Ce RDV se contente de reprendre l’ensemble de mes avis sans spoiler sur les épisodes vus au cours de la semaine. C’est donc un simple copier-coller de ce qui se trouve déjà dans la colonne de gauche et qui est mis à jour quotidiennement. Le titre de chaque épisode mène à la critique plus complète et avec spoilers. Les épisodes sont reclassés par ordre chronologique de diffusion, en J+1…
Étiquette : How to get away with murder
Jack Falahee (#88)
Salut les sériephiles,
Un autre dimanche nous tombe dessus aujourd’hui, ce qui veut dire qu’il faut que je choisisse ma performance de la semaine. J’ai vu plein d’épisodes au cours des sept derniers jours, bien évidemment, mais il n’y en a qu’un qui méritait d’avoir mon attention puisqu’il s’agissait du dernier de la série : How to get away with murder tire sa révérence après six ans, et une grosse majorité des acteurs mériterait d’avoir son propre article. Je découvre avec terreur que je n’ai fait un article que sur l’interprète de Michaela. C’est comme ça, il faut que je fasse avec, mais en tout cas, ça me simplifie la tache dans mon choix comme ça :

La performance de la semaine :
Jack Falahee
La série concernée : How to get away with murder
L’épisode : S06E15 – Stay – 20/20
Pourquoi ? Désolé pour les fans de Viola Davis, mais mon personnage préféré dans cette série, c’est Connor, et c’est donc de Jack Falahee que j’ai envie de parler. Déjà, parce que dans ce dernier épisode, son personnage est le seul qui ne s’en tire pas totalement – malgré le titre de la série – alors même qu’il n’a jamais vraiment fait quoi que ce soit. C’est parfaitement injuste, mais l’acteur joue extrêmement bien les remords de son personnage et sa culpabilité.
Jack Falahee a de très bonnes scènes dans cet épisode, toujours avec le personnage de son mari, évidemment. En quarante minutes, on voit donc le couple Coliver se déchirer et parler divorce, avant de les retrouver une fois qu’ils sont âgés, toujours en couple. Jack Falahee est bien le seul acteur du casting à qui la vieillesse réussit, parce qu’honnêtement, les maquilleurs se sont pas mal foirés sur Laurel (particulièrement) et les autres. Il est donc capable de jouer la vieillesse ! Ce n’est pas gagné pour tout le monde.

Il a largement participé au sentiment écrasant que j’ai ressenti durant cet épisode final, parce que c’est finalement le poids de la rupture Coliver que j’ai trouvé le plus pesant : Jack Falahee a su jouer la déception de son personnage face aux décisions d’Oliver et c’est vraiment la scène où il lui balance froidement qu’il ne l’aime pas qui a été l’une des plus dures – la plus dure restant le twist final, contre toute attente puisque je n’aimais pas les personnages en question. La surprise était là, je pense.

Bref, cette fin de série m’a achevé. En ce qui concerne Connor, on assiste à l’aboutissement logique de son personnage et quitte à faire un article sur la performance de Jack Falahee, autant le faire en évoquant l’évolution de son personnage, pour moi la meilleure de la série et possiblement la plus cohérente : il a commencé bien loin de là où il a atterri ! C’était un personnage très cliché de gay couchant avec tout ce qui bouge de manière inconséquente et sans jamais se soucier des conséquences, il termine la série en étant celui qui est le plus attaché aux conséquences.
En cours de route, Oliver a suivi l’évolution inverse, et c’est justement ce qui créé les problèmes dans ce couple : ils n’ont été que brièvement sur l’exacte même longueur d’ondes. Heureusement, dans le futur, ils ont apparemment pu continuer de travailler sur les problèmes qu’ils ont eu, même si je doute que les cinq ans de prison de Connor soient une période propice à la fidélité… En tout cas, Jack Falahee a toujours joué avec beaucoup de justesse le personnage et a participé à mon attachement à la série, également dans l’amitié qu’il développait avec Michaela – à l’écran comme à la vie.
Vu aussi dans : C’est encore un jeune acteur du haut de ses 31 ans, mais il a tout de même déjà une bonne carrière à son actif. À une époque, je m’étais motivé à voir sa série Mercy Street, parce qu’elle avait un bon casting qui me tentait beaucoup. Je ne trouvais pas facilement les épisodes, la série n’avait pas une intrigue qui me passionnait et je suis passé à côté.
Avant ça, il a aussi eu un petit rôle récurrent dans Twisted, mais c’est aussi une série à côté de laquelle je suis passé… Une chose est sûre en revanche, maintenant que je le connais mieux, j’espère que ses prochains projets me plairont davantage et que je pourrai ainsi les voir. Reste à savoir si les casteurs vont vouloir l’enfermer dans le rôle de Connor, ce qui serait dommage pour lui, ou non, parce qu’il a prouvé en six ans qu’il pouvait jouer des choses bien différentes.
L’info en + : L’acteur n’a pas toujours envisagé de l’être ! Il a commencé le théâtre après avoir quitté une école très catholique et c’est lorsque l’un de ses camarades du cours de théâtre est mort qu’il a décidé d’en faire sa profession. On ne trouvera pas meilleure démonstration du malheur des uns faisant le bonheur des autres, je crois.
En tout cas, ça nous assure qu’il persistera dans son désir d’être acteur, et c’est tant mieux parce que son charme va vite nous manquer à l’écran. Son charme ? Il ne réside pas que dans son sourire, mais peut-être aussi dans ses origines, puisqu’il est irlando-italien. Tu m’étonnes qu’il fasse des ravages !

D’ailleurs, notons ici qu’il a fini par révéler qu’il était hétérosexuel, même s’il se fait un point d’honneur à défendre les conditions homosexuelles et qu’il ne voulait pas trop répondre à la question à l’origine, considérant qu’on ne la lui posait que parce qu’il jouait un gay et que c’était assez inégalitaire comme traitement des acteurs.
Sinon, comme je ne me lasse jamais des anecdotes inutiles, sachez qu’il a avoué avoir volé des objets sur les plateaux de la série, à savoir les petits robots qu’on voyait parfois à l’arrière-plan dans la maison d’Annalise. Conrad Ricamora (Oliver), lui, a volé les statues de chien de son personnage, l’ayant suivies de son appartement jusque dans la maison des colocataires. Il a eu de quoi s’y attacher. C’est en tout cas marrant comme anecdote, parce qu’eux ont pris des objets alors que les autres sont plutôt portés vêtement (la garde-robe pour Viola Davis, les vestes pour Rome Flynn qui joue Gabriel…) ou chaussures (Karla Souza, aka Laurel, a voulu garder les bottes de son personnage). Tout ça me donne envie d’ouvrir l’œil pour faire attention à ces détails lorsque je regarderai à nouveau la série !

Voir aussi : Les performances des semaines précédentes
24h après #3 : la fin de How to get away with murder
Salut les sériephiles,

Hier, on a dû dire adieu à une superbe série puisqu’ABC a diffusé le dernier épisode d’How to Get Away With Murder. L’épisode est resté en Top Tweet sur Twitter pendant toute la journée et une bonne partie de la nuit et j’ai bien l’impression qu’il a plu à la majorité des fans. Pour une fois, ça fait plaisir de ne pas me sentir seul, car je suis souvent à contre-courant sur les fins de séries.

Là, l’épisode avait à peu près tout ce qu’on pouvait attendre de lui et était bien représentatif de ce que nous faisait vivre la série chaque saison depuis six années. Six années, c’est fou comme elles sont passées vite et c’est fou comme la série va me manquer. Plutôt que de vous faire un « 24h après » où je vous reraconte tout le bien que j’ai pensé de l’épisode final, voilà donc un article qui va revenir brièvement sur les sept choses qui me manqueront maintenant que la série n’est plus là ! Attention, il y aura quelques petits spoilers…

- L’adrénaline
Incontestablement, c’est ce qui me vient le plus immédiatement quand je pense à cette série : elle avait toujours la capacité de fournir des rushs d’adrénaline sur ses huit dernières minutes avec toutes les révélations qui pleuvent et l’histoire qui se démêle petit à petit à ce moment-là.

C’était addictif, ça faisait toujours revenir et ça va me manquer, surtout que ça me permettait déjà de compenser l’absence de Scandal… Et en même temps, je sais aussi que j’ai plein de séries capables de me faire vivre ça, alors ça me manquera, mais pas tellement.
- Annalise Keating

Annalise Keating a toujours fasciné tout le monde : le personnage fascinait les autres autour d’elle au point qu’ils allaient vraiment loin pour elle (coucou Bonnie et Frank) et fascinait les fans parfois encore plus. Sa personnalité magnétique me manquera, même si j’étais immunisé apparemment.
L’actrice est excellente, sauf qu’on en a souvent trop fait sur sa performance et ça a eu tendance à me la diminuer – faut dire aussi que j’ai toujours du mal avec les personnages principaux. Pour le coup, je suis plus fasciné par le jeu de Kerry Washington en Olivia Pope… Il n’empêche qu’elle avait de bons moments et qu’elle était attachante ; et je sais que ça va me manquer de ne plus avoir Annalise qui débarque avec sa démarche nonchalante et ses répliques cassantes. Et puisqu’on en parle…
- Smile or go to jail
La série avait des répliques d’exception qui permettaient toujours de bien faire évoluer les dynamiques entre les personnages. Les étudiants entre eux m’ont envoyé du rêve pendant six ans dans leurs échanges de répliques. Je détesterais avoir des amis comme eux, car c’est un groupe hyper dysfonctionnel et toxique, mais j’ai adoré les suivre et ils m’ont fait rire dans les situations les plus dramatiques pendant six ans.
Les répliques sont tellement parfaites qu’elles fournissaient quand même chaque fois ou presque le titre de l’épisode – ou plus vraisemblablement, elles en étaient le point de départ d’écriture. À vrai dire, l’habitude de relever une réplique par épisode dans mes critiques sur le blog vient de cette série et de The 100… Elle me laisse donc un héritage qui me fera toujours penser à elle !

- La narration
En parlant d’héritage, la narration de la série est reconnaissable entre mille avec un jeu constant sur la chronologie et l’habitude de nous fournir des miettes du futur afin qu’on commence à imaginer ce qu’il va se passer et qui va mourir. L’épisode final s’est amusé à faire exactement pareil, et ce n’est pas un hasard. Cette narration si particulière est ce qui aidait bien le rush d’adrénaline du point 7, mais qui permettait aussi d’être hyper investi dans la série en imaginant ce qui allait se passer dans les épisodes suivants… Elle laisse derrière elle un joli héritage avec une structure d’épisode/saison qui est parfois reprise ailleurs. La saison 2 d’In the Dark nous fait par exemple la meilleure chose… sans le maîtriser aussi bien, même si j’adore la série !

- La représentation
HTGAWM est une série que j’adore aussi pour sa représentation de la communauté LGBT. Bon, sans le T comme souvent…
Lorsque la série est arrivée à l’écran, il devenait un peu la norme d’avoir au moins un personnage homosexuel dans le casting, c’est sûr, mais c’était encore un choix plus engagé que ça ne l’est aujourd’hui. En introduisant le personnage de Connor, la série a ouvert ses portes à un public gay, mais jouait beaucoup sur les clichés. Finalement, l’évolution de Connor a prouvé qu’il était plus qu’un cliché et le couple Coliver a été l’un des meilleurs ingrédients de la série (même si je trouve qu’on les a perdus sur ces deux dernières saisons)…
Mais HTGAWM a surtout fait beaucoup bien en mettant en avant la bisexualité : le fiancé de Michaela (plus gay non assumé que bi, de mémoire) Annalise, Bonnie… Beaucoup de personnages n’ont eu aucun mal à passer d’un côté et de l’autre. Et c’est tellement rare les personnages bi à la télé ! La saison 6 a semblé hésiter un long moment avec le personnage d’Annalise prise de toute, mais le final nous révèle que si elle finit avec Tegan pour un moment – pour moi, jusqu’à la mort de celle-ci – Annalise a aussi eu de multiples amants des deux sexes après elle. Et ça, c’est cool !
- Connor & Michaela
Je tourne autour du pot depuis un moment, avec la partie sur les répliques et la partie sur la représentation, mais vraiment, ceux qui me manqueront le plus, ce sont bien ces deux-là. Les acteurs étaient géniaux, les personnages l’étaient tout autant. En six saisons, l’amitié qui s’est construite entre eux était l’une des meilleures de la télévision en ce moment. Ce n’est malheureusement pas ce que le dernier épisode mettra finalement en avant – je suis frustré – mais c’est ce vers quoi toutes les saisons tendaient, depuis la haine initiale entre eux jusqu’à l’amitié plus forte que tout. J’adore ces personnages, j’aurais pu suivre un épisode uniquement centré sur eux en train de se parler et je n’aurais probablement même pas trouvé ça long à regarder !

- Peter Nowalk
Le pauvre est totalement éclipsé par Shonda Rhimes, productrice de la série et à jamais celle à qui on associe HTGAWM dans les médias (et sur ce blog, oui)… mais on lui doit en fait la majorité des bonnes trouvailles de la série.

Preuve en est avec cet épisode de fin qui est excellent là où Shonda se plante toujours dans les conclusions de ses séries ! Peter Nowalk a commencé à bosser sur Grey’s Anatomy il y a fort longtemps – on lui doit l’épisode de la mort de George, il était showrunner des saisons 7 à 9, avec donc l’excellente saison 8, est passé par Scandal pour sa meilleure saison (la 2), puis s’est consacré à enfin aux aventures d’Annalise. J’ai hâte de savoir quel sera son prochain projet, parce que vraiment, il semblerait qu’il transforme tout ce qu’il touche en excellent produit de consommation télévisuelle. À surveiller, donc !

Voir aussi : 7 ans de Scandal – It’s Handled!
Mes derniers coups de… #28
Salut les sériephiles,
Nous voilà en milieu de mois, ce qui signifie qu’il est temps de marquer le retour de cet article mensuel que vous aimez toujours bien si j’en crois vos réactions à chaque fois. Le déconfinement bat son plein depuis quelques jours et les upfronts traînent à venir, j’ai donc plein de choses à vous raconter alors trêve de blabla, à présent, je tente le coup de vous parler sans spoiler et en coup de vent de mon dernier…

Coup de Cœur : Je me sens presque forcé de le dire parce que je tiens à la vie et que Poluss me tuerait si ce n’était pas le cas, mais eh, Gentleman Jack me plaît énormément. Ce n’est pas du tout mon genre de série, les photos me faisaient peur… et en fait c’est une série super fun que je ne regrette pas d’avoir (re)commencé cette semaine. Je vous la conseille, pour son humour, ses répliques et son rythme qui arrive à nous donner l’impression que ça va vite, alors même qu’il y a des longueurs. Unique !

Coup de Mou : Je suis hésitant sur ce coup-là, parce que j’ai deux saisons que je suis en train de rattraper qui pourraient se qualifier ici. Comme il paraît que la fin de saison de l’une est géniale, je vais opter pour l’autre : Manifest, qui était un bon divertissement l’an dernier, a tendance sur sa saison 2 à patiner dans la semoule. L’accent est mis sur les intrigues plutôt que les personnages, mais les intrigues sont médiocres et les personnages le deviennent aussi ! Dommage…
Coup de Poing : J’entends d’ici les plaintes de la majorité d’entre vous qui la déteste, mais le meilleur coup de poing du mois, pour moi, vient de Blindspot.
On le doit à Tasha qui m’a fait prendre conscience que les séries d’action comme celle-ci me manquaient beaucoup en ce moment. Une jolie chorégraphie dans le 5×01 m’a donné très envie de retrouver plus de scènes de ce genre… Allez, encore une dizaine de jours à attendre avant d’avoir deux autres séries comme ça qui débarquent !
Coup de Blues : Cette semaine devait être celle des upfronts… et ce fut un énorme fail : ABC a annoncé qu’elle décalait ses annonces à la fin du mois et la CW ne ramènera aucune de ses séries avant 2021. Merci bien ! J’en ai parlé mardi, mais vraiment, cette rentrée promet d’être super fade, et ça me rend triste de savoir qu’on aura peu de choses à se mettre sous la dent dans les prochains mois… en plus, c’est pareil du côté du cinéma !
Voir aussi : Upfronts 2020 (#1) : une rentrée bien fade
Coup de Vieux : J’ai une amie qui vient de commencer Agents of S.H.I.E.L.D pour la première fois, et quand elle m’en parle, ça me rappelle la saison 1 qui est si loin. La série a commencé en septembre 2013 ; je connaissais à peine cette amie à l’époque ! Bref, elle n’aime pas tellement Fitzsimmons pour le moment, ni la série, et ça m’a rappelé que sur les premiers épisodes, je n’étais pas convaincu non plus. Je l’avais oublié, mais une conversation téléphonique plus tard, ce n’est plus le cas, et ça me fout un coup de vieux de me souvenir de cette période il y a sept ans où il me restait tant de très bons épisodes et personnages à découvrir et apprécier.

Coup de Barre : Je ne lui ai pas donné le coup de mou, mais je lui donne le coup de barre, qui lui correspond mieux… Et je parle évidemment de la saison 3 de 9-1-1. Vraiment, elle me fatigue cette série en ce moment.

C’est peut-être le bingewatch qui veut ça et je suis clairement le seul à le penser puisqu’elle fait un carton dans les audiences américaines, mais j’ai l’impression de me prendre des shoots d’adrénaline jusqu’à overdose à chaque épisode et ne pas avoir le temps de creuser les personnages. Elle a toujours été comme ça, je le sais… Sauf que la saison 3 semble en faire encore plus et passer d’un drama à l’autre sans développer vraiment ses personnages. Et ça me fatigue !
Coup de Bol : Le #WESéries m’a remis le pied à l’étrier et m’a débloqué de ma panne séries, même si je n’ai vu que six épisodes la semaine dernière. En prévision de ce week-end, j’avais publié un tableau de rattrapage de mes séries et depuis, je m’y tiens, je suis plutôt content que ce soit le cas et les séries parviennent à me remotiver !
Coup de Gueule : Alors, ça n’a rien à voir avec les séries, mais sérieusement, mes fenêtres donnent sur une rue piétonne (enfin, elle est piétonne en ce moment en tout cas) et putain, qu’est-ce que j’ai envie de hurler aux gens d’apprendre à se servir d’un masque et de respecter les gestes barrières.

Je vois des gens qui, pour parler à quelqu’un, décident que le mieux à faire est de…. Retirer son masque ?! Mais ? On n’est pas sorti de cette épidémie, je vois tellement de gens faire n’importe quoi, c’est insupportable. Ah, on se moquait de la porte-parole du gouvernement disant qu’elle ne savait pas se servir d’un masque, mais quand je vois les gens dans la rue, je comprends mieux !
Coup de Tête : Reprendre le Challenge Séries 2020 avec à la fois Riverdale, puis Gentleman Jack alors que ce n’était pas du tout sur mon planning à l’origine. J’en profite maintenant que je suis sorti de la panne de séries pour m’y remettre, même si c’est sacrément mal barré pour que le challenge en lui-même soit une réussite cette année. De toute manière, l’essentiel, c’est de participer et d’avancer. Dans tout ça, il me reste à mettre à jour ma liste de séries à voir et mon tableau de rattrapage, mais bon.
Voir aussi : Le fail du Challenge Séries 2020 et mes envies de rattrapage improbables

Coup Tordu : Alors que tout les diffuseurs de séries retardent au maximum les diffusions de leurs derniers inédits, on a Netflix qui a débarqué cette semaine pour annoncer la saison 4 de 13 Reasons Why dès le mois de juin, là où tout le monde l’attendait pour la fin d’année, comme les trois premières saisons. Mais non, Netflix en a décidé autrement et la série se finira beaucoup plus tôt que prévu. Elle aurait pourtant eu du succès en septembre/octobre où la rentrée sera vide de séries à déguster ! Bizarre…
Coup de Pub : Pas d’autres blogueurs ou youtubeurs aujourd’hui, je vais faire l’égoïste et vous parler en fait d’une série que j’adore et qu’apparemment personne ne regarde : In the Dark, version US. Elle a débarqué discrètement il y a un an sur la CW, elle est déjà renouvelée pour une saison 3 et j’en adore les personnages comme les intrigues ! Il faut la voir, vraiment, elle est géniale !

Coup de Grâce : Ce matin, j’ai décidé de mettre de côté le télétravail (oups) et les réponses aux mails pour mon concentrer sur l’épisode final d’une série commencée il y a six ans déjà : How To Get Away With Murder. Vraiment, une page de mon histoire d’amour avec les séries se tourne en 2020… Et mon dieu, les dernières scènes de cet épisode ont été un crève-cœur. Dire adieu à ces personnages, je n’étais pas prêt du tout ! Écrasant d’émotions !


