Les séries à découvrir cet été

Salut les sériephiles,

Il est déjà bien tard et je n’ai pas encore publié mes articles du jour… Oups. Pour une fois, j’ai eu envie de commencer par le TFSA parce que le thème choisi par Tequi est un thème que j’aime beaucoup, puisqu’il consiste à évoquer un peu le planning de l’été. Il y est en effet question des séries que l’on souhaite découvrir cet été. J’ai beaucoup de rattrapages à faire, alors je m’étais dit que j’irai mollo sur les séries estivales… mais comme d’un autre côté, je n’en ai presque plus dans les mois à venir, pourquoi ne pas en commencer de nouvelles ?

Dans cet article, je ne vais vous parler que des nouveautés qui ont su attirer mon attention… En espérant peut-être vous en faire découvrir certaines, qui sait ? Les dates sont en J+1, comme toujours.

 

  1. Pandora (CW) : 10 juillet

En 2199, une jeune femme qui a tout perdu se rend à l’Académie Terrienne d’Entraînement Spatial pour apprendre à défendre la galaxie de menaces intergalactiques. Rien que ça ! C’est un synopsis qui promet une série pour ado pas bien crédible et aux effets spéciaux discutables… mais pour l’été, ça peut aussi s’avérer hyper fun. En revanche, aucune image, aucun trailer, mais la CW annonce une sortie dans moins d’un mois… Un peu comme pour The Outpost l’an dernier, c’est le genre de série que je ne devrais même pas envisager de regarder mais qui se fraye un chemin parce que je suis curieux. Et puis, c’est un peu plus mon genre d’histoire, aussi. Dans l’idéal, j’espère même qu’on l’aura rapidement sur Netflix, sur un malentendu… !

  1. The Rook (Starz) : 1er juillet

Une jeune femme se réveille, amnésique. Par chance, elle s’est enregistrée une vidéo qui lui explique qu’elle a des pouvoirs et qu’elle est au cœur d’une conspiration qui va peu à peu compliquer grandement sa vie. Franchement, ce synopsis est passe-partout en 2019 et j’aurais probablement passé mon chemin si Olivia Munn n’était pas au casting dans le second rôle. Là, d’un coup, la série a su attirer mon attention. Et puis, j’aime bien quand il est question de pouvoirs après tout. Par contre, le titre, gros fail quand même, c’est à ne pas confondre avec The Rookie.

  1. Grand Hotel (ABC) : 18 juin

Dans la catégorie « Guilty Pleasure », la nouvelle série d’ABC se place là et nous propose une série estivale en veux-tu en voilà qui suit la vie d’un grand hôtel géré par une famille qui se déchire et aux employés à la vie palpitante… Un soap on ne peut plus classique, quoi, ce sera parfait. En plus, ça me fera une série le mardi, c’est très bien comme ça !

  1. Euphoria (HBO) : 17 juin

Adaptée d’une série israélienne, la série suit la vie d’un groupe de lycéens un peu trash : drogue, sexe, crise d’identité et réseaux sociaux sont au rendez-vous. La série fait déjà scandale aux USA où les conservateurs la voient d’un très mauvais œil ; avec un acteur qui a démissionné dès le premier épisode et avec des articles qui disent que ça va être trop trash. Généralement, je passe son chemin sur ce genre de séries, mais là, la série parvient à me donner envie de la voir juste parce que le rôle titre est tenu par Zendaya, et que moi, je suis tombé amoureux de Zendaya dans The Greatest Showman. Ouais, je sais, ça commence à faire beaucoup d’actrices rien que dans cet article, je suis dans l’abus… mais c’est pas grave, si ?

  1. Trinkets (Netflix) : Aujourd’hui

Alors qu’elle est en plein deuil, une adolescente tisse de nouveaux liens d’amitié avec deux autres lycéennes rencontrées dans un groupe de Cleptomanes anonymes. La série a l’air bien drôle, avec une ambiance très Bling Ring dans le style ! Je compte bien la tester une fois que je serai au jour dans mes hebdos, parce que ça m’intrigue. Ce sont des épisodes de 30 minutes en plus, je ne prends pas beaucoup de risques… Et là pour le coup, il n’y a rien du tout qui justifie mon envie de la regarder, si ce n’est que le trailer a attiré mon attention. On verra ce que ça vaut.

Voilà, ça me fait déjà cinq nouveautés à voir cet été… mais ce n’est pas tout, bien évidemment. Il y en a d’autres sur lesquelles je céderai peut-être – coucou The Boys, sur des super-héros pas gentils – ou très probablement – du genre le spin-off de Suits, Pearson, si j’arrive à me mettre à jour dans la première. Il y a aussi des séries d’horreur qui sont sorties cette année sur Netflix et qui sont bien tentantes pour les jours chauds… Bref, j’ai largement de quoi faire cet été !

Stats de la semaine #29

Salut les sériephiles !

Nous sommes déjà au milieu de semaine (sérieusement ?) et je n’ai toujours pas publié les statistiques de la semaine passée. Ce n’est pas tout à fait n’importe quoi, puisque c’était pour la bonne raison nommée Comic Con, mais je crois que c’est la première fois depuis août dernier que je suis aussi « en retard » dans la publication de cet article.

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Vite, vite, remédions à ce problème ! Les cinq articles les plus consultés du blog la semaine dernière étaient :

  1. 12 Monkeys, une bonne surprise qui a mis le temps : 54 vues
  2. Containment / Alerte Contagion (S01) : 54 vues
  3. Ce que c’est qu’un Guilty Pleasure : 43 vues
  4. Mes derniers coups de… #6 : 43 vues
  5. Les meilleures séries Girl Power : 37 vues

Ce top est très amusant je trouve, puisque les deux premiers sont ex-aequo, et les deux suivants aussi. C’est pourtant rare habituellement d’avoir des ex-aequo ; et c’est ça qui me fait rire, il m’en faut peu (mais vous le saviez déjà si vous suivez mes critiques de Salvation, et si vous ne les suivez pas, vous manquez de bons moments de rigolade, surtout cette semaine). En plus, le Comic Con n’arrive même pas à se frayer une place dans le top cette semaine, c’est fou par rapport à l’an dernier !

Bref, 12 Monkeys est terminée, mais elle continue de cartonner sur le blog, et ça fait plaisir – même si c’est sur un résumé de mon avis sur les trois premières saisons et plus tellement sur la quatrième saison. J’imagine qu’il faudra que je prenne le temps d’un article d’adieu un jour ou l’autre, parce que je l’ai fait pour des séries que j’aimais moins.

Pour le reste, Containment est un vieil article qui perce plus que jamais avant, avec probablement plus de vues cette semaine que lors de la diffusion de la série à l’époque – où le blog était encore à ses débuts. Face au début de succès de l’article, j’ai pris la décision de l’éditer et d’y ajouter le titre choisi par TF1 pour sa diffusion… et bizarrement, ça attire encore plus depuis ! Je ne peux que conseiller la série dont je garde un bon souvenir – c’est un divertissement estival réussi avec début, milieu et fin (un chouilla ouverte, mais fin).

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Y a aussi un bon travail de make-up.

Le retour de l’article définition a plu, donc il faudrait que je considère en faire de temps à autres, et plus régulièrement, comme pour les coups qui, eux, sont toujours une sorte de RDV lecture pour vous, j’ai l’impression. Enfin, le TFSA ferme le top, mais on a l’habitude de voir les TFSA dans ce top, rien de surprenant.

Quelques surprises en revanche du côté des saisons les plus consultées :

  1. Colony (S03)
  2. Containment/Alerte Contagion (S01)
  3. The 100 (S05) 
  4. Younger (S05)
  5. Preacher (S03)

Bien qu’hyper à la bourre dans mes visionnages la semaine dernière, personne n’a déserté le blog, et ça fait plaisir. Ce qui fait encore plus plaisir est de voir Colony atteindre une telle place alors même qu’USA Network a pris la décision complétement stupide de l’annuler – plutôt que de lui donner une courte saison de fin, non, trop dur de respecter l’audience apparemment, pff.

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J’me casse !

Je reviendrai probablement sur la série prochainement, parce que je suis dans une frustration totale et je pleure déjà l’absence de réponses ; et je suis donc bien content qu’elle se démarque au point sur le blog…

Pas de surprise concernant la suite du classement : Containment aurait pu se débrouiller pour prendre la première place, mais sa diffusion le samedi n’aide pas ; The 100 est l’une des rares séries que j’ai regardé rapidement et Younger est adorée de tous. Bon, OK, concernant celle-ci, ce sont les premiers épisodes de la saison qui ont attiré plus que le dernier… à croire que certains rattrapent leur retard encore plus important que le mien, c’est rassurant !

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La dernière place était serrée, mais c’est finalement Preacher qui se distingue de la mêlée. Elle galère un peu côté vues sur le blog, alors ça fait plaisir aussi de la voir reprendre du poil de la bête, surtout que cet épisode commençait à remonter le niveau de la saison et que ça s’est confirmé cette semaine. Ouf !

Comme j’ai publié moins d’articles (20 contre 25 la semaine précédente), il y a forcément eu aussi moins de commentaires sur le blog : on est passé ainsi à 127. Oui, mais bon, je n’ai pas beaucoup été présent non plus pour dialoguer et j’accumule les articles en retard sur la blogosphère depuis une bonne dizaine de jours, c’est la catastrophe (mais je reviendrai, et je rattraperai plein de choses, attention !). Il faudra aussi que je trouve un moment dans le planning chargé des articles pour vous expliquer pourquoi je suis si absent (mais si, malgré tous les articles, je me sens absent). Après, ça se résume facilement quand même…

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Du côté des recherches, j’ai été surpris de voir surgir de vieilles questions restées sans réponse sur les saisons 3 d’Orphan Black et 2 de The Catch. J’en connais qui remue le couteau dans la plaie, l’air de rien. C’est la vie j’imagine !

Voilà pour les stats de la semaine dernière, cette fois j’ai fait le tour, je pense. Bonne journée à tous – et bonne fin de semaine !

Ce que c’est qu’un Guilty Pleasure

Salut les sériephiles,

Je suis de moins en moins régulier avec ce rendez-vous des définitions, mais c’est qu’avec le temps qui passe, il est parfois dur de trouver de nouvelles idées de thèmes. Je sais pourtant qu’il y a des dizaines de termes que j’emploie et n’ai encore jamais expliqué dans ces articles, donc pas d’inquiétude, je continuerai d’en proposer de temps à autres. Il suffit d’être patient !

Et cette semaine, on se concentre sur un de mes termes préférés, parce qu’il sonne mieux en anglais mais est très connu en français aussi. Le dire en anglais, c’est juste un moyen d’être un de ces insupportables pseudo-bilingues (en ferai-je partie ?).

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Alors c’est quoi exactement un guilty pleasure ? C’est tout facile à traduire, ça signifie « plaisir coupable ». Et c’est super simple à comprendre : c’est quelque chose qui procure du plaisir, mais un plaisir qu’on se sent coupable de ressentir parce qu’il vient de quelque chose qu’on ne devrait vraiment pas aimer autant, parce qu’on sait bien que c’est mauvais (en tout cas, selon nos goûts). Rien de bien compliqué à comprendre, on a tous une série qui nous fait ressentir ça, je pense ; j’en ai même plusieurs. Et comme on n’est pas sectaire, ça peut aussi être ce que vous ressentez face à un film, un livre, une chanson (sauf si c’est Despacito, allez en Enfer, on n’en peut plus), un verre de vin qui n’est pas consommé avec modération (faites gaffe quand même) ou n’importe quoi d’autre, donc.

C’est quoi ce nom ? C’est la trouvaille d’un type brillant, probablement, qui se sentait coupable de ressentir du plaisir. Je ne sais pas bien si ça vaut le coup d’un article complet finalement, mais bon, je me sentais comme un petit génie quand j’ai décidé d’écrire cet article pourtant.

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Un petit génie comme ça, quoi.

Quelle origine ? Il faut probablement regarder du côté de la psychologie et de l’origine de la culpabilité, qui permet de nous faire comprendre qu’on est en train de faire quelque chose de mal selon nos standards, quelque chose qui peut menacer notre appartenance à un groupe social dans les pires cas, quelque chose qu’on n’a pas forcément envie d’exploiter sur son blog, par exemple. Oui, bon, je crois qu’il est assez clair que je n’ai pas fait d’étude de psycho, ni de socio, mais je pense qu’on a tous l’idée de l’origine exacte de notre culpabilité. Le plaisir ? Il vient du fait qu’on est en train d’enfreindre une règle ou une limite qu’on se fixait. On finit par prendre du plaisir en faisant quelque chose qui nous fait culpabiliser. OK, il y a un peu de masochisme dans tout ça.

Quant à l’origine exacte de l’expression, impossible de la retrouver, mais elle date, ça, c’est sûr et certain.

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Et aujourd’hui ? Si je vous écris cet article, ce n’est pas par hasard. Je suis en fait en train de… regarder un épisode de Plus Belle la Vie. Cela fait une semaine que je suis retombé dedans et que je rattrape mon retard – et comme je les regarde en speedwatch, le plaisir est total, parce qu’en plus ça va vite. Le plaisir coupable de l’épisode de trop (qui a donné son nom au blog), on le connaît tous, mais quand en plus, c’est sur des séries qu’on a un peu honte de regarder, il fait exceptionnellement dur à arrêter. J’ai donc rattrapé pas moins de quatre mois pour l’instant – j’en suis enfin au moins de décembre, alors que ça faisait onze mois que j’étais bloqué au milieu de l’intrigue du mois d’août ! L’Enchanteur est de retour, pour les connaisseurs, et il est possible que j’ai repris un peu pour son intrigue aussi.

Bon, je sais, c’est paradoxal d’assumer comme ça mes guilty pleasures, mais vous devriez être habitué, ce n’est pas la première fois que je le fais sur le blog : je vous ai parlé de Shadowhunters, mais aussi de Lost & Found Music Studios, rien que ça ! Et puis, il y avait Un, dos, tres aussi… Non, je sais pas, c’est à croire que la culpabilité du plaisir est encore meilleure quand je la partage avec vous ; chacun sa came ? Vite, partagez la vôtre !

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Ces sept choses que j’aime dans Shadowhunters

Salut les sériephiles !

La saison 2 de Shadowhunters s’est achevée mardi dernier dans le sang et dans les larmes de Clary, j’ai donc envie de vous parler un peu de cette série, avec peu de spoilers, promis, des fois que vous vous décideriez à la voir ou la reprendre… Car oui, je sais qu’un certain nombre d’entre vous ont vu au moins une partie de la série !

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Il faut bien que je l’avoue, je me suis pris d’affection pour cette série qui pourtant revenait de loin. En fait, j’en avais vu le pilot l’an dernier au beau milieu d’une froide nuit de janvier et j’avais… adoré. Pourtant, le moins qu’on puisse dire c’est qu’il est bourré de clichés et médiocre. Oui, mais après un épisode interminable de la saison 2 de The Affair et en pleine nuit, j’avais trouvé ça passionnant à voir…

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J’avais vite déchanté la semaine suivante en me rendant compte que la série n’inventait rien avec sa mythologie plutôt brouillon au départ et ses scénarios téléphonés qui reprenaient l’intrigue d’une saga de livres. Et oui, je sais qu’il s’agit d’une série de bouquins très populaires, mais moi à l’époque, je ne connaissais pas. Du coup, assez rapidement, je me suis retrouvé spoilé sur les couples à venir et je dois avouer que j’étais effaré de découvrir une fanbase beaucoup trop passionnée par une série qui était au mieux médiocre.

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Je suis malgré tout resté devant la série parce qu’elle occupait bien mes mercredis midis et que je venais tout juste de m’inscrire à Netflix. C’était plutôt appréciable de découvrir que Netflix proposait des séries à la semaine, et j’aimerais bien qu’ils le fassent plus souvent plutôt que d’attendre la diffusion de tous les épisodes, comme ils ont fait avec Orphan Black.

Que je suis bavard ce matin, j’ai écrit plus de la moitié de l’article et je n’en suis toujours pas au début de ce que je voulais, à savoir faire la liste des choses qui font que j’étais impatient de regarder la série tous les mardis cette année :

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  1. Les larmes de Clary : une source intarissable de memes, renouvelable chaque semaine.
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  2. La mythologie et ses virages à 380° : sans spoiler, ils ont une tendance assez marrante à contourner les obstacles pour surprendre et éviter d’être limité par les limites habituelles d’un vampire ou la mort.Résultat de recherche d'images pour "shadowhunters simon"
  3. Les larmes de Clary, parce que je ne suis là que pour ça.Résultat de recherche d'images pour "shadowhunters pilot"
  4. Leur manière de vendre du sexe, parfois jusqu’à ce que ce soit gênant, mais sans jamais rien dévoiler. À mourir de rire.Résultat de recherche d'images pour "shadowhunters isabelle whip"
  5. Le jeu chaotique des acteurs.
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  6. Les facilités scénaristiques dignes d’un enfant de maternelle.
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  7. Le fan service à base de couples (improbables).

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Bon, voilà, j’ai fait le tour de ce qui a transformé une série médiocre en plaisir coupable inattendu du mardi. Je me jetais sur les épisodes et ça va me faire bizarre de ne plus les avoir. Si tout ça ne vous a pas donné envie d’aller vous marrer devant les épisodes, je ne peux plus rien pour vous !

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