Les scènes les plus érotiques

Salut les sériephiles – et ceux qui ne passent pas par ici habituellement mais que le titre a attiré,

En ce vendredi, on se retrouve pour un TFSA un peu spécial, puisqu’il est dans la lignée de celui sur les séries les plus hot. Bref, c’est le genre d’articles qui attire, je le sais bien, mais qui est aussi beaucoup plus compliqué à écrire. Je ne peux même pas m’en prendre à Tequi du choix de ce thème : elle l’a mis dans sa liste parce que je lui ai suggéré après une blague d’une amie qui m’avait vu écrire celui sur les personnages qui font fantasmer. Cam, si un jour tu passes par-là, sache que j’ai eu un élan de haine soudain en repensant à ta blague qui devient réalité aujourd’hui !

Spoiler alert : Westworld, HTGAWM, Dollhouse, True Blood, Sense8…

Résultat de recherche d'images pour "jack falahee"Allez, personne ne me force à rien de toute manière, voilà donc les scènes qui me sont venues en tête. Attention les yeux (non, ça reste un article autorisé au moins de 18 ans quand même… pas comme les scènes dont il sera parfois question).

  1. How to get away with murder

Je vais commencer cette semaine par tricher et ne pas vraiment proposer une scène en particulier. Il y en a tellement dans cette série que c’est difficile de choisir un seul moment. Tout n’est pas toujours érotique, cela dit. Image associéeDans les scènes les plus marquantes, je retiens celles de Connor en saison 1, parce qu’il les enchaînait, Wes et Rebecca et, bien sûr, Michaela, surtout avec Gabriel, d’ailleurs. Ou Marcus. Ou n’importe qui qui n’est pas Asher, ce tue-érotisme quoi qu’il fasse. Il y a eu une jolie scène où tout le monde faisait l’amour en même temps, aussi, en saison 3 il me semble. En revanche, je ne saurai pas expliquer pourquoi, mais les scènes de Frank, Laurel, Annalise ou Bonnie, en général, ça ne me semble pas si érotique que ça. Ca peut même être gênant, ou juste paraître longuet. Le truc, c’est que Frank/Laurel, on en a bouffé pendant ces six saisons !

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  1. Logan – Westworld

Toute l’intrigue de Logan en saison 1 est une carte de visite idéale pour nous vendre la version la plus érotique possible du parc, et ça a fait son effet puisque j’y ai pensé en préparant son article. Il y a eu plein de scènes de nu dans cette série, et toutes n’étaient pas toujours érotiques, loin de là. Mais Logan, habillé ou non, il vend toujours du sexe : c’est comme cela qu’il voit le parc (et la vie ?), et il ne se prive pas pour le dire. Cela donne lieu à de sacrées scènes. La plus érotique n’est même pas l’orgie, d’ailleurs, j’ai plus en tête un plan à trois (dès le deuxième épisode ? Il faut que je revois la série, je ne sais plus) ou les scènes où il cherche à exciter William pour qu’il profite enfin du parc. C’était hot, c’est tout.

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  1. Victoire & Sacha – Plus Belle la Vie (si, si)

Allez, c’est totalement what the fuck comme choix et ça va vous faire fuir du blog avant les meilleures scènes, mais voilà, je suis complètement sous le charme du personnage de Victoire depuis toujours. Et même si je déteste vraiment le personnage de Sacha, il n’y a pas à dire, ces deux-là dégagent une tension érotique folle. « Je ne pensais pas qu’une chambre d’hôpital pouvait être aussi érotique » qu’il lui dit le lendemain de leur rencontre ! Si ça c’est pas un signe qu’ils devaient finir ici. Comme il ne faut choisir qu’une scène, j’hésite donc entre celle de leur premier baiser (en novembre 2010, ouille), ou la première fois qu’ils se sont retrouvés vraiment après le suicide de Victoire (en décembre 2018, me semble-t-il ?). Ouais, bon, ce couple t’façon, à chaque fois, ça le fait (mais bizarrement, les scénaristes font une fixette sur la scène de la décapotable, alors que paradoxalement, je trouve que c’était la moins érotique du couple. Elle en montrait sûrement trop, or on sait tous que l’érotisme, c’est aussi de ne pas trop en montrer parfois… La force de la suggestion !

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  1. Jason & Amy – True Blood

La saison 1 de cette série est peut-être ma première saison de série un peu plus adulte. La moiteur qui se dégageait de la série me donne des années après encore envie d’être en vacances d’été chaque fois que j’en entends le générique. Ce générique (ces paroles !!) à lui seul est déjà un sommet d’érotisme, non ? Maintenant, ajoutez à ça Ryan Kwanten et Lizzy Caplan, et la température monte de plusieurs degrés elle-même. Je ne suis vraiment pas du tout fan de la drogue de manière générale, mais franchement, quand Jason & Amy prenaient du V ensemble, c’était érotique à souhait. Leur trip faisait toujours envie, peut-être aussi parce qu’il était toujours l’occasion d’un peu de poésie dans ce monde de brute. En revanche, la métaphore finale avec Amy qui s’envole n’est jamais tout à fait passé, je suis encore dégoûté de la conclusion qu’a eu ce couple qui reste aujourd’hui mon préféré de la série.

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  1. Sense8

Evidemment. S’il fallait n’en choisir qu’une, ce serait la scène finale de la série. Plus de deux heures d’épisode sans la moindre orgie ? Ce n’était pas possible avec eux ! Et pourtant, c’était une belle économie de la garder pour dire adieu à ces personnages. Là, on est sur le comble de l’érotisme, avec une jolie musique, de la nudité qui suggère plus qu’elle ne montre, et de quoi satisfaire tous les goûts.

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La réplique qui résume le mieux la série.

Comme pour la drogue de la scène précédente, je ne suis pas spécialement pour les orgies du tout, mais cette scène avait une puissance érotique non négligeable, quand même. Elle est juste belle à voir et revoir, et elle obsède.

Voilà pour moi aujourd’hui ! Il me reste à préciser que j’ai mis de côté certaines scènes de Nip/Tuck, Sex & the City, Unreal, Suits ou encore The Leftovers et même Buffy. Puis Dollhouse, puis Amy Acker, d’ailleurs. C’est inévitable quand on regarde autant de séries… mais bon, je n’allais pas non plus vous rédiger toute une encyclopédie. On dira que je me garde un jardin secret aussi, non mais, bande de voyeuristes !

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(je vous comprends)

Le mois de la bit-lit

Salut les sériephiles,

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Je sais, vous vous dites en voyant ce titre, encore un mois spécial ? Que voulez-vous, Ludo est motivé en ce début d’année scolaire. Non content de mener à bien un mois de la BD en septembre, il propose un mois de la bit-lit en octobre. Le principe n’est pas exactement le même en revanche, on se rapproche plutôt de ce qu’il fait en février avec le mois de la romance. Bientôt, on aura un planning complet sur douze mois avec lui, je sais ! Après, je ne pense pas réitérer ma participation au mois de la romance, un échec me suffit…

Ou pas, parce que j’ai quand même envie de tester ce mois de la bit-lit. Alors, déjà, remettons les pendules à l’heure, la bit-lit, c’est l’abrégé de bit-littérature, littérature mordante, donc, en référence aux vampires. Le terme anglais nous vient de l’éditeur français Bragelonne qui l’a popularisé avec le label Milady, dont vous avez peut-être entendu parler si vous êtes un grand lecteur. Concrètement, ça nous désigne toute l’urban fantasy, mais c’est souvent associé à de la romance un peu trop dégoulinante à mon goût – chacun ses goûts. Autant j’adore en série, autant j’ai plus du mal en littérature.

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Romance dégoulinante à tendance explicite, of course.

Voir aussi : Ce que c’est que l’urban fantasy

Bref, pour ce nouveau challenge tombant à pic pour l’automne (J-2 !) et Halloween, Ludo nous propose plusieurs niveaux qui sont les suivants :

  • Fae : lire deux livres (de bit-lit)
  • Sorcière : lire six livres
  • Loup-garou : lire neuf livres
  • Vampire : lire douze livres.

Jusque-là, c’est facile, il faut choisir son niveau. Et vu mon nombre de lectures actives en ce moment pendant le mois de la BD, autant vous dire que je vais me contenter du niveau Fae, hein ; surtout qu’il y aura la Paris Manga, les vacances, le Comic Con et que j’ai quand même quelques livres à lire pour le boulot, faut pas croire. Choisir son niveau, c’est toutefois l’étape simple de ce challenge !

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Est-ce que ça veut dire qu’il y a une étape compliquée ? Peut-être bien. Ca va dépendre de vous. Concrètement, l’idée est ensuite de se constituer une PAL (Pile à Lire). Bref, de choisir ce qu’on va lire… MAIS c’est là qu’intervient le (mini) défi de ce challenge ! Pour chaque niveau, il faut choisir la moitié de ses livres en respectant des « consignes » – c’est le seul vrai défi si vous êtes un grand lecteur : trouver un livre qui corresponde bien à ces quelques règles.

Les consignes, les voici, et vous verrez qu’elles n’ont rien de bien compliquées pour de la bit-lit :

  • 1) Lire un tome 1,
  • 2) Lire un spin-off (mais attention, pas le spin-off d’un spin-off),
  • 3) Faire une Lecture Commune avec quelqu’un,
  • 4) Il y a du brun sur la couverture,
  • 5) Une histoire avec plus de trois espèces différentes,
  • 6) Une histoire d’amour entre deux espèces différentes (même que c’est moi qui ai suggéré cette idée à Ludo nanananèèèère),
  • 7) Un roman de 300 pages au moins,
  • 8) Le nom d’une ville ou d’un endroit dans le titre,
  • 9) Le livre est écrit par un auteur qu’on n’a jamais lu avant,
  • 10) Le personnage principal est une femme.

Voilà, voilà, il faut donc choisir dans sa PAL des livres qui correspondent chacun à une de ces consignes assez larges… et une seule. S’il correspond à deux, il faut choisir une seule consigne. Et bien sûr, l’idée est de ne pas valider plusieurs fois la même consigne avec des livres différents si vous prenez des niveaux un peu plus ambitieux que les miens, sinon ce n’est pas drôle.  Pour l’autre moitié de la PAL, chacun peut faire ce qu’il lui plaît.

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Voilà ! Pour ne pas se sentir trop isolé, Ludo a tout prévu : utilisez le hashtag #MBlit2019 sur les réseaux sociaux et/ou rejoignez le groupe Facebook « Le mois de la bit-lit » juste ici.

De mon côté, j’ai donc pris la décision de tenter le coup sur le niveau Fae, mais pour ne rien vous cacher, je n’ai pas du tout de PAL. Enfin… J’ai l’intention de lire au moins le tome 2 de Mercy Thompson, qui me valide sans problème la consigne 10 (et la six d’ailleurs). Pour le deuxième, je n’ai pas la moindre idée, car je n’ai pas ça en stock… j’irai probablement piocher parmi les livres des participants si l’un me plaît ou si l’on me supplie pour une lecture commune – mais je lis lentement et avec une tendance à préférer lire dans la langue d’origine de l’écriture, c’est tout le problème d’écrire un article par jour, en plus des séries qui vont reprendre et du boulot, quoi !

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Sur ce, je vais de ce pas bosser… ou profiter de mon week-end, allez savoir ce que je fais de mon temps libre ! Vous, je vous laisse avec la vidéo récapitulative de Ludo, qui propose aussi sa PAL, tant qu’il y est :

Recréer sa zone de confort après un déménagement (9/10)

Salut les sériephiles,

Déjà près d’une semaine depuis notre dernier rendez-vous saga de l’été sur le déménagement. Avec l’été qui touche à sa fin, il est inutile de dire que bientôt je ne parlerai plus de déménagement, mais seulement de séries, et peut-être par petites touches à droite à gauche des cours que je donne, même si je considère que ça n’a pas grand-chose à faire là, comme vous vous en êtes probablement déjà rendus compte : j’en dis le minimum.

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Concernant le déménagement, j’ai la grande-joie de vous annoncer que j’ai quasiment fini de vider les cartons. En fait, il n’y en a que deux qui attendent sagement : tous les meubles sont montés, mais déménagement oblige, il y a eu de la casse, alors le temps que la colle à bois prenne, eh bien, les cartons restent dans leur coin et le bureau fait un peu la tronche, parce qu’il en manque une petite partie. On verra si c’est réparable ou non dans les jours à venir, et sinon, il faudra faire sans cette partie heureusement non essentielle à l’ensemble.

Dans tout ça, j’en arrive donc à un article qui me tient à cœur car j’avais lu pas mal de choses l’an dernier AVANT d’emménager ! En effet, si un français sur dix déménage, il ne faut pas oublier que c’est un facteur de stress important, mais aussi le meilleur moyen de finir en dépression. Et comme me concernant, le déménagement était légèrement imposé et le métier que je fais pas des plus évidents, il me paraissait essentiel de m’éviter ce genre d’inconvénients.

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Même si je ressemblais un peu à ça hier en prenant le train et en m’apercevant que, non, il n’y avait pas vignes à regarder à travers la fenêtre ici.

Très franchement, je n’ai pas lu grand-chose qui pouvait éviter les problèmes liés à un déménagement sur internet, mais pêle-mêle voilà les conseils que j’ai retenus et ceux que j’aurais à donner si jamais vous déménagiez, histoire de vous créer au plus vite votre petite zone de confort et votre nid douillet que vous n’aurez plus envie de quitter :

  • Résultat de recherche d'images pour "halliwell kitchen"Commencez par aménager votre coin cuisine. C’est débile, mais c’est vraiment le nerf de la guerre, la cuisine. Bon, d’accord, c’est peut-être parce que je suis français… N’empêche qu’il n’y a rien de tel qu’être capable de se faire à manger quand on en a marre de déballer des cartons ou (faire) monter des meubles (oui, manuel comme je suis, c’est mon père qui m’a aidé à monter 90% des meubles au moins).

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  • J’ai eu l’occasion de le dire dans l’article de la semaine dernière, mais le deuxième truc essentiel, c’est d’avoir de quoi dormir confortablement. Et aussi de quoi s’asseoir. C’est un peu ce qui m’a manqué sur ce déménagement où on a tardé à mettre en place le canapé. Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir eu six chaises de prêtes dès le premier soir, pour les amis ayant aidé à grimper les deux étages sans ascenseur.
  • Résultat de recherche d'images pour "clean house bree"Une fois que c’est fait, on peut passer à l’essentiel : vider les cartons au plus vite ; en attribuant à chaque pièce sa fonction et en s’assurant de noter tous les petits trucs à acheter parce qu’ils manquent. Ou alors parce que ce qui est là ne va pas. Par exemple, j’ai une cuvette de toilettes absolument horrible, censée être confortable mais en vérité trop petite et nid à bactérie. Je veux un nid douillet, pas un nid à bactéries. Aujourd’hui, c’est opération shopping pour changer ça, trouver des abat-jours moins poussiéreux que les actuels et autres petits détails comme ça. Ouais, bref, je veux vivre dans un endroit propre, ça fait partie de ce qui rend le tout confortable, non ? D’ailleurs, mes parents ont fait quelques travaux d’une opération propreté plus nécessaire dans l’appart avant que je ne remonte, et franchement, c’est tant mieux.

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  • Avant ça, je me suis remis à la déco hier, une fois le dernier carton de livres déballé. Bon, tout le monde n’est pas aussi dingue que moi puisqu’il m’a fallu une bonne heure à sortir toutes mes funko pop de boites (oui, je conserve les boites) et une bonne demi-heure à remettre mes différents cadres. Pourtant, ce genre de déco que l’on considère souvent comme anecdotique est exactement ce qui va vous permettre de vous sentir chez vous. Or, finalement, la zone de confort, c’est exactement ça et c’est ce qui permet d’éviter de déprimer. En plus, ça donne un cachet « fini » même s’il y a encore des cartons qui traînent.

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  • Une fois que tout ça est fait, il n’y a plus qu’à se poser bien confortablement sur son canapé et allumer sa télé pour regarder une série. Et là, c’est la zone de confort ultime, le chez soi tant attendu, le St Graal. Surtout avec un verre d’eau à côté de nous… ou d’autres choses, c’est vous qui voyez, hein.

Un dernier point avant de vous quitter tout de même : il est essentiel aussi de prendre le temps de se promener autour de votre nouveau lieu de vie, et pas simplement pour repérer la poste, la boulangerie et la pharmacie (ou, dans mon cas, le McDo à moins de cinq minutes à pied, outch, c’est moche pour mon équilibre alimentaire). Non, ça permet aussi de découvrir plein de bonnes choses normalement, des coins et recoins avec de l’animation ou des immeubles jolis.

Pour ça, j’ai été aidé par le fait que je n’ai pas de voiture, donc je fais tout à pied ; y compris le trajet vers la gare à 10 minutes. L’an dernier (enfin, le mois dernier, quoi), je me faisais de grandes randonnées pour découvrir la ville. Pollution oblige, je me sens moins de le faire cette année, mais en même temps, j’ai fait un peu plus de 12 000 pas* hier en faisant un aller-retour vers mon collège (parce que oui, je suis affecté en collège). De ce côté-là, je suis donc toujours bien dans mes baskets et paré à affronter une nouvelle année scolaire – même si je suis en fait remplaçant et que mon premier remplacement s’arrêtera en mars.

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Voilà, avec tout ça, croyez-moi, la zone de confort, elle est là ! De mon côté, je vois mal comment déprimer de ce déménagement, parce que j’ai hérité d’une douche bien meilleure que la précédente (la pression de l’eau chaude, ce miracle de la vie) et que j’ai craqué pour des led de couleur derrière ma TV. Eh, je vous le dis, je ne lésine pas avec le côté confortable de mon appartement, je veux m’y sentir bien, moi !

RDV la semaine prochaine pour un dernier article sur le déménagement. D’ici là, la rentrée sera passée en effet !

Voir aussi les autres articles sur ce déménagement :

Eh, en fait, je déménage ! (1/10)
Comment refaire sa vie à 500 km ? (2/10)
5 points positifs au retour en région parisienne (3/10)
Les leçons de mon 1er déménagement (ne sont pas toutes apprises) (4/10)
Entre deux cartons (5/10)
Sept clichés TV sur… le déménagement (6/10)
La dernière fois que (7/10)
Le jour du déménagement (8/10)

* C’est amusant, je constate à la mise en page que ça fait autant de pas que de mots dans l’article… pff, cette catégorie porte bien mal son nom, mais bon, c’est un minimum de 500 mots 😉

Ce que c’est que l’urban fantasy (et moi)

Salut les sériephiles,

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Après avoir fini Midnight, Texas hier soir – pour ne pas dire plus honnêtement cette nuit – et n’ayant pas le temps de regarder la moindre série aujourd’hui, je me suis dit que j’allais plutôt faire un rapide article de blabla sur le genre de l’urban fantasy, qui est un genre que j’adore en séries… mais pas tellement en livres. Pourtant, une grande majorité des séries d’urban fantasy que nous avons aujourd’hui vient d’adaptation de livres… Qu’importe, c’est l’heure de compléter un peu le lexique du sériephile, ça faisait bien trop longtemps !

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Alors c’est quoi l’urban fantasy ? En français, elle s’appelle parfois « fantasy urbaine », et c’est comme son nom l’indique un sous-genre (littéraire, d’abord) qui voit des créatures mythiques (mythologiques, légendaires, féériques, etc.) vivre dans un centre urbain le plus souvent contemporain ou légèrement futuriste (ça commence à la fin du XIXe siècle, ça va jusqu’à nos jours ou le futur proche). L’idée est donc de proposer un cadre réaliste dans lequel existe en secret la magie. Et c’est génial, tout simplement, parce que le surnaturel fait irruption dans la vie quotidienne.

C’est quoi ce nom ? Je vous épargne l’explication, je pense qu’on voit tous pourquoi la fantasy dans un cadre urbain s’appelle urban fantasy, non ?

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Quelle origine ? Comme je le disais, elle tire surtout son origine de la littérature : certains la rattache à des œuvres comme Peter Pan, mais c’est surtout à la fin du XXè siècle qu’elle apparaît chez les auteurs américains. Elle se distingue surtout de la fantasy : on sort d’un cadre médiéval/uchronique et on présente des personnages ayant des pouvoirs. Souvent, elle se rapproche aussi de l’horreur… En France, ce n’est qu’à la toute fin des années 90 qu’elle commence à vraiment se développer. Le plus souvent, il s’agit de traduction, qu’on retrouve sous le nom de bit lit (très, très souvent chez Milady). Il s’est développé ces dernières années une tendance à la romance dans l’urban fantasy qui a tendance à vraiment me décrocher de ces bouquins, parce que ça ne m’intéresse pas plus que ça et que j’ai souvent du mal avec la manière dont c’est écrit, soit trop puritaine (coucou Twilight – ce gif ci-dessus, c’est juste pas possible), soit à l’inverse trop explicite. Et puis, c’est toujours cucul quoiqu’il arrive, je n’accroche vraiment pas à la romance, désolé pour ceux qui adorent.

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Et dans les séries ? La même tendance existe aujourd’hui dans les séries, c’est sûr, mais je trouve que c’est légèrement plus digeste à l’écran qu’à l’écrit. Pourquoi cela ? On nous épargne le plus souvent les pensées des personnages (à moins d’être devant True Blood et d’avoir Sookie qui écoute les pensées des autres) et tout le côté hyper gnangnan s’en trouve adouci.

Cependant, il n’y a pas que la romance dans l’urban fantasy. Si je suis aussi fan de ce genre, c’est parce que je suis tombé dans la marmite petit : Charmed, c’est déjà de l’urban fantasy avec l’idée des sorcières et des démons qui vivent dans notre monde. Le meilleur exemple, cependant, ça reste pour moi Buffy et Angel, puisque ces séries sont en plus hyper attachées à leur centre urbain (Sunnydale/Los Angeles) là où les sœurs Halliwell l’était plus au Manoir qu’à San Francisco (qui reste un élément incontournable de la série, je sais).

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Sorcière, vampire, loup-garou, démon, ogre, dieu, fée, ange, métamorphe, panthère-garou, Tueuse… Les seules barrières de l’Urban Fantasy sont finalement celles de l’imagination !

Il existe des dizaines d’œuvres d’urban fantasy désormais. Je parlais de Midnight Texas, mais il y a aussi eu Shadowhunters ces dernières années, ou même Once Upon a Time, qui s’est souvent détachée de l’urban fantasy après sa saison 1 mais finissait toujours par y revenir. Ce n’est pas un hasard si j’ai adoré la saison 7 : elle revenait au cœur du concept avec quartier urbain centre de tous les éléments magiques de la saison…

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Il est facile de citer aussi The Magicians, parce que ce n’est pas ma série préférée pour rien. Et puis, difficile de ne pas citer le retour de Sabrina. Celle-ci manque encore à l’appel des séries vues par mes soins, mais je sais très bien que je finirai par la dévorer un jour ou l’autre, surtout maintenant que j’ai eu à dire au revoir à une autre série que j’adore !

Voilà donc pour la fantasy urbaine… Je sens que cet article ne lui fait pas autant justice que ce que je voudrais, mais je suis pressé par le temps. Voyons-le comme l’occasion d’en parler plus longuement en commentaire en attendant que je me décide à écrire un nouvel article dessus 😉

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Qu’est-ce que vous en pensez-vous ? Vous êtes plutôt ambiance moite et sexy à la Midnight/True Blood ou sauce teenage à la Buffy/Sabrina ? Rassurez-moi… je ne suis pas le seul fan, si ? Parce que même quand c’est super mauvais, je ne peux m’empêcher de regarder…