Salut les sériephiles,
En ce dernier jour de vacances pour moi (mais où sont-elles passées au juste ?), je prends le temps de me replonger une dernière fois (officiellement) dans le Comic Con Paris pour vous faire un compte-rendu de ma journée du dimanche, l’occasion de dire tout ce que je n’ai pas encore eu le temps d’évoquer ailleurs sur le blog. Par conséquent, je prends aussi la liberté de décaler la performance de la semaine à mardi prochain… au moins, ça va me permettre de réfléchir encore un peu à l’acteur/trice que je mettrai en avant.
Voir aussi mes articles sur les journées de : Vendredi | Samedi
En attendant, c’est donc parti pour ma journée du dimanche qui a plutôt bien commencé, même si ce n’était pas gagné. Malgré le changement d’heure et l’heure de sommeil en plus, j’ai réussi à trouver le moyen d’être beaucoup trop fatigué et donc de partir trop tard de chez ma tante qui m’hébergeait. Je suis arrivée à la Grande Halle de la Villette à 9h35, pour une ouverture des portes à 9h30. Angoisse. Heureusement, j’avais pour cette journée du dimanche un pass presse, merci à l’équipe du Comic Con. J’ai donc pu entrer dans le salon à 9h48 et tout de suite tracer pour rejoindre Laura et LittleVoice18 qui faisaient la queue côte à côte pour se rendre au panel Karen Gillan.

On aurait voulu le faire qu’on n’aurait pas réussi : je suis arrivé pile au moment où leur file avançait et, comme je suis passé côté presse, je me suis retrouvé à leur hauteur pour aller à la Grande Scène. Mieux encore, elles étaient donc à côté, mais elles ne se connaissaient pas encore, donc c’était un beau hasard. Ce bel enchaînement de coïncidence me ferait presque oublier la pluie… Evidemment, ce qui devait arriver arriva : il a fallu traverser sous une pluie battante pour entrer dans la Grande Scène dont les portes faisaient un peu cascade d’eau. C’est agréable un rideau de pluie dès le matin. Maintenant que le problème a été constaté, je me dis qu’il y aura des gouttières les années suivantes, mais bon, fallait bien des betatesteurs, hein !
Le premier panel de la journée a attiré pas mal de monde et était franchement assez sympathique, avec Karen Gillan très en forme. En revanche, n’est pas Yaelle qui veut, j’ai eu – comme les autres années – plus de mal à supporter la traduction, trop hachée à mon goût. M’enfin, c’est un faux problème, il en faut pour tous les goûts. Concrètement, il a été beaucoup de question de Dr Who et un petit peu d’Avengers, mais je n’ai pas retenu grand-chose de ce panel, à part que cette actrice est beaucoup trop belle.

Ensuite, il nous restait à nous balader avec les filles dans les allées du Comic Con, d’autant que c’était la première journée de LittleVoice18. Grosso modo, c’était le moment de craquer et dépenser nos sous, hein.

Au cours de la journée, j’ai aussi réussi à faire dédicacer une affiche pour Poluss par les auteurs de la bande-dessinée Skyward, parce qu’elle les avait ratés la veille. Et honnêtement, ce duo était beaucoup trop sympathique, allant même jusqu’à envoyer un snap depuis mon portable à Poluss. J’ai trouvé ça tellement cool de leur part !
Bien évidemment, une journée de Comic Con ne serait pas une journée de Comic Con sans un détour par un panel de Yaelle, surtout que je n’avais pas encore eu l’occasion de lui parler ce week-end-là (il paraît que la veille on a joué à « je te vois, tu me vois pas, tu me vois, je te vois pas », mais bon). On s’est donc rendu à l’intrigante masterclass « Cosplay, la fabrique des rêves ». Nous ne sommes pas vraiment des cosplayeurs (mon dieu, mon déguisement d’Halloween était une catastrophe hier !), mais ça nous intéressait un peu quand même. Je veux dire, on est au Comic Con, il y a du cosplay partout et, même si je ne vais jamais au concours, c’est toujours agréable d’en croiser dans les allées.

Le panel s’est avéré absolument génial, avec la présence de Christopher Hargadon (costumier de Umbrella Academy, malheureusement raté lors de son panel précédent) et Lindsay Elyse (une cosplayeuse internationale). J’ai adoré ce panel : on a eu des questions portant sur la fabrique des cosplays en eux-mêmes, mais aussi le point de vue de Christopher Hargadon (qui parle français !), qui venait lui de découvrir cet univers avec le concours dont il était jury. C’était donc intéressant de confronter quelqu’un qui est dans le métier avec quelqu’un qui a fait de sa passion son métier.
Et puis, bien évidemment, Yaelle a finit par orienter ses questions sur les rêves du cosplay en eux-mêmes, donc sur la dimension personnelle mise dans chaque costume, sur le fait que ça permettait à tout le monde d’entrer dans un univers le temps d’une photo, sur le côté fan qui se cache derrière l’activité donc. Et c’était tellement top que j’ai eu moi aussi envie d’avoir ma photo avec Elsa, finalement.
Après ce panel, qui était le dernier de Yaelle (on a senti un peu de fatigue d’ailleurs, ça provoquait des petits « accidents » marrants où elle voulait nous traduire le français en français, par exemple), nous avons eu le temps de parler un peu et de faire des photos avec Yaelle et Marine, toujours très accessibles et sympathiques. On l’a dit sur le moment pour plaisanter, mais on était plusieurs à demander à lui parler un peu, il faudrait limite un espace (et un temps) de photo/papotage au Comic Con pour les animateurs/traducteurs des panels ! Bon, après, ce serait compliqué à caser sur le planning, surtout que j’ai été quelque peu déçu du planning de cette année.

Oui, parce que voilà, autant le samedi je n’ai rien pu faire de ce qui m’intéressait comme panels parce que j’avais pris dédicace et photo avec mon actrice préférée (c’est donc totalement sans regret !), autant le dimanche, j’étais très frustré de voir que les trois panels qui m’intéressaient étaient tous au même moment. Et c’était un peu général cette année (mention aussi pour les Youtubeurs dans la plus petite salle du salon…), ça donnait l’impression de quelques cafouillages.
Avec Laura et LittleVoice18, on a vite fait une croix sur le panel Star Trek. Certes, voir Patrick Stewart nous aurait fait plaisir (purée et il n’y avait pas que lui à ce panel, en plus !), mais on s’est dit qu’on ne connaissait pas vraiment la franchise Star Trek et qu’on n’aurait de toute manière pas beaucoup l’occasion de les voir. On a donc privilégié l’avant-première de Dark Stories de François Descraques, qui est très sympa et qu’on savait avoir le temps de voir après la projection.

On s’attendait à ce que ça attire beaucoup de monde, mais non, comme beaucoup attendaient Star Trek (probablement en vain pour certains, en plus ?), nous, on a eu de bonnes places pour cette avant-première dans une salle où les courants d’air participaient malgré eux à rendre l’atmosphère parfaitement glaciale et frissonnante. Autrement dit, on était dans les meilleures conditions possibles pour découvrir les trois premiers épisodes de cette série que je vous recommande vivement. J’ai eu l’occasion d’en parler sur le blog à l’occasion de la mise en ligne des cinq épisodes.
Après l’avant-première, nous avons pu parler un peu avec l’équipe, Laura a même fait une photo avec Tiphaine Daviot, très sympathique avec nous. Vraiment, c’était un chouette moment cette masterclass avec l’équipe de la série, c’est dommage que le choix se soit (logiquement) porté sur Patrick Stewart annoncé en grande pompe. Ah, et puis, tant que j’en suis à faire quelques critiques, je trouve tout aussi dommage qu’Amazon parvienne à nous ramener d’aussi grands noms sans proposer au passage de rencontrer les acteurs en dédicaces (ça s’est fait au dernier moment pour The Expanse apparemment) ou photos. Tant qu’à faire, ça aurait arrangé tout le monde (sauf la sécurité et les organisateurs du planning, j’imagine ehe).

Après cette projection, eh bien, il était 18h et le salon fermait déjà ses portes. Je ne sais pas pourquoi j’avais oublié qu’il fermait plus tôt, et en plus il faisait nuit donc ce n’était pas si choquant, mais j’aurais aimé avoir le temps d’en faire plus. Tout ça m’a laissé un petit goût de trop peu – mais j’ai quand même écrit trois articles de plus de 1500 mots, hein).
Voilà, voilà, les portes du Comic Con Paris se sont refermées derrière nous. Comme à chaque édition, il y a eu quelques petits couacs et des choses sont perfectibles, mais il y a aussi eu pas mal de points positifs. Le plus évident, pour moi, c’est l’agrandissement du salon, avec des allées qui étaient par conséquent un peu moins bondées. La Grande Scène à l’extérieur est une vraie bonne idée (et ça m’aurait embêté que le salon déménage ailleurs, parce que La Villette fait partie du charme du Comic Con français !). Du côté des cosplays, j’ai eu l’impression d’en voir un tout petit peu moins cette année, mais la qualité et la sympathie sont toujours au rendez-vous. Grosse surprise de voir une invasion de Robin de Stranger Things dans les allées, d’ailleurs !
De cette édition aussi hors du temps que les autres années, je repars donc satisfait, avec beaucoup de souvenirs (mais beaucoup moins de goodies !), de photos (je vous laisse aller voir mon post insta ci-dessous), de rencontres et bons moments. C’est vraiment un week-end passionnant entre passionnés, j’en repars chaque année complètement épuisé mais malgré tout totalement reboosté : c’est le paradoxe du Comic Con, ça me fatigue autant que ça me redonne de l’énergie dans laquelle puiser pour les jours moroses d’automne. Bref, comme tous les ans, c’est une tonne de souvenirs positifs que je choisis de conserver et j’attends déjà la sixième édition, en espérant pouvoir y aller et y rencontrer encore de nombreuses stars et abonnés !
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Bref, à l’année prochaine, donc 😉


Eh bien, ça y est, aujourd’hui marque la fin de mes vacances d’été puisque j’entame mon nouveau boulot demain matin. Il est donc temps de faire un bilan hyper décevant parce que je suis loin d’avoir vu le quart des 50 séries ou plus que j’avais à rattraper. Il faut dire aussi que ces vacances étaient loin d’être le repos que j’imaginais : je ne suis techniquement pas parti, mais j’ai changé de « chez moi » et vous devez savoir maintenant que 






En attendant, la FOX a annulé deux séries adorées mondialement et laisse les quelques fans de 
Et alors qu’on faisait la fête comme il se doit, la chaîne ne nous a pas vraiment laissé le temps de profiter de la bonne nouvelle : elle a tout de suite décidé que oui, il y aurait une saison 6, mais seulement pour l’été. Et ça, c’est franchement pas juste pour nous, l’attente va être beaucoup trop longue !
Et comme je révise, je me dis que si certains d’entre vous sont motivés, 
 comme ils s'appellent ici, qui n’avaient certainement pas demandé à avoir une deuxième vie.Mais un remède a été trouvé et les morts qui ne le sont plus sont maintenant renvoyés vers leur famille pour se réintégrer. Mais s'ils n’ont plus besoin de manger de la cervelle, ils conservent une apparence différente, qu’ils camouflent sous des lentilles et du maquillage. Et surtout, ils ne sont pas toujours les bienvenus, notamment dans la ville de Roarton qui a été à la pointe de la lutte anti zombie quand ceux-ci étaient encore un danger.https://yodabor.files.wordpress.com/2015/08/tumblr_nsb2vcv0ii1tmgsvio2_1280.jpg?w=205&h=91Kieren doit donc réapprendre à vivre et à trouver une place dans sa famille. Il a la chance pour cela de rencontrer Amy, un rayon de soleil zombie qui accepte très bien sa condition.Et il doit gérer le retour de Rick dans le village.https://i0.wp.com/p1.storage.canalblog.com/13/02/1201062/96035593.jpgLa première saison fait seulement trois épisodes et je pense avoir pleuré la majorité du temps.Moi qui suis loin d’être une sensible en matière de série télévisée, j’ai rarement été autant touchée par un personnage et ce qu’il dégage, et ce n’est sans doute pas pour rien si Kieran est mon personnage favori toutes catégories confondues.Du coup, j’ai eu du mal à me lancer dans la saison 2 parce que je pensais avoir eu mon quota de larmes. Mais je ne regrette pas du tout l’avoir fait parce que la série passe à un niveau supérieur en terme de symbole.On n’est plus du tout dans une logique d’intégration, les PSD deviennent totalement exclus. Il ya des moments terriblement crève-coeur et une vraie noirceur qui s’installe.Mais c’est aussi une saison plus gaie, qui s’ouvre à d’autres personnages et surtout à Simon. Simon pousse Ren à accepter qui il est et à ne jamais le regretter. Simon est entier, Simon a une franchise et une volonté écrasantes. Mais c’est lui qui doit finir par faire un choix.https://yodabor.files.wordpress.com/2015/08/tumblr_ns32vnebuj1r2dda7o1_500.gif?w=397&h=187In the Flesh est une série de la BBC3 et elle se reconnaît immédiatement dans le style de de cette chaîne, qui a sorti à peu près à la même époque The Fades et la première saison de Torchwood.On peut regretter la fin très ouverte, sans véritable conclusion, mais je trouve que le chemin parcouru est à la hauteur des espérances. Même sans savoir comment tout cela se termine, In the Flesh mérite d'être vue, pour son histoire, son symbolisme, et pour Emily Bevan, Emmett J. Scanlan et un Luke Newberry absolument merveilleux.https://yodabor.files.wordpress.com/2015/08/kieren-1.gif)


La première saison fait seulement trois épisodes et je pense avoir pleuré la majorité du temps.
