Contrairement au TFSA d’hier, que j’avais déjà fait il y a quelques mois et que j’avais totalement oublié avant que Tequi ne me le fasse remarquer (j’écris beaucoup trop de choses), je sais que je n’ai jamais fait celui-ci, parce qu’honnêtement, les acteurs de cinéma et moi, on n’est pas super potes. Généralement, ça me passe un peu au-dessus le ciné. Mais bon, je m’y suis remis cette année, et puis, en fait, il y en a quand même. Et puis, il y a ceux qui l’ont déjà fait aussi, comme Ben Barnes. Et il a bien fait ! Allez, bon, next voici la liste… j’ai un peu ramé, elle est probablement perfectible, mais c’est mieux que rien.
Michelle Rodriguez
Je sais, elle a joué dans LOST… Mais justement, elle était dans une série de laquelle elle s’est fait virer bien trop rapidement à mon goût, et j’aimerais bien la retrouver plus souvent sur le petit écran. Certes, j’avais tenu les premiers Fast & Furious, mais ses films ne m’ont jamais botté plus que ça, alors que l’actrice a vraiment une tronche parfaite pour plein de rôles, de la méchante de base à la gentille un peu brisée par la vie et complexe. Je vois plein d’histoires possibles pour elle, c’est frustrant qu’elle se contente de films ! Bon, ce n’est peut-être pas son choix par contre, vu comment ça s’est fini pour elle avec ABC, hum.
Skandar Keynes
Je parlais de Ben Barnes, avant Caspian, il y avait déjà Edmund que j’adorais dans Narnia. Malheureusement, l’acteur a mis un terme à sa carrière et fait d’autres choses désormais, mais je trouve qu’il avait une bonne bouille pour prendre en charge une série. Bon, OK, peut-être pas en personnage principal, mais il ferait un très bon perso secondaire ou support pour un couple. Bref, j’aimerais bien le retrouver, et tant qu’à faire autant le faire !
Eddie Redmayne
Eh, ça c’est un grand acteur de cinéma que j’aimerai bien voir dans une série américaine. Il sait à peu près tout faire, ça a donc l’avantage de simplifier la vie pour le choix d’un rôle. Il peut aller où il veut et être brillant de toute manière. Comme il le sait, il fait des films, parce que c’est sûrement mieux payé. Bon, puis, il est un peu pris avec les Animaux fantastiques, lui. N’empêche que ce serait sympathique. Zendaya arrive bien à faire une série en parallèle du MCU, pourquoi pas lui ?
Tom Holland
Vous l’avez vu venir ? C’était évident, je crois, j’adore cet acteur dans chacun de ses rôles depuis qu’il est enfant et je viens juste de vous dire que Zendaya y arrivait. Bon, d’accord, elle a un rôle plus petit que lui, mais ça n’empêche qu’elle a réussi à faire une série HBO et que je me demande encore comment ça a pu passer avec son contrat Marvel (à moins que, justement, elle était hors contrat avec le bazar avec Sony ?). Si elle a pu le faire, Tom Holland peut le faire aussi, surtout que lui, il est assuré de garder son rôle, quand même, et il l’a déjà prouvé avec sa tendance au spoiler. Bref, donnez-lui un rôle principal dans une série. Un rôle à la Tatiana Maslany, en plus, histoire de le voir beaucoup et de prouver qu’il sait tout faire lui aussi. Le petit plus d’une série avec Tom Holland ? Faites-le chanter, ce sera parfait ! Donc ouais, une série sur un chanteur qui part en tournée ? Un truc comme ça.
Emma Watson
Il n’y a qu’elle pour détrôner Tom Holland, je pense. Emma Watson est une actrice brillante, j’en suis convaincu. Certes, quand elle a été castée, personne ne pouvait rien en savoir, mais franchement, on a vu dans Harry Potter et les reliques de la mort partie 1 à quel point elle avait bien grandi et était devenue une super actrice. Après, ses choix de films… Ce n’est pas toujours brillant, c’est un peu au petit bonheur la chance. Bon, je la vois bien accepter de jouer dans une série qui aurait peu d’épisodes – un truc britannique peut-être – ce qui lui assurerait d’avoir du temps libre pour ses actions militantes. Et puis, s’il y a bien une actrice qui serait capable de m’attacher à un drame historique, c’est elle. Ouais, je ne sais pas, je la vois bien dans un rôle comme ça, une série historique sur la place de la femme… Un truc un peu militant, dans la lignée de ses actions. Et en séries plutôt qu’en film, parce que ça permet de mieux développer les choses. Allez, Emma, tu sais que c’est une bonne idée !
Voilà donc pour cet article. Quand j’ai lu le thème, je me suis dit que je ne trouverais pas cinq acteurs et que ça n’allait pas me botter plus que ça comme thème… mais finalement, maintenant ça m’a vraiment donné envie de voir ces acteurs. Je veux même bien leur écrire leur série, si besoin, j’ai plein d’idées pour eux. Je suis sûr qu’on peut même cumuler certaines idées entre elles, histoire d’avoir un casting cinq étoiles. Gloups, mieux vaut ne pas imaginer le budget nécessaire pour le casting !
Comme promis hier, il n’y a pas trop de surprise dans le sujet de l’article du jour : je suis ici pour vous parler du samedi au Comic Con. C’est absolument dingue de se dire que ça fait déjà une semaine que cette journée quasi-parfaite s’est déroulée, et pourtant ! Par où commencer ?
Par le début, bien sûr ! Pas d’erreur dans le métro cette fois-ci, j’ai retrouvé Laura à 9h16, pour un rendez-vous fixé à 15, c’était plutôt pas mal joué de ma part. Rapidement, Poluss nous a rejoint, et puis la crapule, et puis hop hop hop, c’est en toute hâte que l’on s’est dit que c’était l’occasion parfaite pour faire une photo sur le canapé de Friends. En début de journée, il n’y avait pas grand-monde dans le salon, et beaucoup ne savaient pas encore où il était. J’avais l’avantage d’avoir eu le temps de le voir le vendredi.
Voir aussi mes articles sur les journées de : Vendredi| Dimanche
Photo faite, c’était déjà l’heure de la séparation. Je vous laisse consulter le compte-rendu du week-end deLaura sur son blog, nous, on est allé commencer une longue journée d’attente avec Poluss. Une journée d’attente ? Ben oui, on ne voulait surtout pas rater le panel d’Amy Acker à 11h. Mission réussie, largement, avec un panel qui était particulièrement génial. Cette fois, Yaelle est revenue sur l’ensemble de la carrière d’Amy et, oui, elle a à peu près réussi à faire le tout, c’est incroyable. Une journée qui commence par Dollhouse, c’est forcément une bonne journée, mais il a été question d’à peu près toutes les séries dans lesquelles elle a joué, et il y en a eu un max !
Bien sûr, les films aussi ont été évoqués, et malgré tout, il manquait encore certains de ses projets. J’ai donc profité de l’occasion pour demander le micro à Marine afin de poser la première question de la journée. Cette fois encore, Amy Acker m’a reconnu, se demandant d’abord si c’était bien moi, puis lâchant un craquant « Oh he had the first question yesterday ». Si vous me suivez ailleurs que sur le blog, vous savez déjà que je suis sous le charme de ces quelques mots, elle est tellement mignonne et parfaite aussi.
Bon, je ne me suis pas trop décontenancé malgré tout et j’ai pu poser une question sur feu The Gifted. Sa réponse fut bien longue et marrante, confirmant que l’équipe n’avait pas vraiment regardé Person of Interestet n’arrêtait pas d’avoir des idées lui rappelant son rôle de Root. C’est un peu ce que j’écrivais dans mes critiques de la saison 2 lors de la diffusion, ça me rassure. Les autres questions ont porté sur Angel ou le meilleur épisode de POI (sur lequel j’ai effectivement écrit cet article), évidemment, mais ce qui devait arriver arriva : le panel a pris fin bien trop rapidement à mon goût. Pourtant, on avait fait le tour de 15 ans de projets divers… Une fois de plus, chapeau bas à Yaelle que je vois comme une vraie magicienne – les questions sont précises et permettent de tout aborder. Le seul truc dont il n’a finalement pas été question, c’est Con Man, mais c’est tellement peu connu que ça n’est pas surprenant.
Comme promis dans mon article planning du samedi, nous avons enchaîné avec Pauline en traversant le salon sans rien regarder d’autre que notre objectif : le studio photo. Et on a eu une sacrée chance de passer pile au moment où ils ouvraient les portes pour l’attente du studio, donc on était dans les dix premiers à pouvoir faire une photo avec elle. C’était rassurant pour la suite de la journée : les premiers aux photos sont inévitablement les premiers en dédicace, voyez-vous.
L’attente fut longue à nouveau, principalement parce que je commençais à avoir faim, mais que je ne me voyais pas prendre le risque de manger avant la photo – pour ne pas me tâcher, pour ne pas avoir une sale haleine, pour ne pas avoir un morceau de pomme de terre dans les dents, les vrais problèmes, quoi ! Finalement, il a bien fallu se rendre à l’évidence, le grand moment est arrivé (« vous êtes ensemble ? » pour la private joke aha).
Sans trop de surprise, elle m’a reconnu à nouveau et dit « oh bonjour again ». À ce stade de l’article, vous aurez compris que de toute manière, elle aurait pu me dire « oh no not you », j’aurais été totalement in love quand même. La photo passe trop vite, mais elle a tout de même pris le temps de dire qu’elle trouvait mon t-shirt « cute » (un t-shirt Run Robot, en référence aux boîtes de production Mutant Ennemy – Angel, Dollhouse – et Bad Robot – Person of Interest, trouvé sur Redbubble). C’est un bon moyen de briser la glace en photo, mais de toute manière, de mon côté, y avait zéro glace.
La photo prise, il a fallu redescendre de mon petit nuage pour retrouver Pauline et sa photo, et pour qu’on se dirige alors vers l’espace dédicace, encore un peu hagards. Des vrais fans, des vrais gamins complètement perdus ! On s’est tellement dépêchés qu’on était carrément dans les cinq premiers pour la dédicace. C’était une bonne nouvelle pour le reste de la journée !
Ouais, c’est organisé cette affaire, y a des post-it pour qu’elle mette bien les accents à mon prénom vous voyez, et j’ai pris une pochette pour protéger la photo (je n’ai pas arrêté de la faire tomber par terre quand même)
L’attente était plus longue en temps, mais elle a paru plus courte, parce que j’ai enfin pu manger et parce qu’on était dans la file juste à côté de celle pour Ross Marquand, donc on n’était pas sans rien à regarder non plus. L’acteur a été tellement cool avec ses fans ! S’il avait fait un créneau de dédicaces supplémentaire, j’aurais probablement craqué et pris moi aussi une signature. Mais bon, il avait fini son programme, cette dédicace était la dernière chose qu’il lui restait à faire – ce qui explique sûrement pourquoi il était si généreux avec les fans.
De toute manière, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, Amy Acker aussi était généreuse avec nous. Elle a pris tellement le temps de parler que le matin, elle avait accumulé du retard et que le Comic Con a dû ouvrir un créneau de dédicaces supplémentaire ! Bref, ce qui compte, c’est que j’ai pu lui parler à nouveau (une dernière fois) pour lui dire à quel point j’étais fan – on sait jamais, elle avait peut-être mal compris les premières fois non ?, et surtout pour lui parler d’une de mes scènes préférées de Dollhouse. Elle voyait parfaitement de laquelle je parlais et a semblé touché (bon, en même temps, c’est son job en convention non ?), elle m’en a remercié en disant que ça avait été une journée éprouvante pour elle mais que Fran Kranz était un collègue cool, elle a signé ma photo en disant qu’elle était « nice » (aaaaah) et a fini par me dire au revoir, parce qu’il fallait bien que je laisse ma place à Pauline, qui a eu la bonne idée de parler de moi, alors j’ai eu droit à un dernier regard d’Amy.
Ah oui, j’ai aussi bredouillé une dernière phrase en anglais pour lui dire que j’espérais qu’elle reviendrait en France et que j’avais hâte de voir ses prochains projets. Quoi ! On ne sait jamais !
Bon, donc, une fois ceci achevé la journée était concrètement terminée pour nous. Mais comme on n’avait encore « rien » fait, on s’est dit avec Pauline qu’on allait faire le tour des allées du salon. L’occasion de croiser des cosplayeurs, notamment une amie dont je vous laisse l’instagram, de retrouver Laura ou de tomber au hasard d’une allée sur Terry LTAM. Malheureusement, pas de panel pour lui cette année, mais il est toujours aussi sympa, et on a eu notre selfie. Eh, ça ne valait pas les fou rires des panels des années précédentes. J’espère qu’il pourra être rembauché pour animer quelque chose l’an prochain, parce que ça manquait !
Voilà pour cette deuxième journée, je n’ai finalement pas fait d’autres panels. C’est un peu pauvre en contenu, je sais bien, mais bon, le début de la journée avait été intense ! En plus, ce n’était vraiment que le début : à parcourir les allées, on a pu faire plein de photos (le canapé de Stranger Things, la photo officielle du salon), j’ai croisé des abonnés et même une amie de lycée, totalement par hasard. Alors certes, je n’ai pas vu tout le monde, mais ça n’est pas toujours évident de se retrouver dans les allées. J’ai laissé le hasard faire les choses, et puis il restait encore la journée du dimanche.
En attendant, on s’est permis quelques craquages – enfin, les filles surtout, j’ai été sage et pas trop déboursé mon argent. Après tout ça, il faut tout de même que je vous avoue que pour la première fois depuis deux ou trois ans, on a décidé avec Laura de ne pas aller à la soirée de projection. Elle se déroulait en masterclass et la file d’attente nous a déjà paru pleine quand on a voulu y aller. C’était vraiment dommage de ne pas la faire en Grande Scène… Après, le contenu nous intéressait moins que d’habitude aussi – c’est un peu dommage de diffuser des épisodes de saisons diverses pour une projection comme ça. Je préférais les épisodes 1 de série (ou d’anthologie) de l’an dernier, histoire de vraiment découvrir et voir si on aimait, sans être paumé dans l’histoire.
Oh, ne vous inquiétez pas, on n’a pas rien fait de la soirée non plus : on a finalement rejoint Terry LTAM qui nous avait proposé de venir prendre un verre avec lui dans son bar préféré, le J’peux pas, j’ai poney. Et honnêtement, c’est sans regret : le bar est très (très) chouette et on a passé une très bonne soirée en sa compagnie et en compagnie de celle d’une poignée de ses abonnés. Le genre de soirée qui se déroule dans la bonne humeur et qui rebooste avant une dernière journée d’un week-end crevant. Je vous en parlerai demain, vous vous en doutez bien !
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En attendant, vous pouvez toujours faire un tour sur mes photos du samedi publiées sur Insta :
Cela fait déjà une semaine que la cinquième édition du Comic Con Parism’a ouvert ses portes, il faut donc quand même que je prenne le temps de vous en parler un peu plus longuement pour vous livrer mes impressions sur la première journée de convention, comme toujours. Il n’y a pas à dire, le Comic Con reste un lieu hors du temps : j’ai l’impression que cela fait un siècle que cette journée s’est déroulée (mais c’est peut-être aussi parce que ma semaine était encore chargée), j’ai l’impression que c’était hier, je n’arrive pas à me situer. Quoiqu’il en soit, voilà donc tout ce que j’ai à dire du vendredi !
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La journée commençait bien mal, puisque comme tous les ans, je suis venu en métro en passant par Stalingrad et, comme bien souvent, je suis monté dans le premier métro qui passait sur le quai au lieu de vérifier avant où il allait. Je me suis donc retrouvé à prendre la ligne 7 au lieu de la 5, et donc à descendre à la Cité des Sciences plutôt qu’à la Grande Halle de la Villette. Oh, si je raconte ça, c’est surtout dans l’espoir de ne pas me planter l’an prochain. Après, dans les faits, je me suis retrouvé à entrer dans le salon à 9h45 au lieu de 9h30, et ça, ce n’était pas malin de ma part comme je voulais absolument faire le panel de 10h.
Un peu de stress, ça ne fait jamais de mal après tout. Je vous disais dans mon planningque j’y allais seul, mais ça n’a pas duré bien longtemps : à peine entré dans la file d’attente pour le panel Amy Acker que je retrouvais Julien du webzine Direct-Actu.fr. On s’est croisé l’an dernier dans les allées, alors on a tout de suite parlé et ça a permis de raccourcir l’attente. Je ne fais pas les choses dans l’ordre, en tout cas : avant ça, j’ai récupéré mon sac offert par le Comic Con, à l’honneur des 80 ans de Marvel. Petite déception tout de même : le sac est plus petit que d’habitude (mon sac à dos rentrait à peine dedans et du coup, ça ne fermait pas) et les stocks semblent moins conséquents. Heureusement qu’il est beau !
La déception s’envole vite avec le froid matinal lors de la traversée vers la Grande Scène. Cette année, exit la grande salle, on se retrouve avec un chapiteau à l’extérieur de la convention. C’est une bonne chose, mais c’est juste dommage que ça signifie devoir faire l’attente en extérieur (là pour le coup, il fait froid – et encore la météo est plutôt bonne) et traverser l’espace sans toit au-dessus de nos têtes. Au moins, il ne pleuvait pas (encore), ouf. De toute manière, braver la pluie n’aurait pas été un problème.
BIM, je me retrouve donc au premier panel et je suis directement dans l’ambiance Comic Con : DJ Elliot est au RDV comme chaque année pour mettre l’ambiance, Yaelka nous fait la présentation et Amy Acker arrive bien vite… C’est une matinée de feu. Le panel est très intimiste en plus : une fois commencé, les portes sont fermées définitivement, et comme on est vendredi matin, il n’y a vraiment pas grand-monde dans la salle. C’est dommage, mais ça m’arrange bien : grâce à ça, j’ai pu poser la toute première question de cette cinquième édition, et à une de mes actrices préférées en plus. Je fonds.
Le panel portait uniquement sur les vingt ans de la série Angel et sur la participation d’Amy Acker à la série. C’était l’occasion de questions passionnantes, passionnées et précises de la part de Yaelle qui n’a pas hésité à creuser l’analyse du personnage de Winifred avec Amy Acker, tout en lui demandant son ressenti sur son casting (une scène inspirée de Shakespeare) ou sur l’évolution du personnage, qui d’après Amy s’inspirait beaucoup d’elle-même sur plusieurs points (l’amour des Tacos, les origines texanes, etc.). Et comme tout le monde est fou amoureux de Winifred, ça en dit long sur l’actrice, non ?
Ma question ? Elle portait sur son ressenti d’avoir eu à gérer un personnage si complexe et parfait dès le début de sa carrière ; je me demandais notamment si elle avait eu parfois peur face à une telle tâche. Evidemment non, mais elle a reconnu qu’elle ne savait jamais vraiment où elle allait avec Fred et qu’elle ne se rendait pas encore compte de la chance qu’elle avait de jouer un tel personnage. C’était son premier job, pour elle, il était normal de pouvoir avoir une telle panoplie d’émotions et d’intrigues à jouer. En fait, non.
Contrairement à ce que j’avais annoncé, le planning a changé (gros plus de cette édition : la nouvelle présentation du planning sous forme de frise chronologique, c’était hyper pratique !) et je n’ai pas pu aller à « Comics et politique ». En revanche, nous nous sommes rendus à un panel sur les nouveaux médium comics, et c’était plutôt intéressant. J’ai ainsi découvert l’univers et les dessins de Mirka Andolfo, que j’ai tout de suite beaucoup aimé. Il faudra que je me penche davantage sur son travail, je sens que ça me plaira. De toute manière, elle a travaillé sur Ms Marvel, donc ça se fera, c’est évident.
Après ça, je me suis consacré comme prévu au panel avec Callan Mulvey. Il faut bien avouer que j’ai commencé à accuser un méchant coup de barre à ce moment-là, mais de toute manière, Hartley Cœurs à vif est une série qui est vraiment très, très loin pour moi. Je n’ai dû en voir que quelques épisodes, donc j’étais à côté de la plaque par rapport aux fans présents. Il n’empêche que c’était un univers sympa à découvrir. Et puis, Yaelle a aussi posé des questions sur son implication dans le MCUen parallèle du DCverse, alors que c’est supposé être impossible. L’occasion de quelques anecdotes sur les coups de chance improbables de l’acteur et sur son tournage de la baston culte dans l’ascenseur de Captain America.
Ensuite, il était temps d’errer un peu dans les allées et de faire le tour des différents stands. Peu de surprise par rapport à d’habitude, mais l’agrandissement de l’espace permet la création d’un coin coréen (je n’ai pas trop compris pourquoi, j’avoue), d’un espace en réalité virtuelle et surtout du corner tatoo. Même si je ne pense pas me faire un jour un tatouage (trop peur de le regretter un jour), j’adore l’idée et c’était top de consulter les différents dessins des tatoueurs ou de les voir travailler – parce que oui, il y en a qui ont craqué sur un tatouage !
Dans l’ensemble, en revanche, j’ai trouvé que les stands étaient plus avares en goodies que d’habitude. Oh, et déception de voir de voir que le stand Syfy était déjà pris d’assaut. En même temps, ils ont offert une expérience de pince humaine, donc pas étonnant (j’adore l’idée, mais ça réduit vachement la fréquentation possible du stand : une personne à la fois toutes les dix minutes contre deux à cinq personnes toutes les cinq minutes l’an dernier). L’animatrice était la même en plus, j’aurais aimé avoir le temps d’y passer – mais je ne l’ai pas fait des trois jours.
Ouh que j’étais mal situé pour ce panel !
En tout cas, pas de temps à perdre : j’ai mangé mon sandwich en attendant le panel suivant, en salle Workshop. C’était un panel à nouveau mené par Yaelle sur les comics Stranger Things, en présence d’un dessinateur qui aussi bossé sur les comics Angel saison 6. J’aurais aimé qu’on lui accorde un moment pour en parler plus longuement, mais de toute manière, je n’avais aucun comics à lui faire dédicacer. C’était en tout cas passionnant à écouter : j’ai redécouvert ainsi les possibilités qu’offraient le numérique par rapport au dessin classique, par exemple, mais aussi ses limites – pas d’exemplaire unique à vendre pour les dessinateurs.
Ce panel terminé, j’ai enchaîné – cette journée est tellement riche et improbable ! – avec mon craquage : une dédicace d’Amy Acker grâce à une promo reçue par mail. L’occasion cette fois de rencontrer d’autres fans dans la file d’attente que j’ai trouvé étonnamment courte : tant mieux, ça permet de parler plus longtemps avec Amy ! Et là, mon cœur a fondu : elle m’a reconnu ! Bon, certes, j’avais posé une question quatre ou cinq heures plus tôt seulement, mais tout de même, après un rapide et banal échange composé de mes remerciements pour sa carrière et ses rôles, elle m’a remercié pour ma question, puis dit que j’avais été PERFECT. Laissez-moi mourir dans un coin.
Oh, la dédicace ne dure pas plus de deux minutes, c’est sûr, mais le simple fait d’avoir pu parler un peu de la manière dont elle m’a accroché à Angel, c’était déjà beaucoup trop bien. Qu’en plus, elle me dise que j’étais « perfect », laissez-tomber, vous m’avez perdu. Ah oui, elle m’a accroché à la série : je regardais un épisode par-ci par-là sur la TNT pendant les pubs W9 (qui diffusait alors Buffy…), et je suis tombé sur LA scène de l’escalier. Elle a tout de suite su de laquelle je parlais, évidemment, et elle a tout de suite compris la détresse qui a suivi mon bingewatching des cinq saisons quand j’en suis arrivé à cet épisode. Amy Acker est tellement perfect, elle aussi, je vous jure !
Dans tout ça, elle m’a dédicacé mon DVD Much Ado About Nothing, j’étais content. Et ensuite, il a fallu redescendre sur terre, ce que j’ai fait en errant dans l’Artist Alley, un coin toujours aussi sympathique du Comic Con.
Au premier rang, svp !
La journée n’était toujours pas terminée cependant ! J’ai enchaîné avec le panel de Ross Marquand dont j’ai déjà parlé dans l’article de mardi dernier. Ce panel a été un vrai coup de cœur, parce que l’acteur était hyper accessible, simple et sincère. En plus, Yaelle (oui, oui, toujours la même, elle était partout ce jour-là, c’est impressionnant) a eu la bonne idée de repérer exactement la scène du dernier The Walking Dead qui montrait bien l’évolution du personnage d’Aaron et de lui poser des questions dessus. Ca me simplifiait la vie : c’est exactement la question que je voulais lui poser.
À la sortie du panel, j’ai croisé brièvement David de Buffy Slays 20 qui m’a fait regretter de ne pas avoir pris de photo avec Amy Acker dès le vendredi, parce qu’elle prenait le temps de parler apparemment. Bon, tant pis, je savais que je la revoyais le lendemain. Et puis, j’avais déjà des étoiles plein la tête de ma séance de dédicace avec.
Je suis donc allé me poser à la Grande Scène pour la dernière fois de la journée, histoire d’assister à la projection en avant-première de Retour à Zombieland,qui était vraiment top comme suite.Mais ça aussi, j’en ai parlé sur le blog mercredi.
Voir aussi mes articles sur les journées de : Samedi| Dimanche
Quelle journée, en tout cas ! Je suis sûr que j’ai oublié de parler d’un tas de choses, mais vous aurez compris que c’est encore une journée mémorable et que comme d’habitude, j’en tire un maximum de souvenirs positifs ! Je crois que c’était l’une de mes meilleures journées de comic con, et pourtant, je n’y étais pas encore avec toute la joyeuse bande que j’ai pu croiser les samedis et dimanches. Je vous en parlerai dans d’autres articles, évidemment. Et pour ceux qui trouvent encore que cet article était trop court, j’ai aussi posé quelques photos supplémentaires sur Instagram, évidemment :
Si vous possédez un compte Twitter ou juste un abonnement aux notifications un peu geeks de Google, vous n’avez pas pu passer à côté de l’événement du week-end, qui était la tenue du D23, une grande conférence où Disney a fait la distribution de (plus ou moins) bonnes nouvelles. Jamais une édition n’avait été aussi riche, je crois, et même moi, perdu au milieu de mes cartons et de mes livres à reclasser par ordre alphabétique d’auteurs pour me simplifier la vie en cours d’année (non, Hugo ne se range pas à V comme Victor, Jérôme !), j’ai eu l’occasion de repérer plein de très bonnes nouvelles au cours des multiples présentations de la plateforme Disney + !
Pour commencer par le commencement, je suis super soulagé et heureux d’avoir découvert que la plateforme Disney + allait privilégier le rythme de diffusion d’un épisode par semaine pour ses nombreuses séries. Ben oui, il y en a plein qui me tente et le rythme du bingewatching Netflix, je n’y arrive pas, je me sens coulé sous les inédits. Savoir que les nouvelles séries Marvel seront sur un rythme « normal » de diffusion, ça me soulage pas mal, parce que le rythme Netflix, c’était sympa quand il y avait quatre ou cinq bonnes séries à voir, mais ça ne fonctionne pas avec une saison complète par semaine !
Ce n’est pas la seule bonne nouvelle que je retiens de ce week-end, loin de là. Une autre nouvelle qui m’a mis en joie alors que je ne savais même pas qu’elle avait le potentiel de me faire de l’effet, c’est l’annonce du retour de Lizzie McGuire ! Oui, oui, Disney a donné son feu vert pour une nouvelle saison, des années et des années après. On retrouvera Lizzie en train de vivre sa meilleure trentaine et je suis super curieux de ce que ça peut donner côté scénario. Il faut dire que cette série m’a fait tomber amoureux d’Hilary Duff, que je continue d’adorer aujourd’hui dans Younger. C’est donc bien reparti pour la série qui a rendu cool le fait d’avoir un bitmoji avant même que les bitmoji existent, même si j’en ai oublié 90% de l’intrigue franchement ! Et pour l’occasion, je ne peux pas m’empêcher de vous proposer cet extrait, parce que je l’ai en tête depuis l’annonce :
C’est bien parti pour moi aussi qui vais faire le plein de séries repose-cerveau à regarder. En effet, c’est aussi sur Disney + que verra le jour le très attendu revival de la franchise High School Musical dont je parlais déjà sur le blog il y a un an de ça. Tout vient à point. Si ça se trouve, ça ne me plaira pas du tout, cela dit, je n’ai pas regardé la bande-annonce pour me garder toute la surprise… je sens que je n’ai pas fini de chanter en tout cas, surtout que Kristen Bell va aussi présenter une télé-réalité dans l’univers des comédies musicales. Voilà un concept qui me rend perplexe !
Je ne peux pas en dire autant de la série Star Wars : cela fait longtemps que j’ai dépassé la perplexité avec cette franchise, mais je suis curieux de voir ce que ça peut donner sous forme de série en live-action. Ben oui, je m’étais dit que j’allais tenter de me rfaire toute la saga avant le prochain, alors ça peut être l’occasion de me mettre aussi à cette série.
En parlant de live-action, difficile de passer à côté du remake en live action de La Belle et le Clochard aussi sur D+. Je suis très perplexe, mais bon, Detective Pikachu et Le Roi Lion ont fonctionné, alors pourquoi pas un film avec des vrais chiens, hein ? M’enfin, tant qu’à faire, je vais plutôt attendre mai 2021 et Cruella ! C’est une méchante que j’adore, alors ce film me rend déjà curieux !
Finalement, le moins intéressant de ce rendez-vous annuel aura été… Le Marvel Cinematic Universe. Le gros du boulot avait été fait au Comic Con (et on comprend pourquoi maintenant) et il y a quand même eu une belle tâche au tableau : Sony ne renouvelle pas son contrat avec Marvel et force Spiderman à quitter l’univers partagé. C’est un coup dur pour à peu près tout le monde, de l’acteur qui rêvait d’être un Avenger aux fans qui n’attendaient que ça. J’espère vraiment qu’ils trouveront un arrangement…
Comme je n’ai pas envie de finir sur une note négative, notons qu’il est enfin annoncé la production d’une série Ms Marvel… il est temps pour moi de me mettre aux comics avant d’être complétement à la ramasse, surtout que les deux autres séries annoncées ne me fascinent pas plus que ça : She-Hulk et Moon Knight auront aussi leurs séries, mais merci non merci, il faudra bien faire le tri à un moment, cet article me rajoute tellement de choses à voir déjà… !