Cette semaine n’est-elle pas merveilleuse ? Deux TFSA pour le prix d’un avec mon retard de la semaine dernière qui fait que je n’ai publié le précédent qu’il y a trois jours. Les choses ne changent pas et on remercie toujours Tequi pour ses idées de thèmes toujours bien inspirées. Je ne sais pas toujours où elle va les chercher et cette semaine encore j’ai bien cru ne pas avoir ce qu’il fallait pour le faire. Comme à chaque fois, je me suis posé cinq minutes et j’ai découvert qu’en fait, si, j’avais de quoi faire.
C’est donc parti pour les meilleures adaptations de films en séries, accrochez vos ceintures, on est parti pour… pas mal de SF en fait, à croire que je ne regarde que ça comme films (ou presque). Enfin, non d’ailleurs : je ne regarde pas de films tout court et ça se sent bien dans cette série. Je vous parle d’adaptations, certes, mais dans la plupart des cas, je n’ai même pas vu le film d’origine (ou je ne l’ai pas revu depuis 15 ans au moins pour celle en 5e position), alors dur, dur, cet article.
Stargate SG-1 (et le reste de la franchise)
C’est tellement vieux que malgré le récent spin-off, il m’a fallu un bon moment et une liste wikipedia pour y songer quand j’avais les quatre premiers. La franchise n’atteint que la dernière marche du podium parce que j’ai mis longtemps à l’apprécier. Les premières saisons de SG-1 sont sympas, mais sans plus. J’ai commencé à vraiment accrocher à la série autour de sa saison 7, et puis avec Atlantis aussi. Il y a tout un tas d’épisodes des quatre séries que je n’ai pas vu, mais quand même, tout ça est bien marquant car j’ai vu un grand nombre d’épisodes de ces séries dans mon enfance, donc oui, c’est une bonne adaptation.
Je n’ai pas vu le film d’origine (et il faudrait que je le vois car j’aime bien les acteurs !), mais le concept de cette série Netflix est quand même sacrément d’actualité et vaut le détour. Il est difficile de juger l’adaptation par rapport au film, mais indépendamment, la série est excellente. On y trouve de l’humour et des sujets de société qui méritent que l’on s’y consacre et qu’on se réveille, pour reprendre le vocabulaire de la série. Je suis bien content de l’existence de la saison 3 en préparation !
Là aussi, je n’ai pas vu le film et je ne suis pas sûr que j’aimerais car je sais que la saison 1 de la série le respecte énormément… et je n’ai pas aimé la saison 1. En revanche, la série gagne en maturité avec le temps et comme le bon vin, elle finit par être tout simplement excellente. La dernière saison est une véritable pépite qui se dévore, avec juste d’excellents épisodes du début à la fin. Et avant ça, le voyage vaut quand même le détour pour son casting qui s’améliore progressivement et son histoire qui est un puzzle très réussi. Je n’arrête plus les éloges de cette série cette semaine de toute manière, elle ne pouvait pas ne pas être là.
Comme la précédente, il est difficile de ne pas me répandre en éloges quand j’en parle et ce alors même que je n’ai pas vu le film d’origine – qui, pour le coup, me tente beaucoup ! La série est plutôt réussie malgré des longueurs. Dès le début, elle nous transporte dans son monde et son code visuel/auditif, avec tout un univers qui se met en place. J’adore, tout simplement, et je ne peux que la conseiller aux fans de SF, même si je sais qu’elle peut rebuter les autres. En tout cas, une chose est sûre, la série est réussie.
Le titre VF du film est quand même Bichette tueuse de vampires et c’est bien pour ça qu’il vaut le coup d’œil. Le film a encore plus mal vieilli que la saison 1 de la série et est kitchissime à souhait, mais ce sont aussi les bases de la série qui raconte une sorte de suite avec des répétitions dans le schéma de l’histoire. Si Buffy ne parle que peu de ce qui lui est arrivé dans Bichette, elle en parle malgré tout et ça fait de la série une adaptation largement meilleure que le film d’origine. Regardez Buffy. Vraiment. Surtout si vous vous appelez AngelaKoala.
Voilà, j’ai fait le tour des adaptations réussies de films en séries, en prenant bien soin d’éviter de mentionner Scream, parce que malheureusement, l’adaptation n’est dans ce cas pas franchement réussi – je préfère les films à la série, même si j’ai aimé certains aspects de la série. Autrement, j’ai hésité à caser Agents of S.H.I.E.L.D dans la liste, mais j’ai trouvé ça un peu hypocrite : j’adore Avengers, j’adore AoS, mais mis à part que ça se passe dans le même univers et l’un après l’autre, il est difficile de dire que c’est une adaptation de films… juste une continuité logique de l’adaptation des comics.
Un peu plus d’une semaine que je n’arrête pas de parler de spin-off avec le TFSA de vendredi dernier sur les spin-off dont on rêve, puis le débarquement de Station 19 sur le blog. Il est donc largement temps que je prenne le temps de me poser et d’en faire un vrai article explicatif comme j’ai l’habitude de faire pour tout un tas de termes plus ou moins techniques. Ce n’est pas spécialement une surprise, je pense alors sans plus de blabla introductif, lançons-nous dans le feu de l’action !
Avouez que c’était un joli jeu de mots introductif !
Qu’est-ce que c’est qu’un spin-off ? Comme son nom ne nous le dit pas forcément si on ne parle pas anglais, le spin-off consiste à développer de manière indépendante une partie d’un univers fictif. On le retrouve surtout dans les séries, en toute logique : il s’agit alors de développer la série, souvent en se concentrant sur un personnage qui vole de ses propres ailes, ou sur un bout de la mythologie de la série qui a le potentiel de proposer une nouvelle histoire.
Le spin-off peut être une suite d’une série à succès (c’est le cas de la très ratée Joey), s’amuser au contraire à explorer son passé (Young Sheldon) ou tout simplement se dérouler en même temps, pour la compléter en offrant un nouveau point de vue ou en élargissant l’univers avec un nouvel angle de vue (les puristes parlant même de sidequel, mais bon, ce n’est pas le terme le plus populaire du monde).
Et très souvent quand c’est le cas, le spin-off a la bonne idée de proposer des crossovers plus ou moins régulièrement ; dans le cas des séries, c’est souvent une fois par an. Le but ? Faire encore plus de profits avec des soirées spéciales attirant les fans, bien évidemment !
Bien sûr, ce n’est pas une pratique limitée à la télévision, ça se retrouve dans les comics (beaucoup), les bandes dessinées (un peu), les animés (parfois), les jeux vidéo (souvent), les films (de temps en temps) et la littérature (régulièrement). Oh et la radio aussi, parce que cette liste n’était pas assez longue.
La rédaction de cet article m’a rappelé que ces deux-là s’étaient rencontrées 😥
Quelle origine ? Et bien, justement, la radio (à croire que c’était fait exprès pour la transition dis donc !). C’est en tout cas ce qu’affirment les anglophones avec l’exemple d’une série radiophonique dont un personnage est devenu le héros de sa propre série en 1941… Ce à quoi les français répondront que La Comédie Humaine et Les Rougon-Macquart l’avaient fait bien avant, merci Balzac et Zola. Et c’est là que n’importe quel 6e un peu attentif dans la salle lève la main pour remarquer que, dis-donc, l’Odyssée, c’est un peu un spin-off de l’Iliade quand même. Bien vu.
C’est quoi ce nom ? « to spin », c’est l’idée de faire tourner, pivoter, assez rapidement (genre le jeu de la bouteille est appelé « spin the bottle » par exemple) et « off » c’est une préposition qui permet d’exprimer l’idée d’extérieur en général. Du coup, « spin-off », c’est quelque chose qui tourne en dehors. Si on ajoute que « to spin » peut parfois être synonyme de « raconter », on comprend que c’est donc une histoire racontée en-dehors de son cadre d’origine, qui tourne en-dehors de celui-ci, etc. Sinon, comme on est français, on pourrait très bien se contenter du terme « série dérivée » (en plus, ça me rappelle la dérive d’Ulysse maintenant).
Et aujourd’hui ? Le spin-off ne s’est jamais aussi bien porté que ces dernières années avec le développement de véritables franchises depuis que les CSI sont passés par là. On a donc une triple franchise NCIS, on a les séries Chicago, on a tout l’Arrowverse(ou presque : Supergirl s’y est greffée après et n’est pas un spin-off !), on a (Fear) The Walking Dead, on a The Punisher spin-off de Daredevil, on a Grey’s qui s’y remet après Private Practice… et il est temps que je m’y mette également. Enfin, techniquement, dans une moindre mesure, Stargate Origins n’était pas autre chose qu’un énième spin-off de Stargate SG-1. Bref, Hollywood n’hésite pas à développer des projets à partir de n’importe quelle série à succès, histoire de récupérer encore plus de succès. C’est rare, mais ça arrive : NCIS est elle-même un spin-off de JAG, ce que tout le monde a tendance à oublier.
On se retrouve pour un nouveau TFSA, mais cette fois-ci, je fais mon rebelle et je ne m’intéresse pas au thème de la semaine ! Et oui, Tequi proposait cette semaine de revenir sur « les mini séries qui auraient mérité de ne pas être si mini », mais hormis Ascension que j’avais vraiment adorée, les mini-séries ont tendance à me saouler, comme je le disais ce matin. J’aurais pu y inclure aussi les séries annulées en cours de saison 1, comme Imaginary Mary, mais ça me paraissait beaucoup de détours pour pas grand-chose et on sortait de la définition stricte des mini-séries.
À la place, Tequi m’a autorisé à reprendre un thème du passé et j’ai donc, après de grosses hésitations, décidé de m’intéresser aux meilleurs génériques de séries. En fait, je l’ai vite regretté, parce que seulement cinq, c’est ingérable ! Tant pis pour moi, parce que je n’ai pas pris la décision seul : Ludo postera lui aussi sur ce thème demain matin.
Pour me simplifier la vie, j’ai également viré tous les génériques de moins de quinze secondes, ce qui inclut ceux de LOST (iconique) et HIMYM (délirant). C’était quand même tellement difficile que j’ai fini par… faire un top 10, puis 15, puis 20, puis 25. C’est malin. Non mais ça va bien se passer, promis. Installez-vous bien confortablement, c’est inévitablement long !
Bonus (parce que 25 ce n’est pas assez) : Je ne regarde pas cette série (et même je la déteste car je n’en comprends pas le succès vu ses lenteurs et ces nombreux cas problématiques) mais s’il y a bien une chose qui m’avait convaincu de regarder les deux premières saisons et demi, c’est le générique. Clairement, il fait partie de son succès planétaire, alors je ne me vois pas ne pas en parler dans cet article, parce que même moi, je l’ai eu sur mon iPod et j’aime bien l’entendre :
Allez, c’est parti pour ce top 25 !
Misfits
Addictif mais pas trop, ce générique est totalement à l’image de la série avec une musique entraînante et des images marrantes pour chacun des personnages importants de cette série anglaise. Contrairement à d’autres génériques de cette liste en revanche, le réentendre ne me donne pas immédiatement envie d’aller me replonger dans la série, désolé.
Je ne suis généralement pas fan des génériques parlés plus que musicaux et son originalité est contrasté par sa ressemblance avec celui de Dollhouse, ce qui explique que je le classe si mal alors que j’adorais cet intro totalement addictive. Clairement, il vaut le coup et donne envie de se plonger dans la série, mais je ne me vois pas l’écouter en boucle comme beaucoup d’autres dans cette liste. Le générique parfait doit savoir trouver l’équilibre parfait entre musique, ambiance, images et texte, mais doit aussi donner envie d’être écouté en-dehors de la série, je trouve.
Friends
Clap clap clap ! Ce générique est génial, mais c’est surtout grâce à une chanson beaucoup trop entraînante et marrante. Cela dit, on ne va pas se mentir, il a beau vieillir, je trouve qu’il vieillit bien – et mieux que la série. Quoi, j’ose critiquer Friends ? C’est que je suis de la génération HIMYM, voilà tout.
Haven
Si j’en adore la musique, je ne suis pas fan des images choisies pour ce générique qui ne reflète pas totalement l’univers de la série, je trouve. Il n’empêche que je me suis avalé la série en une semaine en grande partie grâce à son générique addictif et que j’adore me l’écouter en boucle encore aujourd’hui.
Stargate SG1 (2e générique)
Je n’y aurais pas forcément pensé il y a deux mois, mais le Comic Con est passé par là et la bande-annonce de la prochaine série Stargate sont passés par là et m’ont rappelé à quels points quelques notes de musique pouvaient changer une vie (pas moins, non) et donner envie de se revoir tout plein d’épisodes d’une série dont je n’étais pas si fan. Les premières saisons avaient un générique moyen et très lent visuellement, mais ça s’est amélioré par la suite. Gros coup de cœur aussi sur celui d’Atlantis, que je considère à tort comme faisant partie de la même série tellement M6 gérait bien la diffusion de ses séries dans cette époque lointaine. Un jour, il faudra que je revois et termine ces séries, surtout que j’ai découvert depuis que Jewel Staite avait rejoint le casting d’Atlantis qu’Universe était bien.
Mutant X
Là encore, j’accuse totalement M6 d’avoir piqué une grosse partie de ma vie d’adolescent avec cette série dont le simple épisode me donne envie de revoir des épisodes. Toutefois, je n’ose pas le faire, car je suis sûr que je surestime beaucoup la série par rapport à ce qu’elle était.
Inoubliable, ce générique fait partie de ceux qui ont disparu en cours de route et c’est bien dommage, car cette petite musique est indissociable dans mon souvenir de mes mardis soirs devant M6. Et ouais, c’était l’époque où je regardais trop la télé, c’est comme ça.
Quoi ? Comment ça, je n’ai privilégié la version Faf Larage ?? Pour la petite histoire, j’ai vu trois saisons avec Faf Larage et deux avec la version US, Prison Break étant une des premières séries que j’ai fini par voir en streaming. Il faut dire ce qui est, la version originale est beaucoup plus entraînante et excitante… ce qui ne m’empêche pas de connaître par cœur la chanson de Faf Larage, qui a fait un joli coup marketing je dois dire… mais pas vraiment une excellente chanson !
J’adorais celui de Grey’s Anatomy, amputé malheureusement il y a des années, ce qui fait que j’ai choisi un temps de ne pas le considérer pour ce top avant d’en faire un top 15, alors que je l’adorais à l’époque et qu’il est tout de même très marquant car j’ai vu les premières saisons en DVD, et qu’il tournait en boucle dans les menus.
Angel
Si je déteste le visuel de ce générique absolument immonde (franchement), j’en adore la musique que j’ai écouté en boucle plus d’une fois et qui me donne toujours envie d’enchaîner les épisodes et le simple fait de l’avoir réentendu pour vous proposer la vidéo ici m’a donné envie de regarder des épisodes. Désolé, je n’ai pas trouvé de bonne version du générique de la saison 1, et comme le casting de la saison 5 est un peu spoiler, je préfère encore vous proposer cette vidéo et vous ferez stop au bon moment.
Pour une production Netflix, il n’est pas étonnant de voir un générique si efficace, mais ça n’empêche que ça surprend pour une série dont la langue est l’espagnol. Gros coup de cœur sur ce générique un peu lent dont la deuxième partie accélère le rythme et donne envie de chanter avec tous ces supporters. Cela rend bien l’ambiance de stade voulue par la série et je peux vous dire que les dix jours restant avant la saison 3 sont beaucoup trop longs !
Je n’étais vraiment pas convaincu au départ quand ils nous ont pondu ça en saison 2 – je trouvais ce générique inutilement long et complétement plagié sur Game of Thrones dans l’idée. Quelques épisodes plus tard, j’en étais tout simplement fan et j’adore l’entendre au début de chaque épisode. J’aime les séries qui ont des génériques, juste parce qu’on est tout de suite immergé dans l’ambiance de la série.
Dexter
Encore une série que j’ai arrêté en cours de route, mais ce générique est inoubliable et m’a fait regretter de ne pas poursuivre cette saison 3. Cette morning routine du tueur en série le plus cool du petit écran est totalement addictive. Je finirai la série rien que pour lui… Un jour, peut-être.
Dollhouse
Si je regrette le culte voué à Eliza Dushku dans ce générique alors que l’ensemble du casting aurait pu y passer, c’est bien le seul défaut que j’y trouve. J’adore l’aspect visuel (repris par Person of Interest je trouve), l’ambiance qui correspond bien à la série et la musique qui m’a servi de réveil un certain temps…
Les 4400
Que ce soit cette intro apparue en saison 3 ou le générique A place in time, je connais par cœur sur le bout des doigts et ça me manque. La fin ouverte de la série était aussi frustrante que parfaite pour celle-ci et il faudra que je me replonge dans la série un jour ou l’autre.
The Nanny
Et ouais, une nounou d’enfer, je vous ai déjà dit que j’ai été bercé par M6 toute ma vie ? Quoiqu’il en soit, ce générique est l’un des rares génériques de la télé que j’aurais aimé voir durer plus longtemps. Parmi les choix drastiques que j’ai fait pour ce top, j’ai éliminé celui de Notre Belle Famille, un peu moins marquant, mais malgré tout très bon aussi.
Ce générique, je peux l’écouter en boucle pendant des heures tellement il me met la pèche pour la journée. La série n’est pas toujours parfaite, mais je sais que même les épisodes les plus médiocres auront au moins le générique pour eux !
Fringe
S’il y a bien un générique qui ne m’a jamais déçu, c’est celui de Fringe. Truffé d’indices, de clins d’œil et de couleurs permettant de savoir où et quand se situe l’épisode sur le point d’être vu, je suis fan de chacune des nombreuses versions de celui-ci, et il y en a une dizaine, l’air de rien.
FindingCarter
Si la série s’est rapidement révélée décevante et même carrément mauvaise en saison 2 au point de ne pas regretter son annulation sans fin (quand même !), le générique m’aura marqué énormément. Interprété par MisterWives, j’ai découvert grâce à la série un groupe de musique que j’adore et que je suis depuis (un nouvel album est sorti cette année d’ailleurs) et qui n’en finit plus de grossir (« Our own house » était même une musique de pub l’an dernier je crois). Gros coup de cœur donc, mais venant d’une série MTV, je n’en attendais pas moins. Si vous saviez le nombre de trajets de RER que j’ai fait avec Vagabond en tête…
Veronica Mars (1e version)
Et oui, merci M6 d’avoir diffusé Veronica Mars il y a dix ans. C’est là aussi une de mes premières séries que j’ai ensuite rattrapé en streaming. Ce générique est inoubliable, me donne lui aussi la pêche en permanence et me donne envie de me plonger dans la série non pour résoudre l’enquête, mais bien pour retrouver la répartie inoubliable de Veronica. En revanche, j’ai détesté la version du générique utilisée en saison 3, comme quoi, ça ne réussit pas toujours de moderniser son image.
Community
Malheureusement souvent coupé au montage, le générique de Community est entraînant et me donne envie d’enchaîner les épisodes de la série à chaque fois. Ses paroles se sont révélées ironiquement cruelles au fur et à mesure des années. La série a su l’adapter à merveille pour quelques épisodes spéciaux (Noël, Halloween, D&D, paintball…). C’était toujours superbe et ils n’hésitaient pas à faire coller le générique à la parodie de la semaine. Un vrai travail, une esthétique réussie et un coup de cœur sans cesse renouvelé.
Je pense qu’il sera éternellement difficile d’égaler cette deuxième position ! ce générique qui a été mon réveil pendant plus d’un an, au point que je n’entendais plus le réveil sonner tellement j’en avais pris l’habitude (plaignons ma sœur qui se l’est du coup tapée en boucle au mariage de mon autre sœur). Quelques notes suffisent à me donner le smile et l’envie de danser/donner des coups dans les airs. Bref, ne soyez pas à côté de moi quand je l’écoute, ça n’est pas très prudent. Et puis, en plus, la série est géniale.
Charmed (1e version)
Possiblement l’un des génériques que j’ai le plus entendu dans ma vie, je ne me vois pas le caser ailleurs qu’à cette position – même si mon amour pour la série a diminué puis réaugmenté malgré l’épreuve du temps qui ne lui réussit pas. J’ai beaucoup hésité avec celui de Buffy, mais soyons clair, quand j’étais très très jeune, je m’amusais même à créer de faux générique de Charmed et tout pour un forum de RPG sur lequel j’étais. La folie était totale. En plus, je le connais aussi bien en yaourt qu’avec les paroles, ce qui est toujours étrange quand je le réécoute.
Voilà pour cette semaine. Je vous assure que j’ai fait des choix, je n’ai même pas parlé du générique (version française ahaha) de Heroes, j’ai viré celui de The Affair, celui d’Orphan Black, de Smallville, de Sydney Fox… Non franchement, il y en a plein que j’aurais pu rajouter encore, mais il faut savoir s’arrêter et 25, c’est déjà beaucoup trop. Malgré tout, un dernier pour la route, celui, génialissime, de ce dessin-animé qui m’a fait découvrir les X-Men sur France 3 le dimanche matin et que j’adore beaucoup trop.