Spoilers
Retrouvez ci-dessous la critique complète du troisième épisode de la saison 1 de Burden of Truth.
Épisode 3 – Still Waters – 16/20
We’re the freaks now. Twiching girls of Millwood.
Joanna et Billy appellent Molly pour lui demander d’accepter d’être le visage de toute l’affaire : c’est elle qui a la vie la plus triste après tout. On s’éternise ensuite sur Molly prenant sa douche, histoire de la voir affecter par ses troubles. Pourquoi pas, mais c’était vraiment long comme scène et on sent bien que le but était de faire plaisir aux audiences.
Comme elle tombe de sa douche et pourrait se blesser, Billy vient installer une barre pour l’aider lors de sa prochaine douche. Bref, la vie n’est pas simple avec la maladie.
On retrouve ensuite Joanna en plein jogging, mais elle est rapidement détournée de celui-ci pour faire des photos de la ferme. Pendant qu’elle les fait, elle se rend compte qu’elle est suivie.
Elle se rend au café de la ville pour se remettre à bosser et continuer l’enquête, invitant au passage Howard, un expert hydrologique. Le problème, c’est qu’elle se présente comme une avocate de sa boîte, donc qu’il faudra le payer. Elle est prête à y mettre son argent, donc le problème est vite évacué pour lui laisser la possibilité de travailler et de faire avancer l’enquête.
Comme j’aimais bien Molly avant cet épisode, j’étais content d’avoir le droit à un épisode s’intéressant autant à elle. Finalement, c’est l’ensemble des victimes de la maladie qui intéresse les scénaristes cette semaine, avec une séance de psy toutes ensembles avec Diana. C’est intéressant car elles s’en prennent beaucoup les unes aux autres.
Molly décide de ne pas y aller, et ça embête Diana qui aurait bien besoin d’une capitaine d’équipe pour sa petite session. Et Molly est le choix logique. Cette dernière retourne ensuite s’entraîner au basket, et ça se termine mal : elle a des spasmes et les autres filles ont peur que ce soit contagieux… du coup, elle l’évite. Sympa.
Molly devient alors pote avec Taylor et les deux se plaisent à se plaindre de leur nouvelle situation. Cela commence à être chiant de les voir se morfondre, mais en même temps ça fonctionne bien de les voir se rapprocher. J’espère juste que les scénaristes les laisseront être amies et n’en feront pas un couple.
Joanna et Billy sont ensuite confrontés au maire de la ville qui refuse de les aider. Joanna réagit comme toujours : en attaquant et menaçant la maire d’une charge de prison. Du coup, celle-ci accepte de les laisser tester quatre puits, ce qui est mieux que rien, mais toujours pas assez pour Joanna.
La copine de Molly, Luna, les contacte ensuite car elle veut un job. Par chance pour elle, Joanna repère la voiture qui la suit, réussit à en prendre des photos et a donc une mission pour sa nouvelle stagiaire, qui demande à être payée… pour aller demander à son ex beau-père, le policier déjà vu plusieurs fois dans la série (notamment à draguer Diana), de repérer la voiture.
Il retrouve rapidement la liste des propriétaires d’une telle voiture à Millwood, ce qui permet d’aller vite. À mon avis, c’est plus lié à Joanna qu’à l’enquête en général, mais bon. D’ailleurs, de ce côté-là, Joanna découvre que sa mère était une patiente d’un hôpital psychiatrique, quand elle la croyait morte d’une pneumonie.
Forcément, elle appelle son père, qui fuit ses responsabilités et ne lui donne aucune information sur le sujet. Je vais finir par être frustré que ça n’avance pas plus vite. Elle contacte donc son médecin de famille qui lui confirme que sa mère avait les symptômes d’un burnout et que son père avait demandé à l’interner.
Luna poursuit le chauffeur et informe Joanna de son identité, ce qui finit par leur faire comprendre que le sol du terrain est infecté directement. Pas une seule seconde quelqu’un ne s’inquiète pour Luna qui est pourtant en train de partir en vrille totale. Pas une seule seconde quelqu’un ne s’inquiète réellement qu’aller tester le terrain est une mauvaise idée car ils n’en ont pas de permis, Joanna allant jusqu’à dire que de toute manière, s’ils trouvent quelque chose, personne ne pourra le contester.
Euh… C’est pas genre la BASE d’un vice de procédure ou peu importe comment on appelle ça au Canada ? Bon, peu importe, ils découvrent effectivement que le terrain de foot est infecté d’un liquide couleur boue qui ne donne pas envie de rester dans les parages.
La maire est assez énervée par la situation, forcément, et elle a tous les aspects de la nouvelle méchante de cette saison. Elle refuse de leur dire où le container plein de poison se rendra après exhumation, mais Joanna est tout de même heureuse de découvrir qu’ils avaient raison depuis le début. Pire, le container a été placé là délibérément.
Dans tout ça, Howard a quand même eu de la chance de tomber directement sur un container et pas à côté, mais bon, c’est le genre de choses qui arrivent parfois après tout. En tout cas, Molly et Taylor découvrent qu’elles ne sont absolument pas responsables de ce qui leur est arrivée, et cela semble les énerver. C’est vraiment embêtant, car elles seraient capables de partir en vrille par la suite.
Quant à Joanna et Billy, ils décident de suivre le camion dans lequel se trouvent les barils avec le produit. C’est l’occasion pour le couple de héros de parler un peu histoire personnelle de Joanna… et de se faire sortir de la route par le conducteur mystérieux du 4×4 qui suivait Joanna en début d’épisode et qui n’est pas conduit par le type auquel pensait Luna.
Mystérieux, mystérieux, ce cliffhanger continue de me donner envie de poursuivre la série, qui est extrêmement régulière et stable en rythme et intérêt. D’épisode en épisode, je m’attache à l’intrigue et son mystère, ainsi qu’à son ambiance toute particulière.


Épisode 2 – The Bind That Ties – 16/20
Pas de statistiques aujourd’hui, je ne vous les communiquerai que demain parce que je n’ai pas eu le temps d’écrire mon article 😦
Alors bien sûr, ça joue que je n’ai pas repris
Le pire, c’est que je ne sais pas trop quoi y faire. Peut-être que c’est parce que j’étais malade une bonne partie de la semaine dernière que j’étais si positif avec les séries, mais quand je vois que j’ai été mettre des bonnes notes même à des séries de rien du tout comme
C’est parfaitement déprimant tout ça. En plus, en préparant l’article statistiques de la semaine, je me suis rendu compte que plus mes notes montaient, moins il y avait de gens sur le blog. Les conséquences dont je parlais plus haut ! Pourtant, janvier commençait bien, il y a déjà eu plus de visites ce mois-ci en 15 jours que pendant les 30 jours du mois de novembre. Ouais, mais bon, vous n’êtes pas dupes, vous sentez bien qu’il y a anguilles sous roche et que mes notes ne sont pas objectives du tout alors vous vous barrez. Et vous avez raison. Si ça, ce n’est pas déprimant, alors je ne sais pas ce qui l’est. Peut-être la météo.
Oh, et le pire dans tout ça, c’est que je sens bien que l’année ne fait que commencer : cette semaine, on a plein de retours, notamment celui du 

