à la Une

Bienvenue

> News | Critiques du moment | L’agenda | À ne pas manquer

News

Mises à jour régulières de cette page, n’hésitez pas à venir y jeter un œil.
Les dates données sur le blog sont J+1 pour les US.
> News | Critiques du moment | L’agenda | À ne pas manquer

Les saisons critiquées en ce moment

20/02 – Bon, cette fois, ça y est, il faut que je dise adieu à mes 30 piges et que je me fasse à l’idée d’avoir 31. Pour l’occasion, NCIS propose aujourd’hui un épisode en hommage à Ducky, puisque l’acteur est décédé l’été dernier. Pas si joyeux que ça, l’anniversaire.

Cela dit, c’est en réalité un sentiment doux-amer, puisque ça signifie aussi que l’heure de la rentrée des séries a enfin sonné. Il était temps !

Je n’ai pas du tout profité de la grève des scénaristes autant que je l’aurais voulu, mais 2024 commence plutôt bien du côté du Challenge Séries. Je rattrape quand même l’air de rien des séries dans lesquelles j’avais quelques années de retard.

Qui sait, peut-être qu’à 32 ans, je serai de nouveau à jour partout. C’est peu probable quand je vois le nombre de nouvelles saisons – et nouvelles séries – qui m’attendent dans les semaines à venir.

Vous voyez, mon anniversaire est joyeux quand même.


> News | Critiques du moment | L’agenda | À ne pas manquer

Calendrier des séries

21/02
26/02
  • Nouvel épisode du podcast
15/03

> News | Critiques du moment | L’agenda | À ne pas manquer

À ne pas manquer sur le blog…


9-1-1 – S07E05 – You Don’t Know Me – 15/20

Oh, beh ça alors, ce que les gens imaginaient n’est pas du tout la direction suivie par la série qui continue de jouer avec les nerfs et les attentes de tout le monde, vraiment, je ne m’y attendais pas. Bon, en vrai, l’épisode a des scènes très sympathiques et pas mal d’humour du côté de l’intrigue qui fait couler plein d’encre ; sans pour autant n’avoir rien à raconter à côté. En revanche, on fait des économies sur les interventions cette semaine apparemment.

Spoilers

Buck n’est pas si à l’aise que ça à l’idée de son rencard avec Tommy.


Can we go back to the pronoun?

Buck

Difficile de commencer la journée par autre chose que cet épisode, parce que je suppose qu’il est impossible de mettre les pieds sur Twitter sans être immédiatement spoilé – ça fait une semaine que tout mon fil est composé à facilement 50% de Buck. Les scénaristes semblent le savoir en plus : l’épisode commence par la présentation d’un type en one-man show qui parle du contrôle qu’on peut avoir sur soi… avant de perdre le contrôle de sa main.

Bref, un cas pour les pompiers de la 118 tant c’est improbable. On finit cette introduction par un peu d’humour bien particulier quand l’homme se retrouve à étrangler Buck à plusieurs reprises, puis à écraser l’entre-jambe d’Eddie. Ben tiens, commençons l’épisode avec Eddie ayant une main sur ses parties génitales.

Cela permet de faire une bonne transition vers le rencard entre Tommy et Buck. C’est un peu lourd comme écriture, je ne m’en remets pas : Buck est complètement stressé par le fait d’être un rencard avec Tommy. Ils ont une bonne alchimie entre eux, en vrai, mais Buck est insupportable. Bon, en vrai, il y a sûrement quelque chose de cohérent à le voir si inquiet d’être dans un lieu public – après tout, il est encore dans le placard, qu’il le veuille ou non.

Le problème, c’est que Tommy ne l’est plus et que sa patience a logiquement des limites. Que Buck soit stressé et regarde partout autour de lui, c’est une chose. Qu’il soit super bizarre quand ils tombent par hasard sur Eddie et Marisol (c’est vraiment un truc de séries, ça, sur le nombre de restaurants qui existent à LA, sérieux !), c’en est une autre, moins géniale à supporter.

Les scénaristes sont dans l’abus total, en plus, avec Eddie qui annonce qu’il est prêt à s’installer avec Marisol. Buck, lui, est tout gêné de tomber sur Eddie alors il en fait des caisses – et franchement, il a rarement paru aussi… efféminée ? Allez, normal de changer un peu de personnalité en libérant les potentialités et en « gardant ses options ouvertes ». Oui, oui, les scénaristes réutilisent à nouveau cette formulation, il faut qu’il se rassure le Buck, apparemment. Et ça, c’est cohérent.

Toujours est-il que Tommy finit par le planter devant le restaurant, n’assumant pas de passer le reste de la soirée avec quelqu’un qui n’est pas prêt à assumer qu’il est attiré par un mec. C’est bâtard de couper court au rencard, mais en vrai, qu’est-ce que je le comprends ! Ils ont passé l’âge d’être des adolescents et il arrive à un moment où, premier mec ou pas, faut savoir ce qu’on veut quand même.

Seulement, Buck, lui, est complètement paumé vis-à-vis de ce qu’il veut. Enfin, il pense vouloir Tommy ; on sait tous qu’il veut plutôt Eddie en théorie (je veux dire, ça fait six saisons qu’on se les tape en tant que « meilleurs amis » qui élèvent le même gosse et flirtent sans s’en rendre compte tout de même, il serait temps), mais… Il n’arrive pas à la conclusion pour autant.

Ainsi, quand il raconte à demi-mot sa soirée à Maddie, le problème n’est pas tellement que la « connaissance commune » avec qui il était en rencard le plante, le problème, c’est qu’il mente à Eddie. Et pourquoi raconter ça à Maddie tout en souhaitant conserver l’anonymat autour de Tommy – et de son genre ? Mystère. Buck ne doit pas être tout à fait prêt. Et je trouve ça frustrant comme écriture. Se découvrir bi, c’est une chose, mais y aller autant avec des pincettes et marcher autant sur des œufs ? Ce n’est vraiment pas la manière dont il se comporte habituellement où j’ai l’impression qu’il avait plus confiance en lui que ça. Bon, c’est perturbant de se découvrir, soit, mais… En fait, c’est pas mon caractère de tourner autour du pot, alors je crois que je perds patience.

Heureusement que Maddie existe, quoi. Elle écoute son frère, cherche à le comprendre, capte soudainement le pronom qu’il utilise pour « son rencard » et bordel, elle est incroyable. La scène m’a fait mourir de rire, avec Buck qui recommence à insister sur le fait qu’il est un allié et Maddie qui cherche à mieux comprendre son frère. Elle n’a pas forcément les bonnes réactions (ce « wow » ?), mais elle retombe sur ses pieds super vite et comprend bien le problème que son frère a vis-à-vis d’Eddie, même s’il ne le comprend pas lui-même. Et ce « ce n’est pas anormal » de checker le cul des mecs en réponse à son « c’est normal ». Je meurs.

Tout cela termine plutôt bien, avec Maddie qui une fois de plus insiste que sur le coming out tourne autour d’Eddie sans le dire aussi clairement, avant de demander plus d’infos sur Tommy. Ah lala.

Eddie

Pendant ce temps, Eddie emménage donc avec Marisol, qui laisse son appartement en location pour s’installer chez Eddie. C’est tellement rapide comme installation que c’est le moment où il découvre que Marisol a failli devenir une nonne. En terme de développement de personnages et d’intrigues, on part sur du grand n’importe quoi tout de même – Marisol devient une figure de Marie aux yeux d’Eddie. Vraiment, j’abandonne avec eux.

Eddie aussi abandonne la raison et la logique apparemment. Il décide donc de se lever plus tôt et de partir à la caserne pour éviter d’avoir à lui dire qu’il n’a pas envie de faire l’amour avec elle (comme tous les matins, du coup ? Sacré planning !). C’est là que Buck le retrouve et vient lui parler. Il souhaite en fait lui parler de lui, mais bon, Eddie a ses propres problèmes de religion et d’abstinence sexuelle.

Buck se montre de bons conseils avec son meilleur ami, mais il n’aborde pas du tout son coming-out. Il conseille à Eddie de parler de son couple à Bobby, parce que Bobby est un catholique pratiquant, contrairement à Buck, élevé sans la culpabilité religieuse. Les conseils de Bobby sont meilleurs que prévus : il comprend qu’Eddie a dû mal avec la notion d’engagement, en fait. Est-il vraiment sûr de vouloir emménager avec Marisol quand il ne parle jamais d’elle comme il devrait le faire s’il était si amoureux ?

Allez, ce n’est pas la question d’Eddie finalement. Sa question est de savoir de quoi faire – et Bobby lui conseille de se confesser pour parler à l’ex de Marisol. Finalement, ce qu’Eddie fait, c’est d’aller chez Buck pour continuer de se plaindre de ne pas savoir quoi faire. J’ai soupiré fort. Eddie envisage de rompre avec Marisol, même s’il vient juste de lui demander d’emménager parce qu’il est soi-disant heureux avec elle. On l’a si peu vue, c’est dur d’en être convaincu.

Après, c’est normal d’avoir un moment de panique quand on s’installe avec quelqu’un, je pense. Le voilà donc qui envisage toutes les possibilités pour passer plus de temps entre mecs… Et cette fois, Buck est obligé de lui expliquer que sa soirée avec Tommy était un rencard. Une fois de plus, la réaction d’Eddie semble en dire long : « attends, Tommy est gay ? ». C’est vrai qu’il ne se pose pas la question pour Buck, hein.

Bon, il finit par le faire, cela dit, et assume à Buck que ça ne change rien pour lui et que ça ne change rien entre eux. Bordel, mais si, on veut tous que ça change tout entre vous, idiot. Ce ne sera pas le cas et ils se contenteront de se donner des conseils (oui, tout le monde passe cet épisode à se donner des conseils) pour sauver chacun le couple de l’autre. Tss. Eddie finit par faire un câlin à Buck et lui dire d’appeler Tommy et Buck est tout soulagé de la réaction de son meilleur ami, mais bon. Le problème de cette intrigue, c’est qu’on en revient à vouloir Eddie et Buck ensemble, mais qu’Eddie ne veut pas ça.

Eddie finit par rentrer chez lui pour découvrir que Marisol a préféré aller manger chez son frère. Cela mène à une excellente scène où Eddie reconnaît qu’il a voulu aller trop vite, comme d’habitude pour lui, et que ça ne fonctionne jamais trop. Seulement, là, il a envie de vraiment apprendre à connaître Marisol. Ils prennent ainsi la décision de recommencer leur relation à zéro – et Marisol déménage à nouveau. Non mais ? Personne, jamais. Bref.

Du côté de Buck, c’est encore plus n’importe quoi : il est d’un coup si à l’aise avec l’idée d’un rencard avec Tommy qu’il décide de l’inviter au mariage de Maddie et Chimney. Pardon ? Je ne sais pas d’où sort cette idée de mariage, mais ça fait cinq épisodes que personne n’en parle et bim, d’un coup on se retrouve avec cette intrigue.

Mara

Contre toute attente, Hen et Karen se voient retirer la garde du bébé qu’elles avaient recueillies il y a peu, parce que la grand-mère biologique a changé d’avis et souhaite désormais l’élever. Elles se font à l’idée bien vite cette fois, ayant compris que ce serait comme ça pour toujours. Pour toujours ? Ben oui, c’est le principe de la famille d’accueil. Et elles se retrouvent à devoir remplacer ce bébé par une gamine de neuf ans, en plus.

Nous les suivons donc alors qu’elles rencontrent Mara en famille. Le problème de Mara, c’est qu’elle refuse de prononcer le moindre mot face à sa nouvelle famille, même quand son nouveau grand-frère est super sympathique avec elle. Il lui offre une peluche qu’elle accepte sans un mot… mais qu’elle décapite dans la journée. Karen la découvre sous le lit de Mara et est perturbée.

Apparemment, elle ne dit rien à Hen, puisqu’on ne voit rien. Cependant, au milieu de la nuit, elle est réveillée par Mara qui les regarde sans un mot. Karen, flippée, réveille Hen, qui essaie de s’approcher de Mara. Lorsqu’elle touche l’épaule de Mara, celle-ci se met à hurler. Pas hyper rassurant ce film d’horreur, et ça continue au petit matin quand Mara défigure Denny – mais bon, ça va, elle ne voulait pas selon lui. Karen en déduit, grâce à la gestuelle de Mara, qu’il a probablement voulu lui retirer sa couverture préférée.

En tout cas, Hen pose un congé aussitôt pour parler de la situation avec Karen et essayer de comprendre ce qu’elles peuvent faire vis-à-vis de sa garde tout en étant les parents responsables dont Denny a besoin. Pas évident. Pour ne rien arranger, Hen se retrouve sur un appel où une femme est débordée par son chien beaucoup trop violent. Voilà donc Hen qui s’obstine à sauver le chien autant que le pompier que le chien a mordu jusqu’à l’os.

Bien sûr, elle réussit, mais ça lui permet de comprendre qu’elle n’abandonne pas. Hen demande donc à Athena (j’ai cru que nous n’allions pas la voir de l’épisode) de se renseigner sur le passé de Mara, et notamment sur les parents décédés… d’une overdose. Ah. Cela permet à Hen de comprendre que Mara a appelé le 911. Il n’en faut pas plus pour qu’Hen et Kara demandent à Maddie de leur faire écouter l’appel de Mara au 911. Maddie le retrouve vite et les deux mamans entendent donc le moment où Mara a compris que ses parents étaient morts – et pas seulement endormis.

Bref, la nuit quand elle observe Hen et Karen, c’est pour vérifier si elles sont toujours en vie. Cela change les perspectives du couple sur Mara, inévitablement. Et comme on est dans 9-1-1, les choses avancent très rapidement ensuite : Karen offre à Mara un écran lui permettant d’espionner ses mamans la nuit quand elles dorment (creepy !) afin de la rassurer, et voilà Mara qui se met enfin à parler pour dire bonne nuit. Ah lala, cette série. Cela fait plaisir de voir Karen et Hen sortir de cette impasse alors que les scénaristes viennent juste de les y mettre !

Cliffhanger

Cet épisode correspond déjà à la mi-saison, à cause à la grève des scénaristes. Qu’à cela ne tienne, nous finissons donc sur un cliffhanger de mi-saison : le mariage de Chimney et Maddie ! Le problème, c’est que Chimney n’est pas présent au mariage et que ses témoins qui devaient l’emmener débarquent dans un sale état. Eddie et Buck, à moitié habillés en costard chacun, plein de crasse et de vomi qui ne sont pas le leur d’après Eddie, annoncent ainsi qu’il est compliqué d’expliquer où est Chimney.

Vivement la suite, donc, sauf que la suite ne sera que dans un mois, parce que oui, ABC ose nous pondre une pause de mi-saison malgré la grève. Ils n’ont sûrement pas le choix vis-à-vis du rythme de production, mais j’avoue que ça me frustre énormément, surtout que je viens à peine de reprendre la série. Cela m’apprendre à vouloir attendre les trois premiers épisodes pour les voir d’une traite, je suppose.

> News | Saisons critiquées sur le blog | L’agenda du mois | À ne pas manquer

The Rookie – S06E06 – Secret and Lies – 14/20

Il y a quelques bonnes idées qui permettent à cet épisode de ne pas être que routinier, mais franchement, l’intrigue proposé en arc pour un des personnages n’a pas réussi à me passionner pour le moment. En conséquence, l’épisode était simplement bien à défaut d’être excellent – regardable au lieu d’être vraiment divertissant. Bref, la routine malgré des tentatives… et une conclusion parfaitement débile dans les avancées pour deux des personnages.

Spoilers

Tim continue de suivre son ancien collègue devenu son antagoniste.

Points forts

– Tamara et Lucy ont des scènes ensemble dans l’épisode, et c’est toujours parfait quand ça arrive… même si c’est pour envisager de ne plus être colocataires ou se faire menacer par un type, là.

– L’idée des prisonniers qui font de l’humanitaire manquait d’introduction dans l’épisode, mais ça faisait une journée de travail un peu différentes pour les flics, et donc, ça faisait un épisode différent pour nous. C’était une bonne idée, surtout quand ça se termine par la recherche d’une fugitive qui n’avait aucune raison de s’enfuir comme elle le fait. On devinait vite son mobile quand on voyait sa mère, mais c’était sympa.

– J’ai adoré également voir Nyla mener l’enquête seule – enfin, avec Aaron. Je disais dans la critique précédente que je n’aimais pas la voir tout le temps avec Angela après tout. C’est bien aussi de voir Aaron faire quelques erreurs de débutant… N’est-ce pas ce qui est censé se passer avec des bleus ? Après, le coup d’Aaron qui interroge un témoin sans Nyla, c’était vraiment too much. Mais bon, j’aime bien l’épisode malgré tout.

– En vrai, j’ai surtout aimé la scène où Nyla draguait le vrai meurtrier. Cela fait du bien de la voir à nouveau sous couverture, même si ce n’est que pour trente secondes. L’actrice s’éclate et nous aussi.

– L’intrigue autour de Tim continuait de ne pas me passionner en théorie cette semaine. Cependant, en pratique, c’est plutôt chouette d’avoir Angela qui s’en mêle, et j’ai aimé que ce soit Lucy qui la mette sur le coup. Malgré tout ce qu’il lui fait, Lucy reste présente pour Tim, et c’est parfait.

Points faibles

– Après s’être mis d’accord pour ne pas faire d’enfants et après un épisode à refuser d’envisager l’idée, voilà Bailey qui se met à vouloir avoir un bébé ? Cela n’a aucun sens. Bon, la vie n’a pas toujours de sens vous me direz, mais vraiment, elle fait tout pour que je la déteste. À l’inverse, Nolan qui soudainement ne veut plus en avoir alors qu’il était prêt à tout pour Anna dans l’épisode d’avant ? Tss. La conclusion est trop simple, en plus ! C’était la plus grande joie de sa vie, alors voilà, il accepte d’offrir ça à Bailey ? Mais enfin, tu fais pas un bébé pour faire plaisir à l’autre uniquement ?

– Schmitty… Se faire voler sa voiture, sérieusement ? Si j’étais cet acteur, j’en aurais vraiment marre de jouer ce personnage.

– J’aime beaucoup Tim, mais vraiment cette sous-intrigue, même avec la présence d’Angela… C’est trop long, trop bavard et j’en ai marre des séries qui s’appuient trop sur le passé des personnages plutôt que sur leur présent. Arrêtez d’inventer des intrigues sorties de nulle part dans le passé là. Et le type qui se met à traquer Lucy ? Pff. J’aime que le conflit qu’ils trouvent pour Lucy/Tim ne soit pas complètement idiot, mais bon, c’est lourd quand même. L’arrestation est trop rapide, les mensonges de Tim trop facile à croire. Heureusement que Grey l’engueule quand même.

– Tim avance enfin et se rend compte qu’il se mentait à lui-même depuis un moment, ce qui est une bonne chose. Rompre avec Lucy ? Qu’il est stupide et idiot pourtant. Il n’y a rien qui va dans cette intrigue, du début à la fin. Vraiment, c’est une évolution débile.

> News | Saisons critiquées sur le blog | L’agenda du mois | À ne pas manquer

Station 19 – S07E04 – Trouble Man – 17/20


C’est le genre d’épisode qui me rappelle que j’adore vraiment cette série. Tout part dans tous les sens entre les personnages, la tension monte d’un cran de tous les côtés, mais ça donne un épisode vraiment solide et réussi. Il se passe en quarante minutes tellement de choses que j’ai l’impression d’avoir vu un film complet – et pourtant, on ne voit pas grand-chose. Je suis si triste que la série soit annulée.

Spoilers

C’est une journée de pleine lune un peu intense pour la caserne.


This isn’t the real housewives and last I checked no one here is perfect.

Pleine lune

Quel est exactement l’intérêt de commencer l’épisode par un gros plan sur Andy en intervention et légèrement débordée par ce qu’il se passe ? Je demande, parce que c’est littéralement le cas dans tous les épisodes et, du coup, je ne vois pas bien pourquoi c’était important de nous dire que ça allait arriver dans l’épisode : on ne nous apporte aucune information qui indique un énorme danger ou une situation qu’elle n’arrivera pas à gérer finalement.

C’était bien plus efficace de commencer par un retour d’intervention à 9h du matin avec toute la caserne en effervescence. On note ainsi que Beckett est de retour sur le terrain, que Ben aussi, malgré son mal de dos (il est censé s’être pété le bras, je ne comprends pas) ou que Theo et Vic s’embrouillent comme un vieux couple après deux épisodes à s’ignorer.

Vic finit même par balancer devant tout le monde que Theo a couché avec Kate, ce qui n’est pas exactement ce qu’il s’est passé. Andy m’a tué à devoir gérer ça, et ça se termine par Kate qui espère que la pleine lune sera une pleine lune calme. Il n’en faut pas plus pour porter la guigne à l’ensemble de la journée et de la caserne. Après, l’esprit de la caserne, c’est son capitaine.

Coupe budgétaire

C’est donc par Andy que les emmerdes commencent. Elle apprend de Natasha (toujours harcelée par les demandes en mariage improbable de Sullivan au quotidien) qu’elle va devoir prochainement virer quelqu’un, parce que la ville leur demande d’économiser 10% sur les dépenses de la caserne. Voilà qui permet de rendre plus concret les annonces faites dans l’épisode précédent. Andy peut ainsi partir en intervention en étant énervée, surtout qu’elle se voit aussi reprocher d’avoir répondu aux protestations des anti-gays dans l’épisode précédent. Une vidéo tourne sur les réseaux sociaux, et ça n’était pas une bonne idée.

L’intervention se déroule hors écran, mais lorsqu’ils reviennent tous à la caserne, c’est pour qu’Andy leur ordonne de faire un inventaire surprise. Elle se montre assez imblairable avec son équipe, alors que l’épisode nous montre au moins ce que doit être vraiment le quotidien des personnages dans une caserne : beaucoup trop d’alarmes chaque jour. Et j’ai à peine mis ça dans mes notes qu’on s’est retrouvé avec une scène de dortoir entre Kate et Theo. Et bien sûr, elle le drague, avant de lui proposer un autre job mieux payé. Theo se montre malgré tout fidèle à la caserne. C’est chouette pour lui, mais j’ai du mal à y croire.

Bon, la journée est quand même compliquée à gérer pour les pompiers. De manière surprenante, nous ne voyons rien de ce qu’il se passe pendant les interventions. Nous avons en revanche tous les rapports radio entendus par Natasha. La journée est atroce, avec plusieurs enfants qui décèdent lors d’un accident, et du sang un peu partout.

Les emmerdes

Pour son retour sur le terrain, Beckett est servi. Il se voit offrir par Theo la hache qu’il lui avait confiée. C’est un chouette rappel, je ne dis pas, mais la journée est sacrément sombre pour tous les pompiers, cette fois. Et elle ne va pas s’améliorer en plus, parce que Ben a toujours beaucoup trop mal au dos (Theo s’en soucie, mais ne sait pas quoi faire).

Beckett est peut-être de retour, mais il a toujours du mal à s’intégrer. Il faut dire qu’il essaie avec Vic qui a clairement autre chose à gérer avec son énervement vis-à-vis de Theo qui n’est toujours pas passé. Même Travis ne la reconnaît pas, ne comprenant pas pourquoi elle ne lui a rien dit concernant Kate. Elle passe l’épisode à s’énerver et se renfermer sur elle-même, surtout quand elle comprend qu’Andy ne leur dit pas tout. Tous les pompiers sentent bien qu’il y a des coupes budgétaires à venir.

Heureusement pour Beckett, il y a toujours Robert pour s’occuper de lui. Bon, il s’occupe aussi de lui, bien sûr, et il n’apprécie pas trop de voir Theo affirmer qu’il sera tranquille avec les coupes budgétaires puisqu’il couche avec la cheffe de toute manière. Le pire, c’est que Theo n’a pas trop tort sur ce coup : Andy vient voir Robert pour comprendre ce qui a changé entre Natasha et le maire. Pas de bol, il ne sait rien.

Andy n’a donc d’autres choix que de demander directement à la cheffe ce qu’il se passe. Elle comprend bien vite que le maire est revenu sur sa promesse, mais elle va un peu trop loin avec Natasha quand elle la confronte. Elle lui reproche donc d’être prête à sacrifier des gens, contrairement à elle, et le ton monte. Natasha est trop sympathique et intelligente pour lui en tenir vraiment rigueur.

Elle lui conseille toutefois de mettre rapidement des limites et des frontières avec son équipe. Elle en est bien incapable malheureusement et la situation ne fait que se dégrader en permanence. Warren cache son mal de dos au point d’énerver ses coéquipiers, Vic ne supporte plus de bosser avec Theo, Theo et Travis n’assument pas d’être potes (alors que pourtant, c’est vraiment chouette de les voir potes), Sullivan et Beckett s’enferment pour faire des réunions AA, vraiment, ça part dans tous les sens, avec aussi Vic qui s’en prend gratuitement à Kate (bon, OK, peut-être qu’elle le mérite).

L’intervention de trop

On se retrouve alors avec une situation déjà tendue qui ne peut qu’empirer quand les pompiers se rendent compte qu’ils n’ont pas tout leur équipement. Les anciens capitaines s’engueulent tous entre eux, la tension monte encore d’un cran entre Travis et Ben au sujet du dos de ce dernier et Andy finit par hurler son équipe. Il y a de quoi : elle veut sauver le job de tout le monde et ils perdent leur équipement le plus cher.

Les pompiers partent donc en intervention après une journée épuisante à se hurler dessus, et sans un objet qui leur sera forcément utile. Pour ne rien arranger, Vic est tellement épuisée qu’elle reste endormie sans entendre l’alarme. Bordel. Pourtant, on aurait bien besoin d’elle sur place lors de l’intervention : Andy se rend compte que Ben lui a menti et trop mal au dos pour être utile ; il y a une explosion de gaz qui met tout le monde en danger, Andy est complètement dépassée par la situation.

Natasha est forcée de s’en mêler, ce qui mène finalement à un abandon nécessaire de la caserne 19 pour laisser la place à une autre caserne. Le sentiment d’échec est inévitable et vient évidemment de l’équipement qu’il leur manque – et chacun s’accuse pour ça, évidemment.

Tout est bien qui finit bien malgré tout : l’incendie est éteint, la victime potentielle sauvée… mais bon, l’échec est bel et bien là. Et le pire, c’est que quand tout le monde rentre, Vic se sent sacrément conne d’avoir raté l’alarme. Andy lui jette un regard noir, mais il n’y a rien qu’elle puisse faire. Ce qui est fait est fait.

Dans le même genre, Sullivan s’inquiète à présent d’être responsable de ce qu’il se passe avec le maire à cause de son couple. Ce n’est évidemment pas le cas et elle l’envoie bouler. Quant aux questions de budget, elles se règlent d’elles-mêmes quand Theo, culpabilisant d’être partiellement responsable de l’explosion de gaz, décide de démissionner. Oh non. Il y a trois épisodes, j’aurais été pour cette démission, mais sa scène avec Travis dans l’épisode ne me donne vraiment pas envie que ce soit le cas. J’espère que la série trouvera un moyen de revenir en arrière. Aussi, je note que Jack n’était pas présent dans cet épisode ni dans le précédent et que je ne m’en rends compte que maintenant. Il ne m’a pas manqué… C’est triste après six saisons complètes !

Carina & Maya

Une fois n’est pas coutume, Carina et Maya sont mises à part du groupe dans cet épisode. Il faut dire qu’elles ont beaucoup à faire du côté de la vie perso et que les scénaristes ont décidé de se concentrer là-dessus. Ainsi, Carina et Maya sont complètement débordées par la nouvelle maison et le bébé à gérer. Maya fait ce qu’elle peut pour sécuriser la maison, laissant Carina gérer le bébé, ce qui n’est pas grandiose. C’est l’occasion pour continuer le partenariat publicitaire avec Amazon Prime et pour nous prouver que le couple n’a pas vraiment eu le temps de parler d’éducation avant.

Carina veut laisser pleurer Liam, gère la cuisine et le linge, Maya veut absolument protéger Liam de tous les dangers à venir. Cela inquiète Carina qui a peur que Maya transfère ses insécurités sur leur bébé au lieu de le protéger. Pour éviter l’engueulade, Maya part faire une tour qui dure bien trop longtemps.

Quand elle la voit revenir, Carina décide de sortir l’engueuler, beaucoup trop fort. Les voisins peuvent l’entendre, le bébé aussi, mais elle s’en fout ; elle veut juste s’engueuler avec sa femme. Ah, Carina, je t’aime. Elle est si réelle – et l’actrice gère si bien ce rôle. Bon, par contre, elle a réussi à l’exploit de s’enfermer… dehors. Ni elle ni Maya n’ont les clés, mais par chance, Carina n’a pas verrouillé sa voiture. C’était une belle manière de rire un coup de ce qu’il se passe, au point. J’aime ces personnages.

Elles finissent au lit à se raconter les peurs qu’elles ont. C’est une belle scène, même si e ne comprends pas trop pourquoi Maya ne change pas de boulot si elle a si peur que ça de mourir et d’abandonner Carina avec Liam. J’aime tout de même que Carina n’abandonne pas son idée de tomber enceinte.

28’

> News | Saisons critiquées sur le blog | L’agenda du mois | À ne pas manquer

Grey’s Anatomy – S20E04 – Baby Can I Hold You – 16/20

Beaucoup de bruit pour pas grand-chose ce retour d’un personnage que j’adorais et qui reprend vite ses marques dans la série. Seulement voilà, les scénaristes semblent développer absolument tout sauf ce qui aurait pu être intéressant avec ce retour. La frustration est grande, mais l’épisode est bon quand même.

Spoilers

Bailey présente aux nouveaux internes une ancienne : Arizona !


Put in another way : living hurts

Amelia

Le cliffhanger de l’épisode précédent est vite évacué, de manière plutôt logique en plus : Lucas a décidé d’aller vivre avec sa tante. On sent que la situation sera temporaire par contre, parce qu’Amelia a du mal à se faire à ce colocataire un peu envahissant qui lui boit tout son café. Elle envisage donc déjà de le virer de chez elle. Quand elle arrive à l’hôpital, elle s’en plaint à Owen et tombe rapidement sur le Dr Beltran. Suffisamment rapidement pour envisager de prendre l’escalier plutôt que l’ascenseur avec elle en tout cas.

Du côté de Lucas, le but est de nous rappeler son TDAH, j’imagine, mais je trouve ça très cliché et schématique de nous le montrer comme chaotique dans sa vie de tous les jours. Finalement, c’est le Dr Beltran qui permet à Amelia de se souvenir de ses propres années d’internat et de la difficulté que ça représente.

Maxine

Tiens, je redécouvre que Ben était en arrêt maladie. Cela explique sa douleur dans l’épisode précédent de Station 19, je suppose, mais on nous dit qu’il est prêt à reprendre du service. OK ? Vu et on s’en tape, non ?

L’épisode reprend également l’intrigue des internes, forcément, qui sont toujours punis de bloc après ce qu’il s’est passé avec Maxine. On découvre alors que Kwan est dans la merde, comme il devrait l’être, pour avoir sauvé Maxine malgré sa demande de ne pas être réanimée. Il est d’autant plus dans la merde qu’il dit qu’il a vu dans ses yeux qu’elle voulait être sauvée… Hum. Comment dire ? Ce n’est pas vraiment un argument rationnel qui donne envie de le laisser pratiquer la médecine.

Jules prend évidemment sa défense, mais ça se retourne contre elle. D’accord, Maxine ne porte pas plainte, mais il n’empêche que le fils de Maxine n’aime pas trop l’idée de Jules qui est sa personne à contacter. Et bien sûr, tous les internes sont contactés et interrogés, hein.

Arizona

Comme annoncé un peu partout depuis plusieurs mois, l’épisode nous ramène également et ENFIN Arizona dans la série. Cela fait tellement plaisir de la retrouver. Un peu comme Addison l’an dernier, par contre, on commence par nous la montrer en train de bosser et présenter un cas médical à tous les internes… sauf que ce qui nous intéresse nous, c’est le personnage.

Bon, elle est toujours au top de la recherche médicale, en tout cas : elle présente son cas qui consiste à faire de la neurochirurgie in utero. Rien que ça. C’est une procédure historique qui n’a jamais été faite auparavant et qui excite tout le monde dans l’hôpital… sauf la patiente, en fait. Elle refuse l’opération, ce qui pousse tout le monde à annuler l’opération. C’est triste comme tout, avec Bailey qui vire Arizona pour qu’elle rentre chez elle aussitôt. Donnez-nous une scène dans un bar, merde.

Finalement, c’est le mari de la patiente, le père du bébé, qui rattrape Arizona et la supplie de rester. Elle le fait donc et s’entraîne sur des impressions 3D avec Amelia, Lucas et Simone. Ces deux derniers ne sont pas convaincus du tout par ce qu’ils voient, surtout que la patiente n’a pas donné son accord pour la procédure. Il n’en faut pas plus pour qu’Amelia s’énerve après eux, mais qu’Arizona trouve l’idée de Lucas bonne. Elle parvient donc à convaincre la patiente de faire l’opération en lui présentant un modèle 3D de la figure de son bébé, voué à mourir sans opération.

Arizona est donc heureuse de pouvoir aller dans un bloc avec Bailey et les internes. Elle était là pour enseigner aux internes. Pas de bol, cependant : Bailey a interdit les internes de se rendre au bloc. Lucas l’envoie donc bouler et ça fait qu’Arizona est obligée de faire la leçon à Bailey. C’est toujours aussi amusant de voir Arizona s’énerver avec son grand sourire. C’est efficace : Bailey accepte que les internes soient présents dans le bloc pour ce moment historique – mais contre le mur, faut pas déconner. Cela me paraît plus logique, vu les risques.

Le problème, c’est que les internes ne sont pas ceux d’il y a vingt ans. L’opération à haut risque se passe bien, après un rapide risque… Bailey en est émue aux larmes. Ses internes ? Humph. Jules est sortie pour s’occuper de son frère (voir plus bas), Lucas a suivi un ordre de Schmitt, Mika est sur son portable, les deux derniers à moitié endormis.

Arizona a beau faire tout ce qu’elle peut pour convaincre Bailey qu’elle doit laisser les internes opérer à nouveau, c’en est trop pour cette fois. Mika est heureuse d’avoir enfin fini toutes les petites procédures médicales que Bailey leur imposait, mais c’est pour mieux découvrir qu’elle ne retournera pas au bloc tant que tout le monde n’aura pas fini ses procédures.

Teddy

Teddy est de retour au travail, mais uniquement en tant que cheffe. On lui refuse encore l’accès aux opérations. Cela force Richard et Link à lui venir en aide en l’entraînant sur un mannequin pour vérifier que ses réflexes sont toujours les bons. Teddy est énervée par la situation, mais c’est plutôt marrant de voir qu’elle est toujours capable d’opérer. Ndugu n’est pas convaincu pour autant, mais Richard insiste finalement pour dire qu’il est OK pour ça.

Seulement, une fois au bloc, c’est finalement Richard qui ne semble pas prêt à opérer. C’est sûr que ça fait 20 ans qu’il envisage de prendre sa retraite… Cela fait trois semaines qu’il n’a plus opéré et il se rend compte qu’il n’est plus aussi performant qu’avant. Il explique à Teddy qu’il n’est plus capable de reprendre aussi vite ses réflexes de chirurgien et ça lui fait peur. C’est une intrigue intéressante, en vrai, il serait temps que Richard ne soit plus au bloc.

Dr Millin

En parallèle du reste, on découvre que Jules a un frère. Il prétend être docteur lui aussi, parce que c’est son nom sur les réseaux sociaux : il fait des vidéos, mais quand il est confronté à un vrai patient, il a besoin de sa sœur, évidemment. C’est plutôt amusant, puisque ça permet quelques scènes Jules/Mika. Et puis, bon, elle a un frère. L’intrigue apporte de l’humour et on comprend pourquoi le frère dit que sa sœur était déjà méchante petite quand elle interagit avec lui.

Le problème, c’est que le patient s’avère être un cas plus compliqué que prévu : Mika insiste pour que Hunt soit appelé. Il permet de décoincer la situation – et de décoincer le pus coincé dans le dos du patient en le faisant exploser aux visages de Mika et Jules, gloups.

Sans trop de surprise, le frère de Jules voit tout ça et s’évanouit. Owen s’occupe donc de lui et lui fait finalement la morale quand il comprend ce qui est en train de se passer. En fin d’épisode, Jules se plaint encore de son frère auprès de Mika, expliquant qu’elle a dû plein de fois le sortir de prison et qu’elle est épuisée par lui.

Kwan

On retrouve Dorian, le patient de l’épisode précédent sauvé par Lucas quand il a volé l’opération à Mika dans cet épisode. Il se réveille enfin, et c’est cette fois Kwan qui est l’interne sur le cas. Le problème, c’est que Kwan commence à se poser des questions et à ne plus vouloir pratiquer seul, et bien sûr, quand il le fait, ça ne se passe comme prévu.

Il se fige un peu trop et Levi est obligé d’intervenir, puis de prendre sa place. C’est embêtant. Kwan finit par avouer à Levi qu’il voyait Maxine au lieu du patient et que c’est ce qui l’a bloqué. Levi parvient heureusement à le rassurer : il fait du bon boulot, en vrai, à ne faire que répéter ce qu’on lui a dit avant.

> News | Saisons critiquées sur le blog | L’agenda du mois | À ne pas manquer