Vus cette semaine #18

Ce RDV se contente de reprendre l’ensemble de mes avis sans spoiler sur les épisodes vus au cours de la semaine. C’est donc un simple copier-coller de ce qui se trouve déjà dans la colonne de gauche et qui est mis à jour quotidiennement. Le titre de chaque épisode mène à la critique plus complète et avec spoilers. Les épisodes sont reclassés par ordre chronologique de diffusion, en J+1… 

Lundi

Zoey’s Extraordinary Playlist – S01E11 – Zoey’s Extraordinary Mother – 17/20
La série continue de prouver qu’elle est brillante à bien des égards, tant du côté des développements de personnages que des répliques, qui instillent de l’humour au milieu des plus gros drames et qui font passer la pilule par des chansons plus ou moins bien chantées, mais toujours efficaces pour faire passer les messages qu’elles doivent faire passer.
Westworld – S03E07 – Passed Pawn – 16/20
La réalisation est toujours impeccable, le casting aussi… mais je n’accroche pas tellement à la tournure de l’intrigue de cette saison qui s’éloigne trop à mon goût de ce qu’était la série pour plonger dans des histoires qui semblent tomber comme un cheveu sur la soupe. Elles sont pourtant annoncées depuis un moment dans la série et tout est lié comme il se doit… Seulement, quelque chose me fait décrocher de ce condensé d’action que je devrais adorer, parce que les révélations ne sont pas à la hauteur de ce que j’en attendais. Et le tout finit par être poussif.

Vendredi

Council of Dads – S01E02 – I’m Not Fine – 16/20
Oui, il y a beaucoup de monde à gérer dans ce casting, mais pour l’instant, la série arrive à le faire. On sent bien que l’équilibre est encore à trouver, mais à l’instar d’un personnage apprenant à faire du vélo dans cet épisode, la série y parvient petit à petit. Je pense qu’elle trouvera facilement sa vitesse de croisière et que ses aspects soap vont vite lui servir. On verra bien !
In the Dark – S02E03 – Son of a Gun – 17/20
La saison se poursuit sur son excellente lancée avec des épisodes toujours plutôt bien dosé. Je suis surpris que pour une fois toutes les intrigues ne se rejoignent pas comme elles ont l’habitude de le faire, d’autant que ça affaiblit l’ensemble avec des scènes dont on ne sait pas bien ce qu’elles font là. Il y a des graines plantées pour la suite, on va dire, mais de toute manière, tout le reste est tellement solide qu’évidemment que j’ai déjà prévu de revenir vite.
Station 19 – S03E14 – The Ghosts That Haunt Me – 15/20
Je ne sais pas quoi en penser de cet épisode. Les intrigues que je préfère sont clairement malmenées au second plan alors que je n’ai pas réussi à déterminer ce qui pouvait bien être au premier plan cette semaine. Ajoutons à ça que l’épisode prend le temps de se concentrer encore et toujours sur un personnage à qui j’étais content de dire au revoir et sur des évolutions pas bien crédibles et ça donne un mix d’émotions et sentiments contradictoires. Allez, c’est vu, c’est presqu’aussi vite oublié, j’en ai bien peur. Ce que j’ai préféré ? Les personnages de Grey’s Anatomy et leur impact sur les pompiers. C’est gênant.
How to get away with murder – S06E13 – What If Sam Wasn’t The Bad Guy This Whole Time? – 17/20
Je ne suis pas fan des épisodes s’alourdissant de flashbacks, et ça se confirme encore avec cet épisode dont les scènes passées n’apportent pas grand-chose au schmilblick des révélations qu’il souhaite apporter. Par contre, ces révélations vont être de véritables clés pour se lancer dans une fin de saison passionnante, puisque toutes les cartes sont rebattues de manière totalement inédite et quasi-inattendue. Avec cette série, cependant, il n’y a plus grand-chose qui peut encore être inattendu, non ?

Rattrapage

You – S02E03 – What Are Friends For ? – 15/20
Je ne sais pas si c’est parce que je reprends quatre mois plus tard, mais cet épisode n’a pas du tout réussi à m’accrocher comme je pensais qu’il le ferait. Il empile les clichés les uns après les autres et finit par desservir les personnages, quand bien même le point de vue du personnage principal suffit à expliquer cette succession de clichés. La série n’est pas objective… mais l’intrigue de la saison dérive vers totalement autre chose, ce qui fait que le scénario semble prendre l’eau. Étrange !
You – S02E04 – The Good, the Bad & the Hendy – 15/20
Je ne suis toujours pas convaincu par cette suite de saison. Il y a de bons moments et j’aime toujours autant certains personnages, mais du côté des relations et des rebondissements, j’ai beaucoup de mal à croire à ce qui est proposé. C’était déjà un problème soulevé par beaucoup en saison 1, mais ça ne m’avait pas dérangé à l’époque parce que la voix-off de Joe vendait bien les choses. Pour ce soir, j’ai eu bien du mal à me laisser emporter et oublier les stéréotypes et parties prévisibles du scénario…
Manifest – S02E07 – Emergency Exit – 17/20
Les choses s’accélèrent dans cet épisode et plusieurs pièces du puzzle semblent s’emboîter plutôt bien. C’est une bonne chose, ça donne l’impression d’être face à une mi-saison et, pour une fois, une grosse partie du casting a un rôle à jouer. Non, parce qu’il faut bien reconnaître que dans cette saison, beaucoup de personnages sont souvent mis de côté, y compris des personnages qui sont supposés être au centre de tout et l’était en saison 1…
The Purge – S02E05 – House of Mirrors – 16/20
C’était bien, mais ça pourrait être mieux ! J’aime bien ce que tente de faire la série avec cet épisode, surtout que ça nous ramène de l’action qu’il manquait dans les épisodes précédents, mais c’est maladroit dans l’écriture de certains personnages et certaines situations. Du coup, je n’arrive pas spécialement à croire à tout ce qui est présenté : divertissant, mais pas bien crédible.

Week-End en Séries 14

Charmed – S02E09 – Guess Who’s Coming to Safespace Seattle? – 16/20
J’ai mis un bon moment à me replonger dans la série et je ne suis pas sûr que ce soit une série qui se bingewatche facilement finalement. En tout cas, il se passe plein de choses dans l’épisode, mais ce qui me passionne le plus, c’est définitivement le fil rouge qui se remet en place tout doucement… Bien dommage, mais au moins, j’ai d’autres épisodes à voir pour ça.
Charmed – S02E10 – Curse Words – 17/20
Honnêtement, j’ai du mal à raccrocher les wagons pour cette deuxième partie de saison. Sur les trois intrigues de l’épisode, il y en a une à laquelle je n’accrochais pas, une que j’ai trouvé trop bavarde… et une que j’ai vraiment adorée parce qu’elle jouait sur les codes des films d’horreur. Je retrouve là les jeux malins de réécriture et de parodie que la série mettait en place sur sa première saison, et ça fonctionne mieux que les bons sentiments qu’elle nous vend. Je suis difficile aujourd’hui, dis-donc, alors qu’en plus cet épisode gère bien la réunion des intrigues pour une fois, d’où la note !
Charmed – S02E11 – Dance Like No One is Witching – 16/20
C’est peut-être parce que c’est le troisième de la journée, mais cet épisode m’a paru à la fois plus fluide et moins accrocheur que le précédent. J’ai eu l’impression qu’il se terminait juste après avoir commencé, sans qu’il ne se soit passé autant de choses que dans les épisodes précédents. Il est pourtant loin d’être un bouche-trou du côté du fil rouge. C’était bien, mais la saison 1 continue de me manquer pour le moment.
Charmed – S02E12 – Needs to Know – 16/20
L’avantage de voir autant d’épisodes d’un coup, c’est que ça me permet de me rendre compte que même si j’ai toujours l’impression que les épisodes partent dans tous les sens de manière individuelle, l’ensemble de la saison forme vraiment un tout qui semble cohérent, même si les avancées sont lentes. Au moins, les relations entre les personnages sont largement explorées au milieu des twists, et ça, c’est toujours positif. Surtout qu’il y a pas mal de twists.

Evil (S01)

S01E04 – Rose390 – 19/20
Qu’est-ce que cette série est excellente ! J’adore vraiment l’ambiance qu’elle instaure, le côté horrifique est efficace et je suis prêt à pardonner quelques-uns de ses personnages les plus insupportables de la télévision rien que pour ça. Ce qui est mis en place en quatre épisodes seulement est assez dingue, j’adore, c’est franchement osé. Et la fin… Pardon ? Sur un network, à heure de grande écoute ?
S01E05 – October 31 – 15/20
Trois intrigues en une ? C’est osé, une fois de plus, parce que ça veut dire que la série change de formule. Malheureusement, ça ne lui réussit pas tellement : l’épisode est moins flippant que d’autres, verse un peu trop d’un côté pour être purement fantastique au sens littéraire du terme et propose des conclusions bâclées. Trop d’ambition et d’histoires pour quarante minutes, quoi.
S01E06 – 790 – 16/20
J’ai beaucoup aimé l’épisode, mais on reste totalement sur notre faim avec les conclusions des intrigues qui n’en sont pas vraiment. J’ai du mal à parler de cliffhanger, car ce n’en est pas vraiment non plus. Non, c’est juste étonnant et surprenant comme fin, mais pas dans le bon sens du terme. Et c’est dommage, car autrement la série se poursuit avec de très bonnes intrigues.
S01E07 – Vatican III – 18/20
Les choses avancent vite dans cette courte saison et c’est plutôt une bonne chose car les intrigues en fil rouge sont particulièrement intéressantes, par rapport à des cas de la semaine plus classiques, mais sacrément bien joués. Cela donne envie d’enchaîner les épisodes, alors que j’avais un peu peur ce matin que le liant entre eux ne soit pas assez fort pour ça.
S01E08 – 2 Fathers – 15/20
Ils ne se foulent pas pour le titre de l’épisode, là, honnêtement… J’aime toujours bien la série, mais j’ai souvent du mal avec les conclusions de ses épisodes. Franchement, certaines choses restent ouvertes pour le prochain épisode alors qu’on s’attendrait vraiment à ce que ça fasse partie de la fin de l’épisode… Le cliffhanger choisi pour cet épisode est logique vis-à-vis d’une intrigue, mais pas bien crédible vis-à-vis d’un événement laissé sans suite dans l’autre alors que ça en appelle très clairement une. Bizarre.
S01E09 – Exorcism Part.2 – 18/20
On ne sait jamais à quoi s’attendre avec cette série tout de même, c’est fou. Chaque épisode a une ambiance bien différente et c’est chouette comme cela, parce que les personnages sont attachants et que les différentes intrigues avancent toujours. Bref, j’aime beaucoup et ça passe bien en binge-watching cette diversité déconcertante…
S01E10 – Swan’s.a.Singin – 20/20
Na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala, na lalala laaahalalala…
S01E11 – Room – 17/20
Bon, je ne mets plus jamais les pieds à l’hôpital après cet épisode. Bonjour le malaise ! C’était excellent à suivre et j’ai beaucoup aimé la manière dont les choses étaient mises en place dans cet épisode. Il y a de très bonnes surprises, notamment dans les twists, mais aussi des passages plus longuets qui font qu’il a été difficile de me fixer sur une note reflétant vraiment ce que j’en pensais.
S01E12 – Justice X2 – 16/20
C’est amusant comme l’épisode est inégal avec des intrigues qui ne se valent pas. L’une est un simple cas de la semaine franchement peu intéressant quand tout le reste semble déjà être une fin de saison, avec même des cliffhangers qui pourraient nous laisser là quelques mois tant ils sont prenants et nous font nous poser bien des questions. Bref, j’enchaîne avec le dernier, désolé pour tout le flood d’articles en ce jour !
S01E13 – Book 23 – 19/20
Très franchement, je suis surpris car je m’attendais à un épisode final plus explosif après autant d’épisodes dans la journée. Si la fin l’est, vraiment, toute la première partie est lente et peine à se mettre en place. En plus, il faut bien reconnaître que la saison 1 a beaucoup de pistes qui restent inexplorées. Chaque épisode est solide, porté par un très bon casting et avec de sacrées histoires, mais il y a quelques défauts ici et là qui fragilise parfois l’ensemble…

Future Man (S03)

S03E01 – The Precipice of Yesterday – 16/20
La saison reprend avec de bonnes idées, mais j’ai eu du mal à accrocher. Je me souvenais que les répliques s’enchainaient à toute vitesse, ça oui, mais là, j’ai eu du mal à trouver de quoi faire ma critique, parce que la série reprenait en plus ses schémas classiques. Et en même temps, pourquoi changer une équipe qui gagne quand la dynamique est si parfaite ?
S03E02 – There Will Be Borscht – 19/20
Que c’est bon de retrouver la série exactement comme je l’adorais en saison 1. Je ne m’attendais pas à ça du tout : la saison prend une tournure parfaitement inattendue par rapport au cliffhanger de la deuxième et ça permet aux scénaristes de recommencer à s’amuser avec leur meilleure arme, à savoir l’humour temporel. Le tout se fait toujours avec beaucoup de fluidité, de références et malgré tout, un scénario qui tient la route. Bien content de les retrouver aussi en forme !
S03E03 – Trapper’s Delight – 16/20
Malgré de bons gags et anecdotes, toujours, avec ce qu’il faut de parodie, cet épisode comble un peu le temps de la saison, et c’est dommage. Autant l’épisode précédent était excellent du côté du rythme, autant celui-ci avait bien du mal à rester passionnant et être fluide. De toute manière, j’aime les personnages, alors je n’ai pas besoin de ça pour passer un bon moment.
S03E04 – The Outlaw Wild Sam Bladden  – 16/20
C’est plus confus dans cet épisode avec une séparation en deux intrigues se rejoignant que j’ai trouvée un peu moins efficace. Il faut aussi dire que je me suis retrouvé confronté face à une limite de mon humour : la série a toujours était un brin poussive de ce côté-là, mais cette fois, c’était un peu la goutte d’eau pour moi. Certaines choses sont encore trop récentes pour que je ris sans arrière-pensée. C’est bien dommage, parce qu’autrement l’histoire est relancée pour la deuxième partie de saison, évidemment.
S03E05 – Haven is for Real – 20/20
Oh la la, quelle idée de génie ! Je ne peux pas en dire autre chose tant cet épisode enchaîne les bonnes réflexions, les blagues efficaces et les références geek, culturelles, historiques, artistique… Non vraiment, il fallait y songer à cet épisode : c’est à la fois évident dans la lignée de la série et particulièrement bluffant. Bref, du génie.
S03E06 – The Land After Time – 19/20
J’ai presque envie de dire que cet épisode était interminable, mais c’est tellement volontaire que je ne peux pas leur en vouloir, surtout qu’il contient possiblement la meilleure réplique de toute la série et qu’il est excellent lui aussi. J’aime vraiment beaucoup l’idée directrice de l’épisode, qui parodie totalement certains films – un en particulier – et le fait bien. Par contre, je retire un point à la note, parce que la division des intrigues n’est pas bien équilibrée et parce que j’ai envie que la série avance, pas qu’elle fasse du surplace comme ça !
S03E07 – Time Rogues III: Escape from Forever – 16/20
C’est étrange comme une idée géniale peut l’être bien moins quand elle traîne en longueur. Heureusement, nous sommes sur l’avant dernier épisode de la saison, alors on finit par suivre quelques développements qui sont bien pensés pour mener plutôt naturellement à la fin de la saison et, par la même occasion, de la série. Les personnages me manqueront. Je sais, on n’en est pas encore là.
S03E08 – Return of the Present – 20/20
Je ne pensais pas qu’ils y arriveraient, mais même s’ils ont peu de temps pour tout conclure, les scénaristes ont en stock de bonnes pirouettes et parviennent à proposer une fin de série qui ne fait pas tache du tout après les deux premières saisons. C’est un très bon épisode, à l’image de la série, avec un message et toujours autant de parodies et références. Un très bon final, donc.

Challenge Séries 2020

Into the Dark – S01E01 – The Body – 13/20
Je suis venu pour de l’horreur, j’ai eu une série qui se prenait au sérieux sur la réalisation, mais qui proposait un scénario plus comique qu’horrifique. C’est dommage parce que je n’ai pas du tout accroché et que les acteurs sont pour certains dans le surjeu pour tenter de vendre un scénario pas si crédible. Bref, je continuerai probablement cette saison, mais pas sûr que ce soit tout de suite. Peut-être que si quand même pour le deuxième épisode, histoire de voir si c’est toujours comme ça ?
Into the Dark – S01E05 – Down – 16/20
C’est déjà mieux, ma foi, et un peu plus dans l’esprit de ce que j’attendais de cette série. J’ai lancé cet épisode-ci puisqu’on me vendait un huis-clos et qu’en période de confinement, c’est quand même plutôt adapté de regarder ça. Il y avait de bons moments et une bonne idée de base, le tout est prévisible avec des longueurs, mais aussi de bonnes scènes. J’ai bien aimé, c’était plus efficace que le premier épisode !

Et des critiques de Riverdale à venir après le prochain podcast, en plus !

> Vus en 2020 

Future Man (S03)

Synopsis : En fin de saison 2, le trio de nos héros voyageant dans le temps se retrouvait très, très loin dans le futur et devenaient les stars d’une télé-réalité qui voulait les juger. Oups !

Saison 1 | Saison 2 | Saison 3

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Pour commencer, je m’étais dit que j’attendrai la diffusion sur Prime Video pour regarder cette saison 3, mais elle tarde vraiment à venir et je suis quelque peu impatient. Le #WESéries 14 m’a donc paru vraiment propice au visionnage de cette saison, parce que je voulais connaître le fin mot de l’histoire et parce que des épisodes de 25 minutes, c’est plutôt un bon moyen de grapiller des minutes sans se lasser.

Après, je connais l’humour de la série et si je devais venir à me lasser, il me suffirait de passer à une autre série, tout simplement. On verra bien, mais sur deux jours, je devrais réussir à atteindre la fin, qui me rend d’autant plus curieux que c’est la fin de la série. Rien que ça.

Sur ce, c’est donc parti pour les critiques de toute la saison ! Et oui, j’ai attendu sagement d’en arriver au bout pour la diffuser sur le blog, pace que c’était plus simple. Quant à la présentation, elle devrait malgré tout vous permettre d’avancer assez vite dans les épisodes… enfin j’espère !

Note moyenne de la saison : 18/20

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S03E01 – The Precipice of Yesterday – 16/20
La saison reprend avec de bonnes idées, mais j’ai eu du mal à accrocher. Je me souvenais que les répliques s’enchainaient à toute vitesse, ça oui, mais là, j’ai eu du mal à trouver de quoi faire ma critique, parce que la série reprenait en plus ses schémas classiques. Et en même temps, pourquoi changer une équipe qui gagne quand la dynamique est si parfaite ?
S03E02 – There Will Be Borscht – 19/20
Que c’est bon de retrouver la série exactement comme je l’adorais en saison 1. Je ne m’attendais pas à ça du tout : la saison prend une tournure parfaitement inattendue par rapport au cliffhanger de la deuxième et ça permet aux scénaristes de recommencer à s’amuser avec leur meilleure arme, à savoir l’humour temporel. Le tout se fait toujours avec beaucoup de fluidité, de références et malgré tout, un scénario qui tient la route. Bien content de les retrouver aussi en forme !
S03E03 – Trapper’s Delight – 16/20
Malgré de bons gags et anecdotes, toujours, avec ce qu’il faut de parodie, cet épisode comble un peu le temps de la saison, et c’est dommage. Autant l’épisode précédent était excellent du côté du rythme, autant celui-ci avait bien du mal à rester passionnant et être fluide. De toute manière, j’aime les personnages, alors je n’ai pas besoin de ça pour passer un bon moment.
S03E04 – The Outlaw Wild Sam Bladden  – 16/20
C’est plus confus dans cet épisode avec une séparation en deux intrigues se rejoignant que j’ai trouvée un peu moins efficace. Il faut aussi dire que je me suis retrouvé confronté face à une limite de mon humour : la série a toujours était un brin poussive de ce côté-là, mais cette fois, c’était un peu la goutte d’eau pour moi. Certaines choses sont encore trop récentes pour que je ris sans arrière-pensée. C’est bien dommage, parce qu’autrement l’histoire est relancée pour la deuxième partie de saison, évidemment.
S03E05 – Haven is for Real – 20/20
Oh la la, quelle idée de génie ! Je ne peux pas en dire autre chose tant cet épisode enchaîne les bonnes réflexions, les blagues efficaces et les références geek, culturelles, historiques, artistique… Non vraiment, il fallait y songer à cet épisode : c’est à la fois évident dans la lignée de la série et particulièrement bluffant. Bref, du génie.
S03E06 – The Land After Time – 19/20
J’ai presque envie de dire que cet épisode était interminable, mais c’est tellement volontaire que je ne peux pas leur en vouloir, surtout qu’il contient possiblement la meilleure réplique de toute la série et qu’il est excellent lui aussi. J’aime vraiment beaucoup l’idée directrice de l’épisode, qui parodie totalement certains films – un en particulier – et le fait bien. Par contre, je retire un point à la note, parce que la division des intrigues n’est pas bien équilibrée et parce que j’ai envie que la série avance, pas qu’elle fasse du surplace comme ça !
S03E07 – Time Rogues III: Escape from Forever – 16/20
C’est étrange comme une idée géniale peut l’être bien moins quand elle traîne en longueur. Heureusement, nous sommes sur l’avant dernier épisode de la saison, alors on finit par suivre quelques développements qui sont bien pensés pour mener plutôt naturellement à la fin de la saison et, par la même occasion, de la série. Les personnages me manqueront. Je sais, on n’en est pas encore là.
S03E08 – Return of the Present – 20/20
Je ne pensais pas qu’ils y arriveraient, mais même s’ils ont peu de temps pour tout conclure, les scénaristes ont en stock de bonnes pirouettes et parviennent à proposer une fin de série qui ne fait pas tache du tout après les deux premières saisons. C’est un très bon épisode, à l’image de la série, avec un message et toujours autant de parodies et références. Un très bon final, donc.

Saison 1 | Saison 2 | Saison 3


Épisode 1 – The Precipice of Yesterday – 16/20
La saison reprend avec de bonnes idées, mais j’ai eu du mal à accrocher. Je me souvenais que les répliques s’enchainaient à toute vitesse, ça oui, mais là, j’ai eu du mal à trouver de quoi faire ma critique, parce que la série reprenait en plus ses schémas classiques. Et en même temps, pourquoi changer une équipe qui gagne quand la dynamique est si parfaite ?

Spoilers

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I would remember if they wiped my memory.

OK, le résumé de la saison passée est zappée au profit d’une présentation version jeu de télé-réalité de nos trois personnages que sont Tiger, Wolf et Josh. C’était bien drôle comme manière de procéder, surtout que c’était efficace pour faire un bon récap d’où on en était : Josh, Tiger et Wolf sont donc condamnés à mort par le divertissement. Et tout ça enchainait par une première scène loin de tout ce qu’on en attendait.

En effet, la voix off du jeu est un présentateur qui mène sa vie bien pépère dans le futur, avec la peur que la centième saison du jeu se passe mal pour lui faute d’audience. Il a heureusement sa femme pour l’aider et le réconforter, quand il la programme pour ça en tout cas. Ah ben oui, c’est un robot sa femme. Tout s’explique. Il a aussi une petite fille, Stanley, qui les interrompt pendant une chaude nuit d’amour. Soit. Drôle, sympathique, la première scène n’est toutefois pas celle que j’attendais.

Tant pis, c’est comme ça, et ça va tellement vite qu’on en arrive vite à notre trio prêt à entrer pour la première fois dans l’arène du Diecathlon. Ou pas : Josh se prend une lance dès les premières secondes et ne quitte même pas la cage d’ascenseur dans laquelle ils étaient. C’est bête.

Après tout ça, Josh se réveille dans un caisson rempli d’eau bien étrange, parce qu’il a survécu. Cette eau s’appelle le Goo et peut apparemment le guérir petit à petit – ou lui donner le cancer, c’est au choix. On découvre que Wolf et Tiger n’ont eu aucun mal à survivre. Ils sont ainsi tout heureux de venir narguer Josh sans même se rendre compte que ce qu’ils sont en train de faire et sont bien curieux de voir ce que ce Diecathlon peut bien avoir à leur proposer ensuite. Le suspense est de courte durée : ils auront affaire à des dinosaures, comme le leur révèle le présentateur, très heureux des performances du duo venu d’un futur qui est désormais dans le passé.

Le lendemain, Josh est de retour à la vie, avec des nanorobots qui le guérissent petit à petit. Il est en cage et est observé par des fans de Diecathlon, mais on apprend en tout cas qu’il va pouvoir guérir bien vite. Le jour 2 du Diecathlon peut donc commencer avec nos héros qui se rendent à nouveau à l’arène pour affronter des dinosaures… ou pas.

La surprise de ce deuxième jour, c’est que Tiger et Wolf semblent rebooter et reprennent leurs dialogues et blagues du premier soir. Josh ne comprend pas trop ce qu’il se passe, mais il en déduit que tout va recommencer, et il évite donc la première lance. La musique est épique, il est plein d’espoir et… il ne sort toujours pas de l’ascenseur se prenant une deuxième lance. Ah la vache, l’humour de la série me manquait.

Il se réveille à nouveau dans le caisson de goo, où il entend une voix dans sa tête. Le premier jour, on lui disait qu’il allait être un héros, le second, il est considéré par un loser par cette voix off qui pourrait être Dieu, selon lui. Mouais. La voix lui propose de s’enfuir par l’ascenseur pour retourner dans un endroit et une époque qu’il a appelé une fois maison.

C’est intéressant, car ça introduit une variation dans la boucle temporelle mise en place, que Wolf et Tiger refusent évidemment de reconnaître. On en revient toujours au même avec la série : Josh sait quelque chose et les deux autres ne croient pas ce qu’il leur dit. Malgré tout, Josh refuse de les abandonner et il explique à la voix dans sa tête qu’il s’agit de la dynamique habituelle du groupe.

Seulement voilà, c’est bien beau tout ça, mais on passe à un montage où Josh ne parvient pas à les convaincre le lendemain, ni toute la semaine, ni tout le mois. Et chaque fois, il se fait blesser de manière différente, conne et immédiate, alors que Wolf et Tiger s’en sortent toujours. Et à chaque fois, Josh doit réapprendre à se relever et doit subir les nanorobots.

Il a aussi énormément de fans qui ont de la pitié pour lui et qui se marrent bien de sa situation, parce que c’est super drôle de le voir se relever à chaque fois pour être blessé dans les premières secondes. Petit à petit cependant, Josh finit par écouter la voix dans sa tête et à manipuler ses coéquipiers pour obtenir tout ce qu’il veut. Et il faut aussi dire, quand même, que le tout se fait avec la même musique en boucle à chaque fois. L’épisode se termine par Josh réussissant à s’échapper grâce à tous les objets ramenés par Wolf et Tiger, qui le suivent. N’en déplaisent au présentateur.

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Épisode 2 – There Will Be Borscht – 19/20
Que c’est bon de retrouver la série exactement comme je l’adorais en saison 1. Je ne m’attendais pas à ça du tout : la saison prend une tournure parfaitement inattendue par rapport au cliffhanger de la deuxième et ça permet aux scénaristes de recommencer à s’amuser avec leur meilleure arme, à savoir l’humour temporel. Le tout se fait toujours avec beaucoup de fluidité, de références et malgré tout, un scénario qui tient la route. Bien content de les retrouver aussi en forme !

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That’s new and fresh concept. I like it.

Cette fois, ça y est, on a un vrai résumé, mais il ne sert plus à grand-chose, car on est tout de suite dans l’action de la fuite de nos héros. Ce ne sont pas eux qu’on suit directement, évidemment, mais le présentateur frustré de la disparition de ses stars le jour où il a ramené sa fille au boulot. On découvre aussi qu’il a des collègues, notamment une femme qui s’amuse bien de son échec. Apparemment, ce n’est pas son premier échec.

Par ailleurs, nos héros ont tué une bonne partie de l’équipe de télévision avant de voler une machine leur permettant de voyager dans le temps… et dans l’espace, cette fois. Ils se retrouvent donc loin dans le temps, mais aussi dans la géographie : ils s’imaginent au Moyen-Âge, en… France. Il y a des poules et une Eglise, évidemment que c’est la France. Et Wolf parle français, grâce à Jean-Claude Van Damn. DAMN. Anyway.

Les gags fonctionnent bien et il va de soi qu’ils sont à présent des fuyards temporels pourchassés par des gens du futur qui les veulent morts pour tout ce qu’ils ont osé dérailler dans le passé. Et la femme qui les poursuit à distance numérique les connaît bien. Pourtant, loin de tout ce qu’elle surveille, Josh prend le temps de prier Dieu… qui lui répond, par la voix dans sa tête, voulant être appelée « Ami ». Eh, je ne suis pas naïf : ce n’est pas Dieu et il y a fort à parier que ça finira mal pour Josh de suivre tous ses conseils…

Surtout quand le conseil est de voler la machine gardée par Tiger ! Pas si évident, cependant, surtout quand ils sont chassés par des gens du futur chaque fois qu’ils font dérailler l’espace-temps avec un sandwich inventé, par exemple. Finalement, ils se retrouvent au Japon huit cent avant JC. C’est bien drôle tout ça. Ils restent une bonne semaine sur place avant d’être repéré à nouveau à cause de Wolf tuant un grand guerrier. C’est bien drôle cette fuite continuelle à travers le temps et l’espace, en tout cas.

Ils se retrouvent ensuite en 1915 en Russie, n’en déplaise à Josh persuadé d’être aux États-Unis. Rapidement, ils sont hébergés dans une grange grâce à une femme russe tombant évidemment sous le charme de Wolf. C’est toujours pareil. Mais ça aide Josh qui se retrouve à dormir juste à côté de Tiger. Le truc, c’est que même quand elle dort, elle est capable d’attraper et bouffer des moustiques, alors bon, ça calme.

Ils restent donc deux semaines en Russie à faire des travaux difficiles de jardinage pour leur nouvelle amie. Enfin, c’est plus l’amie de Josh que de Tiger qui est énervée de faire du jardinage. Elle s’ennuie ferme dans une timeline où Josh est le seul à être excellent à quelque chose, et elle veut alors se souvenir des joies d’être une guerrière du Diecathlon.

Dans le futur, le présentateur à la voix-off fait bien son travail et finit par comprendre que Josh a eu de l’aide. Il a une bonne motivation à vouloir découvrir la vérité : sa collègue se moque de lui en permanence, tout de même. En même temps, sa collègue se moque de tout, y compris d’un grand trou noir temporel aspirant des timelines et provoquant des incohérences et des collisions, qui commence à se voir dans la série, notamment pour Josh qui ignore le problème.

Il ignore pas mal de choses, notamment le bruit du front de la Première Guerre Mondiale qui est intenable pour lui ou la Russe qui drague Wolf de manière bien comique. On s’amuse bien avec cette série, toujours, les gags sont bons et surprenants. En parlant de surprises, je ne sais pas pourquoi je n’ai pas pensé plus tôt que Wolf et Tiger ignoraient ce qu’était la Première Guerre Mondiale.

C’est pourtant le cas, ce qui explique que nos héros ne se soient pas déjà enfuis de cette époque. Ca, et Wolf qui voulait draguer la veuve Russe probablement. Il en avait marre de la paille et ça l’arrangeait bien de trouver un vrai lit, là où ça arrangeait bien la Russe de trouver un homme doux et tendre avec elle. La série part un peu loin à se moquer de la religion et de son mari, mais bon, ça reste drôle.

Et pendant que Wolf prend son pied, Josh souffre, regrettant presque les bruits du Front. Le pauvre. Tiger disparaît, Wolf laisse encore une trace dans l’Histoire à rendre son humanité à cette Russe publiée plus tard. Inévitablement, dans le futur, il est alors décidé d’envoyer des machines pour les tuer. Ces machines sont sous forme humanoïde, sinon ce ne serait pas drôle.

Tiger ? Elle est partie faire la guerre, évidemment, en laissant derrière elle de quoi faire des voyages temporels. Cela arrange bien Josh qui le cache à Wolf, mais de toute façon, Wolf se rend compte que des machines sont là pour les tuer. Les tuer eux et tous les gens autour d’eux, à vrai dire, parce que le mari de Dasha, la russe, y passe avant que Wolf ne puisse faire quoique ce soit. En tuant des soldats du futur, Wolf récupère un exemplaire du livre de Dasha. Il manque de mourir, aussi, mais Tiger le sauve finalement in extremis.

Et voilà notre trio qui repart pour un autre temps, sous la direction de Josh cette fois, persuadé d’avoir maîtrisé la machine temporelle à la perfection. Le cliffhanger nous indique que ce n’est pas vraiment le cas toutefois, puisqu’ils se retrouvent au beau milieu d’une bataille armée entre des amérindiens et des colons…

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Épisode 3 – Trapper’s Delight – 16/20
Malgré de bons gags et anecdotes, toujours, avec ce qu’il faut de parodie, cet épisode comble un peu le temps de la saison, et c’est dommage. Autant l’épisode précédent était excellent du côté du rythme, autant celui-ci avait bien du mal à rester passionnant et être fluide. De toute manière, j’aime les personnages, alors je n’ai pas besoin de ça pour passer un bon moment.

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I’m sick of killing would-be rapers.

Josh s’est a priori trompé, mais le voilà qui montre ses bras nus aux deux camps qui s’affrontent, puis qui frappe des mains, afin de pouvoir s’échapper du front sans mal. Tiger et Wolf sont impressionnés par dson calme et font pareil, le suivant en étant content de le voir si heureux et apaisé. Le problème, c’est que Josh tombe dans un piège à ours aussitôt.

Son hurlement lance le générique et on se retrouve ensuite six mois plus tard. Il a trop mal aux jambes pour traverser la montagne et arriver à la maison qu’il vise. En six mois, Josh a eu le temps de voir sa barbe et ses cheveux pousser, mais c’est à peu près tout : il est encore blessé à la jambe, évidemment. La survie avec Tiger et Wolf s’est organisée : il cueille des champignons, Wolf fait la cuisine forcément et Tiger vit sa vie comme d’habitude.

Quelle drôle d’idée n’empêche que de rester coincés dans une époque si vieille. En tout cas, on découvre que Wolf est en fait puni : Tiger ne veut pas qu’il laisse sa marque dans l’Histoire comme il le fait toujours, lui rappelant que Dasha a inventé la littérature érotique à cause de lui. C’était plutôt marrant, mais on sent que l’épisode est là pour combler un peu la saison, ce qui est dommage sur une saison de huit épisodes.

Mais bon, on a quand même de bonnes blagues, notamment les cours de survie avec Tiger qui sait comment faire pour exploiter au mieux tout ce que la nature a à lui offrir. Par contre, la nature n’a pas de médecine à leur offrir pour la jambe de Josh. Ca n’a aucun sens ? Pourquoi ne pas faire un saut à un hôpital du futur ? Je finis par être de l’avis de Tiger qui est de l’amputer.

Le truc, c’est que Josh refuse d’être soigné, parce qu’il est persuadé qu’il va guérir seul : la voix dans sa tête le lui a dit. Un coup de pression du duo plus tard, Josh accepte toutefois d’être amené auprès de l’infirmière que connaît Wolf.

Il faut dire que Wolf connaît absolument tout le monde au village voisin où il laisse sa trace bien malgré lui. Eh oui, il a tout un village qui le vénère, mais il affirme qu’il a appris sa leçon malgré tout : il ne prend que des amantes qui ne savent pas écrire. Quant à la blessure de Josh, la guérisseuse affirme que ce n’est pas la jambe le problème, mais le problème. Josh en profite donc pour avouer que cela fait huit mois qu’il parle à Dieu. Rien que ça.

Il passe pour un taré auprès de Wolf, surtout quand il se met effectivement à parler seul. La crise de foi finit par arriver : Josh finit par avouer qu’il refuse de parler à la voix dans sa tête qui accepte et s’enfuit en claquant une porte. Hmm, c’est trop simple, cela dit, j’ai du mal à y croire. Cependant, l’essentiel, c’est que Josh est heureux de ne plus entendre de voix et de se faire raser.

Wolf, lui, est heureux de savoir qu’il abandonne enfin son désir de rentrer à la maison. Ce n’est pas tout à fait le cas, mais il faut bien qu’il l’admette toutefois : rentrer dans la maison Futturman, ce serait prendre bien trop de risques où il devrait tuer d’autres Josh, ou d’autres parents robotiques, ou allons savoir quoi. Josh est triste tout de même, surtout qu’il sait bien qu’ils ne sont pas une famille et que leur seul futur est de fuir quand il ne peut même pas marcher.

C’est très drôle comme situation, mais en tout cas, ça mène à l’habituelle division de nos héros : Wolf refuse de rester une minute de plus et s’en va, abandonnant Josh seul. De son côté, Tiger passe l’épisode à chasser un ours… pour finalement se rendre compte qu’il ne s’agit pas d’un ours puisqu’il est bien trop malin et est capable de trouver tous les pièges et de les attacher aux arbres autour de lui.

Elle ne rentre donc pas non plus auprès de Josh qui ne trouve rien de mieux à faire que de se bourrer, puis d’envisager le suicide. C’est malin.

Cependant, c’est le moment qu’il choisit pour voir un signe divin dans un panneau routier américain qui n’a rien à faire là, ignorant toutes sortes d’autres objets qui n’ont rien à faire là. C’est une vraie chasse aux trésors d’objets anachroniques dans cette forêt : le trou temporel est là et rapidement, il va falloir sauver le Temps, je pense.

On n’en est pas encore là : Josh cherche son Dieu et Wolf lance la base d’un nouveau Monde, encore et toujours. Il veut être empereur et explique à tout son village, mais aussi aux représentants de plusieurs groupes de la forêt, que le monde est rond. Humph. Il refuse de laisser son nom sur le traité de paix cependant. Et au moment où il compte le signer malgré tout, Tiger est révélée comme encore en vie : elle a tué une ourse polaire et la ramène au village, ce qui permet une jolie blague.

Au même moment, Josh arrive enfin au sommet de la montagne où se trouve la maison de la voix dans sa tête, face à qui il s’agenouille… avant de découvrir qu’il s’agit d’Oussama Ben Laden. What the fuck. Je ne sais pas si je vais accrocher à cet humour, parce que c’est encore trop récent pour être vraiment drôle, je pense.

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Épisode 4 – The Outlaw Wild Sam Bladden  – 16/20
C’est plus confus dans cet épisode avec une séparation en deux intrigues se rejoignant que j’ai trouvée un peu moins efficace. Il faut aussi dire que je me suis retrouvé confronté face à une limite de mon humour : la série a toujours était un brin poussive de ce côté-là, mais cette fois, c’était un peu la goutte d’eau pour moi. Certaines choses sont encore trop récentes pour que je ris sans arrière-pensée. C’est bien dommage, parce qu’autrement l’histoire est relancée pour la deuxième partie de saison, évidemment.

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Shit, run. Mon chapeau !

Huit mois que Josh parle donc à Oussama Ben Laden et qu’il le prend pour Dieu, mais pas d’inquiétude, c’est le Ben Laden qui a été détourné du chemin du terrorisme par un autre Josh. C’est bien drôle à voir, surtout que Ben Laden peut prouver qu’il était le meilleur ami de l’autre Josh avec une anecdote de l’enfance de Josh.

Ce dernier a tout de même du mal à se fier à Ben Laden, étrangement. Franchement, je n’aime pas bien ce détournement d’une figure historique si récente. Ce serait mieux passé avec Hitler, mais j’ai mes limites tout de même apparemment. Il n’empêche que Ben Laden essaie de convaincre Josh que rentrer de nouvelles coordonnées est la meilleure chose à faire.

Je ne lui fais pas du tout confiance malgré l’amitié qu’il déclare pour un autre Josh, surtout qu’on ne sait toujours pas comment il a fait pour entrer en contact avec le nôtre. De toute manière, au moment de s’échapper, le présentateur du Diecathlon débarque soudainement. C’est vrai qu’on l’avait vu résoudre le mystère de l’aide apportée à Josh : Oussama Ben Laden s’est lui aussi échappé du Diecathlon, alors c’était évident.

Ce qui est plus surprenant, c’est qu’il connaisse le lieu de la cachette de cet ancien candidat. Pour gagner la confiance de Josh, il lui offre du Goo, qui permet de guérir sa jambe, avant d’expliquer qu’il veut à présent un refuge, lui aussi. Josh se retrouve face au dilemme de devoir choisir entre Oussama Ben Laden et le présentateur.

Après, il est bien aidé dans sa tâche par le présentateur qui lui demande de trouver comment Ben Laden a bien pu lui parler. La solution est facile : il a créé un émetteur à partir d’une oreille de son Josh. Ouep, il a arraché l’oreille d’un Josh qu’il n’aimait plus parce qu’il a eu la mauvaise idée de ramener d’autres personnes avec lui. C’est bien marrant à voir, mais ça mène à un Josh énervé tirant un coup de feu pour se faire respecter… mais la balle finit dans le front de Ben Laden, par accident.

Pendant ce temps au village admirant Wolf, tout le monde se fait tuer alors qu’il papote avec Tiger : évidemment que les policiers du temps les ont retrouvés à cause du discours de Wolf. Il a un égo démesuré, et elle le sait, mais ça l’énerve quand même. Et puis, comme d’habitude, ils se retrouvent à s’inquiéter de Josh un peu trop tard pour leur bien : il s’est enfui et ils veulent retrouver leur enfant désormais.

Avant ça, il faut se débarrasser des flics du temps qui ne sont pas très malins et tombent un à un dans les pièges d’une Tiger beaucoup trop excitée de les voir mourir grâce à elle. Elle est vraiment drôle quand elle est comme ça, mais ils ont tout de même beaucoup d’ennemis à abattre, ce qui force Tiger et Wolf à se séparer. Ce dernier essaie alors de s’en prendre au colosse qui les pourchasse, mais il n’est pas aidé par la faille temporelle qui le blesse de manière totalement inattendue avec une machine à glace lui tombant sur la tronche.

La série trouve toujours le bon moyen pour ajouter de l’humour, honnêtement. Wolf n’a d’autres choix que de se planquer de celui qu’il considère comme une Machine capable de le détruire et qui impressionne durablement Tiger quand elle retrouve Wolf en sale état. Les deux en profitent pour se réconcilier, tous fiers qu’ils sont d’aimer tuer. Ils se mettent aussi d’accord pour dire que Josh est le problème dans leur relation : il n’aime pas tuer, lui, et il les divise toujours. Ce n’est pas si faux, ça.

Malgré tout, ils le recherchent pour lui offrir un dernier saut et le retrouve en compagnie du présentateur qui donne une nouvelle mission à nos héros pour la fin de la série. Il a besoin d’un refuge et s’ils lui trouvent, alors il les laissera faire ce qu’ils veulent. Ce que Josh veut ? Se faire lobotomiser et oublier toute la série pour vivre heureux à nouveau, comme avant d’avoir rencontré Tiger et Wolf.

Bizarrement, ceux-ci prennent super mal d’être délaissés comme ça. Nos héros se disputent, mais ils acceptent finalement de faire dernier saut vers le paradis créé par Ben Laden. Ils font bien, parce que la Machine qui les poursuit est à deux doigts de les exploser.

Le cliffhanger ? Nos héros se retrouvent dans l’Iowa. Pas tout à faire le refuge qu’ils espéraient donc… Maintenant, reste à savoir comment ils vont s’en tirer de cette situation sans se faire remarquer par la police du temps. D’ailleurs, on notera que c’est finalement un livre pour enfant racontant l’histoire de Tiger tuant un ours qui les avait grillés dans cette période. Comme quoi…

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Épisode 5 – Haven is for Real – 20/20
Oh la la, quelle idée de génie ! Je ne peux pas en dire autre chose tant cet épisode enchaîne les bonnes réflexions, les blagues efficaces et les références geek, culturelles, historiques, artistique… Non vraiment, il fallait y songer à cet épisode : c’est à la fois évident dans la lignée de la série et particulièrement bluffant. Bref, du génie.

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This will change everything.

Le retour à la civilisation, enfin ! Enfin plus ou moins : nos héros cherchent un refuge hors du temps et ils atterrissent dans l’Iowa un 31 décembre 1999. Evidemment, Josh comprend bien vite ce qu’il en est : le bug de l’an 2000 va être ce qui leur permet de trouver ce refuge – et l’horloge fait déjà penser à Retour vers le futur, en plus. Ils n’ont que 13 minutes pour trouver la solution à leur problème.

Tiger et Wolf font semblant de trouver son idée géniale, mais ce n’est pas le cas du tout et il le sait bien. Il les confronte là-dessus, ce qui permet de révéler qu’il a pris une décision définitive : il ne veut pas rester avec eux une fois toute cette affaire réglée. Le duo n’a plus qu’à trouver comment faire pour occuper son temps quand ils ne seront plus des réfugiés temporels.

Soit. L’épisode est extrêmement rapide avec un compte à rebours de dingue, très court, un geek qui programme bien malgré lui la fin de l’an 2000, une soirée de nerds pleine d’humour et de géniale blagues de la part de Wolf et une dernière course vers le nouveau millénaire.

C’est original comme idée, et au moment de fêter la nouvelle année, de la graisse tombe sur les fils du geek qui tape un code et nos héros sont plongés bien malgré eux dans un vortex les menant au refuge. Il n’y a plus qu’à faire signe au présentateur pour qu’il puisse venir vivre avec sa famille dans ce monde avec un filtre orangée bien pourri.

Le refuge n’est pas si pourri lui en tout cas : on y trouve l’horloge de Dali, mais aussi un Abraham Lincoln qui attendait l’arrivée de Josh. Oh, ce n’était pas le seul : il y aussi James Dean, Marylin Monroe, Martin Luther King et même Jésus. Tous ont été sauvés par l’autre Josh, de même que Van Gogh qui a tout peint, histoire d’ajouter de bons gags à l’épisode.

Ainsi donc, on en arrive à une justification du titre de la série : cet autre Josh a sauvé le monde entier et s’est fait appeler Future Man. Josh pète un léger câble avant de s’accorder une vraie pause. Il est heureux de voir ce que l’autre a fait et il s’approprie son travail pour être vu comme une star par tout le monde. C’est compliqué à vivre pour Wolf qui se retrouve considéré comme un bras droit.

Son égo en prend un sacré coup et il fait cavalier seul une fois de plus, alors que Josh a du mal à digérer d’être pris pour quelqu’un d’autre, même si bon, ça va mieux quand Marylin le drague. C’est tellement drôle et perché, mais il n’y a que Wolf pour mal le vivre, parce qu’il est jaloux de Josh. Sa jalousie fait qu’il est le seul à voir que cet endroit déconne sérieusement.

De son côté, Tiger s’est séparée des autres pour mieux tomber sur… Gandhi. C’est con : un personnage violent face à un représentant de la non-violence ? Il fallait y penser, ces scénaristes me tuent tellement ils ont des idées de génie. On enchaîne toutefois sur Tiger qui se sent forcée de tuer une chèvre parce que Gandhi lui a dit que la chèvre aurait les réponses qu’elle cherche… Et il n’en faut pas plus pour qu’elle remette en question toute sa vie.

Du coup, elle décide, tout comme Josh, de rester plus longtemps dans ce refuge plutôt que de le détruire comme le souhaitait Wolf. Bon, et quand même… où est Michael Jackson dans cet épisode exceptionnel ?

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Épisode 6 – The Land After Time – 19/20
J’ai presque envie de dire que cet épisode était interminable, mais c’est tellement volontaire que je ne peux pas leur en vouloir, surtout qu’il contient possiblement la meilleure réplique de toute la série et qu’il est excellent lui aussi. J’aime vraiment beaucoup l’idée directrice de l’épisode, qui parodie totalement certains films – un en particulier – et le fait bien. Par contre, je retire un point à la note, parce que la division des intrigues n’est pas bien équilibrée et parce que j’ai envie que la série avance, pas qu’elle fasse du surplace comme ça !

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Oh, oh. He is risen.

Je m’y attendais, mais j’ai du mal à m’arrêter en cours de saison. En plus, cette intrigue qui amène nos héros dans un refuge hors du temps est une idée absolument brillante. Hors du temps, on se sent en plein Midsommar, c’est un été qui ne termine jamais, une journée dans laquelle il n’y a pas besoin de dormir… OK, c’est à la fois le paradis et l’enfer, donc.

Il fallait y penser, j’insiste, et les scénaristes sont parfaits pour ça, alors que chaque personnage le vit plus ou moins bien : Josh est au Paradis à tenir un sacré journal de bord, Tiger est en pleine remise en question existentielle à parler avec une chèvre et Wolf est en Enfer. De toute manière, il y a une brèche temporelle dans le ciel qui semble bien menaçante.

Josh oublie le problème, clairement, préférant vivre à fond sa relation amoureuse avec Marilyn Monroe. Ouep, la série part trop loin et reprend après un bon montage en début d’épisode sur une dispute de couple entre ces deux-là. C’est plein de très bonnes blagues, c’est vrai, et le jeu de l’actrice est à mourir de rire, mais ça pose problème tout de même, parce que ça redonne l’impression que l’intrigue est paralysée pour l’épisode. C’est triste… j’ai envie de savoir comment tout va finir, alors que comme Josh, j’ai envie de rester coincé dans cet épisode où ils peuvent être heureux.

En fait, ils sont comme confinés en extérieur, une idée qui m’est apparue évidente quand il s’est mis à écrire à nouveau dans son carnet, comme moi. Pourtant, il est tout aussi évident que Wolf est en plein confinement à péter un câble comme il fait et à être le seul à parler du vagin dans le ciel qui s’agrandit avec le temps qui pourtant ne passe pas.

C’est marrant, sauf que Josh finit par comprendre qu’il est amoureux de Marilyn, oubliant au passage qu’il s’est disputé avec elle. Yep, ce paradis est dérangeant comme tout : les gens qui y sont oublient tous ce qu’il se passe, petit à petit, pour rester coincé dans la même boucle. Pendant ce temps, Tiger n’en a toujours pas fini avec sa chèvre. Les blagues sont bonnes, mais ça finit par être un peu longuet.

Quand Josh rentre chez lui, il comprend pourtant que quelque chose ne va pas dans le refuge : ce n’est pas Marilyn qui l’y attend, c’est James Dean. Et ils sont fous amoureux l’un de l’autre d’après James. C’est d’abord un gros problème pour Josh, mais quand il lit son journal, hop, il comprend qu’il a toujours était amoureux de lui et ce n’est plus un problème.

Heureusement, il y a donc Wolf qui prend des notes du temps qui ne passe pas et qui s’amuse à repeindre tous les Van Gogh pour faire entendre raison aux autres. Pas évident de faire entendre raison à des gens qui oublient tout cependant. Il se retrouve à se prendre un coup de poing de la part de Gandhi. GANDHI !

Il n’en faut pas beaucoup plus pour qu’il se retrouve pris au piège loin des autres… alors que Josh se retrouve au lit avec James Dean, puis avec Jesus. Il comprend soudainement qu’il a passé des centaines et des centaines d’années au Refuge, à sortir avec tout le monde. Cette fois, ça y est : il est prêt à s’enfuir du refuge et il part à la recherche de Wolf, à qui il réapprend son prénom.

Tiger ? Elle a enfin trouvé l’équilibre en elle. Du coup, alors que les deux autres se rappellent peu à peu de leur mission, avec quelques détails foireux, Tiger apprend à léviter tellement elle est au sommet de la paix. Drôle de cliffhanger, honnêtement.

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Épisode 7 – Time Rogues III: Escape from Forever – 16/20
C’est étrange comme une idée géniale peut l’être bien moins quand elle traîne en longueur. Heureusement, nous sommes sur l’avant dernier épisode de la saison, alors on finit par suivre quelques développements qui sont bien pensés pour mener plutôt naturellement à la fin de la saison et, par la même occasion, de la série. Les personnages me manqueront. Je sais, on n’en est pas encore là.

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I think we have each other toes.

L’épisode reprend inévitablement où en était le dernier, avec Wolf et Josh montant un groupe avec Buddy Holly, qui prend peu à peu la grosse tête. C’est con, parce que Josh se pensait leader. Et comme Wolf et lui se font virer du groupe, ils reprennent la quête de leur passé en respirant comme il faut pour obtenir de nouveaux souvenirs.

Ce n’est pas dingue, mais la quête prend un tournant sympathique quand ils cherchent la raison pour laquelle Wolf a un orteil féminin. J’aime bien l’idée qui s’appuie sur une bonne blague du passé de la série, parfois quelque peu oublié. Après le duo Wolf/Josh n’a jamais été mon préféré et l’étrange fétichisme des pieds qui s’ensuit pour eux pas bien dingue.

Heureusement, ils finissent par comprendre que celles qu’il cherche n’est autre que Tiger, la « Crazy goat lady ». C’est bien drôle, parce qu’elle les a oubliés aussi et parce que les rôles qu’ils pensent évidents ne sont pas du tout les rôles qu’ils avaient : Wolf qui clame que Josh est le leader, c’est génial à voir, tout de même.

Malheureusement, c’est un peu long aussi parce que Tiger ne les reconnaît pas et ne fait pas d’effort pour s’en souvenir, maintenant qu’elle est maîtresse zen. J’aimerai avoir sa patience, surtout que ma connexion s’est remise à déconner pendant l’épisode. Bref, le duo Wolf/Josh a vraiment envie de se souvenir de la mission et du passé, alors ils décident de séparer Tiger et sa chèvre. C’est pour eux la chose logique à faire – et pour Wolf, ça veut dire tuer la chèvre.

Josh veut juste l’enlever évidemment, et ils y parviennent au moment où Tiger se remettait pourtant à douter de son bien être intérieur, n’arrivant plus à léviter et se demandant pourquoi elle avait effectivement les « cubes de l’amitié » présentés par le duo – la famille du présentateur du Diecathlon. C’est en tout cas bien drôle de la retrouver sans sa chèvre, car il s’agit soudainement de l’ancienne Tiger : elle est tellement énervée qu’elle n’hésite pas à s’en prendre à Abraham Lincoln lui-même. Soit.

Les coups de poing qu’elle lui met lui rappelle toute sa rage passée et j’ai presque de la peine que le personnage ne puisse pas rester la maîtresse zen qu’elle était dans cet épisode.

Après, les compétences de tracker de Tiger sont un sacré don qu’elle avait oublié et qu’elle doit aimer retrouver malgré tout. Elle retrouve vite sa chèvre, menaçant au passage la vie de Josh qui la supplie de le laisser en vie. Il n’en faut pas plus pour réactiver les souvenirs de Tiger qui se souvient soudainement de son passé avec Josh, puis de celui avec Wolf, avec qui elle couchait et partageait les rats.

Tiger récupère donc sa chèvre et leur montre le cube qu’elle a aussi. Ensemble, ils comprennent qu’ils sont une famille et qu’ils doivent absolument se barrer du refuge. Il était temps : autant j’ai adoré le premier épisode dessus, autant la suite a commencé à trainer en longueur. C’est souvent le problème que j’ai observé au cours des deux dernières saisons de la série : ils font trainer certains concepts excellents qui perdent en qualité.

Bon, ce n’est pas tout à fait le cas ici, parce que les trois épisodes forment un tout cohérent menant à une Tiger super zen et capable de comprendre que pour s’échapper ils ont besoin de Big Time, le geek qui les a mis là et que Wolf a repéré il y a deux épisodes, à jouer à la balle.

J’ai beaucoup aimé ce rebondissement qui donne du sens aux derniers éléments qui n’en avaient pas, tout comme j’ai aimé que Tiger décide de ne pas suivre Wolf et Josh. C’est la moins susceptible de quitter le groupe qui décide finalement de le faire… mais on se doute bien que ce n’est pas vraiment possible alors qu’il reste un épisode. Il n’empêche que les adieux étaient tops, de même que le fait que la chèvre soit celle qui motive Tiger finalement à quitter le refuge.

Ce n’est pas si simple pourtant, parce que la fuite est futile d’après Big Times. Big Times ? Oh, c’est juste qu’à chaque fois que quelqu’un vient dans le refuge, il amène avec lui une version du geek qui fusionne avec la précédente, d’où les nombreux bras qu’il a. Soit. Il refuse de voir Josh et Wolf partir, parce que l’univers est en train de mourir de toute manière, alors il est inutile de fuir. En plus, chaque fois que quelqu’un arrive ou s’enfuit, le trou dans le ciel s’agrandit et compromet l’équilibre du tout.

L’équilibre reste à trouver pour Josh et Wolf, parce que Josh se prend vraiment pour le leader suite à cette aventure : Wolf est persuadé d’être son sous-fifre. En tout cas, il faut reconnaître que Josh est plutôt bon : il comprend que Big Times est le portail qu’ils cherchent. Il n’en faut pas plus pour que Wolf et lui s’enfuient, suivis sans qu’ils ne le sachent par Tiger qui arrive au dernier moment, en abandonnant au passage sa chèvre qui… ben n’était qu’une chèvre en fait.

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Épisode 8 – Return of the Present – 20/20
Je ne pensais pas qu’ils y arriveraient, mais même s’ils ont peu de temps pour tout conclure, les scénaristes ont en stock de bonnes pirouettes et parviennent à proposer une fin de série qui ne fait pas tache du tout après les deux premières saisons. C’est un très bon épisode, à l’image de la série, avec un message et toujours autant de parodies et références. Un très bon final, donc.

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You’re telling me the Big Suck is real?

Il ne reste que trente minutes pour tout résoudre alors que l’univers est en train d’être détruit par un trou noir temporel. Sérieusement ? Allez, notre trio arrive sur une Terre apocalyptique et se souvient soudainement de tout ce qu’ils ont vécu dans le Refuge. Cela fait beaucoup pour Josh, tout de même, et pour Wolf peu heureux d’avoir été une victime.

En tout cas, Tiger est celle qui arrive à garder son calme après son détour par le Refuge et elle est capable de les aider à trouver quoi faire : ils appellent Susan, le présentateur de Diecathlon, comme prévu, pour l’amener au Refuge. Pour cela, les quatre font un détour par 1999, parce que le bug de l’an 2000 doit être plus important que celui de 1000 ou 3000 pour une raison ou une autre.

Avec les explications de Wolf, puis celles de Susan, on comprend en tout cas qu’il est possible de… mettre un terme aux voyages dans le temps. Et le tout est carrément logique ! Ben oui, il a été dit plus tôt dans la série que Big Time est le geek qui a permis la création des voyages dans le temps lors du passage à l’an 2000. Pour mettre fin aux anomalies temporelles, au Big Suck qui va détruire le Temps et donc aux voyages temporels, il suffit simplement d’empêcher Big Time de créer la première anomalie. C’est facile.

Tellement en fait que Josh ne voit pas pourquoi il resterait : il n’a pas envie de rester coincé en l’an 2000, alors il dit au revoir à tout le monde, d’autant que Susan a tenu sa promesse. Josh peut ainsi retourner le soir où il a gagné son jeu vidéo et tout oublier des trois saisons qui viennent de passer. Seulement voilà, dire au revoir, c’est facile, mais ça ne paraît jamais suffisant une fois que c’est fait et qu’on a des flashbacks de la course poursuite qui a eu lieu il y a quatre épisodes.

De la même façon, la théorie pour détruire l’anomalie temporelle est simple, mais la pratique l’est beaucoup moins quand la police du temps débarque. Susan les retient aussi longtemps que possible, donc peu de temps, alors que Tiger et Wolf se séparent aussi : elle se rend arrêter Big Time avant minuit, Wolf se rend… sauver les nerds ! C’est inattendu. Un peu comme l’arrivée de l’autre Josh entendue et aperçue par Josh qui sait qu’il va mener des gens vers le Refuge, donc être un problème.

Pendant ce temps, Susan est coincé par sa collègue/cheffe de la police qui n’hésite pas à lui expliquer qu’il était facile de le retrouver : il suffisait de traquer sa famille avec un lien GPS. En plus, c’est pratique, parce qu’elle sait déjà quoi faire de lui : elle veut le faire participer au tout dernier Diecathlon. Pas mal du tout comme idée, ma foi, d’en avoir le présentateur comme ça. Malheureusement, ça n’arrivera pas, parce qu’il est assez malin pour la doubler et faire en sorte d’utiliser Stanley pour la tuer.

Pendant ce temps, Wolf a droit à des remerciements des nerds après une jolie scène de combat où il finit par dire qu’il ne veut pas donner son nom car il n’a pas besoin d’être reconnu (wow sacrée évolution du personnage), alors que de son côté, Tiger fait face à la Machine chargée de les tuer et parvient à créer un bug dans sa matrice, dans un charmant mélange de « je baise, j’épouse, je tue ».

Josh finit par confronter Big Time pour savoir ce qu’il fait et il… télécharge tous les films des ordinateurs du campus avec un virus. Le problème, c’est que ça risque de se savoir, sauf s’il balance un deuxième virus pour minuit pile afin d’accuser le bug de l’an 2000. Big Time fait de la peine, parce qu’il veut juste réparer sa réputation, pas détruire le monde, et pourtant, c’est ce qu’il est en train de faire.

Evidemment que c’est « loser » qui est responsable de tout ça dans cette série. C’est très bien joué. En plus, Josh est forcé de le stopper plutôt que de rentrer chez lui, d’autant que Tiger et Wolf sont en retard. Le plus impressionnant, c’est qu’il y parvient, rien qu’avec des mots, n’en déplaisent à Tiger et Wolf qui ont toujours dit que c’était stupide comme solution.

Le duo s’attend à devoir dire adieu au monde… Mais sont finalement surpris de voir que Josh est là avec eux. Cela promet une jolie conclusion avec le trio coincé en l’an 2000, de jolies retrouvailles et une scène où ils disent adieu à Susan et son étonnante famille. La série nous signe là une jolie fin, avec Josh posant LA question qui n’aura pas de réponse : comment est-ce que la Résistance a créé le jeu vidéo à l’origine de la série, hein ?

On ne saura pas, mais on saura ce que deviennent les héros, parce que c’est une fin de série. Oh, c’est si triste ! La fin de série est claire… Six mois plus tard, Wolf retrouve un vieil ami qui n’a aucun souvenir de lui mais le suit immédiatement. Ensemble, ils vivent de belles aventures, avec un Wolf à la fois avocat et super-héros. C’est Batman le type.

Tiger ? Elle finit par élever des chèvres dans le Larzac avec une machine qui était censée la tuer. Josh, lui, finit par être un pervers aux yeux de ses parents qui voient bien qu’il tourne tout le temps autour de leur fils. Eh, tout l’avenir s’offre à lui maintenant, il pourrait s’éviter la prison tout de même. C’est une jolie fin, même si j’aurais aimé une dernière scène où l’on apprend que les personnages restent un minimum en contact… mais bon, je comprends le choix fait ici.

Quant au générique de fin, il est à l’image de la série, brillant et génial, avec une dernière parodie nous expliquant que toute la série se fonde une histoire vraie… Ils me manqueront tellement.

Aller à l’épisode : 01 | 02 | 03 | 04 | 05 | 06 | 07 | 08


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EN BREF – La série tire sa révérence sur une très bonne note. Sa première saison était génialissime, la seconde était solide, la troisième confirme l’essai avec des concepts vraiment très bons, un retour à ce qui a fait le succès de la première saison et des parodies constantes, des gags géniaux, des répliques qui font mouche, des délires à la pelle…

Difficile d’être critique avec cet ovni télévisuel qui aura le défaut d’être trop court, malgré des moments dans chaque saison où les scénaristes auront réussi à être un tantinet trop longs. Pourtant, l’ensemble est brillant, je sais que je continuerai à couvrir la série d’éloges et je suis bien content qu’elle s’en aille sur une saison 3 qui ne fait pas fausse note par rapport à l’ensemble.

Je suis triste de dire adieu à ces personnages et ces délires, mais au moins, la série peut toujours être revue sans que rien ne soit gâché. Et ça, c’est tant mieux, quand même !

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Le fail du Challenge Séries 2020 et mes envies de rattrapage improbables

Salut les sériephiles confinés,

Comme je n’avais pas trop d’article en stock pour aujourd’hui, je me suis dit qu’il était temps pour moi de reprendre les articles blabbla aujourd’hui et demain. Demain, on parlera film (sauf s’il y a des actualités plus urgentes d’ici là), mais pour cet article, je voulais surtout revenir sur les séries, avec plusieurs choses à en dire. D’abord, il me faut évoquer mon plus gros problème du moment, l’éléphant dans la pièce, qui est… le Challenge Séries 2020. Pour le coup, on est là sur un sacré fail.

Favorite Characters : NCIS

En effet, puisqu’on approche de fin avril, j’étais censé avoir fini Gentleman Jack, Killing Eve et Sabrina, tout en ayant bien avancé dans Teachers, Crazy Ex-Girlfriend, One Day at a time et NCIS… Résultat des courses, je n’ai rien vu à part quelques pilots, donc ce challenge séries est déjà amputé de quatre mois. Cela signifie qu’il va me falloir faire quelques ajustements sur ce que j’avais prévu, d’autant que j’ai commencé cette semaine Riverdale. Bref, je réfléchis à une manière de changer ma liste, pour en retirer des gros morceaux que je ne pense pas avoir le temps de finir.

Si je me dis que Riverdale peut bien faire partie de mon challenge 2020, je sais que d’autres petites séries vont aussi l’intégrer, comme Years and years (même si elle est déjà périmée parce qu’elle n’avait pas prévu le confinement de 2020) ou peut-être même Superstore, dans laquelle j’ai deux saisons de retard. Il est assez clair que mes envies de séries ont déjà bien changé en quatre mois et la liste que j’avais prévu sera sujette à changements, même si j’ai tout de même envie de continuer toutes les séries dont j’ai vu le pilot. J’imagine que je ferai un tri comme je peux, et je ne m’exclue pas non plus un rewatch.

Les 7 personnages les plus détestables des pilotes de teen séries
Spiritual guide.

Avant d’envisager de reprendre ce challenge, cependant, je pense qu’il m’est essentiel de finir les séries de cette saison 2019-2020 qui sont de côté sur mon planning depuis bien trop longtemps. Je profite de la fin d’un certain nombre d’hebdos en ce moment et du mois qu’il me reste avant les débuts de saisons d’autres séries pour tenter d’en rattraper certaines. Vous me connaissez, j’essaie toujours de me motiver avec des plannings que je ne tiens pas forcément. Vu le nombre de séries que j’ai en retard, je me suis donc fait un programme beaucoup plus souple que d’habitude.

Cette fois, je ne me dis pas que j’aurais vu tel épisode à telle date, car je sais bien que ça ne fonctionnera pas, mais je divise par jour de la semaine et par série, comme en temps de visionnage hebdomadaire finalement. L’idée est simple : à chaque jour, correspond une à trois séries et mon but sera de voir un épisode (ou plusieurs) d’au moins une de ces séries si j’ai le temps ce jour-là. Ca m’évitera les moments d’hésitation sur ce que j’ai à regarder, ça évitera aussi de tout voir d’un coup, histoire de profiter des saisons et de ne pas tout engloutir. Franchement, j’ai déjà rattrapé quasiment un mois de 9-1-1 et de Manifest cette semaine, alors que j’aime prendre le temps de savourer mes séries également. En plus, ça m’oblige à avancer sur plusieurs fronts à la fois, et donc ça évite que je me retrouve à finir une saison d’un coup et n’avoir plus envie d’autres séries pendant un moment.

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Faites pas genre, je suis sûr que ça nous arrive à tous !

Comme je sais que vous êtes curieux, et comme ça me permettra de me discipliner, voici ce que j’ai prévu dans mon programme, avec le nombre d’épisodes de retard au moment où j’écris cet article :

Lundi

Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi

Dimanche

Emergence

You (8 épisodes)

9-1-1

(8 épisodes)

Manifest

(7 épisodes)

The Purge

(6 épisodes)

The Rookie

(14 épisodes)

Charmed

(10 épisodes)

Altered Carbon

(3 épisodes)

Prodigal Son

(20 épisodes)

9-1-1 Lone Star

(10 épisodes)

Future Man

(8 épisodes)

AHS 1984

(7 épisodes)

The Other Two

(3 épisodes)

God Friended Me

(19 épisodes)

Evil

(10 épisodes)

Supergirl

(15 somnifères)

The Affair

(7 épisodes)

All Rise

(19 épisodes)

Stumptown

(17 épisodes)

Challenge Séries Challenge Séries The Outpost

(3 épisodes)

charmed maggie | Tumblr
J’y crois, j’y crois. Ca fait moins de 200 épisodes. Et puis, le speedwatching existe au pire, pour certaines séries qui n’arriveraient plus à m’accrocher.

Bien sûr, avant d’entamer le visionnage des séries de ce tableau, je laisserai la priorité aux hebdos – qui se concentrent en ce moment sur la journée du lundi et celle du vendredi – et je ne verrai donc ces séries que si j’ai du temps… Bien sûr, ce tableau est loin d’être complet, surtout qu’il y a des saisons Netflix qui m’attendent également. Bien sûr, ce tableau a aussi deux nouveautés que je n’ai pas encore regardées. Bien sûr, je laisse de côté Quibi que je peux regarder un peu n’importe quand. Bien sûr, le prochain #WESéries bouleversera peut-être les choses. Bien sûr, je n’ai pas casé Riverdale, qu’il faudra pourtant que j’avance de temps à autres. Bien sûr, ce n’est que prévisionnel et je ne m’engage pas à le respecter vraiment, parce que peut-être que j’aurai des envies différentes au moment de me lancer dans les séries… C’est juste que ça me donne une visibilité de tout ce qu’il me reste encore à voir sur cette saison et que ça m’évite des débats intérieurs de « je n’ai pas trop envie de voir ça » qui finissent en « je n’ai plus le temps de regarder quoique ce soit ».

9-1-1 Season 3 | Page 2 | Lipstick Alley

Voilà, maintenant vous savez tout de ce que j’ai prévu – et tout ce que je n’arriverai de toute manière pas à voir ! C’est dur la vie de sériephile !

On va leur dire adieu en 2020

Salut les sériephiles,

Je ne sais pas ce qui m’a pris hier soir, mais je me suis mis à faire la liste de toutes les séries qui allaient se terminer cette année – du moins, la liste de toutes celles dont la fin était déjà annoncée. Cela fait quelques temps que je sais que la liste est longue, mais puisque Mindhunter s’est fait annuler (enfin, pas officiellement) avant même que j’ai le temps de me motiver à la commencer, je me suis dit que ce n’était pas mal de faire le point en ce début d’année… si on peut encore dire que c’est le début d’année même si on est le 17 janvier.

Résultat de recherche d'images pour "the 100"

Il y a plusieurs catégories de fins à prendre en compte, du coup. Déjà, j’ai envie de commencer par celles qui me manqueront le plus, et c’est assez simple car j’ai déjà eu l’occasion d’en parler sur le blog. L’été prochain, je perdrai donc à la fois The 100 et Agents of S.H.I.E.L.D, deux séries que j’ai citées parmi les trois meilleures de la décennie précédente. Je suis clairement dégoûté que ces septièmes saisons respectives soient les dernières de chacune de ces deux séries.

Résultat de recherche d'images pour "the good place"

Dans le même genre, Future Man, une des dernières comédies à réussir à me faire mourir de rire, va tirer sa révérence avec sa troisième saison (toujours pas annoncée, bizarrement). Si ça me chagrine moins, je reste également bien triste du départ de How to get away with murder. Plus que la série, ce sont les personnages qui me manqueront, car j’étais vraiment attaché à un grand nombre d’entre eux. Le refrain est un peu le même avec The Good Place, qui se termine dans quatorze jours tout pile désormais. La qualité était fluctuante, mais les personnages, quoi !

Résultat de recherche d'images pour "blindspot"

Je ne peux pas en dire autant pour toutes les séries que je souhaite citer dans cet article : par exemple, ni Dear White People, ni Blindspot ne me manqueront pour leurs personnages (oui, même Lionel et Patterson ont réussi à me souler par moments). La première me manquera pour son originalité, mais j’ai espoir de la retrouver ailleurs, et la deuxième me manquera pour… Non, ben, en fait, je pense qu’elle ne me manquera pas tant que ça, je vais juste la finir pour la finir.

Résultat de recherche d'images pour "lucifer"

Une autre qui ne me manquera pas ? 13 Reasons Why… Je ne suis même pas encore à jour, mais la saison 4 sera la dernière. C’est une sale année pour mes séries Netflix, avec également les fins de The Rain (ça devrait être le format parfait, trois saisons), Glow (qui est déjà une miraculée), Trinkets (qui mériterait d’être bien plus longue) ou encore Lucifer (là, c’est le casting plus que la série qui va me manquer). Ce n’est pas surprenant : la liste des séries de la plateforme de streaming est si longue, évidemment qu’il y a des annulations chaque année. D’ailleurs, il faut noter que Dark aussi est annulée.

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Enfin, cette année, il faudra aussi dire adieu à des monuments tels que Supernatural, Esprit criminel ou même Arrow. Je ne suis à jour dans aucune de ces séries, et je ne le serais probablement jamais, mais elles font tellement partie du paysage sériel que c’est tout étrange de se dire que 2020 va marquer leur fin… Non ?

Je sais que je suis loin d’avoir cité toutes les séries, mais en tout cas, ce petit article faisait un condensé de celles dont la fin va me marquer. Et l’air de rien, on est déjà à plus d’une dizaine rien que pour celles dont je sais que je risque fort de voir le dernier épisode cette année. Bref, va falloir préparer les mouchoirs pour 2020 les amis !