Performance de la semaine #49

Salut les sériephiles,

Les semaines passent et trépassent, nous voilà déjà dimanche et avec ce dernier jour de la semaine vient l’heure de faire le point sur les épisodes vus au cours des derniers jours pour me faire une idée de qui a proposé la meilleure performance dans mes visionnages. Comme bien souvent, le choix n’a pas été très complexe, et je suis content d’avoir réussi à voir plein d’épisodes encore. Enfin, plein. Plus d’une dizaine. Ce n’était pas gagné, je m’en tire pour le moment mieux que lors de mon déménagement l’an dernier dans mes visionnages des hebdos. C’est plutôt cool : je devrais réussir à commencer l’année sans être (trop) en retard. Cela dit, là, je m’égare totalement du sujet, et le sujet de cette semaine, c’est Chris Lowell !

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Voir aussi : Les performances des semaines précédentes

Qui donc ? Si je le nomme dans cet article aujourd’hui, c’est pour le rôle de Bash dans Glow. Le choix a été difficile car j’adore Alison Brie et qu’il y a d’autres actrices de la série qui mériteraient aussi d’avoir leur article perso. Pourtant, il faut que je souligne le brio de Chris Lowell, parce que ce n’était pas gagné du tout avec moi.

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En effet, je suis loin d’être un grand fan de l’acteur, parce que… je n’aime pas son début de carrière. Il a commencé dans La vie comme elle est que je n’ai jamais vue, donc j’abuse de dire ça, mais son premier grand rôle, c’est celui de Stosh « Piz » Piznarski dans Veronica Mars, et purée, qu’est-ce qu’il était con ce perso ! Bon, OK, je ne suis pas objectif à cause du triangle amoureux dans lequel il se retrouve impliqué, mais il n’avait pas inventé l’eau chaude, Piz.

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Dès l’annulation de Veronica Mars, Chris Lowell s’est trouvé le rôle de William « Dell » Parker dans un double épisode de Grey’s Anatomy, puis Private Practice. Là, on va dire que c’était un peu mieux. Il n’était pas mon personnage préféré, mais il est resté un bon moment et ça a permis de le rendre plus attachant tout de même. Et puis, cette intrigue d’incendie, là, il y a des choses qui marquent. Disons qu’il m’a rendu sa présence plus supportable.

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Je ne l’ai ensuite pas revu pendant un bon moment, avant de le croiser dans Play It Again, Dick, mais ça ne compte pas vraiment ça – au moins, il avait conscience que je détestais Piz. Il est passé entre temps par Enlisted puis Graves, avant d’enfin revenir dans le rôle de Bash Howard. En saison 1, j’ai commencé à m’attacher vraiment beaucoup à son personnage, car on sentait bien qu’il cachait des choses derrière sa carapace de jeunes riches blanc misogyne par défaut. En saison 2 (spoilers), tout ça s’est beaucoup plus développé à la mort de son valet, qui n’était peut-être pas que ça.

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Tout ça nous mène à la saison 3 – spoilers, hein – où il est marié à Rhonda. Le couple est excellent, on sent une vraie complicité qui se voit entre les personnages, et c’est très chouette. Cela dit, ça s’améliore encore avec le temps quand les vrais problèmes ressurgissent dans le couple : Bash n’est pas amoureux de Rhonda, même s’il a donné le change un temps ; non, il est surtout homosexuel. Et c’est là que c’est parfait : ce n’est pas évident d’être dans le placard et marié à la fois. La scène qui lui vaut donc un article aujourd’hui est dans le dernier épisode de la saison 3, où il révèle, à demi-mot, la vérité à Debbie. Bon, et dans l’épisode d’avant aussi, où il se retrouve « piégé » dans un plan à 3. Et d’ailleurs, autant vous dire que Kate Nash (Rhonda) a bien failli avoir sa place ici aussi.

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Quoiqu’il en soit, Chris Lowell prouve qu’il est tout à fait possible de détester un acteur dans un rôle et de finalement l’adorer dans un autre. Il aura juste fallu plus de dix ans pour que je me fasse à voir sa tête sans avoir envie de l’entarter. Pas mal, non ?

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Sept clichés TV sur… le déménagement (6/10)

Salut les sériephiles,

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Comme toutes les semaines, je reviens aujourd’hui sur mon déménagement, parce qu’il occupe un peu toutes mes vacances cet été. Je le fais moi-même durer, je sais bien, mais tout de même ça prend du temps de déménager, contrairement à ce qu’on essaie de nous faire croire dans toutes les séries. Avant la dernière ligne droite – je déménage dans une dizaine de jours – je me suis donc dis qu’il fallait que j’écrive un article que j’avais en tête depuis l’an dernier : faire le tour des clichés par rapport au déménagement dans les séries TV, pour voir si le cliché est validé… ou non.

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Cliché n°1 : Trouver un appartement, c’est simple… comme dans toutes les séries

Honnêtement, dans quel monde les personnages trouvent-ils si vite leurs appartements et futures maisons ? Le plus souvent, ils passent d’un logement à l’autre sans faire la moindre recherche. Parfois, certaines séries prennent le temps de nous montrer quelques visites quand même, mais c’est l’affaire d’un épisode et c’est plié. Dans la réalité, désolé, mais ça ne se passe pas comme ça : s’organiser des visites est déjà une galère de base parce que ça suppose de réussir à contacter les agents immobiliers/les particuliers. Et non, ça ne se fait pas comme ça. FAUX.

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Cliché n°2 : les agents immobiliers sont des êtres autocentrés… comme dans Desperate Housewives

Les agents immobiliers sont des rats qui ne voient que leurs bénéfices, quels qu’ils soient, et ont une compétence tout à fait discutable. Ne vous méprenez pas, j’adore le personnage d’Eddie Britt, mais franchement, quand elle vend une maison, tout ce qui l’intéresse, c’est sa commission ; ou alors le cul de son client. Si dans la réalité, je n’ai pas trouvé d’agents aussi sexy et affamés qu’elle, faut reconnaître que là-dessus le cliché de l’agent immobilier qui est un requin est… VRAI (désolé si c’est votre taf, fallait pas fermer l’agence en août quand tout le monde déménage, sérieux).

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Cliché n°3 : Les cartons ne sont pas lourds… comme dans Stranger Things

J’ai choisi cette série parce que c’est le dernier exemple en date : les cartons que l’on y voit sont énormes, parfois plus grands que certains personnages (d’accord, certains sont enfants), mais pourtant tout le monde semble capable de les porter sans trop galérer. Dans quel monde vivent-ils ? Que mettent-ils dans des cartons si énormes pour être capables de les porter sans difficulté ? Je sais que je ne suis pas aidé avec mes cartons de livres de deux bibliothèques, mais tout de même, n’abusons pas, ce cliché est parfaitement FAUX… Et les pouvoirs d’Eleven seraient bien pratiques pour descendre de deux étages ma machine à laver ; parce que je n’ai pas d’ascenseur.

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Cliché n°4 : il y a des cartons absolument partout… comme dans Grey’s anatomy

C’est histoire de parler d’une série précisément que je cite celle-ci, parce qu’elle nous a permis de voir plusieurs déménagements en quinze saisons, mais c’est valable dans toutes les séries. Dès qu’il est question d’un personnage qui déménage, sa maison se remplit du jour au lendemain de cartons absolument partout dans les coins. On a eu l’occasion de voir la maison de Meredith pleine de cartons à plusieurs reprises du coup. Et bon, là-dessus, il suffit que je tourne la tête pour vous affirmer que ce cliché est… VRAI. Faut dire, j’ai carrément remplacé ma table basse par un carton et une planche…

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Cliché n°5 : un déménagement, c’est rapide… comme dans Plus Belle la Vie

Gros exemple de série, pas vrai ? C’est que je fais mes cartons devant. L’an dernier, c’était Heroes, cette année, j’ai rattrapé six mois de la série en une douzaine de jours (plus qu’un an de retard, pile poil) et j’ai eu l’occasion d’y voir cinq ou six déménagements : la fameuse coloc qui est une brillante idée des scénaristes pour recaser des personnages dont ils ne savent plus quoi faire (Samia, Elias, Estelle, Abdel, etc. – le dernier arrivé où j’en suis est Hector), les emménagements en couple (Coralie, du coup), les affaires virées des personnages en prison (L’enchanteur, Abdel), les retours en ville (Mélanie et sa valise vide, Johanna et sa villa de rêve sans carton choisie après son arrivée à Marseille ??), la première installation dans la vie (Baptiste, Emma et Mathis)… Les personnages déménagent toutes les semaines ou presque, et c’est toujours super rapide. On les voit faire les cartons/les déplacer au mieux au cours d’une scène ; le déménagement se fait d’un épisode à l’autre (bon, avec le week-end au milieu pour Baptiste et Emma, OK, mais en moins de deux semaines tout compris quoi), et jamais aucun personnage ne fait la moindre démarche administrative de changement d’adresse (le plus flagrant, ça reste Estelle et Samia) ! Je suis super frustré, mais au moins, ça confirme que la vie est plus belle pour eux… Bref, ce cliché est totalement FAUX.

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Cliché n°6 : déménager, c’est fun… comme dans Community

Bien souvent, quand il est question de voir un personnage déménager, et surtout lorsqu’il est célibataire, vous pouvez être sûr que les scénaristes en profitent pour caser des blagues, surtout dans les comédies. Sans aller jusqu’au compte twitter et au papier bulle d’Abed et Troy, force est de constater qu’il vaut mieux garder le sourire pour déménager, sinon c’est super compliqué. Après, ce n’est jamais aussi fun que dans une série, parce qu’il y a toujours de la casse, des pertes et fracas, surtout quand vous ne prenez pas de déménageurs. Bon, vous l’aurez compris CA DÉPEND. Et ça dépend aussi d’avec qui vous déménagez ; mais eh, il y a toujours de très bons moments dans un déménagement !

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Cliché n°7 : on ne voit pas les défauts de son futur appartement… comme dans How I Met Your Mother

On se souvient tous de l’arrivée dans leur nouvel appartement de deux personnages de cette comédie, découvrant coup sur coup que leur quartier est proche d’une usine de recyclage des eaux usées et que leur sol n’est pas plat. Le coup du sol pas plat, je pense l’avoir déjà évoqué sur le blog, ça m’est arrivé, alors je suis forcé de reconnaître qu’effectivement, il y a plein de détails auxquels on ne fait pas attention quand on a un vrai coup de cœur sur un appartement. On s’y fait avec le temps à ces petits défauts, ça fait partie du quotidien, voire même des choses qui font qu’on aime l’endroit au point d’être triste de le quitter… Ce cliché est totalement VRAI.

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Voilà, je vais m’arrêter là pour les clichés aujourd’hui. Quoiqu’il en soit, le déménagement représente toujours une nouvelle vie dans toutes les séries : c’est l’occasion de nouvelles intrigues, de nouvelles dynamiques en réunissant des personnages qui ne se côtoyaient pas autrement ou tout simplement d’un nouveau départ, comme dans les pilots de Private Practice ou Revenge… Et ça, c’est un cliché qui est forcément vrai : évidemment que la vie change du tout au tout quand on change d’environnement. Bon, c’est aussi parce que mes déménagements se font à 500 kilomètres d’écart.

J’espère que cet article vous parlera autant qu’à moi, comme je passe toujours tout mon temps à comparer séries et réalité, je ne sais pas comment j’ai pu mettre si longtemps à me décider à l’écrire. Et comme c’est un concept qui m’a inspiré, il y aura d’autres articles du même genre dans le futur, j’ai déjà des idées pour le faire revenir chaque mois ! 😉

332 épisodes de Grey’s Anatomy plus tard

Salut les sériephiles,

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Ce coup de vieux qu’on se prend quand on la voit si jeune !

Ca y est, je suis à jour dans Grey’s Anatomy et ça veut dire que c’est officiel, j’ai vu tous les épisodes de la série médicale la plus longue de la télévision américaine ! En effet, l’épisode 15 de la saison 15 (ça ne s’invente pas !) était le 332e épisode de la série. Cela fait que la série bat officiellement le record de longévité détenu auparavant par les 331 épisodes d’Urgences, dont je n’ai vu que, quoi ?, une saison à tout casser ? Je n’étais pas un régulier de celle-ci, même si j’en ai vu quelques épisodes, dont le dernier, que j’avais adoré. Normal.

Cela fait quelques années que l’on voit venir ce record, et pour tout dire, dès la saison 11, je le disais que Grey’s allait faire exprès d’atteindre sa saison 15 pour détrôner la série de 1994. Franchement, c’est bien normal avec un tel succès. En plus, malgré ses quinze saisons, je trouve que la série a encore de beaux jours devant elle, parce que la formule fonctionne. Evidemment que ça fonctionne, ça fait quinze ans, mince. Quinze ans et seulement 40 accouchements !

Alors certes, ils se sont tout pris dans la tronche au sein de cet hôpital, mais la série continue de vivre sa deuxième jeunesse cette saison, parce que depuis la saison 12 la qualité est de retour, quoiqu’on en dise. C’est dingue de se rendre compte à quel point la première série du Shondaland est devenue un mastodonte. Je pense qu’elle nous enterrera tous si elle continue comme ça. En tout cas, je ne suis pas pressé de la voir toucher à sa fin.

Il faut dire qu’avec ses quinze saisons, mais aussi avec les six saisons de Private Practice et les deux de Station 19, j’ai passé plus de temps dans cet univers que dans n’importe lequel autre. A part peut-être Buffy, mes revisionnages et les comics aidant… Non mais, ouais, on en est à 23 saisons de cas médicaux en tous genres, et j’ai… 26 ans. D’ici deux ans, si les séries continuent d’être renouvelées, il y aura donc autant de saisons que d’années dans ma vie. C’est complétement fou !

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Et un seul épisode avec mes deux préférées ?

Le plus fou, surtout, c’est que je ne me suis toujours pas lassé de l’affaire. J’ai eu mon coup de mou après la saison 8 (après la 9 ?), j’ai eu envie que la série soit annulée et j’ai même eu une période où j’avais une demi-saison de retard… et puis, je m’y suis remis, et puis la série est redevenue cool.

Cette année encore, j’ai du mal à être hyper régulier dans mon visionnage. Je n’ai pas vu d’épisode entre octobre et décembre, je n’ai pas vu d’épisode en février… mais voilà, je reviens toujours vers elle, parce que cette série déchire, et puis c’est tout.

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Combien de scènes dans un ascenseur, à votre avis ?

Bref, voilà, ces cinq cent mots ne vous auront probablement pas appris grand-chose, mais comme l’épisode que je viens tout juste de terminer – avec un clin d’œil sympa à l’infirmière la plus indétrônable de toutes les figurantes de l’histoire de la télé – était historique, il me paraissait nécessaire d’en laisser une trace sur le blog. C’est chose faite, et maintenant, la saison va pouvoir continuer de se dérouler comme si de rien n’était. En plus, on avait de bons cliffhangers cette semaine, alors j’ai hâte d’être vendredi prochain – même si je sais déjà que je ne verrais pas l’épisode vendredi parce que j’ai une soirée !

Ah, heureusement que je suis fan et pressé de voir la suite, hein…

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Et combien de personnages adorés décédés ? Non, pardon, c’est un article positif, n’abusons pas.

Performance de la semaine #7

Salut les sériephiles,

Je ne suis pas du tout en retard ce soir encore, mais c’est que j’ai eu l’espoir toute la journée de réussir à voir un dernier épisode (ou deux) qui aurait pu renverser la tendance pour la performance de la semaine. Finalement, ce ne sera pas le cas et une chose est sûre, ce n’est pas à moi qu’on donnera la performance de la semaine, je n’ai même pas réussi à valider le moindre niveau du #WESéries ! Et même si je m’y attendais, ça me fait tout bizarre ce tout premier échec.

M’enfin, on n’est pas là pour parler de moi, alors parlons séries. Et comme j’ai vu une dizaine d’épisodes cette semaine, j’avais un peu plus de choix à me mettre sous la dent, même si j’ai surtout vu des épisodes d’une même série, histoire de me mettre à jour dans quelques-unes avant la (terrible) rentrée de demain matin. Et donc, qui m’a le plus marqué cette semaine ? Vous le savez déjà si vous avez lu ma critique d’How To Get Away With Murder

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Et sinon, eh bien, c’est Liza Weil !

Pourtant, elle revient de loin la pauvre. Je n’ai jamais pu la piffrer dans ses quelques épisodes de Scandal, et de mémoire, je n’avais pas non plus trouvé très intéressants ses rôles dans Grey’s et Private Practice. Pourtant, Shonda Rhimes doit lui trouver quelque chose puisqu’elle la caste absolument partout. Il faut bien reconnaître que c’est une excellente actrice et que j’ai surtout un problème avec ses rôles plus qu’avec ses performances, qui sont loin d’être mauvaises.

Tout ça, c’était jusqu’à cette semaine. Comme je l’écrivais avant-hier, je trouve qu’elle a quand même réussi l’exploit de me faire accrocher au personnage de Bonnie dans cette saison 5. Alors évidemment, ça aide d’avoir vu trois épisodes coup sur coup où son intrigue se déliait, parce que j’ai un peu passé toute ma soirée à attendre ses scènes, surtout dans l’épisode 5 qui m’a plus ennuyé que les deux autres dans sa forme.

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Elle fait plein d’efforts pour que je l’aime bien !

Et d’ailleurs, c’est dans cet épisode 5 qu’elle livre le meilleur d’elle-même lorsque (spoilers, c’est évident, on n’arrête de lire si on n’en est pas là, merci) Annalise prend enfin le temps de lui révéler toute la vérité sur son enfant pané. Euh pas mort. Je ne sais pas, on est dimanche soir, j’ai bossé toute la sainte journée (je n’ai pas vu le doute en toi s’immisceeeer), j’avais envie de faire une blague foireuse et de pousser la chansonnette.

Tout ce début de saison semble quand même construit autour du personnage de Liza Weil, aussi bien dans le présent que dans le futur et c’est une belle prouesse de l’actrice de réussir à donner le meilleur d’elle-même dans les deux timelines : elle est dévastée dans le présent, dévastatrice dans le futur. Et en fait, je me dis qu’on passe tellement de temps avec elle qu’il faudrait que je commence à mettre au point une théorie où elle ne passerait pas la mi-saison. Elle a l’air beaucoup trop liée à tout le merdier dans le futur et même si elle a pris la décision d’achever quelqu’un (qui s’occupait de Christopher ?) en l’étouffant, rien ne dit qu’elle survivra au mariage.

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Eh, c’est HTGAWM, il faut être paré à toutes les possibilités. De toute manière, je passe ma vie à faire des théories fumeuses en ce qui concerne cette série ; c’est une des rares séries qui me balade vraiment beaucoup. Je n’ai pas oublié la saison 3, on pensait tous que la victime était en vie, hein !

Bref, voilà, c’était un article un peu express juste pour dire que j’étais bluffé par Liza Weil même si je ne l’aimais pas plus que ça. Et pour dire que j’étais pressé de savoir la suite de son intrigue en tant que Bonnie. C’est fait, hop, hop, bonne nuit à tous, demain c’est la rentrée. Ca, c’était ma bonne conscience qui me parlait. La vérité, c’est que je vais essayer de voir au moins un épisode ce soir et la dégager vite fait bien fait (ma bonne conscience, pas Liza Weil).

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