Ce que c’est qu’une guest star, part. 2

Salut les sériephiles,

Cela fait longtemps, très longtemps que je n’ai plus écrit d’articles allant dans le lexique du sériephile, mais je sais que c’est une catégorie qui vous plaisait bien. Du coup, quand j’ai vu dans les recherches menant au blog la question « c’est quoi guets star » (la faute de frappe est dans la recherche), je me suis dit que c’était l’occasion de me retrousser les manches… avant de découvrir que c’était un article que j’avais déjà écrit lors de la mise en page.

Voir aussi : Ce que c’est qu’un(e) guest-star

Grosse utilité publique ce blog – mais j’en profite pour rappeler que c’est féminin (même si je ne suis pas le dernier à l’utiliser au masculin aussi, c’est censé être féminin). Ce n’était pas si clair la dernière fois que j’en ai parlé. Pour ma défense, c’est un article que j’avais écrit il y a deux ans. Pour m’enfoncer encore plus, j’avais déjà les mêmes exemples d’acteurs, ça craint, non ? Eh bien, pas forcément et je vais en profiter pour vous expliquer pourquoi.

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Le premier exemple qui me vient en tête quand je parle de guest-star

Alors à quoi ça sert une guest star ? C’est tout simple : c’est l’apparition d’une star dans une série où elle n’a pas un rôle principal. Cela peut être pour un épisode (Leighton Meester dans The Last Man on Earth par exemple) ou pour quelques épisodes (Britney Spears dans How I met your mother, Billy Zane dans Charmed, etc.). Et ça sert surtout au marketing finalement : le but n’est pas le buzz d’un caméo, je l’avais déjà dit la dernière fois, mais ça permet tout de même de faire les choses en grand dans les promos, on le sait bien.

Parfois, la définition est un peu plus floue, parce qu’un acteur invité en guest-star pour un ou deux épisodes finit par revenir un peu plus, voire s’intégrer définitivement au casting de la série (une fois de plus, coucou Amy Acker, qui nous a fait ça dans la dernière saison d’Alias, dans une moindre mesure, dans Angel, évidemment, ou dans Person of Interest… Bref, c’est toute sa carrière qui est comme ça et elle ose encore dire qu’elle a « de la chance » quand c’est clairement du talent. Pardon, je m’égare totalement et j’oublie le but de l’article là).

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Bon, elle est aussi guest dans McGyver (snif), Agents of S.H.I.E.L.D, plusieurs épisodes de SuitsHIMYM? etc.

Voilà, autrement dit, « guest-star » = un visage connu dans une série, et c’est tout. Pas compliqué, finalement. Mais les guest-stars pour qui ça se passe vraiment bien peuvent décrocher de plus gros rôles ou juste relancer leurs carrières (coucou Britney !). Finalement, si ce sont mes deux exemples à chaque fois, ce n’est pas pour rien : ces exemples sont marquants car ils sont la définition même de ce que c’est qu’une apparition de guest réussie : ça se retient, ça apporte de bonnes choses.

Pourquoi on l’utilise tant ? On le voit souvent dans les génériques de séries ou dans les crédits qui défilent au début des épisodes, ce qui fait que le terme s’est répandu assez vite chez les sériephiles. En français, on a plutôt tendance à lire « avec la participation exceptionnelle de… » et ça permet de comprendre pourquoi on lui préfère le plus court et plus rapide « guest star ».

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Et aujourd’hui ? Deux ans après mon premier article, la pratique est toujours aussi populaire et revient parfois en force pour des événements spéciaux, comme les épisodes de SuperBowl ou comme en septembre dernier où ABC nous a fait tout une affaire de sa semaine avec des guests venues du passé (par exemple, deux actrices de Charmed dans Grey’s Anatomy). On voit bien l’intérêt pour les chaînes d’avoir des guest stars, de manière à booster un peu les audiences.

Le terme s’est tellement popularisé qu’on le retrouve aussi parfois ailleurs : « guest star » est désormais utilisé dans l’univers des jeux vidéos, du sport (le catch notamment) ou même au cinéma ! Comme quoi, les séries, c’est pas n’importe quoi et ça influence vachement la culture populaire. En même temps, si vous êtes là, vous le pensiez probablement déjà.

Voir aussi : Le lexique du sériephile

Une série Alex Rider

Salut les sériephiles !

Aujourd’hui, je vous propose de vous présenter encore un nouveau projet de séries qui m’intrigue. Oui, ça veut dire que je vais encore écrire un article sur une série dont on sait parfaitement que je n’aurais pas le temps de la regarder, comme la majorité de mes hebdos en ce moment (je vous rassure, je regarde The Magicians à 22h maximum, faut pas déconner).

Ce n’est pas de ma faute aussi, c’est que la bande-annonce est sortie aujourd’hui, alors j’ai envie de l’évoquer sur le blog, parce que c’est une adaptation d’une saga de bouquins assez populaire pour qu’elle soit passée un jour entre mes mains :

Vous l’aurez compris (dès le titre), il s’agit d’une série adaptant les romans Alex Rider d’Anthony Horrowitz. Vous ne connaissez pas ?

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J’avais ce livre-là, précisément.

C’est une série de littérature jeunesse qui nous présente le personnage éponyme, un orphelin de quinze ans, qui apprend la mort de son oncle, son tuteur légal depuis le décès de ses parents. Sa vie en est aussitôt bouleversée : il découvre que son oncle travaillait en fait pour le MI6 et que c’est lors d’une de ses enquêtes qu’il est mort.

Mais ce n’est pas tout, car sinon, ce serait un peu creux. Non, Alex découvre ensuite que les vacances qu’il passait avec lui étaient en fait un moyen de l’entraîner à devenir espion. Autrement dit, Alex est prêt à rejoindre un centre de formation pour espions du MI6 (eh, ça a son petit côté ALIAS l’air de rien) et à terminer l’enquête que menait son oncle, même s’il n’a que quinze ans. Surtout parce qu’il n’a que quinze ans : qui se méfierait d’un ado, hein ?

Bien sûr, c’est de la littérature jeunesse et les ficelles sont souvent très grosses, mais honnêtement, j’ai de bons souvenirs des trois ou quatre premiers romans que j’avais empruntés à la bibliothèque. Depuis, évidemment, j’ai arrêté de les lire parce que je trouvais ça un peu répétitif et que j’avais plus de mal à accrocher en grandissant… Cela dit, les séries pour adolescents ont tendance à être un talon d’Achille pour moi, alors je me dis que je tenterais bien celle-ci pour voir ce que ça donne.

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Un film peu glorieux

Je suis déjà curieux de voir ce qu’elle va donner : il y a eu des films déjà, et ça avait été chaque fois un bide monumental. La bande-annonce n’a pas l’air exceptionnelle non plus pour la série, mais je me dis qu’ils ont quand même pas mal d’histoires à raconter et que le format séries est bien plus adapté que celui du film. La curiosité me fait aussi me demander s’ils vont plutôt prendre le parti de suivre à la lettre les romans ou simplement faire le choix de nouvelles histoires et nouvelles enquêtes.

Honnêtement, ça m’est un peu égal puisque je ne me souviens plus du tout des romans, au-delà du titre et de la couverture de Stormbreaker. Je sais que je l’avais acheté, mais je n’ai pas la moindre idée d’où il a fini avec les deux déménagements… Allez savoir, peut-être que la série me motivera à le déterrer à nouveau.

En attendant, la bande-annonce me fait penser qu’une nouvelle série pour ados va débarquer et que ça peut faire un très bon guilty pleasure tout simple pour les soirées de fatigue.

Mes cinq résolutions pour 2020

Bonne année les sériephiles !

C’est donc déjà parti pour 2020, une année qu’on voit venir depuis un moment j’ai l’impression, parce qu’étant né en 1993, elle m’a toujours paru hyper lointaine. C’est l’année qui est quand même après le futur de mes séries d’enfance et d’adolescence (Charmed, Dollhouse…), l’année où les voitures devraient être en train de voler et l’année où l’on entame « les années 20 »…

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Bref, on ne pourra plus parler des « années 20 » comme des années de la prohibition et tout, il va falloir se mettre à préciser mil-neuf cent vingt. C’est bizarre, non ?

Non, pas forcément. Allez, comme ces deux dernières années, je me suis dit que je pouvais faire de ce premier article de l’année un article présentant mes bonnes résolutions pour 2020, qui vont plutôt être une évolution de certaines habitudes déjà prises. Avant tout, cela dit, j’ai envie de faire le point sur mes résolutions de l’an dernier, pour voir comment je m’en suis sorti !

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Oui, et en résultats ?
  1. Lire encore plus : J’ai bien fait de recycler cette résolution, car je pense que j’ai réussi effectivement à prendre plus de temps de lecture pour moi. Ce n’est pas encore tout à fait gagné pour autant, car j’ai plein de livres entamés chez moi… mais bon.
  2. M’organiser encore mieux : alors, vaste sujet, parce que je considère que j’ai extrêmement bien réussi ce point de janvier à mi-juillet. Ensuite, avec la période de pause de l’été, et surtout avec le déménagement, j’ai un peu laissé tomber les choses. Je m’y suis remis en septembre, en changeant de méthode pour la rendre plus efficace. Elle l’est, mais elle se faisait principalement à l’ordinateur et comme je ne me trimballe pas avec mon ordinateur partout et que j’ai eu un bug informatique me faisant perdre deux semaines de planification (joie de la sauvegarde mensuelle !), ben… j’ai fini l’année plus débordé qu’avant. Il faut que je m’y remette !
  3. Me remettre à l’espagnol (encore) : eh bien, toujours pas ! Ce n’est pas faute d’y penser, d’avoir lu un peu en espagnol, de m’être remis à écouter les infos d’El pais ou d’avoir balbutié en espagnol avec une collègue ; mais bon, ça continue d’être rouillé !
  4. Reprendre (et réussir !) le Challenge séries : c’est gagné, mais avec un bon nombre de switchs ! Plus d’informations demain, je ferai un point dessus 😉
  5. Rester positif : c’est toujours difficile à évaluer comme résolution, seulement, je crois que c’est un acquis quand je relis ma description qui était de m’éviter la dépression du retour à Paris. Ecoutez, je me confirme l’impression que j’avais de moi qui est que je suis assez malléable et que je me fais à tout. Revenir à Paris, c’était l’assurance de revoir plein de proches et de pouvoir recommencer un paquet de choses de ma vie de geek. Et ça aide bien, même si niveau santé, tout n’est pas rose avec la pollution.
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4/5, c’est pas si mal, non ? Année au top, 2019, finalement !

C’est tout ? Non, je parlais dans mon article de l’espoir à être plus régulier sur mon compte instagram… et ça aussi, par pur hasard, j’ai envie de dire que c’est mieux, parce que ça va faire deux mois que je fais une (petite) story par jour et que je publie des photos de temps à autres.

Et pour 2020 ? Cinq nouvelles résolutions, même si certaines sont dans la suite de celles-ci, évidemment, parce que vous avez compris qu’il y a eu quelques petits fails.

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  1. Lire (au moins) un livre par semaine : Voilà. Je pense que je ne dois pas en être loin sur 2019, mais j’ai le problème de ne pas tenir les comptes, de lire beaucoup par période (juin/juillet, toujours) et surtout, surtout, de commencer certains livres sans les finir. Ouais, bon, comme les séries ; je lis en parallèle plein d’histoires différentes, il y a des livres répartis un peu partout chez moi, c’est n’importe quoi (c’est aussi mon métier qui veut ça, cela dit). 52 livres en 365 jours ? C’est parti !

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2. Voir 100 films dans l’année : en 2019, je me suis fixé l’objectif d’un film par semaine… et j’ai terminé par voir mon 90e film de l’année hier soir. C’est malin. Bref, 100 films, c’est deux par semaine, c’est super faisable et j’ai une carte de cinéma à rentabiliser.Résultat de recherche d'images pour "bullet journal tvshow"

3. Me réorganiser, avec un bullet journal : Alors, non, ce ne sera pas vraiment un bullet journal car je n’ai pas la patience pour ça ; mais pour cette année, je vais arrêter l’informatique qui ne correspond plus trop à mon quotidien avec les transports (ouais, c’est le train qui me met dedans, finalement). J’ai donc imprimé mes tableaux de semaine pour toute l’année, je vais tout coller dans un carnet offert à Noël par Gaëlle, et je vais tenter de gérer ça comme ça… avec des photos pour la sauvegarde ? Quand même !

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4. Réussir le Challenge Séries 2020 : Ben oui, forcément, je ne vais pas m’arrêter en si bon chemin. J’ai réussi l’édition 2019 en terminant dans la nuit d’avant-hier, donc le 31 décembre… je suis sûr que je peux faire mieux que ça en 2020 où je me prévois un nombre plus conséquent d’épisodes. Pourquoi ? Parce que j’ai vu énormément d’épisodes en 2019 (mais vraiment énormément), donc je sais que je peux y arriver !

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5. Rester malléable : Honnêtement, j’ai l’impression d’avoir fait le tour de mes résolutions, car je veux quelque chose que je puisse atteindre. Me dégager du temps de lecture, voir plus de films (entre amis !), c’est faisable. Je n’ai pas envie de feindre une résolution sportive quand je sais que le sport et moi, on s’aime bien à petite dose ; et quand je sais que mes semaines ne sont pas extensibles à l’infini – j’écris déjà plus d’un article par jour en plus de tout ça, hein. Le mot d’ordre sera donc de continuer de m’adapter à toutes les situations – avec un changement d’établissement/emploi du temps au minimum en mars, en juillet, en septembre ; avec le blog à tenir malgré des périodes de vacances importantes cet été ; avec tout ce que la vie peut apporter de surprises. S’adapter, ne pas s’enfermer trop longtemps dans les mêmes rituels, changer ses habitudes… même quand je m’en plains, on sait tous que j’adore ça et que ça permet de se sentir vivant. Alors, oui, j’ai mes rituels, mais tout le fun, c’est de réussir à tout recaser tout le temps de manière différente…

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Et en 2020, j’ai toujours Instagram à tenir, et le blog, les Bingo mensuels, puis, accessoirement quand même, un travail à gérer et une vie sociale à cultiver. Souhaitez-moi bonne chance… ou tout simplement bonne année 😉

Un samedi au Comic Con Paris (2019)

Salut les sériephiles !

Comme promis hier, il n’y a pas trop de surprise dans le sujet de l’article du jour : je suis ici pour vous parler du samedi au Comic Con. C’est absolument dingue de se dire que ça fait déjà une semaine que cette journée quasi-parfaite s’est déroulée, et pourtant ! Par où commencer ?

Par le début, bien sûr ! Pas d’erreur dans le métro cette fois-ci, j’ai retrouvé Laura à 9h16, pour un rendez-vous fixé à 15, c’était plutôt pas mal joué de ma part. Rapidement, Poluss nous a rejoint, et puis la crapule, et puis hop hop hop, c’est en toute hâte que l’on s’est dit que c’était l’occasion parfaite pour faire une photo sur le canapé de Friends. En début de journée, il n’y avait pas grand-monde dans le salon, et beaucoup ne savaient pas encore où il était. J’avais l’avantage d’avoir eu le temps de le voir le vendredi.

Voir aussi mes articles sur les journées de : VendrediDimanche

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Photo faite, c’était déjà l’heure de la séparation. Je vous laisse consulter le compte-rendu du week-end de Laura sur son blog, nous, on est allé commencer une longue journée d’attente avec Poluss. Une journée d’attente ? Ben oui, on ne voulait surtout pas rater le panel d’Amy Acker à 11h. Mission réussie, largement, avec un panel qui était particulièrement génial. Snapchat-2132396261.jpgCette fois, Yaelle est revenue sur l’ensemble de la carrière d’Amy et, oui, elle a à peu près réussi à faire le tout, c’est incroyable. Une journée qui commence par Dollhouse, c’est forcément une bonne journée, mais il a été question d’à peu près toutes les séries dans lesquelles elle a joué, et il y en a eu un max !

Bien sûr, les films aussi ont été évoqués, et malgré tout, il manquait encore certains de ses projets. J’ai donc profité de l’occasion pour demander le micro à Marine afin de poser la première question de la journée. Cette fois encore, Amy Acker m’a reconnu, se demandant d’abord si c’était bien moi, puis lâchant un craquant « Oh he had the first question yesterday ». Si vous me suivez ailleurs que sur le blog, vous savez déjà que je suis sous le charme de ces quelques mots, elle est tellement mignonne et parfaite aussi.

DSC_0210.JPGBon, je ne me suis pas trop décontenancé malgré tout et j’ai pu poser une question sur feu The Gifted. Sa réponse fut bien longue et marrante, confirmant que l’équipe n’avait pas vraiment regardé Person of Interest et n’arrêtait pas d’avoir des idées lui rappelant son rôle de Root. C’est un peu ce que j’écrivais dans mes critiques de la saison 2 lors de la diffusion, ça me rassure. Les autres questions ont porté sur Angel ou le meilleur épisode de POI (sur lequel j’ai effectivement écrit cet article), évidemment, mais ce qui devait arriver arriva : le panel a pris fin bien trop rapidement à mon goût. Pourtant, on avait fait le tour de 15 ans de projets divers… Une fois de plus, chapeau bas à Yaelle que je vois comme une vraie magicienne – les questions sont précises et permettent de tout aborder. Le seul truc dont il n’a finalement pas été question, c’est Con Man, mais c’est tellement peu connu que ça n’est pas surprenant.

Comme promis dans mon article planning du samedi, nous avons enchaîné avec Pauline en traversant le salon sans rien regarder d’autre que notre objectif : le studio photo. IMG_26f4y9.jpgEt on a eu une sacrée chance de passer pile au moment où ils ouvraient les portes pour l’attente du studio, donc on était dans les dix premiers à pouvoir faire une photo avec elle. C’était rassurant pour la suite de la journée : les premiers aux photos sont inévitablement les premiers en dédicace, voyez-vous.

L’attente fut longue à nouveau, principalement parce que je commençais à avoir faim, mais que je ne me voyais pas prendre le risque de manger avant la photo – pour ne pas me tâcher, pour ne pas avoir une sale haleine, pour ne pas avoir un morceau de pomme de terre dans les dents, les vrais problèmes, quoi ! Finalement, il a bien fallu se rendre à l’évidence, le grand moment est arrivé (« vous êtes ensemble ? » pour la private joke aha).

Sans trop de surprise, elle m’a reconnu à nouveau et dit « oh bonjour again ». À ce stade de l’article, vous aurez compris que de toute manière, elle aurait pu me dire « oh no not you », j’aurais été totalement in love quand même. La photo passe trop vite, mais elle a tout de même pris le temps de dire qu’elle trouvait mon t-shirt « cute » (un t-shirt Run Robot, en référence aux boîtes de production Mutant Ennemy – Angel, Dollhouse – et Bad Robot – Person of Interest, trouvé sur Redbubble). C’est un bon moyen de briser la glace en photo, mais de toute manière, de mon côté, y avait zéro glace.

La photo prise, il a fallu redescendre de mon petit nuage pour retrouver Pauline et sa photo, et pour qu’on se dirige alors vers l’espace dédicace, encore un peu hagards. Des vrais fans, des vrais gamins complètement perdus ! On s’est tellement dépêchés qu’on était carrément dans les cinq premiers pour la dédicace. C’était une bonne nouvelle pour le reste de la journée !

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Ouais, c’est organisé cette affaire, y a des post-it pour qu’elle mette bien les accents à mon prénom vous voyez, et j’ai pris une pochette pour protéger la photo (je n’ai pas arrêté de la faire tomber par terre quand même)

L’attente était plus longue en temps, mais elle a paru plus courte, parce que j’ai enfin pu manger et parce qu’on était dans la file juste à côté de celle pour Ross Marquand, donc on n’était pas sans rien à regarder non plus. L’acteur a été tellement cool avec ses fans ! S’il avait fait un créneau de dédicaces supplémentaire, j’aurais probablement craqué et pris moi aussi une signature. Mais bon, il avait fini son programme, cette dédicace était la dernière chose qu’il lui restait à faire – ce qui explique sûrement pourquoi il était si généreux avec les fans.

De toute manière, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, Amy Acker aussi était généreuse avec nous. Elle a pris tellement le temps de parler que le matin, elle avait accumulé du retard et que le Comic Con a dû ouvrir un créneau de dédicaces supplémentaire ! Bref, ce qui compte, c’est que j’ai pu lui parler à nouveau (une dernière fois) pour lui dire à quel point j’étais fan – on sait jamais, elle avait peut-être mal compris les premières fois non ?, et surtout pour lui parler d’une de mes scènes préférées de Dollhouse. Elle voyait parfaitement de laquelle je parlais et a semblé touché (bon, en même temps, c’est son job en convention non ?), elle m’en a remercié en disant que ça avait été une journée éprouvante pour elle mais que Fran Kranz était un collègue cool, elle a signé ma photo en disant qu’elle était « nice » (aaaaah) et a fini par me dire au revoir, parce qu’il fallait bien que je laisse ma place à Pauline, qui a eu la bonne idée de parler de moi, alors j’ai eu droit à un dernier regard d’Amy.

Ah oui, j’ai aussi bredouillé une dernière phrase en anglais pour lui dire que j’espérais qu’elle reviendrait en France et que j’avais hâte de voir ses prochains projets. Quoi ! On ne sait jamais !

Bon, donc, une fois ceci achevé la journée était concrètement terminée pour nous. Mais comme on n’avait encore « rien » fait, on s’est dit avec Pauline qu’on allait faire le tour des allées du salon. IMG_20191028_224752_866.jpgL’occasion de croiser des cosplayeurs, notamment une amie dont je vous laisse l’instagram, de retrouver Laura ou de tomber au hasard d’une allée sur Terry LTAM. Malheureusement, pas de panel pour lui cette année, mais il est toujours aussi sympa, et on a eu notre selfie. Eh, ça ne valait pas les fou rires des panels des années précédentes. J’espère qu’il pourra être rembauché pour animer quelque chose l’an prochain, parce que ça manquait !

Voilà pour cette deuxième journée, je n’ai finalement pas fait d’autres panels. C’est un peu pauvre en contenu, je sais bien, mais bon, le début de la journée avait été intense ! En plus, ce n’était vraiment que le début : à parcourir les allées, on a pu faire plein de photos (le canapé de Stranger Things, la photo officielle du salon), j’ai croisé des abonnés et même une amie de lycée, totalement par hasard. Alors certes, je n’ai pas vu tout le monde, mais ça n’est pas toujours évident de se retrouver dans les allées. J’ai laissé le hasard faire les choses, et puis il restait encore la journée du dimanche.

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En attendant, on s’est permis quelques craquages – enfin, les filles surtout, j’ai été sage et pas trop déboursé mon argent. Après tout ça, il faut tout de même que je vous avoue que pour la première fois depuis deux ou trois ans, on a décidé avec Laura de ne pas aller à la soirée de projection. Elle se déroulait en masterclass et la file d’attente nous a déjà paru pleine quand on a voulu y aller. C’était vraiment dommage de ne pas la faire en Grande Scène… Après, le contenu nous intéressait moins que d’habitude aussi – c’est un peu dommage de diffuser des épisodes de saisons diverses pour une projection comme ça. Je préférais les épisodes 1 de série (ou d’anthologie) de l’an dernier, histoire de vraiment découvrir et voir si on aimait, sans être paumé dans l’histoire.

IMG_20191026_204132_393.jpgOh, ne vous inquiétez pas, on n’a pas rien fait de la soirée non plus : on a finalement rejoint Terry LTAM qui nous avait proposé de venir prendre un verre avec lui dans son bar préféré, le J’peux pas, j’ai poney. Et honnêtement, c’est sans regret : le bar est très (très) chouette et on a passé une très bonne soirée en sa compagnie et en compagnie de celle d’une poignée de ses abonnés. Le genre de soirée qui se déroule dans la bonne humeur et qui rebooste avant une dernière journée d’un week-end crevant. Je vous en parlerai demain, vous vous en doutez bien !

Voir aussi mes articles sur les journées de : VendrediDimanche

En attendant, vous pouvez toujours faire un tour sur mes photos du samedi publiées sur Insta :

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