Salut les sériephiles,
Est-ce que vous êtes prêts pour le fail du mois – ou même de l’année ? Eh bien, vous avez tort. Je suis dépité de mon score, mais ce n’est pas un fail total puisque j’atteins tout de même la moyenne à la dernière grille du Bingo Séries. J’ai bien cru que ça n’allait pas le faire et pas un d’entre vous n’a souhaité me troquer quoique ce soit quand j’en ai parlé sur Twitter. Ah, ça donne envie de prendre de son temps pour créer des grilles, ça, je vous le dis !
Plus concrètement, c’est peut-être aussi un peu ma faute, j’aurais pu faire un effort pour demander plus directement ce dont j’avais besoin. M’enfin quand même. Bref, voici donc le résultat en mode disette de ce qu’a donné cette 56e grille :
Automnal (3/4)
C’est là que j’ai pu rafler le plus de points sans la moindre difficulté : j’ai eu un paysage automnal en tirant un peu sur la définition de ce que c’est dans NCIS… Et j’ai eu la masse de dindes et de vent qui souffle : pour la dinde, j’ai eu de quoi manger dans Grey’s ou Station 19 et un joli dessin qui n’avait rien à faire là dans Dollface. Pour le vent, c’est cette dernière série qui m’a bien aidé aussi, même si j’ai aussi eu ce qu’il fallait dès mon premier épisode de The Walking Dead ce mois-ci. Bref, j’avais de quoi troquer des points difficiles, mais non.
Moyen-âge (0/4)
C’est très violent, et ça faisait une éternité que ça n’était pas arrivé : je n’ai pas marqué le moindre point dans cette catégorie ! J’hallucine, surtout que je ne m’en étais pas rendu compte avant : je pensais trouver quelque chose dans mes séries de zombies, mais j’en ai peu regardé, ou dans Manifest. En vain. Quelle tristesse.
Canapé (3/4)
Voilà un thème déjà beaucoup plus simple et qui vient me sauver les stats de cet article. Ouf ! Des canapés, il y en avait un peu partout de Walking Dead à Dollface en passant par NCIS Hawai’i. Par contre, je n’ai vu personne en déplacer. Je crois que je n’ai pas été assez attentif en même temps, et je suis à peu près sûr qu’il y en a un qui a dû bouger dans la série de zombies… Mais à défaut d’avoir fait attention écoutez, tant pis pour moi. Cela n’aurait pas changé grand-chose.
Comics (2/4)
La galère, la galère. Ironiquement, j’ai encore eu un des points que je pensais les plus difficiles à avoir : la bulle de BD à l’écran. Dollface était le pari gagnant ce mois-ci pour avoir des points ! En revanche, personne n’a lu de comics… Je pense bien avoir laissé passer des références, mais sans certitude. Quant à la série inspirée de comics, j’ai de quoi faire là aussi, mais on va dire que j’ai validé avec Lucifer pour citer une série de plus.
Actions (4/4)
Ouf ! Un thème complet, ENFIN. Et bizarrement, c’est celui des actions qui n’est pas habituellement le plus simple. Du côté des vêtements, j’ai beaucoup de choses aux couleurs automnales, donc je me suis habillé de mes meilleurs habits marrons avant de me poser face à mon écran et à mon meuble TV décoré de feuilles mortes et marrons en ce moment. À fond dedans, je ne fais pas les choses à moitié comme avec cette grille, écoutez. Voir un épisode sans être sur son canapé, c’était un peu étrange, mais bon, pourquoi pas : je me suis assis par terre et j’ai mangé sur mes genoux pour regarder Walker. Pourquoi pas ? Les comics ? Buffy, évidemment… D’ailleurs, je crois que j’ai la fin de l’arc qui m’attend pour vous sortir un article dessus. Enfin, j’ai aussi tenté de rendre au Moyen-âge ce qui était à la modernité, et ça donne un article pas bien passionnant sur Riverdale.
Voilà qui me mène péniblement au score terrible de 12/20. Ce doit être mon plus mauvais à date… Et pourtant, la grille ne me semblait pas si difficile : il y a clairement des points que j’aurais dû avoir. Tant pis, écoutez.


Et ça me soûle particulièrement, parce que j’adorais ça, moi !
On a tout de même eu parfois des spéciaux Netflix, mais ce n’était pas une réussite non plus le 


Et comment dire ? J’ai mis beaucoup de temps à me replonger dans l’univers de ces comics, malgré une relecture d’un numéro dont j’avais à peu près tout oublié. J’ai toujours un énorme problème : je ne distingue pas certains personnages entre eux, notamment Anya/Buffy. C’est un problème qui pouvait parfois se produire dans la série (notamment en début de saison 6 quand elles ont la même couleur de cheveux, mais bon, Anya, ça changeait tous les trois épisodes), mais je trouve ça vraiment dérangeant en dessin. Dans le même genre, je suis incapable de reconnaître Cordelia ou de faire la distinction entre d’autres personnages féminins.
Parce que oui, ça y est, ils osent basculer dans le multivers. On savait déjà qu’on se dirigeait vers là grâce aux comics Angel & Spike, mais cette fois-ci, c’est une réalité : il est confirmé que le reboot n’est qu’une branche d’un univers parallèle où nos héros vivent en 2021 au lieu de 1996. Euh. Soit. On ne va pas poser trop de questions, ça se fait avec des références sympa à la série et une absence de crevettes qui m’a fait sourire sous mon masque dans le RER.
Il n’y a que quatre personnages dans ce comics, et chacun a l’occasion d’imaginer un monde où Giles deviendrait vampire. C’était un vrai plaisir à lire, parce que c’est l’une des rares fois où j’avais vraiment l’impression de retrouver l’univers de la série, avec des querelles amicales entre Willow et Xander et la sensibilité du personnage de Buffy vraiment exploitée comme il le fallait. Il s’agissait malheureusement d’un one-shot, à la fin sympathique. Il vaut le coup, mais les dessins ne sont pas exceptionnels non plus.

Alors on va commencer par l’évidence-même avec cette idée de l’homme à tout faire que l’on voit souvent dans les sitcoms ou les comédies. Mike Delfino, Tony Micelli, Xander Harris ou Léo Wyatt, vous en trouvez dans plein de séries. Le type est limite là uniquement pour être la personne à qui s’adresser quand il y a un problème dans sa maison, et ça tombe bien, il y a toujours problème dans le quartier ou dans la maison, histoire de justifier son rôle dans la série. C’est beau, mais ça ne se passe pas exactement comme ça en France, quand même. Bien sûr qu’on peut en trouver, mais ils sont loin d’être des modèles d’efficacité à tous les coups. Ou de sexytude. C’est donc un cliché FAUX, parce qu’à mon sens, on ne connaît pas tous quelqu’un super bricolo et toujours dispo… À moins que ce ne soit moi le modèle d’efficacité ou de sexytude. Bon… Si vous aviez vu mon efficacité et ma sexytude à remettre une poignée de porte en maillot de bain, vous comprendriez mieux la blague. Guiness record du remontage de poignée le plus lent du monde, je pense.
3) Il n’y a jamais aucun problème au cours des travaux, comme dans
4) Les travaux coûtent de l’argent, comme dans
Faire des travaux, c’est rapide, comme dans 