre chaque jour aux questions que WordPress pose. Et je ne suis pas senti aidé par celle du jour, parce que non, je ne joue pas. Cela dit, je me suis rendu compte que c’est peut-être le problème !

Vous le savez, ma quête principale pour cette année (ça y est, je regarde Percy Jackson et je me mets à raisonner avec des quêtes), c’est de retrouver ma passion pour les séries. La routine a pris le dessus, l’amusement que j’avais à partager mon avis sur les épisodes s’est éclipsé un peu. Jusque-là, ma lueur d’espoir dans ce brouillard de lassitude restait le Bingo Séries. Chaque mois sur le blog, je vous propose une grille de vingt objectifs, comme vous le savez. Ces derniers mois, personne n’arrive à 20 cependant, ce qui participe aussi à me donner cette impression que la passion s’estompe. Il va donc peut-être me falloir du renouveau dans mon approche des séries… alors pourquoi pas avec cet axe du jeu au quotidien ? Pourquoi pas revenir à une autre formule qui me plaisait ?

Voir aussi

Je me suis ainsi souvenu du Challenge Séries, cette course qui permettait théoriquement de rattraper douze séries en un an. Je n’y arrive plus depuis un moment, j’abandonne toujours, mais je me dis que ça pourrait être bien de retenter cette année, surtout que je sais que certains ici continuent d’y participer.

Les séries qui me feraient de l’œil si je devais m’y mettre ? Assurément, Severance en premier, parce que pour moi le Challenge n’a de sens que si on découvre au passage de nouvelles séries même si ce n’est pas le plus logique. Le truc, c’est que pour moi, le plus logique, ce serait de rattraper des séries dans lesquelles je suis en retard alors que je les ai aimées à un moment. Et là, j’ai l’embarras du choix…

C’est alors plus fort que moi : j’ai dressé la liste et le mois idéal pour tout rattraper. Quand je disais que vous n’étiez pas prêt, je crois que je suis en train de me convaincre tout seul de réessayer le challenge alors que ce n’était pas prévu et que je sais que je ne vais pas y arriver. Bref. Severance en janvier, et ensuite ?

Ensuite, deux saisons de You pour février parce que c’est la St Valentin, la dernière de TWD World Beyond et Fear the Walking Dead en mars/avril parce que les zombies ont toujours été une valeur sûre, la dernière de Dear White People en mai parce que pourquoi pas, faut bien le finir. On arrive alors en juin où je n’ai le temps de rien : les trois ou quatre épisodes de la saison 5 de Strike peuvent faire l’affaire (et puis, d’ici là, j’aurais peut-être commencé le tome suivant). Juillet/août ? L’été, c’est parfait pour du Club de Cuervos (des années que je veux la terminer !), Stranger Things ou In the Dark.

Et ensuite, c’est foutu car c’est la rentrée. Mais bon, il me resterait grosso modo à terminer Lucifer, voir une autre mini-saison 1 (j’ai l’embarras du choix, mais par exemple Obi-Wan Kenobi) et me faire un petit rewatch dans l’année et hop, ce serait plié. Je ne sais pas si c’est bien crédible d’envisager un tel challenge. Pourquoi ça paraît toujours si simple sur le papier ?

Probablement parce que j’oublie qu’il va y avoir des nouveautés aussi cette année et que je suis incapable d’y résister. Et puis, parce que je suis en vacances, j’oublie que je suis débordé autrement, alors je me dis que c’est envisageable de jouer à nouveau. Au pire, même si j’échoue, j’aurais toujours avancé un peu dans mes séries, non ? Allez. Je me chauffe, on va dire que je participe. Voilà, c’est ça s’amuser pour moi, c’est prendre ce genre de décision sur un coup de tête et y trouver du plaisir. Enfin… J’espère y trouver du plaisir.

Et puis, qui sait ? Dans cette quête pour retrouver le fun, peut-être que je réussirai à transformer à nouveau mes critiques quotidiennes en une aventure ludique – et à retrouver ma passion ? Je vais me faire une page de mon agenda rien que pour le Challenge histoire de pouvoir cocher mon avancement au fur et à mesure et ainsi avoir une forme d’amusement. Puis, c’est super satisfaisant en plus, et c’est le but du jeu pour moi.

Sur ce, rendez-vous sur le blog dans quatre jours pour découvrir le prochain Bingo Séries. En attendant, à vos marques, prêts, binge-watchez (c’est faux, je vais bosser un peu parce que bon, je ne suis pas prêt pour la rentrée. Du tout.) !