Vous avez dit VHS ?

Proposition quotidienne de rédaction
Décrivez un objet auquel vous étiez incroyablement attaché dans votre jeunesse. Qu’est-il devenu ?

Salut les sériephiles,

Si le premier objet qui m’est passé par la tête était évidemment mon doudou – une peluche tortue, encore et toujours dans mon appartement, si vous voulez vraiment tout savoir -, je me suis dit que ça n’allait pas faire un article passionnant pour un blog sur les séries. Par conséquent, aujourd’hui, je vais vous parler d’un objet qui a occupé une place spéciale quand j’étais enfant. Il s’agit de ma toute première cassette VHS, tout simplement. Oui, je sais, cela peut sembler un peu rétro de nos jours, mais à l’époque, c’était une véritable pépite de technologie pour moi.

Concrètement, cette VHS m’avait été offerte par mes parents : il s’agissait d’une cassette vierge sur laquelle je pouvais enregistrer ce que je voulais grâce au magnétoscope se trouvant dans leur chambre (bref, ce que je voulais, mais avec filtre parental, sont pas complètement fous mes parents, non plus). Je pense que j’ai dû l’avoir vers sept ou huit ans, parce que j’ai un souvenir vif d’avoir enregistré des épisodes de Pokemon ou les X-Men Evolution le dimanche matin. J’ai le souvenir aussi d’avoir eu quelques réprimandes pour le magnétoscope qui se lance en faisant un bruit fou le dimanche matin à 7h30, d’ailleurs. Pas complètement fous, mais pas complètement prêts à ma folie non plus !

Bref, une fois que j’ai compris ce que permettait une VHS… C’était comme si j’avais reçu un trésor. J’ai pu enregistrer toutes mes émissions de télévision préférées, des dessins animés du dimanche matin aux séries cultes de la trilogie du samedi de l’époque – parce que bon, ça terminait un peu tard pour un enfant.

Ensuite, j’ai eu d’autres VHS et je m’évertuais à enregistrer mes épisodes préférés lorsqu’ils étaient rediffusés – et si possible, je le faisais en coupant les publicités aussi. Je passais des heures à programmer des enregistrements, à collectionner des cassettes VHS et à les étiqueter avec soin.

Et je dis enfance, mais en vrai, même au collège, je continuais à enregistrer les Un, dos, tres qui passaient en début de soirée pendant que je regardais Buffy sur la TNT par exemple ; pour me faire les épisodes de la série espagnole à 21h. J’ai eu la chance d’avoir une télévision assez jeune dans ma chambre.

La suite, vous la connaissez déjà : je suis resté sériephile, puis l’avènement des lecteurs DVD et des services de streaming ont rendu obsolètes les cassettes VHS. Mon magnétoscope ne fonctionne plus aujourd’hui, la télé qui allait avec est partie à la casse, mais purée, je sais exactement à quel endroit sont les VHS en question, avec des épisodes de Charmed, LOST ou The Inside à portée de main… Enfin, de magnétoscope, du coup.

Je n’y pensais plus, mais quand même, en y repensant, c’était une invention merveilleuse qui m’a donné la possibilité d’être vraiment sériephile et de voir de nombreux programmes qui passaient à des heures déjà improbables pour des adolescents (ah, la soirée série du jeudi soir de M6 qui terminait à 2h du matin !). Je regardais tellement d’épisodes à l’époque !

Et voilà pour aujourd’hui. On est toujours raccord avec ma passion des séries à retrouver : l’histoire de mon attachement à un objet de jeunesse qui a connu son heure de gloire dans une époque révolue, mais qui continue de faire partie de mes souvenirs les plus précieux ? Il y a peut-être quelque chose à réfléchir sur la simplicité d’accès aux séries aujourd’hui, ce qui les rend un peu moins précieuses, tout de même. Ce qui est rare est précieux !

Et vous, vous aviez des VHS aussi ? Ou c’est un autre objet qui vous rattache aux séries ?

Noël approche !

Salut les sériephiles,

dsc_1472Non, ce titre n’a rien de bien original pour un premier décembre, mais quitte à faire un article blabla, autant le faire comme il se doit : ON EST EN DÉCEMBRE ! Je suis un peu plus motivé que d’habitude en ce début de mois de décembre, avec déjà un film de Noël à mon actif et beaucoup trop d’heures d’écoute de Mariah Carey pour oser vous dire exactement combien.

Pourtant, je n’ai rien fait de plus que d’habitude pour me mettre dans l’esprit de Noël… C’est la vague de froid qui doit faire ça. Et j’ai une fois de plus profité du week-end le plus proche du premier décembre pour faire ma déco de Noël qui, comme toujours, est un peu dans l’excès. En revanche, je n’ai pas réussi à me décider sur un thème en particulier cette année. À l’origine, j’avais envisagé un thème « Ces séries qui se sont terminées en 2020 », mais il y en avait tellement que j’ai abandonné.

Voir aussi : On va leur dire adieu en 2020

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Tant pis. Sans grande originalité, j’ai donc repris mes décorations rouges et ors que j’aime beaucoup et mon sapin artificiel un peu trop petit pour être vraiment à mon goût, mai sil rend bien dans mon appartement, alors le radin en moi ne va pas le changer tout de suite. Pas de thème Harry Potter cette année pour autant, pas de lien à faire avec la célèbre maison de Poudlard.

Voir aussi : Un Noël potteresque

J’ai racheté une guirlande lumineuse, qu’on ne voit pas bien sur cette photo puisque j’ai laissé la lumière allumée, c’est malin. Elle fonctionne à LED avec plein de couleurs différentes, histoire de varier les ambiances. Elle se couple bien à la guirlande LED derrière mon écran de télévision, juste à côté, qui change elle aussi de couleur à ma guise. Bref, je me suis tout de même amusé un bon moment du côté de la décoration. Non seulement, j’en ai mis partout, mais en plus, j’ai changé de nappe, histoire de l’assortir au sapin.

J’ai repris ensuite mon calendrier de l’avent de l’an dernier et je l’ai encore plus complété. Cette année, je vais donc me régaler de bonbons, faire un nouveau puzzle Avengers et continuer avec mes actions de l’an dernier, même si j’ai fait quelques changements tout de même.

Voir aussi : Bref, j’ai fait mon calendrier de l’avent (gratuit)

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Aligné devant la télévision, le calendrier de l’Avent pour cette année donne à la fois un côté rushé à la déco et une touche un peu plus unique à 2020, je trouve. J’en suis content, même s’il est bâclé. Ce côté petit rouleau qui déborde de trucs, j’adore, tout simplement.

Après, il faut que je vous avoue que ce qui m’amuse le plus cette année, c’est d’avoir mis des bonnets de père Noël à certaines de mes funko pop. Si ça, ça ne met pas dans l’ambiance de Noël, je ne sais pas ce qui vous mettra dedans. Et oui, j’ai totalement l’envie de voir cet épisode de Buffy avec Giles et Faith…

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Remarquez, je dis ça, mais le seul épisode de Noël de Buffy est avec ces deux personnages, et je ne l’aime pas. C’est malin. BREF. Ma déco est rouge et or ? Très bien, comme cette année, je me suis mis en tête de faire quelques designs pour le blog, ça ne surprendra donc personne que le blog s’aligne à ces couleurs.

J’espère que vous aimerez cette version de Noël pour le blog ! J’y ai passé beaucoup trop de temps pour ce que c’est, ça ne rend pas du tout comme je voulais, mais j’ai décidé de faire comme si et de m’habituer à son rendu. Bref, l’essentiel est pour moi que vous aimiez le design alors je ne vais pas trop le descendre. En revanche, ma déco, je sais qu’elle est particulière, alors vous pouvez ne pas l’aimer, moi elle me convient et c’est l’essentiel aha !

DSC_1471D’ailleurs, un autre truc qui me convient bien, c’est la couverture de cet article. Je l’adore, je trouve qu’elle respire Noël, et j’espère que vous serez d’accord. Je crois que c’est la première année que j’ai un père Noël en couverture sur le blog pour les 500 mots. Avec tout ça, je peux vous dire que je vais l’attendre le père Noël, j’espère qu’il va bien taper dans ma liste d’envies – hum, et il va être temps que j’aille taper dans celle de mes amis, moi, je n’ai pas commencé les courses de Noël !

Sur ce, je vous dis à tout à l’heure, parce que bon, je vais quand même faire un calendrier de l’avent avec mon classement des séries de la saison 2019-2020 ; et tant pis s’il n’y a rien dedans ! Enfin, j’ai quand même vu quelques séries, c’est juste que je suis en train de tirer de tous les côtés pour réussir à atteindre au moins le top 50, et ce n’est pas le cas. C’est pô juste comme dirait l’autre ! Ne m’attendez pas tout de suite, tout de suite, je n’arrive à rien ce soir, je suis au ralenti, j’ai mis près de deux heures à vous pondre l’article tellement je fais 500 trucs en même temps. Y a des soirs comme ça… Espérons que la raclette m’aidera à m’en remettre !

Ce que c’est que l’urban fantasy (et moi)

Salut les sériephiles,

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Après avoir fini Midnight, Texas hier soir – pour ne pas dire plus honnêtement cette nuit – et n’ayant pas le temps de regarder la moindre série aujourd’hui, je me suis dit que j’allais plutôt faire un rapide article de blabla sur le genre de l’urban fantasy, qui est un genre que j’adore en séries… mais pas tellement en livres. Pourtant, une grande majorité des séries d’urban fantasy que nous avons aujourd’hui vient d’adaptation de livres… Qu’importe, c’est l’heure de compléter un peu le lexique du sériephile, ça faisait bien trop longtemps !

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Alors c’est quoi l’urban fantasy ? En français, elle s’appelle parfois « fantasy urbaine », et c’est comme son nom l’indique un sous-genre (littéraire, d’abord) qui voit des créatures mythiques (mythologiques, légendaires, féériques, etc.) vivre dans un centre urbain le plus souvent contemporain ou légèrement futuriste (ça commence à la fin du XIXe siècle, ça va jusqu’à nos jours ou le futur proche). L’idée est donc de proposer un cadre réaliste dans lequel existe en secret la magie. Et c’est génial, tout simplement, parce que le surnaturel fait irruption dans la vie quotidienne.

C’est quoi ce nom ? Je vous épargne l’explication, je pense qu’on voit tous pourquoi la fantasy dans un cadre urbain s’appelle urban fantasy, non ?

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Quelle origine ? Comme je le disais, elle tire surtout son origine de la littérature : certains la rattache à des œuvres comme Peter Pan, mais c’est surtout à la fin du XXè siècle qu’elle apparaît chez les auteurs américains. Elle se distingue surtout de la fantasy : on sort d’un cadre médiéval/uchronique et on présente des personnages ayant des pouvoirs. Souvent, elle se rapproche aussi de l’horreur… En France, ce n’est qu’à la toute fin des années 90 qu’elle commence à vraiment se développer. Le plus souvent, il s’agit de traduction, qu’on retrouve sous le nom de bit lit (très, très souvent chez Milady). Il s’est développé ces dernières années une tendance à la romance dans l’urban fantasy qui a tendance à vraiment me décrocher de ces bouquins, parce que ça ne m’intéresse pas plus que ça et que j’ai souvent du mal avec la manière dont c’est écrit, soit trop puritaine (coucou Twilight – ce gif ci-dessus, c’est juste pas possible), soit à l’inverse trop explicite. Et puis, c’est toujours cucul quoiqu’il arrive, je n’accroche vraiment pas à la romance, désolé pour ceux qui adorent.

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Et dans les séries ? La même tendance existe aujourd’hui dans les séries, c’est sûr, mais je trouve que c’est légèrement plus digeste à l’écran qu’à l’écrit. Pourquoi cela ? On nous épargne le plus souvent les pensées des personnages (à moins d’être devant True Blood et d’avoir Sookie qui écoute les pensées des autres) et tout le côté hyper gnangnan s’en trouve adouci.

Cependant, il n’y a pas que la romance dans l’urban fantasy. Si je suis aussi fan de ce genre, c’est parce que je suis tombé dans la marmite petit : Charmed, c’est déjà de l’urban fantasy avec l’idée des sorcières et des démons qui vivent dans notre monde. Le meilleur exemple, cependant, ça reste pour moi Buffy et Angel, puisque ces séries sont en plus hyper attachées à leur centre urbain (Sunnydale/Los Angeles) là où les sœurs Halliwell l’était plus au Manoir qu’à San Francisco (qui reste un élément incontournable de la série, je sais).

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Sorcière, vampire, loup-garou, démon, ogre, dieu, fée, ange, métamorphe, panthère-garou, Tueuse… Les seules barrières de l’Urban Fantasy sont finalement celles de l’imagination !

Il existe des dizaines d’œuvres d’urban fantasy désormais. Je parlais de Midnight Texas, mais il y a aussi eu Shadowhunters ces dernières années, ou même Once Upon a Time, qui s’est souvent détachée de l’urban fantasy après sa saison 1 mais finissait toujours par y revenir. Ce n’est pas un hasard si j’ai adoré la saison 7 : elle revenait au cœur du concept avec quartier urbain centre de tous les éléments magiques de la saison…

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Il est facile de citer aussi The Magicians, parce que ce n’est pas ma série préférée pour rien. Et puis, difficile de ne pas citer le retour de Sabrina. Celle-ci manque encore à l’appel des séries vues par mes soins, mais je sais très bien que je finirai par la dévorer un jour ou l’autre, surtout maintenant que j’ai eu à dire au revoir à une autre série que j’adore !

Voilà donc pour la fantasy urbaine… Je sens que cet article ne lui fait pas autant justice que ce que je voudrais, mais je suis pressé par le temps. Voyons-le comme l’occasion d’en parler plus longuement en commentaire en attendant que je me décide à écrire un nouvel article dessus 😉

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Qu’est-ce que vous en pensez-vous ? Vous êtes plutôt ambiance moite et sexy à la Midnight/True Blood ou sauce teenage à la Buffy/Sabrina ? Rassurez-moi… je ne suis pas le seul fan, si ? Parce que même quand c’est super mauvais, je ne peux m’empêcher de regarder…

Ce que c’est qu’un sériephile

Salut les sériephiles,

Deuxième jour de concours pour moi, mais j’ai planifié cet article il y a un moment déjà ; et pour m’assurer de ne pas me planter dans l’actualité, je vous propose aujourd’hui le terme le plus général qui soit : celui par lequel je commence tous mes articles, parce que la définition varie trop d’une personne à l’autre !

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Essayons de nous mettre d’accord… ou en tout cas, sachez comment je le vois quand je vous appelle comme ça !

Alors c’est quoi au juste un sériephile ? Vaste question, pas vrai ? Simplifié à l’extrême, ce terme désigne simplement un « amateur de série télévisée », c’est-à-dire donc « quelqu’un qui aime les séries ». Eh oui, c’est un terme générique qui englobe un peu tout le monde, en fait, du simple spectateur de séries policières passant à la télé aux tarés comme moi qui regarde grand minimum un épisode par jour pour ne pas se sentir en manque (comment ça, une maladie ? Mais non, regardez, je me sèvre parfois : je n’ai rien regardé hier !).

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Je trouve que ça résume bien les choses. Bon, cela dit, je n’aime pas spécialement Girls.

C’est quoi ce nom ? C’est un néologisme, c’est-à-dire un nom inventé et créé de toutes pièces, probablement par des sériephiles eux-même, à partir du terme « série » et du suffixe « phile ». Ouais, je sais, vous ne l’auriez jamais deviné par vous-même. Le suffixe « phile » sert à former un nom correspondant à une notion de passionné, d’amateur ou d’attirance, et vous devez connaître tout un tas de mots qui finisse par lui. On notera qu’en psychiatrie et psychologique, il désigne une attirance pathologique (voire un goût pervers) et on se dira que eh, peut-être que j’ai simplement une pathologie à en regarder autant. Auquel cas, merci, mais non merci pour le traitement, ça se passe bien pour moi.

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Quelle origine ? De manière à peu près évidente, le terme a été calqué sur celui de cinéphile. Ce dernier est apparu dans les années 80 en France, alors que sériephiles date plutôt de la fin des années 90/début 2000. Ben oui, c’est assez logique : c’est là que les séries ont connu un essor, à la fois aux USA et dans la diffusion française. On se souvient ainsi de La Trilogie du Samedi et de la production américaine qui s’est emballée sur sa saison 2004-05 avec un vrai âge d’or : LOST, Desperate Housewives, Dr House, Battlestar Galactica, Grey’s Anatomy La télévision s’est renouvelée, les séries ont commencé à être un vrai sujet de discussion, avec une meilleure considération, et paf, ça fait des chocapic sériephiles.

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Image rare de moi tout content de ma vanne pourrie (et pourtant, je déteste ce personnage).

Et aujourd’hui ? De plus en plus de gens se proclament sériephiles, rien que parce qu’il regarde des grosses productions populaires type Game of Thrones ou Stranger Things. Si ça peut paraître frustrant au premier abord pour des gens comme moi qui en regardent bien plus, ce n’est pourtant pas faux, et c’est simplement à nous de préciser dans le conversation notre degré d’implication dans la sériephilie. Un autre terme a eu tendance à se développer, celui de sérievore (série + dévore, donc), mais je l’aime moins, parce que je trouve l’image moins jolie : ça donne vraiment l’impression du vorace qui ne prend pas le temps de savourer ce qu’il dévore trop rapidement ! Et du coup, ça me fait développer la notion de sériephile vers une définition plus précise encore.

Pour moi, être un sérievore (ou même parfois un sériephage, avec un suffixe désignant vraiment l’idée de nourriture), c’est être passif dans sa consommation (excessive) de séries : c’est regarder pour regarder, et ça me donne l’image de quelqu’un qui s’empiffre en plus. Genre :

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Et ça correspond à plein de gens, et c’est très bien comme ça ; mais ce n’est pas (plus) comme ça que je me vois, malgré les points du Bingo Séries faisant bouffer, promis.

 

En revanche, être sériephile, ça suppose (toujours selon moi, hein) un peu plus de passion et donc d’action, en prolongeant son visionnage par d’autres aspects : achat de goodies, recherche d’infos, lecture de critiques… Oh ben dis donc, serait-ce pour ça que tous mes articles commencent par le mot sériephile ? Parfaitement, mon cher Watson !

Après, le français est une langue vivante et une seule perception ne veut pas dire grand-chose, en contexte, certains sériephiles se disent sérievores et y mettent les idées que je réserve à la notion de « sériephile ». Chacun fait comme il le sent, en définitive, mais le point positif de toute cette affaire, c’est qu’on entend de plus en plus parler de nous ! Et ça, ça donne envie d’aller danser dans une fontaine.

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Ou pas, parce que ça doit être sacrément froid, et puis, le haut blanc, il doit vite être transparent, et puis, ça glisse, et puis…