Mes derniers coups de… #16

Salut les sériephiles,

Si l’article est en retard aujourd’hui, il est un peu en avance dans le mois, donc ça compense, je pense, surtout que c’est un article que vous aimez bien en général, alors personne ne m’en tiendra rigueur. Avec les upfronts la semaine prochaine, j’ai décidé de consacrer les articles aux annonces de renouvellements, annulations et commandes par chaîne de lundi à samedi prochain. Par conséquent, j’étais un peu bloqué pour faire paraître cet article le 15.

Autant le faire dès aujourd’hui du coup, parce qu’il y a plein de choses à dire, quitte à empiéter déjà sur les articles qu’il me faudra écrire dans les jours à venir. Je veux surtout les écrire pour en avoir une trace dans les mois qui arrivent, pas tellement pour le caractère inédit puisque l’on sait déjà tout sur Twitter.

Trêve de blabla, à présent, je tente le coup de vous parler sans spoiler et en coup de vent de mon dernier…

Résultat de recherche d'images pour "the 100 season 6"

Coup de Cœur : J’avais peur de me retrouver à hésiter, mais finalement c’est sans hésiter que je peux vous parler de la saison 6 de… The 100, bien sûr. Les deux premiers épisodes, vus la semaine dernière, étaient extrêmement bons et je suis très content du renouvellement pré-annoncé de la série pour une saison 7 ! Je sais bien que ce n’est pas original de parler d’une saison 6 pour un coup de cœur, mais il faut dire ce qui est, chaque saison je redécouvre à quel point je suis fan.

Résultat de recherche d'images pour "le pouvoir des trois"Coup de Mou : J’ai terminé mon rewatch de Charmed et je ne sais pas encore ce que je vais faire ensuite. J’ai plusieurs possibilités, à la fois pour de futurs rewatchs (avec une envie inattendue de me refaire Les 4400) ou pour des séries procédurales à voir sans faire de critique. La vérité, c’est que comme après chaque rewatch, j’ai plutôt un coup de mou et l’envie de rester un peu plus longtemps dans l’univers que je dois quitter. Le pouvoir des trois me protègera du coup de mou ? Pas sûr, mais je trouverai bien une série pour le faire, pas vrai ?

Coup de Poing : Je pense que je vais l’accorder à la saison 3 de Blindspot, parce qu’elle est pleine de combats en tous genres et parce que je l’ai vue tellement vite qu’elle était non pas comme une claque, mais comme un coup de poing. J’ai totalement changé d’avis en 24h, me décidant finalement à la reconsidérer comme une série que j’aime, malgré son format procédural. Tout finit par arriver. Il me reste donc à rattraper la saison 4, puis la saison 5, puisque la série a été renouvelée cette nuit pour une saison raccourcie.

Résultat de recherche d'images pour "life in pieces"

Coup de Blues : Grosse déception cette nuit d’avoir découvert l’annulation de Life in Pieces au terme de sa quatrième saison. Il s’agit en effet de l’une des rares comédies pour lesquelles je suis encore à jour et surtout qui arrive encore à me faire rire à chaque épisode. Il faudra peut-être que je reprenne d’autres saisons remises à plus tard, mais je me rends compte que je décroche de plus en plus des comédies. Et donc que je risque fort d’enchaîner les coups de blues.

Coup de Vieux : Grey’s Anatomy rempile pour non pas une, mais deux saisons, ce qui fait qu’elle ira (au moins !) jusqu’à la saison 17. C’est improbable, franchement : Ellen Pompeo a vraiment sécurisé le job de sa vie, alors même qu’elle voulait percer au cinéma, et c’est complétement fou de se dire que l’on aura suivi la vie de Meredith sur plus de vingt ans (parce qu’il y a eu des sauts dans le temps). Je sais que j’avais déjà été traumatisé à l’idée que mes élèves n’étaient pas tous nés quand j’ai commencé la série, mais vraiment, c’est la série d’une vie, l’air de rien ! Et moi, je suis content.

Résultat de recherche d'images pour "meredith grey"

Coup de Gueule : Comme chaque année en période d’upfront, je le dirige à l’encontre de la Fox, parce qu’ils n’ont toujours pas annoncé s’ils renouvelaient ou non The Orville, et que c’est une série dont je veux absolument la saison 3. Plus le temps avance, moins ça sent bon, et c’est super triste parce qu’elle mériterait vraiment de revenir l’an prochain !

Coup de Barre :Je m’en doutais déjà le week-end dernier lorsque j’ai abusé de l’excuse du #WESéries, mais mon coup de barre du moment est définitivement cette fin semaine qui s’achève, avec peu de séries vues et deux migraines ophtalmiques ces derniers jours. C’est pas génial, génial pour la productivité, et ça me donne encore plus envie de regarder des séries, alors que je suis du coup super fatigué. C’est malin. Bon, ça m’apprendra aussi à me coucher à trois heures du matin un vendredi soir, je sais…

Résultat de recherche d'images pour "shadowhunters"

Coup de Bol : Mardi matin, j’ai pu voir sans problème l’ensemble de la fin de série de Shadowhunters avant d’aller au travail. Je considère que c’est un coup de bol car c’est le premier mardi depuis un bon moment que je réussis à voir un épisode, et là, il fallait en voir deux et demi quand même. En plus, c’était une fin de série plutôt intéressante dans l’ensemble et je n’ai pas vu le temps passer ! Les larmes de Clary me manqueront, promis !

Coup de Tête : Zut, je n’ai pas eu de grands coups de tête dernièrement concernant le blog… et donc, je n’ai plus qu’à raconter ma vie, mais ce n’est pas forcément passionnant. Je dirais juste que mon dernier coup de tête, c’était donc jeudi quand j’ai découvert un peu plus la Gironde en me baladant dans la région en voiture cette fois, plutôt qu’à pied. Ou alors hier soir quand je ne savais pas où j’irai pour marquer le coup de la fin de la formation. Rien de bien dingue, pas le coup de tête du siècle.

Résultat de recherche d'images pour "the fix"

Coup de Théâtre : Pour une fois, on dirait que j’ai fait les bons choix de nouveautés cette année, car mes saisons 1 sont majoritairement renouvelées. Les séries que je voulais regarder et que j’ai laissé de côté ne le sont pas toutes en revanche. Ainsi, il est sûr que je ne vais pas continuer The Fix après un premier épisode bof et une saison unique. Dommage, le casting était bien. Pour The Cool Kids, j’attends de savoir si elle a une vraie fin, car le pilot était vraiment top. Dans l’ensemble, je suis plutôt content d’avoir fait les bons choix.

Résultat de recherche d'images pour "supergirl season 4"

Coup Tordu : Commencer un épisode et le finir trois jours plus tard ? Cela ne m’était pas arrivé depuis des années… mais voilà, je l’ai fait pour le dernier épisode de Supergirl, parce que le début était complétement perché dans ce qu’il proposait comme intrigue. C’est vraiment dommage de voir à quel point la série ne fait plus vraiment attention ni à la cohérence globale, ni à l’évolution logique de ces personnages. Et ça ne me donne pas envie de la regarder.

Coup de Pub : Je n’ai une fois de plus pas d’idée pour ce point, alors je vais me contenter de vous parler de l’arrivée de Manifest sur TF1 mardi prochain. N’hésitez pas à y jeter un oeil, la saison 1 est vraiment pas mal dans le genre série qui se regarde en nous prenant petit à petit dans son mystère. Elle n’invente pas grand-chose du côté des relations entre les personnages, mais ça se regarde tout seul. Et on aura au moins une saison 2 ! Quant à l’histoire, il s’agit des passagers d’un avion qui se retrouvent à atterrir cinq années après être partis, alors que seulement quelques heures sont passées pour eux…

Résultat de recherche d'images pour "manifest"
Manqueraient plus qu’ils aient des pouvoirs, en plus !

Coup de Grâce : Pour écrire cet article, j’ai repris le brouillon de l’article précédent, dans lequel je me plaignais de la disparition à venir de Pulp Fiction sur Netflix… et le coup de grâce, vous l’aurez deviné, c’est que je viens juste de redécouvrir cette information qui m’était sortie de la tête. C’est tout de même bête, mais je vais totalement passer à côté de ce film culte… pour le moment, en tout cas ! On sait bien que ce n’est que partie remise avec ce genre de monument du cinéma.

J’ai rencontré Summer Glau au Comic Con

Salut les sériephiles !

IMG_20181026_213703_050Quel joli titre et quel beau rêve inattendu que mon week-end au Comic Con. J’ai du mal à croire que tout ça était il y a moins d’une semaine tant ça me paraît déjà loin, mais avant de tout oublier, j’ai vraiment envie de revenir sur samedi et dimanche dernier, où j’ai eu la chance d’apercevoir, voir, parler et rencontrer pour de vrai Summer Glau, dans cet ordre de là. Attention, fan mode activé !

Quand j’ai appris il y a quelques mois qu’elle venait au Comic Con, j’ai su qu’il fallait absolument que je m’y rende : autant j’aimais bien Shannen Doherty pour son rôle dans Charmed, autant Summer Glau, je l’ai adorée dans Angel, Firefly (Serenity !!), Dollhouse, Les 4400, Les Chroniques de Sarah Connor et Arrow. Et Con Man ! Je… ça fait beaucoup non ? Oui, mais pourtant, j’ai réussi à me contenir et à me dire que, quand même, c’était pas sérieux de dépenser 30 euros pour 10 secondes et une photo. Je me suis donc dit qu’assister à ses panels serait suffisant. Malheureusement, elle n’en avait qu’un ! Horreur !

Bon, la bonne nouvelle, c’est qu’il était tenu par Yaële Simkovitch, qui est une excellente hôte de panel : c’est une fan de Whedon, donc je savais que l’entretien serait mené avec beaucoup de précision et de questions hyper précises et pointues. Je veux dire, ça fait quatre ans que je squatte autant que possible ses panels et interventions publiques, c’est pas que j’ai l’impression de bien la connaître, mais un peu quand même. Limite, on pourrait ouvrir une branche des Experts même :

_20181102_001556.JPG
Merci encore à Yaële, et pour son panel et pour sa sympathie tout au long du week-end !

Cela n’a pas manqué : on a eu droit à une demi-heure d’exposé sur Firefly et Serenity, avec des questions vraiment passionnantes, y compris pour Summer Glau qui, loin de s’ennuyer, a eu l’occasion de revenir avec nous sur la complexité du personnage de River, et sur sa sensibilité surtout. Au point d’en pleurer. Oh, comment vouliez-vous que mon cœur résiste face à tant de pureté ?

Eh, je vous avais dit que le fan mode était activé, me jugez pas ! Summer Glau avait une voix toute posée, toute douce et calme, pour répondre aux questions, mais on sentait tout l’amour qu’elle porte à son personnage. Dans les questions du public qui suivaient, elle a abordé aussi Sarah Connor, avec le personnage de Cameron loin d’être simple, et Arrow, avec Isabel Rochev, aux antipodes de ses personnages habituels et sa propre personnalité.

Voir aussi : Critique de la saison 2 d’Arrow

_20181102_002106.JPG

Dans tous les cas, on sent toujours son professionnalisme dans sa manière d’envisager les personnages et elle a résumé à merveille ce que c’était qu’un acteur, en donnant un conseil très juste pour ceux voulant devenir acteur : il faut insuffler au personnage une part de soi. On n’est pas refusé dans un casting pour ce qu’on est, mais on est en revanche accepté pour la part de nous qui semble vivre dans le personnage. Et on retrouve effectivement bien les différents personnages de Summer Glau dans la manière dont elle se comporte en vrai – avec discrétion et douceur comme River, avec une démarche digne de son personnage de Dollhouse et des gestes soignés de ballerine qui ne l’ont jamais quittés, sauf quand elle incarnait Isabel.

Eh, je fais un éloge si je veux, surtout qu’elle était super géniale pendant tout le panel ! Je me suis associé à Summer-Glau.com pour couvrir celui-ci, donc vous retrouverez les infos, photos et vidéos du panel par ici (et dans mes tweets de samedi après-midi).

_20181102_001949.JPG
L’échange de sourires qui rend grave jaloux.

Et après celui-ci, quand je suis passé devant l’espace censé servir de file d’attente pour une photo avec elle et que j’ai vu qu’il n’y avait pas grand-monde, j’ai su qu’il fallait que je craque (un peu poussé par Laura et Poluss quand même – et même beaucoup par Laura aha). Ni une, ni deux, j’ai dépensé mes trente euros avec le sourire pour aller prendre une photo avec elle, même si je n’avais pas vraiment les fringues pour (j’aurais aimé un cosplay Firefly). Là aussi, pas de déception : contrairement à Eliza Dushku forcée d’enchaîner vu l’affluence, Summer Glau avait un peu plus le temps pour prendre la pose – et même tout simplement pour que nous échangions nos places histoire que mon entorse de pouce ne soit pas immortalisée sur le cliché. J’ai eu l’occasion de lui parler très rapidement de Dollhouse et elle a semblé surprise que je connaisse la série, exactement comme Eliza Dushku il y a deux ans. Zut à la fin, c’est une excellente série, regardez la tous ! 😥

_20181102_002236.JPGJe suis donc reparti du studio avec une photo merveilleuse en main et la graine du doute germant dans mon esprit : et si j’essayais de la revoir le lendemain ? Ah, j’aimerais vous dire que le lendemain j’ai craqué sans préméditation, comme le samedi, mais ce n’est pas le cas. Comme vous le savez peut-être, j’avais une entrée journaliste le dimanche, sympathiquement donnée par le Sérigraphe en échange d’un article couvrant les trois jours du Comic Con (il suffit de cliquer ici). J’ai rapidement remarqué que ce jour là aussi, il n’y avait pas grand-monde (et certainement pas autant que je l’aurais voulu !) en photo avec elle. J’ai donc tenté de négocier une interview avec elle : je me suis dit que si elle avait un peu de temps, j’aurais peut-être une rapide entrevue avec, ce qui aurait en plus fait un chouette article, et pour le blog, et pour le Sérigraphe.

IMG_20181030_182203_808.jpg
Le pass journaliste AKA le St Graal coupe-file/bien placé qui ne suffit pas à obtenir une interview.

Bon, malheureusement, la négociation a été vaine, elle n’avait pas assez de temps dans son emploi du temps et tout ce que j’ai gagné dans l’espace presse, c’est la voir marcher vers sa salle d’interview. On ne s’en lasse pas, mais ce n’était pas très utile pour un article. La frustration d’avoir failli réussir à lui parler a fait place à la vraie envie d’aller lui parler : je ne pouvais pas en rester là.

Ni une, ni deux, je me suis donc rendu à l’espace achat de dédicaces, où j’ai vu qu’il restait pas mal de places. Et comme j’avais très clairement prémédité mon coup, en essayant de me raisonner (vraiment, dépenser tant juste pour trente secondes ?), j’avais cette fois de quoi payer la dédicace ET ma photo de la veille avec moi.

Est-ce que j’ai regretté de lâcher encore de l’argent pour la dédicace ? PAS DU TOUT. Figurez-vous qu’il n’y avait vraiment pas grand-monde de 16h à 17h à attendre d’avoir une dédicace avec elle. Et qui dit pas grand monde, dit… LE TEMPS DE LUI PARLER. Alors, oui, on repasse en fan mode, mais quand j’ai vu qu’on était qu’une petite trentaine à vouloir une dédicace ; je me suis dit que peut-être elle accepterait de prendre un peu de temps à parler à chaque. Et c’est ce qui s’est passé (même si au passage, j’ai entraîné une amie dans ma chute puisqu’elle a pris aussi une dédicace pour Jenna Coleman, coucou @LittleVoice18). Et exactement comme lorsque j’ai rencontré Felicia Day, je me suis retrouvé à la fin de la file d’attente… ce qui était encore mieux : moins il y a de monde derrière vous, plus les acteurs prennent le temps de parler, à moins que ce ne soit sur la fin du créneau accordé.

En plus, comme on n’était pas beaucoup, j’ai aussi pu parler à d’autres fans présents et la file d’attente est passée super vite… Jusqu’à ce que @Violettilly ne révèle avoir eu exactement la même idée que moi apparemment, puisqu’elle lui a parlé longteeeemps (et en plus, elle a été filmé, la chance). De toute manière, tout ça permettait de diffuser le stress et de réfléchir à ce que j’allais bien pouvoir dire à Summer Glau. Quand même, faut pas se planter ni céder au stress pas vrai ? HAHA. Vous le voyez venir le fail ?

_20181102_002427.JPG
Much love and gratitude ❤ (le cœur, c’est uniquement parce que @Py_Heck m’a dit d’en caser dans l’article !)

Enfin, qui c’est qui a pu poser quelques questions à Summer Glau comme s’il était en interview ? C’est bibi. Bon, pas tout à fait comme si : il était hors de question de prendre des notes et perdre quelques échanges de regards ; et hors de question de filmer car c’était interdit par le Comic Con ; mais j’ai pu échanger quelques minutes avec elle, et ça, ça n’a pas de prix. Bien sûr, la sécurité a fini par me faire comprendre, discrètement et avec beaucoup de sympathie je trouve (et ça s’apprécie, parce que ça n’a pas toujours été le cas par le passé !), qu’il fallait abréger, mais pas avant que je ne sois aux anges. Et tant que j’y suis, j’en profite aussi pour remercier la personne qui accompagnait Summer Glau dans tous ses trajets ce week-end, parce qu’il était super sympa aussi (et a même fait la traduction pour ceux qui ne parlaient pas bien anglais, c’est dire), et compréhensif avec ça. Il s’est reconnu à la lecture de ces lignes, il s’agit de @Psykosphynx. Merci, merci ! Et il a fait des photos bien trop géniales de Summer en dédicace, en plus :

Et il y en a encore plus sur son compte Instagram, n’hésitez pas !

Venons-en donc au fait, j’ai eu ma dédicace, assez générique et pas tellement passionnante à lire, et j’ai posé quelques questions, qui intéresseront peut-être les fans ; mais pas avant de me rendre compte que j’avais perdu le ticket de dédicace que je devais normalement donner et qui a disparu mystérieusement juste le temps de la dédicace (il est réapparu deux minutes après, quoi – et je sais depuis que nous sommes 3 à avoir vécu ça… ouf, ça déculpabilise un tout petit peu) :

  1. Je lui ai d’abord demandé si elle avait des nouvelles pour une nouvelle saison de The Guild. Bonjour la honte : le stress de la rencontrer m’a fait dire n’importe quoi, et elle ne savait pas bien quoi me répondre, me conseillant plutôt d’essayer de demander à Felicia (Day) sur Twitter… Felicia ? Ah oui, je voulais demander pour Con Man !
  2. Bon, premier échec, le voilà mon fail : elle n’a pas vu Alan (Tudyk) depuis un moment et n’a pas eu d’information sur une troisième saison. Elle m’a tout de même conseillé de regarder la deuxième, mais c’était déjà fait – et elle s’est marré quand j’ai dit que j’avais aimé l’épisode musical. Un sourire de Summer Glau, un ! #fanmode
  3. On a ensuite discuté brièvement de Dollhouse, et elle s’est dit peinée de ne pas avoir non plus de nouvelles à m’apporter sur de possibles comics. Bon, pas trop de surprise : Jed Whedon et Maurissa Tancharoen sont bien occupés avec Agents of S.H.I.E.L.D !
  4. Comme on ne me virait toujours pas de son stand de dédicace, j’ai enchaîné en lui expliquant que je venais tout juste de commencer Arrow et que j’avais été ravi de la revoir dedans – j’ai pu lui dire que je l’avais perdue de vue après Sarah Connor et que je me sentais bête de ne pas avoir plus suivi son actualité – ce qui n’a pas eu l’air de l’affecter plus que ça, puisqu’après tout, j’étais là aujourd’hui. On a donc pu parler brièvement d’Isabel, et elle m’a redit ce qu’elle avait déjà dit la veille – que c’était un personnage différent qu’elle avait adoré jouer.
  5. Avant de partir, j’ai eu l’occasion de glisser que j’attendais son prochain projet avec impatience ; il s’agira d’un projet de science-fiction. Là aussi, je n’ai pas glané plus d’informations que lors du panel, mais qu’importe le contenu, j’ai eu le temps de lui parler.
  6. C’est là que la sécurité m’a fait un très léger signe de la main pour m’inviter à partir, mais ça m’a paru plus que fairplay vu le temps de discussion – je pense bien que j’ai parlé plus longtemps avec elle qu’avec Felicia Day. D’ailleurs, Summer Glau a bien compris que j’allais partir et avant de dire au revoir, elle m’a dit que je parlais vraiment bien anglais. Oh gosh. J’avais pourtant un accent de dingue et une certaine difficulté à trouver mes mots (ça s’appelle mon accent habituel + le « stress » d’être en présence d’une actrice que j’adore depuis plus de dix ans). N’empêche que, SUMMER GLAU M’A DIT QUE JE PARLAIS BIEN ANGLAIS ! Je lui ai donc répondu merci (évidemment) et dit que c’était entre autre grâce à elle ; et que la première personne américaine à qui j’avais parlé était Felicia Day, et que vraiment, vraiment, je devais beaucoup à la Whedon family (et vous aussi : y aurait jamais eu de blog sans ça).

« Et ce fut tout », comme dirait l’autre. Je sais que tout ça n’est finalement pas grand-chose, et je m’en rends bien compte à l’écrire, mais je vous assure que pour moi, c’était un roller coaster d’émotions. J’ai parlé plus longtemps avec Summer Glau qu’avec Felicia Day ou Chyler Leigh, et plus à cœur ouvert qu’avec les acteurs de The Magicians. Puis aussi, j’étais fan depuis longtemps de Summer Glau que des acteurs de The Magicians. Bon, maintenant, faudrait qu’on m’offre un retourneur de temps, que j’aille expliquer à un moi adolescent qu’un jour, j’aurais l’occasion de parler à ces acteurs. _20181102_010513Coût de l’opération, cinquante euros quand même, mais ce sont des souvenirs qui valent le coup et qui reboostent dans sa geek-attitude. C’est la première fois qu’une actrice parvient à me faire dépenser autant, alors même que j’étais parti pour être raisonnable avant ce week-end là. Je vieillis mal, je n’ai plus aucune résistance et je dépense trop… mais je souris bêtement chaque fois que je vois la photo, alors bon, c’était une dépense utile !

Désolé pour ce 500 mots à rallonge (2000 !)… dites-vous que ça permettra d’abréger le compte-rendu des trois jours (non !). Merci à toute l’équipe du Comic Con Paris pour l’organisation (et les pass presse !), à Yaële Simkovitch pour la photo, au Sérigraphe pour ce dimanche et à Summer-Glau.com pour le partenariat. Quant à moi, j’ai depuis redépensé des sous pour mettre la photo sous cadre. Déso pas déso.

 

Mes genres de séries préférés

Salut les sériephiles,

Vous pensiez que j’avais oublié le TFSA de cette semaine ? Vous n’aviez pas entièrement tort, car je me suis gardé la rédaction de l’article pour ce matin, ce qui était bien sûr la pire des idées pour vous le sortir à l’horaire habituel (vers 11h, 11h30 en gros). Qu’importe, l’essentiel c’est de participer et je suis toujours largement dans les temps. Du même coup, j’en profite aussi pour souhaiter un joyeux 20e anniversaire à Maurane. Oui, d’habitude, je le fais dans l’article du jour, mais ça m’a échappé quand je l’ai rédigé parce que je n’avais pas fait attention à la date. Bouuuh.

Bon, sinon cette semaine le thème proposé par Tequi est assez large pour que je sois possiblement hors sujet, mais j’ai essayé de faire attention donc ça devrait passer. Pas de spoilers en plus, je vais simplement parler des genres de séries que j’aime regarder, et pourquoi.

Related image

  1. Teen drama (& soap)

Oui, j’assume, j’aime regarder les séries pour adolescents, même si j’ai de plus en plus besoin d’un twist intéressant pour m’accrocher (à la The 100 qui s’éloigne rapidement de la formule ado cela dit ou à la 13 Reasons Why). Les ados ont toujours le poids du monde sur leurs épaules et que la série soit américaine ou française (coucou l’adaptation de Skam), il y a de quoi accrocher. Les formules de séries pour les adolescents sont calibrées le plus souvent sur des formats 40 minutes, ce que j’adore, et proposent tout un tas d’histoires basés sur les relations et dynamiques de groupe. Or, ce que j’aime dans une série, c’est justement ça.

Image result for the defenders group

  1. Superhéros

Si je ne suis pas un grand fan du manichéisme trop souvent présent dans ce type de séries avec les grands gentils et les grands méchants (coucou Supergirl et l’ensemble de DC j’ai l’impression), j’aime malgré tout toutes les histoires de personnages se découvrant des pouvoirs et apprenant à vivre leur quotidien avec. Plus que tout dans les séries de superhéros, j’aime quand il est question d’une équipe apprenant à travailler ensemble, et c’est bien pour ça que j’ai adoré The Gifted et préféré The Defenders à n’importe quelle autre série solo de Marvel. Ou Agents of S.H.I.E.L.D, donc. Bref, vous l’avez probablement : la meilleure série de superhéros possible est celle qui s’intéresse à la dynamique de groupe… Y a comme une répétition dans ce que j’écris aujourd’hui, je sais.

Image result for 4400

  1. Science-fiction

Que ça se passe de nos jours (Dollhouse) ou dans un futur plus (Altered Carbon) ou moins (The 100) éloigné, personne ne peut nier que j’ai un gros faible pour ce genre. Et malheureusement, c’est plus souvent un inconvénient qu’un avantage : ça m’a fait tenir devant des séries franchement moyennes comme The Mist ou Salvation. Evidemment, pour me plaire, il faut (une dynamique de groupe, oui) que la série soit capable de proposer des explications qui tiennent la route ! C’est paradoxal, je sais, mais la science-fiction qui fait mal son travail ou perd sa crédibilité en cours de route à tendance à me déplaire – rappelez-vous le mal que j’ai eu avec les quelques paradoxes mal gérés de 12 monkeys, par ailleurs excellente. De la science-fiction, oui, mais dans un cadre réaliste, comme avec Orphan Black. Comme pour les super-héros, donc.

Related image

  1. Comédies

Je n’aurais jamais pensé écrire ça il y a quelques années, mais pendant ma 2e année de prépa (c’était déjà il y a cinq ans lol), je suis devenu accro aux comédies au point de pouvoir le dire aujourd’hui : la majorité de ce que je regarde, ce sont des comédies. Le format court aide bien, les dynamiques de groupe y sont souvent plus travaillées et j’ai fini par me découvrir une vraie appétence pour le méta, ces séries autoréflexives qui se moquent d’elles-mêmes ou proposent des parodies claires, comme Community ou Teachers. Oui, je plaque des choses beaucoup trop sérieuses sur mes comédies préférées, mais c’est ce type d’humour qui fait appel à des connaissances précises et à l’attention du téléspectateur qui me plaît, et on ne se refait pas.

Image result for true blood sookie

  1. Urban fantasy

Avec Buffy comme série préférée et Charmed comme première vraie série que j’ai suivie dans ma vie, ça ne surprendra personne que mon choix de prédilection soit celui-ci. Dès que la fantasy s’incruste dans un cadre urbain, je dévore, même si je trouve ça nul dès le départ, coucou Shadowhunters, ou que ça ne casse pas trois pattes à un canard, coucou Midnight Texas. Souvent, les séries s’inspirent de livres que je n’aime pas trop pour les romances mielleuses qu’ils proposent ; mais ça passe toujours mieux à l’écran, quand on n’a pas les sentiments dégoulinant sur plusieurs paragraphes – ou les pensées sexuelles d’un personnage en boucle sur 150 pages (d’où le gif de Sookie, parfaitement). Ouais, je le mets en numéro 1 et je critique, oups.

Bon, on a eu le débat il n’y a pas longtemps sur Twitter, mais pour ceux qui n’auraient pas suivi, j’insiste sur la nécessité du cadre urbain pour me plaire. Quand ça ne se rattache pas à quelque chose que je connais, quand les personnages n’ont pas de références concrètes à mon monde, je n’arrive pas à me projeter aussi bien et je finis souvent par décrocher. Je suis pourtant quelqu’un avec pas mal d’empathie, mais ça ne me parle pas (et dans le fond, si je n’aime pas les séries historiques, c’est sûrement pour cette même raison).

Image result for teen wolf season 1

Bref, avec une série d’urban fantasy, vous êtes sûrs de me parler, et Yodabor ne s’y est probablement pas trompée en m’offrant les premières saisons de Teen Wolf pour mon anniversaire (merci !). La promo « mecs à poil » de la série m’en a toujours tenu à l’écart, mais en vrai, on est dans un mélange teen drama/urban fantasy, donc il y a de grandes chances que je dévore la série le jour où je m’y mettrais – avec un oeil critique et des commentaires pour m’en moquer comme j’ai pu le faire sur Shadowhunters. On en reparlera sur le blog quand ce sera le cas !

Et voilà pour cette semaine, c’était un TFSA un peu plus long que d’habitude ; c’est bien la peine de l’écrire en retard en me disant que je n’en ai pas pour longtemps !

Les meilleurs génériques de séries

Salut les sériephiles !

On se retrouve pour un nouveau TFSA, mais cette fois-ci, je fais mon rebelle et je ne m’intéresse pas au thème de la semaine ! Et oui, Tequi proposait cette semaine de revenir sur « les mini séries qui auraient mérité de ne pas être si mini », mais hormis Ascension que j’avais vraiment adorée, les mini-séries ont tendance à me saouler, comme je le disais ce matin. J’aurais pu y inclure aussi les séries annulées en cours de saison 1, comme Imaginary Mary, mais ça me paraissait beaucoup de détours pour pas grand-chose et on sortait de la définition stricte des mini-séries.

À la place, Tequi m’a autorisé à reprendre un thème du passé et j’ai donc, après de grosses hésitations, décidé de m’intéresser aux meilleurs génériques de séries. En fait, je l’ai vite regretté, parce que seulement cinq, c’est ingérable ! Tant pis pour moi, parce que je n’ai pas pris la décision seul : Ludo postera lui aussi sur ce thème demain matin.

Pour me simplifier la vie, j’ai également viré tous les génériques de moins de quinze secondes, ce qui inclut ceux de LOST (iconique) et HIMYM (délirant). C’était quand même tellement difficile que j’ai fini par… faire un top 10, puis 15, puis 20, puis 25. C’est malin. Non mais ça va bien se passer, promis. Installez-vous bien confortablement, c’est inévitablement long !

Bonus (parce que 25 ce n’est pas assez) : Je ne regarde pas cette série (et même je la déteste car je n’en comprends pas le succès vu ses lenteurs et ces nombreux cas problématiques) mais s’il y a bien une chose qui m’avait convaincu de regarder les deux premières saisons et demi, c’est le générique. Clairement, il fait partie de son succès planétaire, alors je ne me vois pas ne pas en parler dans cet article, parce que même moi, je l’ai eu sur mon iPod et j’aime bien l’entendre :

Allez, c’est parti pour ce top 25 !

  1. Misfits

Addictif mais pas trop, ce générique est totalement à l’image de la série avec une musique entraînante et des images marrantes pour chacun des personnages importants de cette série anglaise. Contrairement à d’autres génériques de cette liste en revanche, le réentendre ne me donne pas immédiatement envie d’aller me replonger dans la série, désolé.

  1. Person of Interest

Je ne suis généralement pas fan des génériques parlés plus que musicaux et son originalité est contrasté par sa ressemblance avec celui de Dollhouse, ce qui explique que je le classe si mal alors que j’adorais cet intro totalement addictive. Clairement, il vaut le coup et donne envie de se plonger dans la série, mais je ne me vois pas l’écouter en boucle comme beaucoup d’autres dans cette liste. Le générique parfait doit savoir trouver l’équilibre parfait entre musique, ambiance, images et texte, mais doit aussi donner envie d’être écouté en-dehors de la série, je trouve.

  1. Friends

Clap clap clap ! Ce générique est génial, mais c’est surtout grâce à une chanson beaucoup trop entraînante et marrante. Cela dit, on ne va pas se mentir, il a beau vieillir, je trouve qu’il vieillit bien – et mieux que la série. Quoi, j’ose critiquer Friends ? C’est que je suis de la génération HIMYM, voilà tout.

  1. Haven

Si j’en adore la musique, je ne suis pas fan des images choisies pour ce générique qui ne reflète pas totalement l’univers de la série, je trouve. Il n’empêche que je me suis avalé la série en une semaine en grande partie grâce à son générique addictif et que j’adore me l’écouter en boucle encore aujourd’hui.

  1. Stargate SG1 (2e générique)

Je n’y aurais pas forcément pensé il y a deux mois, mais le Comic Con est passé par là et la bande-annonce de la prochaine série Stargate sont passés par là et m’ont rappelé à quels points quelques notes de musique pouvaient changer une vie (pas moins, non) et donner envie de se revoir tout plein d’épisodes d’une série dont je n’étais pas si fan. Les premières saisons avaient un générique moyen et très lent visuellement, mais ça s’est amélioré par la suite. Gros coup de cœur aussi sur celui d’Atlantis, que je considère à tort comme faisant partie de la même série tellement M6 gérait bien la diffusion de ses séries dans cette époque lointaine. Un jour, il faudra que je revois et termine ces séries, surtout que j’ai découvert depuis que Jewel Staite avait rejoint le casting d’Atlantis qu’Universe était bien.

  1. Mutant X

Là encore, j’accuse totalement M6 d’avoir piqué une grosse partie de ma vie d’adolescent avec cette série dont le simple épisode me donne envie de revoir des épisodes. Toutefois, je n’ose pas le faire, car je suis sûr que je surestime beaucoup la série par rapport à ce qu’elle était.

  1. One Tree Hill

Inoubliable, ce générique fait partie de ceux qui ont disparu en cours de route et c’est bien dommage, car cette petite musique est indissociable dans mon souvenir de mes mardis soirs devant M6. Et ouais, c’était l’époque où je regardais trop la télé, c’est comme ça.

  1. Prison Break (version US)

Quoi ? Comment ça, je n’ai privilégié la version Faf Larage ?? Pour la petite histoire, j’ai vu trois saisons avec Faf Larage et deux avec la version US, Prison Break étant une des premières séries que j’ai fini par voir en streaming. Il faut dire ce qui est, la version originale est beaucoup plus entraînante et excitante… ce qui ne m’empêche pas de connaître par cœur la chanson de Faf Larage, qui a fait un joli coup marketing je dois dire… mais pas vraiment une excellente chanson !

  1. Grey’s Anatomy

J’adorais celui de Grey’s Anatomy, amputé malheureusement il y a des années, ce qui fait que j’ai choisi un temps de ne pas le considérer pour ce top avant d’en faire un top 15, alors que je l’adorais à l’époque et qu’il est tout de même très marquant car j’ai vu les premières saisons en DVD, et qu’il tournait en boucle dans les menus.

  1. Angel

Si je déteste le visuel de ce générique absolument immonde (franchement), j’en adore la musique que j’ai écouté en boucle plus d’une fois et qui me donne toujours envie d’enchaîner les épisodes et le simple fait de l’avoir réentendu pour vous proposer la vidéo ici m’a donné envie de regarder des épisodes. Désolé, je n’ai pas trouvé de bonne version du générique de la saison 1, et comme le casting de la saison 5 est un peu spoiler, je préfère encore vous proposer cette vidéo et vous ferez stop au bon moment.

  1. Club de Cuervos

Pour une production Netflix, il n’est pas étonnant de voir un générique si efficace, mais ça n’empêche que ça surprend pour une série dont la langue est l’espagnol. Gros coup de cœur sur ce générique un peu lent dont la deuxième partie accélère le rythme et donne envie de chanter avec tous ces supporters. Cela rend bien l’ambiance de stade voulue par la série et je peux vous dire que les dix jours restant avant la saison 3 sont beaucoup trop longs !

  1. The 100

Je n’étais vraiment pas convaincu au départ quand ils nous ont pondu ça en saison 2 – je trouvais ce générique inutilement long et complétement plagié sur Game of Thrones dans l’idée. Quelques épisodes plus tard, j’en étais tout simplement fan et j’adore l’entendre au début de chaque épisode. J’aime les séries qui ont des génériques, juste parce qu’on est tout de suite immergé dans l’ambiance de la série.

  1. Dexter

Encore une série que j’ai arrêté en cours de route, mais ce générique est inoubliable et m’a fait regretter de ne pas poursuivre cette saison 3. Cette morning routine du tueur en série le plus cool du petit écran est totalement addictive. Je finirai la série rien que pour lui… Un jour, peut-être.

  1. Dollhouse

Si je regrette le culte voué à Eliza Dushku dans ce générique alors que l’ensemble du casting aurait pu y passer, c’est bien le seul défaut que j’y trouve. J’adore l’aspect visuel (repris par Person of Interest je trouve), l’ambiance qui correspond bien à la série et la musique qui m’a servi de réveil un certain temps…

  1. Les 4400

Que ce soit cette intro apparue en saison 3 ou le générique A place in time, je connais par cœur sur le bout des doigts et ça me manque. La fin ouverte de la série était aussi frustrante que parfaite pour celle-ci et il faudra que je me replonge dans la série un jour ou l’autre.

  1. The Nanny

Et ouais, une nounou d’enfer, je vous ai déjà dit que j’ai été bercé par M6 toute ma vie ? Quoiqu’il en soit, ce générique est l’un des rares génériques de la télé que j’aurais aimé voir durer plus longtemps. Parmi les choix drastiques que j’ai fait pour ce top, j’ai éliminé celui de Notre Belle Famille, un peu moins marquant, mais malgré tout très bon aussi.

  1. Suits

Ce générique, je peux l’écouter en boucle pendant des heures tellement il me met la pèche pour la journée. La série n’est pas toujours parfaite, mais je sais que même les épisodes les plus médiocres auront au moins le générique pour eux !

  1. Fringe

S’il y a bien un générique qui ne m’a jamais déçu, c’est celui de Fringe. Truffé d’indices, de clins d’œil et de couleurs permettant de savoir où et quand se situe l’épisode sur le point d’être vu, je suis fan de chacune des nombreuses versions de celui-ci, et il y en a une dizaine, l’air de rien.

  1. Finding Carter

Si la série s’est rapidement révélée décevante et même carrément mauvaise en saison 2 au point de ne pas regretter son annulation sans fin (quand même !), le générique m’aura marqué énormément. Interprété par MisterWives, j’ai découvert grâce à la série un groupe de musique que j’adore et que je suis depuis (un nouvel album est sorti cette année d’ailleurs) et qui n’en finit plus de grossir (« Our own house » était même une musique de pub l’an dernier je crois). Gros coup de cœur donc, mais venant d’une série MTV, je n’en attendais pas moins. Si vous saviez le nombre de trajets de RER que j’ai fait avec Vagabond en tête…

  1. Veronica Mars (1e version)

Et oui, merci M6 d’avoir diffusé Veronica Mars il y a dix ans. C’est là aussi une de mes premières séries que j’ai ensuite rattrapé en streaming. Ce générique est inoubliable, me donne lui aussi la pêche en permanence et me donne envie de me plonger dans la série non pour résoudre l’enquête, mais bien pour retrouver la répartie inoubliable de Veronica. En revanche, j’ai détesté la version du générique utilisée en saison 3, comme quoi, ça ne réussit pas toujours de moderniser son image.

  1. Community

Malheureusement souvent coupé au montage, le générique de Community est entraînant et me donne envie d’enchaîner les épisodes de la série à chaque fois. Ses paroles se sont révélées ironiquement cruelles au fur et à mesure des années. La série a su l’adapter à merveille pour quelques épisodes spéciaux (Noël, Halloween, D&D, paintball…). C’était toujours superbe et ils n’hésitaient pas à faire coller le générique à la parodie de la semaine. Un vrai travail, une esthétique réussie et un coup de cœur sans cesse renouvelé.

  1. Buffy

Je pense qu’il sera éternellement difficile d’égaler cette deuxième position ! ce générique qui a été mon réveil pendant plus d’un an, au point que je n’entendais plus le réveil sonner tellement j’en avais pris l’habitude (plaignons ma sœur qui se l’est du coup tapée en boucle au mariage de mon autre sœur). Quelques notes suffisent à me donner le smile et l’envie de danser/donner des coups dans les airs. Bref, ne soyez pas à côté de moi quand je l’écoute, ça n’est pas très prudent. Et puis, en plus, la série est géniale.

  1. Charmed (1e version)

Possiblement l’un des génériques que j’ai le plus entendu dans ma vie, je ne me vois pas le caser ailleurs qu’à cette position – même si mon amour pour la série a diminué puis réaugmenté malgré l’épreuve du temps qui ne lui réussit pas. J’ai beaucoup hésité avec celui de Buffy, mais soyons clair, quand j’étais très très jeune, je m’amusais même à créer de faux générique de Charmed et tout pour un forum de RPG sur lequel j’étais. La folie était totale. En plus, je le connais aussi bien en yaourt qu’avec les paroles, ce qui est toujours étrange quand je le réécoute.

Voilà pour cette semaine. Je vous assure que j’ai fait des choix, je n’ai même pas parlé du générique (version française ahaha) de Heroes, j’ai viré celui de The Affair, celui d’Orphan Black, de Smallville, de Sydney Fox… Non franchement, il y en a plein que j’aurais pu rajouter encore, mais il faut savoir s’arrêter et 25, c’est déjà beaucoup trop. Malgré tout, un dernier pour la route, celui, génialissime, de ce dessin-animé qui m’a fait découvrir les X-Men sur France 3 le dimanche matin et que j’adore beaucoup trop.

C’est tout pour cette semaine 🙂